CORPUS HISTORIQUE ETAMPOIS
 
 Charles VIII et son Conseil des finances
Nouvel octroi pour dix ans aux Étampois des revenus de la gabelle
27 février et 20 novembre 1491
     
  Blanc à la couronne frappé à Paris en 1488 (© cgb)
Blanc à la couronne frappé à Paris en 1488 (© cgb)
 
     Trois ans après la fin de la guerre de Cent Ans, en 1456, le roi Charles VII, constatant la pauvreté de la ville, lui avait donné pour cinq ans la jouissance des revenus de la gabelle. Nous voyons ici que cet octroi avait été continuellement prorogé et qu’il l’est à nouveau en 1491, par son petit-fils Charles VIII, pour financer non plus seulement l’entretien du réseau routier, mais encore la fortification d’une ville qui est redevenue l’un des plus importants greniers à blé de Paris.

      La saisie des textes anciens est une tâche fastidieuse et méritoire. Merci de ne pas décourager ceux qui s’y attellent en les pillant sans les citer.
     
Archives municipales d’Étampes, AA 46 Nouvel octroi pour dix ans aux Étampois
des revenus de la gabelle
 
 
Introduction
 
     Louis VIII avait publié un édit augmentant la liberté du commerce du sel. Les édiles étampois lui firent remarquer que cela privait leur commune d’une ressource essentielle. Depuis 1456 en effet les revenus du grenier à sel local étaient reversés à la ville.

     Originellement c’était pour permettre à la ville, exsangue et dépeuplée, de faire face aux dépenses colossales que nécessitait l’état désastreux du système routier, après un siècle de conflits et d’insécurité.  Dans la suite il apparaît que les édiles étampois réussirent, avec des arguments que nous ne connaissons pas mais que nous pouvons deviner, à faire proroger indéfiniment cette mesure, pour financer notamment la construction d’un système de défense militaire de la ville.


     C’est certainement ce dernier point qui emporta la conviction du roi et lui fit rapporter sa décision, au moins en ce concernait Étampes, qui était redevenu l’un des plus important grenier à blé de la capitale du royaume: il fit proroger pour dix nouvelles années l’octroi à la ville des revenus de la gabelle.

     J’ai donné ailleurs un résumé chronologique de ce que nous savons pour l’instant des différentes campagnes de fortifications de la ville de la fin du XVe siècle jusqu’à la fin du XVIe (ici).

Prosopographie

     En matière de prosopographie étampoise, ce document mentionne en fonctions, le 1er mars 1492:

     (A) Le prévôt Jean Laurent en exercice depuis au moins 1481 jusqu’à au moins 1497, comme le note Dupieux sur la base de documents aujourd’hui pour certains disparus (1) et décédé en tout cas avant 1511 (2).

     (B)
Péroton de Cabanins, garde du sceau de la prévôté lors de la rédaction de notre vidimus, est encore signalé dans cette charge le 8 décembre 1492 et le 20 novembre 1506 (3).
     Il semble qu’il ait résidé dans la maison qui fut ultérieurement le premier noyau de l’actuel Hôtel de Ville, selon Dupieux, qui s’appuie sur un document mystérieusement disparu entre 1930 et 1991 des archives municipales (
4), à savoir sur un acte notarié du 4 janvier 1519, souscrit de Guillaume Audren prévôt, de Martin Dodier tabellion et de Simon Colin notaire substitut.
     Selon cet acte perdu et malheureusement inédit, quoique bien résumé par Dupieux, cette maison fut achetée en 1518, pour y installer l’Hôtel de Ville, à Jacques Doulcet, conseiller du roi, qui lui-même la tenait de “Jeanne Doulcet, femme de Péroton de Cabanins, qui fut grenetier d’Etampes et garde du scel prévôtal, et vécut à la fin du quinzième siècle. Elle comportait une cour, un jardin, un grenier à sel, un grenier à grain. Elle tenait d’une part à la rue de la Triperie et aux héritiers de Cantien Bourgeois, prêtre, et de l’autre à la rue Sainte-Croix.” (
5).

     (1) Dans sa note 1 de la page 247 ci-dessous rapportée.

     (2) Archives municipales d’Étampes AA 1 (où l’on trouve mention de ses orphelins mineurs)

     (3) Cf. Dupieux, Institutions, p. 95; pièces justificatives IX (p. 248), XIII et XIV (pp. 252-254).

     (4) Comme le constate Monique Chatenet, Étampes, un canton entre Beauce et Hurepoix, 1999, p. 134 et note 419 (p. 282).







     (5) Dupieux, Institutions, pp. 120-121.
     (C) Jean Levassor est alors tabellion juré en la ville et comté d’Étampes. S’agit-il du même que le Jean Levassor le jeune que nous trouvons dans la même charge le 20 novembre 1506 (6)? Peut-être, mais cela n’impliquerait pas pour autant qu’il ait tenu cette charge tout du long, car nous avons déjà établi qu’entre le 19 août 1478 et le 28 juillet 1486, soit en huit ans, cinq tabellions au moins s’étaient succédés à Étampes, l’un d’eux paraissant l’avoir été à deux reprises, ce qui suppose à cette époque une durée moyenne d’exercice inférieure à deux ans, peut-être renouvelable à différents intervalles.
     Il est bien possible bien qu’il s’agisse du même personnage; s’il est appelé le jeune en 1506 seulement, c’est probablement parce qu’à cette date un autre Jean Levassor occupe depuis 1500, et jusqu’en 1510, une autre charge importante, celle de chantre de Notre-Dame d’Étampes
(7)
     Le 8 mars 1490, c’était encore un certain Jean Letellier, clerc, qui était tabellion de la ville et du comté d’Étampes (8).

B.G., 5 octobre 2010.

     (6) Cf. Dupieux, Institutions, pièces justificatives XIII et XIV (pp. 252-254).





     (7) Fleureau, Antiquitez de la ville et du duché d’Estampes, Paris, Coignard, 1683, p. .

     (8) AD91 E3895.
     

Édit royal du 28 février 1491 (vidimus de 1492)

1492 (n. st.), 1er mars; Etampes.

     Vidimus par la prévôté d’Etampes de lettres patentes de Charles VIII, en date du 27 février 1491 (n. st.), prolongeant pour dix ans à la ville d’Etampes son droit de fournir le grenier à sel de cette ville, nonobstant certaine ordonnance [p.247] récente, donnée à Lyon, lettres qui sont accompagnées de leur entérinement par les généraux des finances, en date du 20 novembre 1491.
(Arch. municip. d’Etampes, sans cote.*)
     * Ces archives ont été enfin classées en 1991 par Anne-Marie Chabin, et cette pièce a reçu la cote AA 46 (“Vidimus du prévôt d’Étampes en date du 1er mars 1492 pour les lettres patentes de Charles VIII du 26 février 1490 [sic] reconduisant le privilège exclusif des habitants d’Étampes pour la fourniture du sel, et les lettres de la Cour des aides du 20 novembre 1491”) [B.G].
     A tous ceux qui ces présentes lettres verront, Jehan Laurens (1), escuier, prévost d’Estampes, salut. Savoir faisons que, l’an de grace mil quatre cens quatre vingtz et unze, le jeudi premier jour de mars, Jehan le Vassor, tabellion juré en la ville et conté d’Estampes, a certifié et certiffie par ces présentes à tous qu’il appartiendra avoir veu, tenu et lu mot à mot et dilligenment regardé et visité certaines lettres patantes du roy nostre sire, escriptes en parchemin, saines et entières, en sang scel et escripture, desquelles la teneur ensuit:

     Charles, par la grace de Dieu roy de France, à noz amez et féaulx les généraulx conseillers par nous ordonnez sur le fait et gouvernement de noz finances, salut et dilection.

     L’umble supplicacion de noz chers et bien amez les bourgoys, manans et habitans de la ville d’Estampes avons receue, contenant que par cy devant, tant par don et octroy de nous que de noz prédécesseurs roys, ils ayent acoustumé de fournir et faire fournir de sel le grenier à sel de la dicte ville, ainsi que font et pourroient faire marchans, pour les deniers, qui en ystroient, convertir et emploier ès repparacions et fortificacions de la dicte ville et autres affaires comuns d’icelle, ce qu’ilz ont fait et font encores,

     mais obstant certain édict et ordonnance par nous fais à Lyon, et depuis naguières publiez, par lesquelz, entre autres choses, avons ordonné que tous marchans pourroient doresenavant fournir de sel les greniers à sel de nostre royaume, et icellui mettre en vente.

     Les dictz supplians doubtent qu’ilz soient cy après empeschez en la joÿssance de leur dit octroy de povoir fournir de sel de la dicte ville d’Estampes, qui seroit le leur rendre illusoire et de nul effect et valleur, et ou grant retardement de la fortificacion de la dicte ville, qui en demoureroit, en nous humblement requérant que, attendu les grands charges et affaires comuns, qu’ilz ont à soustenir et supporter, et que d’icellui fournissement ilz ont tousjours joÿ sans en abuser, il nous plaise leur accorder que, nonobstant les dictz edict, ordonnance et publicacion, ils puissent joÿr de leur dit octroy, et icellui leur prolonger jusques à certain contretemps, et sur ce leur impartir nos grace et provision.

     Pourquoy NOUS, ces choses considérées, et la bonne, grande et ferme loyaulté que les dictz supplians ont par cy devant eue envers nous et nos dictz prédécesseurs, considérons aussi les grans charges et affaires de la dicte ville, qu’ilz ont à supporter, lesquelz [p.248] bounement, sans avoir ledit fournissement, ilz ne pourraient soustenir ne porter, pour ces causes inclinans liberallement à la supplicacion et requeste des dictz supplians,

     à iceulx avons donné et octroyé, donnons et octroyons, de grace espécial, par ces présentes, voulons et nous plaist qu’ilz joÿssent entirement de leur dit octroy, pour le temps qu’il leur en reste, et de là en avant jusques à dix ans prouchains venans, à compter du jour et datte que les lettres qu’ilz en ont sont ou seront expirées, et qu’ils puissent fournir et faire fournir de sel le dit grenier à sel de la dicte ville d’Estampes, aussi en prendre par leurs mains le prouffit et émolument,

     pour les deniers qui en ystroient estre convertiz et emploiez à la fortiticacion et emparement de la dicte ville et autres affaires communs d’icelles, tout ainsi qu’ilz faisoient auparavant les dictz édict et ordonnance et publicacion,

     et nonobstant iceulx, en déclairant nostre plaisir, voulloir et entencion estre telz que jamais n’a esté y entendre ou comprendre les dictz supplians, ne que autres que eulx ou autres de par eulx y puissent présenter, mettre ou faire présenter et descendre aucun sel, pourveu qu’ilz entretiendront et fourniront de sel le dit grenier, en manière qu’il n’y en aura point de faulte, et que le dit sel y sera vendu et distribué, en ensuivant le pris qui par vous leur sera baillé, le tout selon et en enssuivant les ordonnances royaulx sur ce faictes.

     (1) La première mention de ce personnage, que nous connaissions, figure aux Arch. du Loiret, A 1199, tabl. 182, lay. 5, liasse 1re, pièce 1re, à la date de 1481 [documents détruits en 1940 (B.G.)]. Il était déjà alors prévôt. Il l’était encore en 1497, si l’on en croit la Rapsodie de Plisson, éd. Forteau, Ann. du Gâtinais, t. XXVII, p. 246,

Un radeur mesure le sel (gravure du XVe siècle)
Gravure sur bois 15e siècle: un radeur mesure le sel
(Jean Favier, Paris au XVe siècle, Paris, Hachette, 1974, p. 274)




Portrait de Charles VIII
Portrait de Charles VIII
     Si vous mandons et enjoignons et à chacun de vous, si comme à luy appartiendra, que de noz présens grace, voulloir, déclaracion et octroy, et de tout l’effect et contenu en ces dictes présentes, vous faictes, souffres et laissez joïr et user les dictz supplians, plainement et paisiblement, sans en ce leur mettre ou donner, ne souffrir estre fait, mis ou donné aucun arrest, destourbier ou empeschement au contraire, ains se fait, mis ou donné leur avoit esté ou estoit, à ceste cause le leur mettez ou faictes mettre incontinant et sans délay à plaine délivrance et au premier estat et deu.

     Car ainsi nous plaist il estre fait, nonobstant les dictz édict, ordonnance et publicacion et autres quelconques mandemens, restrinctions, deffenses et lettres à ce contraires. Donné à Amboise, le pénultime jour de février, l’an de grace mil quatre cens quatre vingtz dix, et de nostre règne le huictiesme.

     Ainsi signé: par le roy, les seigneurs de la Trémoille (
1), de Graville (2), admiral de France, de Piennes (3) et autres présens: Parent. [p.249]
     (1) Louis II, seigneur de La Trémoille, amiral de Guyenne et de Bretagne, gouverneur et lieutenant général de Bourgogne, né le 20 sept. 1460, tué à Pavie, le 24 février 1525.

     (2) Louis Malet de Graville mourut en 1516. Cf. PERRET (P.-M.), Notice biographique sur Louis Malet de Graville (1449-1516), Paris, 1889, in-8°.

     (3) Piennes, Somme arr. et cant. de Montdidier. Sur Louis de Halluin. seigneur de Piennes, cf. le P. ANSELME, Hist. généalogique de la maison de France, t. III, p. 912. [Voir aussi D. BARBIER, “Louis de Halluin”, in O’Mahony [site généalogique],  à cette adresse (cliquez ici), en ligne en 2010.
     

2. Lettres de publication de cet édit, 20 novembre 1491 (vidimus de 1492)

     Ausquelles lettres sont attachées certaines autres lettres, esmanées de nos seigneurs les généraulx, en forme d’attache ou coumission, qui pareillement ont esté veues, tenues, leues et dilligemment visitées, juré aussi saines et entières en toutes choses, escriptes en parchemin, desquelles la teneur est telle:

     Les généraulx conseillers du roy nostre sire sur le fait et gouvernement de ses finances, veues par nous les lettres patentes du roy nostre dit seigneur, ausquelles ces présentes sont attachées sous l’un de noz signetz,

    par lesquelles et pour les causes dedans contenues, le dit seigneur a donné et octroyé aux bourgoys, manans et habitans de la ville d’Estampes, veult et luy plaist que, nonobstant certain édict et ordonnance, par luy fais à Lyon et depuis publiez, sur le fait du fournissement des greniers à sel de son royaume,

     ilz joÿssent entièrement de l’octroy qui leur a pieça fait de povoir fournir et faire fournir, comme marchans de sel, le grenier à sel du dit lieu d’Estampes, pour le temps qui leur en reste, et de là en avant jusques à dix ans prouchains venans, à compter du jour et datte que les lettres du dit octroy sont ou seront expiréez, pour les deniers qui en ystront du prouffit et émolument de la dicte marchandise prendre par leurs mains,

     et iceulx convertir et employer à la fortificacion et emparement de la dicte ville et autres affaires commu[n]s d’icelle, tout ainsi qu’ilz faisoient auparavant lesdictz édict, ordonnance et publicacion, pourveu qu’ilz entretiendront et fourniront de sel ledit grenier, en manière qu’il n’y en aura point de faulte et que le dit sel y sera vendu et distribué, en enssuivant le pris qui par nous leur sera baillé,

     le tout selon et en enssuivant les ordonnances royaulx sur ce faictes,

     consentons, en tant que à nous est, l’entérinement et acomplissement des dictes lettres, tout ainsi et par la forme et manière que le roy nostre dit seigneur le veult et mande par icelles.
Tour du Loup sur le plan de 1791 (cliché B.G.)
Tour du Loup sur le plan
de 1791 conservé aux
Archives municipales.
     Donné soubz l’un de nos dictz signez, le XXe jour de novembre, l’an mil IIII C IIII XX et unze.

     Ainsi signé: Gaillard (
1).
     (1) Michel Gaillard, général des finances d’Outre-Seine depuis octobre 1483. Cf. J. VAESEN, E. CHARAVAY et B. DE MANDROT, Lettres missives de Louis XI, t. IX, p. 124, note très détaillée.
    En tesmoing de ce, nous, Péroton de Cabanins, garde du sel de la dicte prévosté, avons mis à ce présent transcript ou vidimus le dit seel, à la rellacion dudict juré. Donné les an et jour premiers dessus dictz.

J. LE VASSOR.

     
 
Toute critique, correction ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
BIBLIOGRAPHIE PROVISOIRE

Éditions

     LOUIS VIII, Lettres [parchemin rédigé et signé par PARENT, en présence des seigneurs de La Trémoille, de Graville et de Piennes], Amboise, 28 février 1491 [original perdu].

     CONSEIL DES FINANCES, Lettres [parchemin rédigé et signé par GAILLARD], Paris, 20 novembre 1491 [original perdu].

     Jean LAURENT (prévôt d’Étampes), Vidimus les lettres royaux de Louis VIII du 28 février 1491 et des lettres de confirmation du Conseil des finances du 20 novembre 1491 [parchemin rédigé et signé par J. LE VASSOR et scellé par Péroton de CABANINS], Étampes, 1er mars 1492
[conservé aux Archives municipales d’Étampes sous la cote AA 46].

     Paul DUPIEUX (archiviste-adjoint de la Seine), «Lettres royaux inédites concernant Étampes (1456-1573)», in Bulletin philologique et historique (jusqu’à 1715) du Comité des travaux historiques et scientifiques. Années 1930 et 1931, Paris, Imprimerie nationale, 1932, pp. 246-249 (pièce n°II).

     Bernard GINESTE [éd.], «Charles VIII et son conseil des finances: Nouvel octroi pour dix ans aux Étampois des revenus de la gabelle (27 février et 20 novembre 1491)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-15-1491charles8sel.html, 2010.


     Image du radeur:
empruntée à la belle page
d’Odile Halbert, Histoire du grenier à sel de Pouancé, http://www.odile-halbert.com/Histoire/grenier/Grenier.htm, en ligne en 2010.

Sur le grenier à sel d’Étampes

     Bernard GINESTE [éd.], «Dom Fleureau: Du grenier à sel d’Étampes (1668)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-17-fleureau-b21.html, 2005.

     Léon MARQUIS, «La gabelle d’Étampes», in ID., «Exposé général», in ID., Les Rues d’Étampes et ses Monuments, Étampes, Brières, 1881, pp. 56-57. Dont une réédition numérique en mode texte par le Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-19-marquis-rues01.html#gabelle, 2004.

     Clément WINGLER [éd.], «Henri IV: Autorisation de lever la gabelle (Extrait du Registre du Conseil d’État, 15 mars 1608)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-17-16080315henri4autorisationgabelle.html, 2004.

     Bernard GINESTE, «Charles VII et son conseil des finances: Octroi aux Étampois des revenus de la gabelle pour cinq ans (12 juin et 5 août 1457)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-15-1457charles7sel.html, 2010.

     Bernard GINESTE [éd.], «Charles VIII et son conseil des finances: Nouvel octroi pour dix ans aux Étampois des revenus de la gabelle (27 février et 20 novembre 1491)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-15-1491charles8sel.html, 2010.

Sur la politique de défense de la ville d’Étampes

     Bernard GINESTE [éd.], «Paul Dupieux: La Défense militaire d’Etampes au XVIe siècle (1930)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-20-dupieux1930defense.html, 2005.


Étampes au XVe siècle

     Corpus Médiéval Étampois: XVe siècle (liste des documents et études mis en ligne sur le moyen âge étampois sur le site du Corpus Étampois)



Toute critique, correction ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
Source: L’édition princeps de Paul Dupieux saisie par Bernard Gineste en octobre 2010.
 
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