| Le moulin Braban Renseignements disponibles 
                                                                         
                                                                        
                                                                        
                                                          
      
                                      
                                                 
                                                                        
                                                                        
       
                                                             
                                                                        
                                                                        
                                                           
                                                            
                                                                        
                                                                        
                                                                        
                                               
                                                             
                                                                        
                                                                        
                                                                        
                                                                        
                                 
                                                             
                                                                        
                                                                        
                                                                        
                                                                        
                                                                        
                    
                   N.B. On donne ici quelques actes d’intérêt 
              généalogique qui peut-être seront ultérieurement 
              déplacés vers la notice d’autres moulins, lorsque 
    sera     établie     la généalogie des meuniers du
  pays  étampois.
 
 
                                      
                                      
                                      | Date 
 | Renseignements 
 | Sources 
 |  
                                        | 
 | Les
  mentions     anciennes      de  ce  moulin font défaut, selon Michel
  Martin. 
 | Martin    17. 
 |  
                    | 1572 
 | Le 24 novembre, baptême
    à Saint-Martin de Martine, fille d’Etienne Brebant et et Jeanne
 Forest   (4965) 
 | B. G. 2012 
 |  
                    | 1576 
 | Le XXVIIIesme du dit 
moys   [de  janvier fut baptisé Françoys filz de Estiene Brebant
 et  de Jehanne Forest sa mere. Les parins Françoys Canyveau et Jehan
 Roullier,  la marine Margueritte Guernette (?). [Signé:] C. Hemery
 pbre [paraphe]   (image 5029) 
 | Registre paroissial      de   Saint-Martin 
   d’Étampes (saisie B. G. 2012) 
 |  
                | 1577 
 | Le 23 mars, vente d’un bien déterminé
  certain Joseph Braban à un certain Jean Prieur, enregistrée
  chez le notaire étampois André Hobier. 
 | AD91 2E 53/4  (Voir si la minute  est conservée: 
2E 66/22) 
 
 |  
                                         | 1610 
 | “Le   moulin    Braban.     En  1610,    est cité Cantien
Piot, meunier,  époux     de  Justine Brabant.   Il  est tout
probable que cet établissement       tirait  son nom de la famille
   de cette dernière.” | Forteau     1913, 
   p.  20,    sans   plus de précision, sur la base apparemment   
 des  registres   paroissiaux. Il est possible que Forteau ait mal lu le 
 prénom,             Justine étant peu courant dans le
 secteur, il doit s’agit plutôt de Martine (B.G.). 
 |  
                                    | 1612 
 | Il faut
  aussi    signaler     un              Estienne  Brebant, parrain
à   Saint-Basile    le  11  octobre 1612. Il n’est pas  qualifié,
mais   la marraine est    quant  à  elle la femme d’un boulanger. 
 | B. G. 2011 
 |  
                                      | XVIIIe 
  siècle 
 | Établissement 
         du  moulin. 
 | FG-ELP   23,   sans 
  référence. 
 |  
                  | 1735 
 | “Au    moulin à papier du sieur Charbonel situé 
au dessûs   du  precedent [= moulin Peroüette 
à papier], la vanne montante a 26 pouces de 
hauteur sur 19 pouces de largeur.               — 
            La vanne de decharge  26 pouces de hauteur sur 
25 pouces  de largeur. —              La deuxieme vanne de decharge a 27 pouces ½  de  hauteur 
sur 16 pouces de largeur. — 
L’on trouve la sol graviere de la vanne montante trop  haute de 1 pouce ½. 
La dite vanne sera    [p.4] reduitte à  20 pouces de hauteur,  et les deux vannes de
decharge seront reduittes à  19 pouces de hauteur.  Il sera fait un
deversoir à la berge et l’on  ne doit point tourner  les eaux bandées.” 
 | Archives nationales R4/952   (photographies 
 de Karine Berthier, texte saisi par BG, 2012, ici) 
 |  
                                       | ? 
Avant    Angiboust,      Ollivier? 
 | Sur 
 ces   plans    on  note   que   la  voisine est une certaine veuve Olivier 
   dont  la  maison   touche   celle   où réside maintenant 
Angiboust.    S’agit-il   de la veuve   de l’ancien   tenancier du moulin? 
En effet sa   maison est plus   proche du  moulin que celle   d’Angiboust. 
Il s’agit comme   l’a montré    Michel Martin d’une famille   de papetier 
attestée    à Saint-Martin    depuis le XVIe siècle: 
  en 1583, le terrier    de Valnay enregistre   un Jehan Olivier papetier; 
en 1652   mention d’un   Toussaint Olivier marchand    papetier, en 1675, 
récemment   décédé,    Cantien    Olivier, papetier. 
De son côté,   Charles Forteau,    dont les   données 
n’ont pas été exploitées    par Michel   Martin,  semble 
penser que cette famille est plutôt     liée   au moulin de la
            Pirouette: “Certains    actes  citent
  Jérôme Ollivier, papetier, et des compagnons    papetiers,
 ainsi   que Matide Bonnivet, md papetier; Jacques Rousseau,  demeurant 
au moulin  à papier; en 1668, Cantien Ollivier, m(archan)d  papetier,
 demeurant   au moulin de la Piroitte.” 
 | B.G.  2011,    cf. 
  Martin    18  alléguant  pour 1583 le Terrier de Valnay  (Archives 
    municipales    d’Étampes,  non  coté); pour1652,  AD91 E
48/114; pour 1675,  AD91 2E 66/100; et Forteau  1913, p. 22 sans        
références précises. 
 |  
                                         | 1750 
 | C’est    un  moulin    à     papier. 
 | SV&SH     
60,   sans   référence. 
 |  
                                       | 1750 
 | Mention 
   d’Angiboust       dans   la  paroisse Saint-Martin, où il se porte 
   parrain le mercredi       22 juillet   de la fille du jardinier 
Jean-François   Baron:      “le parain  Eloy Angiboust qui a
signé et la maraine   Geneviève       Barois qui  a aussi signé”. 
 | Registre    paroissial 
     de  Saint-Martin    d’Étampes (saisie B. G. 2011).    Remarque: 
cet    acte  a  été    trouvé par hasard  en  sondant 
les années       1749 et 1750; il faudrait  explorer tout   le registre. 
 |  
                                         | 1757 
 | Le   moulin    à     papier    est  transformé en
meunerie. 
 | SV&SH     
60,   sans   référence. 
 |  
                                         | 1757 
 | Angiboust          premier  meunier    du  moulin. 
 | FG-ELP    23, 
 sans   référence. 
 |  
                                | 1758 
 | Le 24 janvier, 
   mariage     à   Saint-Basile d’Éloi Angiboust: “Aujourd’hui 
   mardi vingt     quatre janvier   mil sept cent cinquante huit, après 
   la publication     des trois bans  de mariage en cette église, et
  en celle de Saint   Martin  de cette ville,   sans opposition quelconque, 
  les fiançailles   préalablement  faites  la veille, et les 
 parties s’étant préalablement      disposées  à
 la reception du sacrement de mariage par les   sacremens  de pénitence 
    et d’eucharistie, j’ai vicaire soussigné   procédé 
   à  la célébration de mariage  de             Eloi 
   Angiboust fils  majeur de defunt Marin Angiboust vivant  meunier, et
  de Marie Denise ses  pere et mere de la paroisse de Saint  Martin d’Etampes 
  d’une part; et d’Anne  Blavet  fille mineure de Martin Blavet marchand aubergiste
  et d’Anne Lamy  ses pere  et mere de cette paroisse d’autre part; et ce
 par la reception  de leur consentement  mutuel pour le dit mariage, et ensuite
  par la benediction  nuptiale que je  leur ai donnée à la
messe   et par toutes les  cérémonies  requises et accoutumées
   en pareil cas, le  tout du coté du marié  en presence de
la   mere qui a declaré  ne sçavoir signer, de son beau pere
et  d’autres parens qui ont signé,  et du coté de la mariée
  de son pere et de sa mere, de frere  et sœur et d’autres parens qui ont
pareillement   signé, et de part et d’autre d’amis et temoins à
ce requis  qui ont avec nous signé  ce present acte. — [Signé:]
Eloy Angiboust   — Anne Blavet — Berville  — Blavet [paraphe] — Blavet [paraphe]
 — Nicolas   Berville — Jean Berville — Blavet — J. Dellie (?) — Dellie (?)
 — Guyon tem.   — Auger — Gueroult — Sureau  1er vic.” 
 | Registre paroissial    
 de   Notre-Dame      d’Étampes (saisie B. G. 2011) 
 |  
                                       | XVIIIe 
 | Deux
  plans    terriers     du  moulin   du moulin Brebant sont dressés
  alors   que le  meunier    est Angiboust.  Le moulin et ses dépendances,
     qui  s’ouvrent    sur la rue Saint-Nicolas  (aujourd’hui rue Braban),
 sont    à  cheval   sur les censives du prieur  de Saint-Martin et
 du prieur    des Mathurins.   La  maison du meunier touche celle  de la
veuve  Ollivier,    plus proche qu’elle     du moulin, que touche aussi son
 jardin:  c’est peut-être   la veuve   du  meunier précédent. 
 | B.G.  2001   grâce 
      à   FG-ELP 23 alléguant Archives municipales    6 Fi 11
(aujourd’hui       cote   6 Fi 6/1-2), dont photographies par B.G.    et
transcriptions ci-dessus. 
 |  
                                        | 1768 
 | Naissance
     d’une    fille    du  meunier  Éloi Angiboust le 3 août:
 “Ce    jourd’huy    trois  aoust   a esté  baptisée par moy
 pretre    bachelier en   theologie  et curé  de cette  paroisse Louise,
 née    de ce jour   du légitime   mariage  d’Eloy Angiboust,
 meunier,    et de Anne   Blavet. Le parain Claude  Geroult,  et  la
maraine  Louise Angiboust,    qui  ont signé. — [Signé:]  Louise
 Angiboust   — Gueroult —  E. L.  Richard curé.” 
 | Registre     paroissial 
     de  Saint-Martin   d’Étampes (saisie B. G. 2011)   Remarque: 
cet  acte    a été   trouvé par hasard, il  faudrait 
explorer  tout    le registre. 
 |  
                                         | Vers    1770 
 | Angiboust      rachète        le  moulin. 
 | FG-ELP    23, 
 sans   référence. 
 |  
                                         | 
 | Il   s’agit    apparemment       d’Eloi    Angiboust frère
de Jacques Angiboust   alors  meunier au   moulin   des  Clercs à
Boissy-la-Rivière. 
 | B.G. 
 |  
                                         | 1772 
 | Naissance      à     Boissy-la-Rivère     de Jacques
Angiboust:  “Aujourd’hui  vingt avril    1772
a eté par moy curé          soussigné baptisé
 Jaques    ???? ?? né d’hier    en   legitime   mariage de Jaques
Angiboust  et de Helene   Blavet son epouse.      Le parain  qui a nommé
            Eloi Angiboust  et la maraine………………        de la paroisse
  de Saint Martin d’Estampes qui ont signé   avec     nous.   — [Signé:]
  Angiboust. — ??? — Voltigem curé.” 
 | Registre     paroissial 
     de  Saint-Martin   d’Étampes (saisie    partielle   B. G. 
2011,   le scan mis en ligne     par les AD91 étant   illisible). 
 |  
                                         | 1772 
 | Mariage     de  Nicolas     Bonté     à Boissy-la-Rivière:
“Aujourd’hui       30e juin     1772 j’ay curé     soussigné
marié  et   donné    la  benediction nuptiale à    Nicolas
Bonté     garçon  meunier    fils majeur des deffunts Aimable
   Bonté     vivant aussi meunier et   de Marie Malaine (?) de la
paroisse   de Roinville-sous-Dourdan      diocèse    de Chartres,
le dit Nicolas Bonté    de la paroisse      de S. Martin  lès
 Etampes domicilié ……… et à   Marie     Catherine Thomas  fille
mineure  de deffunt Jean Thomas vivant manouvrier       et de Michelle Cretté
ses  pere et mere de cette paroisse. Les   bancs    du dit mariage precedement
publiés  au prône des messes   de  paroisse   tant en cette
paroisse qu’en celle  de Saint Martin lès     Etampes les   dimanches
et fête 21, 24 et  28 juin presents …… sans     empechement civil 
 ou canonique à moy connû,  ainsi qu’au   sieur  curé
de Saint  Martin d’Etampes comme il appert par son certificat     en datte
du 29 du dit  mois, signé Richard curé.  Les fiancés….faittes
     au ceremonies  accoutumées …. la sainte  messe. [En] presence
et   du  consentement de  la part de l’epoux,  de Jacques  Bonté et
Aimable    Bonté  ses freres  et de Madeleine  Bonté  fille
mineure sa   sœur, de sieur  Eloi Angiboust  marchand  meunier,  et
de la part de  la dite Catherine Thomas epouse de  Michelle  Cretté
 sa mere, de André   Cretté son oncle, de Paul  Lelong son
oncle  et de plusieurs autres   parents et ??? qui ont declaré   ne
sçavoir   signer, de ce fait……..  Le marié   et la mariée
  ont déclaé    ne sçavoir  signer. [Signé:]
 Paul Lelong. — André  Cretté.  — Eloy  Angiboust. — Aimable
Bonté.  — Jacques Bonté.  — ???.  — Voltigem  curé. 
 | Registre     d’État-Civil 
         (saisie partielle B. G. 2011, le scan mis en   ligne      par les 
AD91 peu lisible). 
 |  
                                       | 1773 
 | Abolition 
    du  prieuré        de Saint-Martin dont la censive est intégrée
      à  celle      de Sainte-Croix d’Étampes, mais la prise
 de   possession  ne devient     effective qu’en 1781. 
 | Forteau    1912,
   p.  24  alléguant     Maxime Legrand, Annnales du Gâtinais 
                     (1901),  p. 278. |  
                                  | 1776 
 | Le 21
juillet     1776,    baptême     à Saint-Martin d’un fils du
meunier:  “Ce  jourd’huy    dimanche vingt     un juillet mil sept cent soixante
seize  a  êté    baptisé     par moy pretre curé
soussigné    LouisVictor    né de ce   jour  du legitime mariage
d’Eloy Angibout    marchand  meunier  farinier   et d’Anne  Blavet
son épouse de   cette aproisse.  Le parain Jean Eloy   Marin Guiboust
 marchand meunier en  cette paroisse,  la maraine Heleine Blavet   femme
de Jacques  Angiboust  marchand meusnierparoissedeBoissi    la Riviere, 
 qui ont signés.   — [Signé:] Henele Blavet —  Jean  Eloy Marin
  Guibout — Heleine Angibous  — Legrand [paraphe] curé.” 
 | Registre  paroissial 
    de  Saint-Martin               d’Étampes  (saisie    B.  G.  2011). 
 |  
                                         | 1776 
 | Le   12  septembre,      naissance   à Boissy-le-Sec  
 d’Etienne Jacques   Angiboust:  “Aujourd’huy      douze   septembre mil
sept cent  soixante  seize par nous  curé  soussigné      baptisé
Etienne   Jacques  né  d’aujourd’hui  en legitime mariage     de Jacques
Angiboult   meunier au moulin  des Clercs  de cette paroisse et   de  Heleine
Blavet  son epouse.  Le parain  qui a nommé  le dit enfant   Etienne  
  Etienne Branchery  fils  de deffunt Pierre Branchery vivant   meunier, la
 maraine  Anne Angiboust  fille de Eloy Angiboust aussi meunier, 
 qui ont signé  avec  nous. — [Signé:] Anne Angiboust. — E. 
Branchery.  — Voltigem curé.” 
 | Registre     des 
  baptêmes        de Boissy-la-Rivière (saisie B. G. 2011). 
 
 |  
                                       | 1779 
 | Mariage 
   de  la  fille    du  meunier:   “1779. — 25 janvier, Mariage célébré 
        par Auguste Félix   Charpentier, curé de Saint-Michel 
  en   ce   diocèse,  entre Théodore   Charpentier, avocat, 
fils   de  deffunt   Alexis Théodore  Charpentier,  marchand de bled, 
et  de Marie  Angélique   Villemain, et  Anne Angiboust,  fille d’Eloy 
    Angiboust,  meusnier [nous  corrigeons  ici Forteau qui a lu menuisier 
    (B.G.)];    en présence   de François  Clozier, correspondant 
    de l’Académie    des sciences   de Paris, demeurant  à Saint-Basile,
    ami.” 
 | Forteau    1912,
   p.  46,   d’après    le registre paroissial de Saint-Martin. 
 |  
                                   | 1779 
 | Le 17 
decembre     1779               Eloi    Angiboust  parrain à 
Saint-Gilles     de sa   petite fille Anne Geneviève    Charpentier, 
 fille de sa   fille  Anne   Angiboust et du marchand Alexis Theodore    Charpentier. 
 | Registre  paroissial
            de Saint-Gilles d’Étampes (saisie B. G. 2011). 
 |  
                        | 1784 
 | Le 14 février,
   le  meunier  parrain à Saint-Basile d’une fille de Pierre-Denis
Lelong    et de Margueritte-Henriettte  Durand: “Le
parain  Eloy  Angiboud de la paroisse Saint-Martin
de cette  ville,  la maraine Louise Angiboud de la paroisse de Saint George
d’Auvert  [sic],  tous deux cousin et cousine de l’enfant, qui ont signé,
le  pere absent”. 
 | Registre paroissial          de
Saint-Basile d’Étampes (saisie B. G. 2011). 
 |  
                       | 1784 
 | Le 7 décembre, 
  le  meunier  présent à Saint-Basile lors de la sépulture
    de sa belle-mère:              “L’an mil
 sept   cent quatre vingt quatre  le sept decembre a été par
 moy curé   soussigné  inhumée dans le cimetiere de
cette   paroisse le corps  de Anne lamy épouse de deffeu [sic] Martin
Blavet   maître paveur,  decedée d’hier agée d’environ
de quatre   vingt trois ans, munie  des saints sacrements, la ditte inhumation
faitte   en presence d’André  Martin et Jean Louis Blavet ses fils,
de Eloy   et Jacques Angiboust  ses gendres et autres soussignée. — [Signé:]  Blavet — L. Blavet — E. Angiboust — Charpentier — Haillard curé.” 
 | Registre paroissial          de Saint-Basile 
d’Étampes (saisie B. G. 2011). 
 |  
                                                 | 1785 
 | Le   moulin    Braban    appartient  à Éloi Angiboust. 
 | Marquis   103,   sans 
  référence.       On notera qu’en 1807, le meunier    est 
 Jacques   Étienne Angiboust   fils    et successeur de Jacques   
Angiboust   et  non Éloi. Ceci demande   à    être éclairci. 
 |  
                                         | 1795 
 | Naissance      d’un   fils   d’Éloi     Angiboust le 16
novembre: “Aujourd’huy  vingt
sept brumaire l’an quatre de la Republique française une et invivisible
[18 novembre 1795] à la maison commune par devant moy officier public
sousigné. — Est comparu le citoyen Eloy Angibout demeurant
en cette commune section du Midy, lequel m’a declaréque le vingt cinq
du present mois [16 novembre] lui est né en son domicile un garson
de son legitime mariage d’entre luy et la citoyenne Perine Felicitée
 Leguay son epouse, qu’il m’a presenté, et auquel il a eté
donné  les prenoms de Eloy Felix Alexis. — En presence dudit Eloy
Angibout pere de l’enfant declarant, du citoyen Theodore Alexis Charpentier
demeurant rue des Cordelliers, et la citoyenne Marie Sevestre femme de Pierre
Leguay Leguay  [sic] temoins         qui ont signé avec moy. — [Signé:]
Angiboust.  — M. F.   Sevestre.     — (Illisible). — Charpentier.” 
 | Registre     d’État-Civil 
         (saisie B. G. 2011). 
 |  
                                         | 1797 
 | Naissance      d’un   fils   d’Éloi     Angiboust le 18
juillet: “Aujourd’huy  cinq    thermidor    l’an   cinq de la Republique
    française une  et indivisible    [23   juillet   1797] en la maison
commune     et par devant   moy officier    public   sousigné   est
comparut le citoyen                 Eloy    Angibout   marchand farinier
  demeurant faubourg   du   Midy lequel m’a   declaré   que le trente
messidor   dernier  [18 juillet]    en son  domicile luy est  né un
garson de son   legitime   mariage d’entre    luy et Perine Felicitée
  Leguay sa femme   qu’il   m’a presenté     auquel il a eté
donné   les prenoms     de Stanislas Edouard.   — En  presence du
dit Eloy Angibout pere  de l’enfant     declarant, Stanislas   Leguay   de
la commmune d’Angerville oncle   de  l’enfant   et Rose Anne Angiboust  
demeurante   faubourg du Midy tante  de l’enfant, temoins  qui ont signé
  avec moy.   — [Signé:]  Anne Rose Angiboust. —  Eloy Angiboust.
—  Stanislas Leguay.   — [Illisible].” 
 | Registre     d’État-Civil 
         (saisie B. G. 2011). 
 |  
                             | an V-1874 
 | Pièces 
 conservées        sur le moulin Bratan [sic] aux Archives départementales 
 de l’Essonne. 
 | 7S 49 (inventaire    des  
AD91). 
 |  
                                         | 1799 
 | Naissance      d’une    fille    d’Éloi    Angiboust le
4 novembre: “Aujourd’huy     vingt quatre    brumaire    an huit de la  
Republique françoise   [15  novembre 1799],    en la maison    commune
et par  devant moi administrateur     municipal soussigné    faisant
   fonction  d’officier  public.  —  Est comparu le citoyen Eloi    Angibout,
  marchand  farinier  domicilié     de cette commune,  fauxbourg
 et  section du Midy,  lequel m’a declaré     que le treize  de ce
mois  [4 novembre], midy, en  son domicile  et du  legitime   mariage  d’entre
lui  et la citoyenne Perine Felicité  Leguay sa femme,  est  née
une fille qu’il m’a presentée et à la quelle  il  a été
 donné le prenom de Adelle  Victorine Felicitée.   — Le present
 acte a été fait en  presence du pere de l’enfant   declarant,
 des citoyens Charles François  Blanchet ???, Pierre Louis   Marie
Guyot  domiciliés de cette commune,  section du Midy, temoins  majeurs,
et  encore des citoyens Theodore Alexis Charpentier aussy domicilié
   de  cette commune, susditte section, cousin germain de l’enfant, et la
citoyenne    Adelaide Victorine Leguay tante de l’enfant domiciliée
à Angerville,   temoins qui ont signé avec moi. — [Signé:]
Blanchet Angiboust.   — Guyot Juine. — A. V. Leguay.   — Charpentier. — Angiboust
Leguay. — (Illisible).” 
 | Registre     d’État-Civil 
         (saisie B. G. 2011). 
 |  
                                         | 1800-1863 
 | Pièces relatives  au moulin Braban sur la Chalouette. 
 | Archives municipales 
d’Étampes 3O D10 (inventaire 
Wingler). 
 |  
                                         | 1801 
 | Le   moulin    est   tenu    par   Angiboust.   Il n’a
qu’une roue. 
 | État   
   des   moulins     de  1801, édition Gineste (ici) 
 |  
                                         | 1807 
 | Décès           de  Jacques   Angiboust: “Du samedi
vingt quatre janvier mil huit   cent     sept   cinq  heures   après
midi. — Acte de decès  de Jacques     Angiboust,    propriétaire,
  epoux de Helene Blavet,  decedé     d’hier à    quatre heures
après   midi agé  de soixante     dix sept ans demeurant  
 en cette ville rue Saint   Jacques  N°61.  —  Sur la declaration faite
 par              Jacques Etienne Angiboust,   meunier   agé de trente
  un ans et Louis Calixte Angiboust, horloger     agé   de vingt deux
ans,   tous deux fils du decedé domiciliés     de cette ville.
— J’ai    maire d’Etampes constaté le décès       et
redigé    le present acte que les declarans lecture faite ont    signé
  avec  moi.  — [Signé:] J. Etienne Angiboust. — Romanet.    — C.
L. Angiboust”. 
 | Registre     d’État-Civil 
         (saisie B. G. 2011). On notera que lors du   mariage  de Louis Calixte 
   le   10   juin1811. 
 
   
                          Signature de Jacques-Etienne Angiboust, 1807
                                          |  
                                         | 1811 
 | 10   juin,    mariage     de  Louis    Calixte  Angiboust. 
 | 
 |  
                                         | 1813 
 | 14   septembre,      mariage     d’Étienne    Jacques Angiboust:
“Du mardi      quatorze    septembre mil huit cent treize heure  de   midi.
— Acte de   mariage   de  sieur  Etienne Jacques Angiboust, marchand  grainetier,
   domicilié    de  cette ville, né à Boissy-la-Rivière,
      canton  de Saclas,    de cet arrondissement, fils legitime de sieur
Jacques      Angiboust, en son   vivant meunier, décédé
à     Etampes le vingt   trois janvier mil huit cent sept, et de feue
Heleine   Blavet  son epouse,  décédée  audit lieu le
dix neuf   septembre   mil huit cent  dix. — Et de demoiselle Anne  Melanie
Sepet, domiciliée        de cette ville,  née à Paris,
 departement de la Seine,    le   vingt neuf janvier  mil sept cent quatre
vingt  treize, fille legitime    de   Jean Sepet, et de Anne  Girard son
epouse, domiciliés  au dit    Etampes.   — Les actes preliminaires
 etant 1° ceux des actes de naissances    des  contractans. 2° ceux
aussi  des actes de decès   des père      et mère du
contractant 3°  les publications   des promesses dudit     mariage faite
en cette ville les vingt  neuf aout   dernier et cinq septembre      present
mois, sans opposition ni empechement.    — Le futur et les temoins     ci
 après denommés ont declaré    que c’est par  
  erreur,  si dans l’extrait de l’acte de naissance   des  futurs, le nom
de   famille est  ecrit Angiboult, que le veritable nom  est et s’ecrit Angiboust.
  — Les père  et mère de la future  presens  et consentans
audit   mariage. — Les futurs  ont declaré  prendre en mariage l’un
demoiselle   Melanie Sepet, l’autre  sieur Etienne  Jacques Angiboust. —
En presence du   coté du futur des  sieurs Jacques  Louis Deslouis,
meunier, agé   de soixante sept ans son  beau frère,    à
cause de Helene Angiboust,   son epouse, et Louis  Calixte Angiboust,   
horloger, agé de vingt huit   ans, son frère.  — Du coté
     de la future, des sieurs Pierre  Martin Benard, dentiste,  agé
 de   cinquante huit ans, et Esprit Parfait  Delanoue, clerc de notaire,
 agé   de vingt cinq ans, domiciliés  de cette ville. — Après
 quoi   nous maire de la ville d’Etampes, chevalier  de la legion d’honneur,
faisant   fonctions d’officier  public de l’etat civil       soussigné,
lecture   faite des actes susdatés  dument en  forme,     du chapitre
six, titre  cinq du code Napoleon et du present,  nous  avons   prononcé
   au nom  de la loi que lesdits futurs etaient unis   en mariage.   — Et
ont  toutes   les parties comparantes signé. — [Signé:]   
 E. J.  Angiboust.   — A. M. Sepet. — J. Sepet. —J ??? Bréant. — A.
  Girard.   — Deslouis.    — L. C. Angiboust. — Benard. — Delanoue. — E.
Thevenot.   — Elisbet  Girard.    — Romanet maire. 
 | 
 |  
                                         | 1816 
 | Le   moulin,    appartenant à Charpentier, est tenu
par Chenu   et casse    500 sacs de grain par mois. Le montant de
son son loyer de référence     pour les impôts est abaissé
de 4000 francs à 2875 francs. 
 | État   
   des   moulins     de  1816, édition Gineste (ici) 
 |  
                      | 1817 
 | Le recensement de
1817    trouve      n°2 de la rue Braban: “François Chenu,
négiciant     meunier,  57 ans — Jean François Chenu,
son fils en demi-solde,     27 ans — Félicitée Chenu, domestique,
30 ans — Parfait     Ruelle, domestique, 27 ans”. 
 | Recensement de 1817 conservé 
     aux Archives municipales d’Étampes (saisie     Bernard Gineste, 
2011). 
 |  
                                         | 1822 
 | Le   moulin    semble    tenu   par   Angiboust  fils.
Le montant de son   loyer de  référence est augmenté
de 2875 franc à   4000 francs? 
 | État   
   des   moulins     de  1822, édition Gineste (ici) 
 |  
                                         | 1824 
 | Décès           le  14  janvier  d’Éloi Angiboust
père résidant      69   rue  Saint-Martin:   “De mercredi quatorze
janvier mil huit cent  vingt    quatre    dix heures du matin.    — Acte
de décès de M.             Eloy    Angiboust,     propriétaire,
  âgé   de cinquante  deux  ans, né     à Étampes,
  paroisse   Saint Martin,  veuf  de dame Perrine  Felicité   Leguay,
décédé       d’hier en son domicile  en cette ville
  rue Saint Martin N°69. —  Les  témoins   ont été
  les  sieurs Theodore Alexis  Charpentier,  âgé de 
 quarante     ans, neveu et beau frere  du décédé  à
  cause    de feue dame Adélaïde  Victoire Leguay, son  épouse,
   et Jean Louis Blavet, marchand chaudronnier,  âgé  de cinquante
     cinq ans, cousin du décédé,  domiciliés
 de  cette    ville, qui ont signé avec nous maire,  après
lecture    faite  et  le décès constaté.  — [Signé:]
Angiboust.       — Charpentier.  — L. Blavet. — Tullières.” 
 | Registre     d’État-Civil 
         (saisie B. G. 2011) 
 |  
                                         | 1830 
 | Le   moulin    est   tenu   par   Angiboust   et produit
300 sacs de farine   par  mois  pour   Paris. 
 | État   
   des   moulins     de  1830, édition Gineste (ici) 
 |  
                                        | 1834 
 | Le 
 jour   de  Noël,      décès    de la fille du meunier 
            Éloi-Félix      Angiboust, 
               âgée de douze     ans: 
“Du vendredi   vingt six decembre     mil huit cent trente quatre, onze  
 heures du matin. — Acte  de décès     de Julie Angiboust, âgée
     de douze ans,  native d’Etampes,     décédée d’hier
à     six heures  du soir, chez    ses père et mère, 
 fille en légitime     mariage  de               Eloi Felix Angiboust, 
 meunier, et de Aglaé  Charbonneau,        son épouse, 
domiciliés en cette ville,  rue Braban. —  Les    témoins 
ont été  les sieurs Augustin  Paviot,  agé    de quarante 
 quatre ans, et Charles  Paul Chauvet,  âgé  de vingt   neuf 
ans,  tous deux employés   à  cette mairie, domiciliés 
   de cette  ville, qui ont signé   avec nous maire après lecture 
   faite du  present, et le décès    consaté par nous 
soussigné.     — [Signé:] Chauvet  Simonneau   — C. Cresté 
— Paviot.” 
 | Registre     d’État-Civil 
          (saisie B. G. 2011) 
 |  
                                        | 1835 
 | Le 
 20  février,         mort   d’un fils du meunier âgé 
de trois  mois: “Du vendredi        vingt fevrier  mil huit cent trente cinq,
  dix heures  du matin. — Acte    de   decès de  Théodore Angiboust,
  âgé  de trois    mois,   natif d’Etampes,    décédé
  d’hier  à  une  heure   de relevée,   rue Saint Jacques N°10,
  chez  la demoiselle    Retourné,   où   il était en
 nourrice,  fils en légitime    mariage  de             Eloi Felix
   Alexis  Angiboust, meunier et   de Aglaé  Charbonneau, son
épouse,      domiciliés à    Etampes rue Braban. — Les
témoins   ont été  le père    de l’enfant décédé
     âgé de  trente neuf    ans et Charles Paul Chauvet, chef
 de  bureau   à cette mairie,  âgé    de vingt neuf ans,
 domicilié    de cette ville, qui ont signé    avec nous premier
 adjoint, remplissant    les fonctions d’officier  public    de l’Etat civil
 de la dite ville, après    lecture faite du présent,     
et  le décès constaté    par nous soussigné.
  — [Signé:]  Angiboust — C. Brichard  — Chauvet   Simonneau.” 
 | Registre     d’État-Civil 
          (saisie B. G. 2011) 
 |  
                           | 1836 
 | Le recensement
 de  1836   trouve   au n°7 de la rue Braban: “Théodore 
     Alexis  Charpentier, meunier, 23 ans”, qui y vit alors apparemment seul. Il est aussi indiqué
       comme vivant avec son père rue des Cordeliers. 
 | Recensement de 1836,    réédition 
   numérique en mode image mise en ligne  par  les Archives départementales 
   de l’Essonne (saisie Bernard Gineste  2011). 
 |  
                          | 1836 
 | Le recensement 
de  1836   trouve    au n°15 de la rue des Cordeliers: “Théodore      Alexis Charpentier, propriétaire, 52   ans — Théodore   Charpentier, son
fils, 23 ans — Adélaïde   Gourdet, domestique,   41 ans — Domestique Chenu,  domestique, 19 ans”.
Ils ont pour voisins,   au n°13, Jean-Baptiste Hamouy,  membre du conseil
municipal et propriétaire   du moulin Notre-Dame,   et   au n°17, Charles Georges
Potheau, marchand de laine, également      menbre du Conseil municipal,
ainsi que son fils Alfred Antoine Potheau,    qui  sera plus tard meunier
du moulin Darnatal
et second adjoint. 
 | Recensement de 1836,    réédition 
    numérique en mode image mise en ligne   par les Archives départementales 
    de l’Essonne (saisie Bernard  Gineste 2011). 
 |  
                          | 1836 
 | Le recensement 
de  1836   trouve    au n°27 de la rue des Cordeliers: “Eloy   Angiboust,   propriétaire, 40 ans —
Aglaée Charbonneau, sa femme, 40 ans — Edouard Angiboust, leur fils, 15 ans — Sophie Bouchet,
  domestqiue, 19 ans”. Ils ont pour voisins, au n°25,
  Jules Boivin, meunier du      moulin ??, et au n°29, François
 Prosper Maximilien Hamouy,  propriétaire,    et sa femme Louise Margueritte
  Drot. 
 | Recensement de 1836,    réédition 
    numérique en mode image mise en ligne   par les Archives départementales 
    de l’Essonne (saisie Bernard  Gineste 2011). 
 |  
                                         | 1852 
 | Le   moulin    appartient      à    Théodore
Alexis Charpentier   qui    habite rue Saint-Antoine. 
 | État   
   des   moulins     de  1852 édition Gineste (ici) 
 |  
                                        | 1860 
 | Théodore-Alexis 
           Charpentier,   propriétaire du moulin Braban, nommé 
       maire   à  partir  du mois d’août par le décret 
             impérial  du  14 juillet 1860. 
 | Clément 
      Wingler,                 Liste   des maires et échevins d’Étampes
        de   1510 à 2002  (ici) 
 |  
                            | 1861 
 | Le 12 février,
     naissance    du fils aîné du futur meunier Marchon-Dupuis,
   pour  l’heure  grainetier:              “Du mercredi
   treize  février  mil  huit cent soixante un, dix heures du matin. — Acte de naissance de Henri Auguste Marchon,
      du sexe masculin,  né d’hier à quatre heures de relevée,
      chez ses père  et mère, fils en légitime mariage
  de   Gustave Marchon, marchand  grainetier, âgé de vingt cinq
  ans,   et de Clémentine Céline  Dupuis, son épouse,
 âgée    de vingt deux ans, domiciliés  de cette ville
 rue de la Porte Dorée. —     Les témoins ont  été
 les sieurs Antoine Bourdon, marchand    de bois, âgé  de quarante
 trois ans, et Benoist Berlière,    marbrier, âgé  de
trente un ans, domiciliés de cette   ville. — Sur la présentation
  de l’enfant, et sur la déclaration   du père d’icelui qui
a,  ainsi que les témoins, signé   avec nous Faustin Frédéric
  Barré, adjoint spécialement    délégué
 par  le maire d’Etampes, après lecture    faite. — [Signé:]
 Marchon  Gustave — Bourdon aîné —  Berlière  Dulit —
Fred. Barré  adj.” 
 | Registre d’État-Civil 
              d’Étampes (saisie B. G. 2011) 
 |  
                            | 1863 
 | Le 20 février,
        mort    d’un fils du meunier âgé de trois mois: “Du
vendredi         quatre  septembre   mil huit cent soixante trois, quatre
heures    de   relevée.  — Acte de  decès de  Henri Auguste
Marchon,   âgé   de trente  mois, décédé
ce jour à  six heures   du matin             chez ses père  et mère,   natif d’Etampes,   fils de  Gustave Marchon, grainetier,
 âgé de vingt huit  ans, et de Clémentine   Céline
 Dupuis, son épouse, âgée de vingt cinq   ans, domiciliés
 de cette ville rue d’Enfer numéro six. — Les témoins ont été    les sieurs Jules Marchon,
 employé des ponts et chaussées,   âgé de vingt
deux  ans, oncle paternel de l’enfant, et Léon   Poulain, aussi employé des ponts et chaussées,   âgé
 de vingt neuf ans, domiciliés     de cette
ville,  qui ont signé avec nous Faustin Frédéric   barré,
 adjoint spécialement délégué par  le maire d’Etampes,
 après   lecture faite du présent,   et  le décès
 constaté   par nous soussigné. — [Signé:]  Marchon
— L. Poulain — Fréd. Barré adj.” 
 | Registre d’État-Civil 
              d’Étampes (saisie B. G. 2011) 
 |  
                            | 1865 
 | Le 3 mai, naissance
    d’une    fille  du futur meunier Marchon-Dupuis, pour l’heure grainetier:
                “Du jeudi quatre mai  mil huit
 cent   soixante cinq, heure de midi. — Acte de naissance     de Henriette Marchon, du sexe féminin,
    née hier à  sept   heures du soir, chez ses père
et   mère, fille de Gustave  Marchon,   grainetier, âgé
de   trente ans, et de Clémentine  Céline   Dupuis, son épouse,
   âgée de vingt sept  ans, domiciliés   de cette ville
  rue d’Enfer numéro quatorze. —  Les témoins   ont été
   les sieurs Jules Marchon, conducteur  des ponts et chaussées, âgé
   de vingt quatre ans, oncle  paternel de l’enfant, et Camille Martin, docteur
   médecin, âgé  de cinquante sept ans, domiciliés
   de cette ville. — Sur la présentation   de l’enfant, et sur
 la  déclaration du père d’icelle qui a,  ainsi que les témoins,
   signé avec nous Faustin Frédéric   Barré,
adjoint    spécialement délégué par   le maire
d’Etampes,    après lecture faite. — [Signé:] Marchon —
  J. Marchon —    C. Martin — Fred. Barré adj.” 
 | Registre d’État-Civil 
              d’Étampes (saisie B. G. 2011) 
 |  
                                        | 1865 
 | Théodore-Alexis 
           Charpentier,   nommé maire pour la deuxième fois
    par    le  décret     du 26 août 1865. 
 | Clément 
      Wingler,                 Liste   des maires et échevins d’Étampes
        de   1510 à 2002 (ici) 
 |  
                            | 1865-1868 
 | Entre le 3 mai 
 1865   et  le  5  octobre 1868, installation d’un nouveau meunier, Gustave 
 Marchon,    dit Marchon-Dupuis. 
 | Cf. supra   et      
       infra. 
 |  
                            | 1868 
 | Le 5 octobre,
 naissance      d’un   fils du meunier Marchon-Dupuis: “Du mardi    six  octobre   mil huit cent soixante huit, onze
heures du matin. —  Acte
de naissance de Henri Marchon, du sexe masculin, né hier à
trois heures de relevée, chez ses père et mère, fils
de Gustave Marchon, meunier, âgé de trente trois ans,
et de Clémentine Zélerine (?) Dupuis, son épouse, âgée
de trente ans, domiciliés de cette ville rue Braban numéro
deux. — Les témoins  ont  été les sieurs Camille
Martin, docteur médecin, âgé  de cinquante sept ans,
domiciliés de cette ville, et Pierre Eugène  Tacy, employé
à cette mairie, agé de quarante ans, domiciliés  de
cette ville. — Sur la présentation de l’enfant, et sur la déclaration
du père d’icelle qui a, ainsi que les témoins, signé
avec nous Faustin Frédéric Barré, adjoint spécialement
délégué par le maire d’Etampes, après lecture
faite. — [Signé:] E. Tacy — Marchon —
 C. Martin — Fred. Barré adj.” 
 | Registre d’État-Civil 
              d’Étampes (saisie B. G. 2011) 
 |  
                                        | 1869 
 | Décès
          de  l’ancien   meunier: “Du jeudi dix neuf avril mil huit cent
soixante         neuf,   une heure  de relevée. — Acte de décès
  de               Eloi    Felix   Alexis Angiboust,   propriétaire,
      agé de soixante    treize  ans,  décédé
  hier    à onze heures du   matin en  son domicile  en cette ville,
  rue des      Cordeliers, numéro   vingt sept,  natif d’Etampes,
 époux      de Aglaé   Charbonneau,   agée  de soixante
quatorze  ans,     domiciliée de cette  ville   rue et numéro
 susdits, fils    de feu Eloi Angiboust et de feu Perine   Félicité
 Leguay  son epouse, tous deux décédés     en cette
ville.  —  Les témoins  ont été les sieurs   Edouard
  Angiboust,   ingenieur des ponts  et chaussées, chevalier   de la
légion      d’honneur, agé  de quarante huit ans, fils du 
décédé       demeurant à  Loriant (Morbihan)
et Gaston Angiboust, rentier,  agé     de trente deux  ans, aussi
fils du décédé,  domicilié      de cette  ville,
qui ont signé avc nous Faustin  Frédéric      Barré,
 adjoint spécialement délégué      par   le maire
d’Etampes,  après lecture faire du present, et le   décès
   constaté  par nous soussigné. — [Signé:]   Angiboust
— Fred. Barré — Angiboust.” 
 | Registre     d’État-Civil 
          d’Étampes (saisie B. G. 2011) 
 |  
                                        | 1869 
 | Théodore-Alexis 
           Charpentier,   nommé à nouveau maire pour la 
troisième           fois par le  décret du 25 septembre 1869, 
mais il est remplacé           dans cette  fonction, à la chute 
de l’Empire, par Alphonse-Philippe-Auguste           Brunard,  lui aussi meunier,
en août 1870. 
 | Clément 
      Wingler,                 Liste   des maires et échevins d’Étampes
        de   1510 à 2002 (ici);     
  cf. notre page sur le moulin
   Brunard. |  
                            | 1870 
 | Le 24 avril, 
décès        du frère du meunier: “Du lundi   vingt   cinq     avril   mil huit cent soixante 
dix, dix heures du matin. —  Acte de    decès de Jules Marchon, employé 
des ponts et chaussées,       âgé de vingt neuf ans, décédé
hier  [(appel     de croix:) à neuf heures du matin] en son domicile
en cette ville    rue Saint Martin, numéro vingt quatre, né
à              Etampes,   célibataire,   fils de Alexis
 Amable Marchon, propriétaire   âgé     de soixante sept
 ans, et de Louise Augustine Paris,  son épouse,  âgée
   de soixante quatre ans, domiciliés   de cette ville  rue et numéro
   susdits.             — Les
  témoins ont été    les sieurs Gustave  Marchon,
meunier,  âgé de trente   cinq ans, frère du décédé,
  et Camille Martin,   docteur en médecine,
âgé   de  soixante un ans,  domiciliés
  de cette ville,   qui ont signé avec nous Albin  Nicolas Pommeret
des Varennes, maire   de la vile d’Etampes, après   lecture faite
du présent,   et  le décès constaté    par nous
soussigné. — [Signé:]  Marchon Gustave — C. Martin  — Pommeret
des Varennes.” 
 | Registre d’État-Civil 
              d’Étampes (saisie B. G. 2011) 
 
 |  
                                                 | 1881 
 | Le   moulin,     situé     au n°7 de la rue Braban derrière
 l’église     Saint-Martin    en dessous du moulin Baildar, est alors
 tenu par le meunier                 Paul Marchon  qui  tient aussi
 le moulin voisin Baildar     (alors Jules Marchon tient les moulins Notre-Dame
 et de Valnay, et Marchon-Dupuis     celui de Vaujouan). Avec son  unique
paire de meules, il produit cinq sacs    de farine. 
 | Marquis 
    96  et  103 
 |  
                                        | 1882-1883 
 | Théodore-Alexis              Charpentier succède
 en 1882 à Dosithée    Bourdeau      et  devient  maire pour
 la quatrième fois. 
 | Clément 
      Wingler,                 Liste   des maires et échevins d’Étampes
        de   1510 à 2002 (ici) 
 |  
                                        | 1883 
 | Le 
 3  décembre,         mort   de Théodore Alexis Charpentier, 
 propriétaire  du   moulin     et maire:  “L’an mil huit cent quatre 
 vingt trois le trois  décembre        à   onze heures du matin 
 par devant nous Louis  Martin Hautefeuille        premier adjoint    [(raturé:) 
 faisant fonction  de maire par suite      du décès    de monsieur 
 Charpentier  maire] [ajouté     par  appel de croix:] faisant    fonction
 de maire  (signé:) Huet   —  Labbé   — Hautefeuille], officier
   de l’État  civil de la  ville  d’Etampes,   arrondissement d’Etampes,
  departement  de Seine et Oise,  sont  comparus Charles  Huet, propriétaire
  âgé     de quarante    neuf ans et Rémy  Labbé,
 aussi  propriétaire,     membre    du conseil municipal, lesquels
 nous ont déclaré     que Théodore     Alexis Charpentier,
 propriétaire,   maire de la ville d’Etampes,     chevalier de la
légion  d’honneur,   ancien député,   ancien  membre
du conseil général    de Seine et Oise, âgé  
    de soixante dix ans, né  à    Etampes et y demeurant rue
Saint     Antoine numero vingt huit,  fils de  Théodore  Alexis Charpentier
  et  de Adélaïde  Victoire  Leguay son épouse,  veuf
de Julie    Appoline Rousseau, tous trois  décédés en
cette ville,    est décédé    en sa demeure hier à
deux heures  du  soir, et aprés nous  être  assuré du
décès       nous avons dressé  le présent  acte
que les comparants ont    signé   avec nous  adjoint sus-nommé
  après lecture faite.   — [Signé:]    Huet Ch. — Labbé
  — Hautefeuille [paraphe] — Approuvé   la  rature   de douze mots.
 —Signé:]  Huet — Labbé  — Hautefeuille    [paraphe].” 
 | Registre     d’État-Civil 
          (saisie B. G. 2011) 
 |  
                                      | 1890 
 | La 
machinerie      vétuste        nécessite  une importante remise 
à   neuf. 
 | SV&SH 
     60,   sans   référence. 
 |  
                         | 1891 
 | Le recensement
de  1896   trouve   les n°5 et 7 de la rue Braban apparemment inhabités
  car  ces numéros   ne sont même pas mentionnés. Le
meunier     habite au n°6:             “Paul Marchon,
meunier,     chef [de famille],  35 ans — Hélène  Auger, femme, 25  ans — Emile  Marchon, enfant,  8 ans — Marguerite  Marchon,  enfant, 3 ans — Octavie  Moufle,  domestique, 19 ans”. 
 | Recensement de 1891,   réédition 
    numérique en mode image mise en ligne  par les Archives départementales 
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                         | 1896 
 | Le recensement
de  1896   trouve    au n°5 de la rue Braban: “Léonidas
    Dufayet, domestique, chef [de famille], 29 ans
            — Mathilde Sergent,
 épouse, 24 ans                  — Maurice Dufayet,      enfant, 3 ans”;
n°7 non mentionné. 
 | Recensement de 1896,   réédition 
    numérique en mode image mise en ligne  par les Archives départementales 
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
              | 1899 
 | “Étude de Me Prat-Marca, 
notaire à Étampes — A vendre ou à louer, le moulin Braban, situé 
à Étampes, 
rue Braban — Vastes bâtiments             — Belle chute d’eau — S’adresser pour tous 
renseignements: à Me Prat-Marca, notaire.”
 
 | Abeille d’Étampes du 
10 juin 1899, p. 3 (saisie Bernard Gineste 2014) 
 |  
                         | 1901 
 | Le recensement
de  1901   trouve    au n°5 de la rue Braban: “Paul
  Duchemin   f(abricant)   de sacs en papier,
chef   [de famille],   47 ans             — Reine  Duchemin,  épouse, sans profession,  33 ans — Georgette Duchemin,  enfant, 11 ans — Georges Duchemin,  6 ans”; n°7 non  mentionné. 
 | Recensement de 1901,   réédition 
    numérique en mode image mise en ligne  par les Archives départementales 
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
            | 1906 
 |   | Abeille d’Étampes du 20 janvier
1906, p. 4. 
 |  
                         | 1906 
 | Le recensement
de  1906   trouve    au n°5 de la rue Braban: “Paul
  Duchemin,   étuis  en papier, patron,
chef  [de famille],   né  à Ivry en 1854 — Reine  Coffard, épouse, sans profession,
née à    Paris en 1867              — Georgette Duchemin,  fille, née à Paris en 1890 
                — René 
  Duchemin  à Paris en 1896”; n°7 non mentionné. 
 | Recensement de 1906,   réédition 
    numérique en mode image mise en ligne  par les Archives départementales 
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                   | 1913 
 | Dans un tableau que fait
  le  directeur de l’Abeille d’Étampes de la reconversion récente
   de sept moulins étampois: “Au Moulin Braban, chez M. Nabot, nous trouvons  une dizaine 
   d’ouvriers employés à faire des pièces pour  réparations 
   de chambres à air d’automobiles et des rondelles  de caoutchouc 
pour   le bouchage des bouteilles de bierre [sic]. Cette petite  usine travaille 
   activement.” 
 | L’Abeille d’Étampes   
102/20 (17 mai 1913), p. 2 (saisie de Bernard Métivier). 
 |  
                                 | 1915 
 | La ville
 ayant    besoin    de  locaux  pour abriter des aviateurs autant que des
prisonniers    allemands     passe  une  convention avec plusieurs meuniers,
dont  “madame    Marie    Thérèse   Barnier, sans
profession, demeurant   au château    de Vauvert, commune   d’Ormoy-la-Rivière,
            veuve    de Théodore    Alexis Charpentier,   [pour]
 un moulin appelé                moulin Braban    sis à
 Étampes,   rue Braban,   et ses dépendances, moyennant   
huit  cens francs par an”. 
 | Archives Municipales, 
     Délibérations    du Conseil municipal,  1915, p.
143                (saisie  B.G., source signalée    par FG-ELP 15). 
 |  
                             | 1917 
 | Le 24 mars, 
le  garde-moulin       déménage: “Les soussignés: — Monsieur
             Edmond    Jules   Fournier (1), menuisier, demeurant
 à Étampes rue Badran     n°7,   d’une part, — Et monsieur
 Auguste Lescuyer, notaire à   la  résidence   d’Étampes,
 y demeurant, rue Saint-Antoine 25,  adjoint  au maire de  la ville d’Étampes,
 agissant au nom de ladite  ville d’Étampes,    en sa dite qualité
 d’adjoint, faisant fonctions   de maire en l’absence    de ce magistrat
actuellement  mobilisé et  en mission d’autre part,   — préalablement
aux  conventions ci-après    ont exposé  ce qui suit: — Monsieur
 Fournier occupe un logement  dans  un immeuble sis  à Étampes,
 rue Badran n°7, appartenant    à madame  Martin. — Il
 a la charge et l’obligation de lever   et de baisser les  vannes et de faire
 tourner la roue du moulin. — La   ville d’Étampes  étant
 dans la nécessité  d’augmenter   les locaux servant  au dépôt
 des prisonniers de  guerre a proposé   à  M. Fournier de quitter
 son logement dans  la propriété   de madame  Martin qui doit
 en concéder  la jouissance à la ville,  pour le réinstaller
 dans une maison  sise à Étampes,  rue de la Pirouette 8. —
M. Fournier ayant  accepté, il est passé   de la manière
 suivante aux conventions  objet des présentes.   — M. Fournier habitera
 gratuitement dans la  maison dont s’agit: — Un logement   au premier étage
 comprenant trois  chambres et grenier. — Au rez de   chaussée une
pièce à  usage de cellier et buanderie.  — Poulailler en grillage
dans la cour, cour,  lavoir et water closet en commun,   partie de jardin,
côté rue  de la Pirouette. —  Cette occupation   aura lieu
pendant toute la durée  des hostilités et jusqu’ai   départ
des prisonniers de guerre  à partir d’aujourd’hui. —  M. Fournier
devra entretenir et rendre en bon [p.323] état la partie  de maison
et de jardin par lui occupée.  — La ville d’Étampes  s’engage
à faire à ses frais les  déménagements  et emménagements 
  actuels, de même  qu’elle fera à son compte, lors de l’expiration 
  de la jouissance, le déménagement et le réemménagement 
  de M. Fournier  à l’endroit de la ville qu’il aura lieu. — En outre 
  la ville d’Étampes  paiera à M. Fournier une indemnité 
  à forfait de cent  francs qui lui sera versée à sa 
demande  par la ville. — Les  frais des présentes  sont à la 
charge de la ville d’Étampes.  Pour baser la perception  des droits 
d’enregistrement,  la durée du  bail présent est évaluée 
 à  un an et le loyer  à 200 francs. Pour l’exécution 
des  présentes,  domicile  est élu à Étampes en
l’hôtel  de la mairie. — Fait en autant d’originaux que de parties intéressées,
 à  Étampes le vingt-quatre mars mil neuf cent dix-sept. —
Lu  et approuvé,  Signé: Fournier — Lu et approuvé,
signé:  A. Lescuyer.” 
 | Archives municipales     d’Étampes, 
   Registre des délibérations municipales,     séance 
du 9  juillet 1917, pp. 322-323. 
 
      (1) 
Ce Fournier habite au moulin 
Martin (Badran inférieur)       depuis au moins 1906.
 |  
             | 1920 
 | Mise en vente — “Études de Me Louis, avoué à Étampes 
et de Me de Gandt, notaire à Étampes — Adjudication à 
la barre du Tribunal d’Étampes le mardi 16 mars 1920 à 13 heures 
— 1° d’une Ferme et de 68 hectares à Bonvilliers, près Étampes.
Mise à prix: 110.000 fr. — 2° Une maison bourgeoise à Étampes.
Mise à prix: 25.000 fr. — 3° Un Moulin à Eau à Étampes
dit «Moulin Brabant [sic]». Mise à prix: 6.000 fr. — S’adresser
à Mes Louis et Masson, avoués, et à Me de Gandt, notaire
à Étampes. 
 | Abeille d’Étampes du 13 mars
1920, p. 4 (dont un scan ci-dessus; saisie de Bernard Gineste, 2016). 
 |  
                              | 1921 
 | Le recensement 
  de  1921   trouve    au n°7 de la rue Braban: Charles Reboutier,
   patron,   mécanicien,   né en 1888 à Paris; son
  épouse   Cécile, née   à Paris en 1895; et
leur   trois enfants   tous nés à Paris,   Henri en 1917, et
Charles   et Pierre en  1920. 
 | Archives municipales     
d’Étampes,    Dénombrement de la population de 1921, Rue  
Braban. 
 |  
                                        | 1934 
 | Le 
 moulin    est   dessiné        par Roger Schwardner. 
 | Dessin    de  la 
 collection      d’André   Cattiaux, aimablement prêtée 
      par ce dernier      au Corpus Étampois   pour être 
   scannée   par               Jean-Michel Rousseau au bénéfice 
   de tous. 
 |  
                                         | 1940 
 | La   société            Drehmotor  qui occupe
le moulin est  gênée par    les    variation    de débit
 de la rivière  attribués    à    une cressonnière
   et  à un  barrage, ce qui nécessite       une intervention
du ministère      de l’armée. 
 | SV&SH     
60  (avec    une coquille, “Dreshmotor”),   sans référence. 
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                                                 | 1956 
 | La   même      société    occupe toujours 
    le moulin. 
 | SV&SH 
     60,   sans   référence. 
 |  
                                         | ?? 
 | Le   moulin    est   transformé        en résidence
à une   date qui   reste  à déterminer. 
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 |  Chacun
                   est appelé à contribuer à cette enquête, les petits ruisseaux faisant
                   les grandes rivières.
 
 
 B.G., 29 janvier 2011 — octobre 2016. 
 
 Toute critique,    correction ou contribution 
                                    sera la bienvenue. Any criticism or contribution 
              welcome.
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