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Le Palais, dit le Sejour.
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Ce chapitre est assez mal nommé,
parce que sa deuxième partie traite plus généralement
du reste de la topographie de la ville, que Fleureau par ailleurs fait remonter
dans ses grandes lignes, non sans anachronisme, à l’époque
du roi Robert (996-1031), comme dans le chapitre
précédent consacré au Château. En réalité,
le Palais de la reine Constance est à localiser dans le secteur encore
appelé le Donjon au XVIe siècle, c’est-à-dire entre
Notre-Dame et Saint-Basile, et le Palais du Séjour ne pas paraît
pas antérieur pour sa part au XIIIe siècle. La saisie des textes anciens est une tâche fastidieuse et méritoire. Merci de ne pas décourager ceux qui s’y attellent en les pillant sans les citer. |
Plan du rez-de-chaussée du Palais de Justice en 1806 (Archives Nationales F21 1904.3)
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NOTES (Bernard Gineste, octobre
2005)
1) Robert... séparé, pour cause de Parenté, d’avec Berte... à la poursuite du Pape Gregoire V... Alors qu’il n’hésite pas ailleurs à rappeler les désordres de souverains moins exemplaires, Fleureau passe ici sous silence, probablement par souci d’édification, l’accusation d’inceste, dont fut alors frappé Robert II dit le Pieux. Plusieurs historiens de son temps et du XIXe siècle crurent même qu’il avait été excommunié au moins par les évêques de la Gaule, d’après les dires infondés du polémiste Pierre Damien, dans un pamphlet postérieur à son règne, en 1065. 2) Elle choisit pour cela le milieu de la Ville auprés de la riviere... Il ne s’agit ici que de conjectures, inspirées à Fleureau par l’idée que le palais de Constance mentionné par Helgaud, se dressait déjà sur le site où s’élèvera plus tard le palais royal dit du Séjour. Mais la chose est loin d’être avérée, et il est n’est pas impossible que le palais de Constance se trouvait dans l’enceinte fortifié, sinon même dans le réduit qui au XVIe siècle s’appelait encore Donjon. 3) Rouillard avait écrit son Histoire de Melun en 1628 (voir la Bibliographie). 4) Cette nouvelle ville d’Estampes... Cette dénomination de nouvelle ne repose, rappelons-le, que sur la conjecture faite par Fleureau que le site originel d’Étampes était à Saint-Martin, ce que plus personne ne croit à l’heure actuelle. 5) Cinq belles Eglises... A partir de cet endroit, Fleureau décrit la topographie étampoise de son temps; et toutes les autres églises dont il parle ici, étant bien postérieures à l’époque du roi Robert, il en traitera dans la deuxième partie de son ouvrage, consacrée à l’histoire de chacun de ces établissements particuliers. 6) On a conduit par artifice la riviere dans la ville... On remarquera que Fleureau ne se prononce pas sur la date de ces travaux, dont il sait seulement comme nous qu’ils sont, au moins en partie, antérieurs à 1046, date à laquelle on nous parle pour la première fois du moulin Notre-Dame. 7) Trois moulins. Il s’agit dans l’ordre du moulin Sablon, du moulin Notre-Dame (ou Petit Moulin) et du moulin Darnétal. 8) La seconde race de nos Rois. Il s’agit de la dynastie carolingienne. Pendant sa décadence s’affirme la puissance de la famille robertienne, qui tient notamment Étampes et Dourdan, et qui donnera déjà avant Hugues Capet deux rois à la France pendant les premières éclipses de la dynastie carolingienne, à savoir Eudes (mort en 898), puis son frère Robert Ier (mort en 923), grand-père d’Hugues Capet (élu en 987). 9) Corbeil, Monthery [sic], la Ferté-Aales... Corbeil, Monthléry et la Ferté-Alais (dont le nom est écrit plus haut dans le même chapitre la Ferté Aleps) Nous conservons délibérément non seulement les particularités et les variations graphiques mais aussi les fautes d’impression de l’édition originale, pour que le lecteur reste vigilant et garde à l’esprit qu’il a sous les yeux une édition posthume dont toutes les imperfections ne sont pas dues à l’auteur. Bernard Gineste
Toute critique, correction ou contribution sera
la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
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Éditions Réédition en fac-similé: Dom Basile FLEUREAU, Les Antiquitez de la ville, et du Duché d’Estampes avec l’histoire de l’abbaye de Morigny et plusieurs remarques considerables, qui regardent l’Histoire generale de France [23 cm sur 16], Marseille, Lafittes reprints, 1997. Réédition numérique en ligne (en cours depuis 2001): Bernard GINESTE [éd.], «Dom Fleureau: Les Antiquitez d’Estampes (1668)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/index-fleureau.html, 2001-2005. Ce chapitre: Bernard GINESTE [éd.], «Dom Fleureau: Le Palais, dit le Sejour (Les Antiquités d'Étampes I, 16, 1668)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-17-fleureau-b16.html, 2005. Éditions,
extraits, traductions et études de la Vie de Robert par Helgaud de Fleury
Robertus GAGUINI (Robert Gaguin, religieux trinitaire, docteur en Sorbonne, un des premiers humanistes parisiens, maître d’Érasme, c.1434-1501) [auteur principal], Humbertus VELLEIUS (Humbert Vellay) [continuateur] & Johannes WOLFIUS (Johann WOLF, juriste) [préfacier], Roberti Gaguini rerum gallicarum Annales, cum Huberti Velleii supplemento, in quibus Francorum origo vetustissima et res gestae regumque gallicorum omnium ex ordine vitae... usque ad Henricum II describuntur, cum praefatione... Jo. Wolfii [in-f°; 336 p.; index; le titre courant porte: «Huberti Velleii in R. Gaguini Appendix, Ludovicus duodecimus & Franciscus primus»; ce recueil contient, avec la l’Histoire de France par Gaguin, la Vie de saint Louis par Guillaume de Nangis et la Vie de Robert par Helgaud], Francofurti ad Moenum (Francfort-sur-le-Main), ex officina typographica A. Wecheli (André Wechel), 1577. Petrus PITHOEUS (Pierre PITHOU, Jurisconsulte, historien, humaniste & érudit, 1539-1596) [éd.], Annalium et historiae Francorum ab anno Christi DCCVIII. ad annum DCCCCXC. scriptores coaetanei XII. Nunc primum in lucem editi ex bibliotheca P. Pithoei [2 tomes en 1 volume in-8°; réunit: «Annales sive Gesta Francorum ab anno incarnationis Domini DCXIIII ad annum DCCCLXXXIII...» (extrait des Annales Fuldenses), «Frodoardi... Chronicon...», «Continuatio ex alio Chronico quod Willelmi Nangii... videtur, et ad annum usque MCCCI producitur», «Quae sequuntur sunt Odoranni monachi S. Petri Vivi Senonensis...», «Abbonis De obsidione Lutetiae Parisiorum a Normannis libri duo» (en vers), et vingt autres dont la liste figure dans le Repertorium fontium historiae Medii Aevi, 1962, vol. 1, p. 562], Parisiis [Paris], apud Claudium Chappelet [Claude Chappelet (1565-1648)], M.D.LXXXVIII [1588], tome 1, pp. 59-79. 2e édition: Annalium, etc. Nunc autem in Germania denuo impressi [in-8°; XVI+572+LII p.; même contenu que l’édition de Paris de 1588], Francofurti, apud Andreae Wecheli heredes (héritiers d’André Wechel), Claudium Marnium (Claude de Marne) & Joann. Aubrium (Jean Aubry), MDXCIIII [1594], tome 1, pp. 59-79. 3e édition: Historiæ Francorum ab anno Christi 900 ad ann. 1285 scriptores veteres xi. In quibus Glaber, Helgaudus, Sugerius abbas, M. Rigordus, Guillermus Brito, Guillermus de Nandis & anonyni alij, extrema stirpis Carolinae et Capetiorum regum res gestas usque ad Philippum, D. Ludovici filium regem, explicantes. Ex bibliotheca P. Pithoei nunc primum in lucem dati [in-f°; II+504+XXXVI], Francofurti, de Marne & Aubry, 1596, tome 1, pp. 59-79. Andreas DU CHESNE (alias André DUCHESNE, DUCHÊNE, CHESNIUS, DUCHESNIUS, QUERNEUS, QUERCETANUS, 1584-1640; surnommé le Père de l’Histoire française) [éd.] & Fransciscus DU CHESNE (François, son fils & continuateur, 1616-1693) [Duchesne envisageait un recueil de 34 volumes mais la mort l’arrêta avant que ne parût le 3e; son fils alla jusqu’au tome 5; l’ensemble fut ensuite entièrement recommencé par Dom Bouquet et les Mauristes], Historiae Francorum scriptores coaetanei... quorum plurimi nunc primum ex variis codicibus mss. in lucem prodeunt, alii verò auctiores et emendatiores; cum epistolis regum, reginarum, pontificum, ducum, comitum, abbatum et aliis veteribus rerum Francicarum monumentis opera ac studio Andreae Du Chesne [tom. I-II; «Auteurs de l’Histoire des Francs contemporains des faits… dont la plupart sont édités pour la première fois à partir de divers ouvrages manuscrits, tandis que les autres le sont plus au long et plus correctement; avec les lettres des rois, des reines, des évêques, des ducs, des comtes, des abbés et les autres anciens monuments des affaires de la France, par les soins et le travail d’André Duchesne»] — Historiae, etc., opera ac studio filii post patrem Francisci Du Chesne [tom. III-V] [5 vol. in-f°; «Auteurs, etc., par les soins et le travail du fils d’André Duchesne, François, après la mort de son père»], Lutetiae Parisiorum [Paris], sumptibus S. Cramoisy [Sébastien Cramoisy], 1636-1649, tome IV (1641), pp. 59 sqq. Jean-Baptiste de LA CURNE DE SAINTE-PALAYE (1697-1781), «Mémoire sur la vie et les œuvres du moine Helgaud, sur l’epitome de la Vie du roi Robert et sur trois fragments imprimés à la suite de cet epitome dans la Collection des Historiens de la France», in Mémoires insérés dans les Recueils de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres X (1731), pp. 553-562. UN MAURISTE [religieux bénédictin de la congrégation de Saint-Maur], «Helgaud, Moine de Fleuri» in Histoire littéraire de la France, où l’on traite de l’origine et du progrès, de la décadence et du rétablissement des sciences parmi les Gaulois et parmi les François.... Tome VII,, Qui comprend le onzième siècle de l’Eglise, Osmont-Huard, 1746. Dont une réédition au XIXe siècle sous la direction de Paulin PARIS [27 cm; XCIX+716 p.; cette édition contient de nouvelles notes en fin de volume mais aucune relative à Helgaud], Paris, V. Palmé, 1867. Dont une réédition numérique en mode texte par la la BNF, 1995, mise en ligne sur son site Gallica, http://visualiseur.bnf.fr/Visualiseur?Destination=Gallica&O=NUMM-28031 (en ligne en 2005), pp. 405-409. Jean-Baptiste HAUDIQUIER, Charles HAUDIQUIER, Étienne HOUSSEAU, Jacques PRÉCIEUX & Germain POIRIER (bénédictins de l’ordre de Saint-Maur) [éditeurs], «Helgaldi Floriae. Epitoma Vitae Roberti Regis Fr.», in ID., Rerum Gallicarum et Francicarum Scriptores. Tomus decimus (Novæ Collectionis Historicorum Franciæ tomus decimus) – Recueil des Historiens des Gaules et de la France. Tome dixième, contenant ce qui s’est passé depuis le commencement du règne de Hugues-Capet jusqu’à celui du roi Henri I, fils de Robert le Pieux, par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint-Maur [in-8°; CLXVI+768; sommaire: pp. CLXIV-VI], Paris, Imprimerie Royale, 1760. Dont une réédition: Léopold DELISLE (membre de l’Institut, 1826-1910) [éd.], Recueil des historiens des Gaules et de la France. Tome dixième, édité par des bénédictins de la congrégation de Saint-Maur. Nouvelle édition publiée sous la direction de M. Léopold Delisle [mêmes texte & pagination], Paris, Victor Palmé, 1874. Dont une réédition en microfiches: Doetinchem, Microlibrary Slangenburg Abbey. [Dont une réédition numérique en mode image par la BNF sur son site Gallica, http://visualiseur.bnf.fr/Visualiseur?Destination=Gallica&O=NUMM-50128, 1995 (en ligne en 2005)], pp. 96-117. Jean-Baptiste MIGNE [éd.], «Helgaudi Vita Roberti regis Francorum» [reprise de l’édition des Duchesne], in ID., Patrologiae Latinae cursus completus (221 vol. in-4°, 1844-1864), t. 143, col. 1267 sqq. François GUIZOT [traducteur], Siège de Paris par les Normands (Bella Parisiacae urbis), poème d’Abbon.— Chronique de Flodoard.— Chronique de Raoul Glaber.— Vie du roi Robert par Helgaud.— Poème d’Adalbéron sur le règne de Robert [in-8°; 464 p.], Paris, J.-L.-J. Brière [«Collection de mémoires relatifs à l’histoire de France» 6], 1824 [dont une réédition numérique en mode image par la BNF sur son site Gallica, http://visualiseur.bnf.fr/CadresFenetre?O=NUMM-91454, en ligne en 2005], pp. 359-414. Édmond POGNON (né en 1911) [éd.], L’An mille. Œuvres de Liutprand, Raoul Glaber, Adémar de Chabannes, Adalberon, Helgaud, réunies, traduites et présentées par Edmond Pognon [in-8° (22,5 cm sur 14,5); XLV+305 p.], Paris, Gallimard [«Mémoires du passé pour servir au temps présent» 6], 1947. Robert-Henri BAUTIER & Gillette LABORY [du CNRS], Helgaud de Fleury. Epitoma vitae Regis Rotberti Pii . Vie de Robert Le Pieux. Texte édité , traduit et annoté [25 cm; 165 p. & 4 p. de planches; texte latin et traduction en regard; bibliographie pp. 54-55; index; préface de Charles-Edmond Perrin], Paris, CNRS (Centre national de la recherche scientifique) [«Sources d’histoire médiévale» 1], 1965. Claude CAROZZI, «La vie du roi Robert par Helgaud de Fleury: historiographie et hagiographie», in Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest 87/2 (1980), pp. 219-235. AUTEUR NON PRÉCISÉ [il s’agit probablement d’une reprise de la traduction de François GUIZOT?], Le roi de l’an mil. Textes et documents sur Robert le Pieux [21 cm; 97 p.; contient le «Poème au roi Robert» d’Adalbéron de Laon & la «Vie du roi Robert» d’Helgaud de Fleury], Clermont-Ferrand, Paleo [«Sources de l’histoire de France»], 2001 [ISBN 2-913944-40-X; 16 €]. Bernard GINESTE [éd.], «Helgaud de Fleury: Vie du roi Robert (traduction Guizot de 1824)», in Corpus Étampois, mise en ligne imminente, 2005. Autres sources
de Fleureau
Sébastien ROUILLARD, Melun, ou histoire de la ville de Melun traduite du latin par Sébastien Rouillard [in-4°], Paris, Jean Guignard, 1628. Andreas DU CHESNE [alias André DUCHESNE, DUCHÊNE, CHESNIUS, DUCHESNIUS, QUERNEUS, QUERCETANUS; surnommé le Père de l’Histoire française] [éd.] (1584-1640) & Fransciscus DU CHESNE [François, son fils & continuateur] (1616-1693) [Duchesne envisageait un recueil de 34 volumes mais la mort l’arrêta avant que ne parût le 3e; son fils alla jusqu’au tome 5; l’ensemble fut ensuite entièrement recommencé par Dom Bouquet et les Mauristes], Historiae Francorum scriptores coaetanei... quorum plurimi nunc primum ex variis codicibus mss. in lucem prodeunt, alii verò auctiores et emendatiores; cum epistolis regum, reginarum, pontificum, ducum, comitum, abbatum et aliis veteribus rerum Francicarum monumentis opera ac studio Andreae Du Chesne [tom. I-II; «Auteurs de l’Histoire des Francs contemporains des faits… dont la plupart sont édités pour la première fois à partir de divers ouvrages manuscrits, tandis que les autres le sont plus au long et plus correctement; avec les lettres des rois, des reines, des évêques, des ducs, des comtes, des abbés et les autres anciens monuments des affaires de la France, par les soins et le travail d’André Duchesne»] — Historiae, etc., opera ac studio filii post patrem Francisci Du Chesne [tom. III-V] [5 vol. in-f°; «Auteurs, etc., par les soins et le travail du fils d’André Duchesne, François, après la mort de son père»], Lutetiae Parisiorum [Paris], sumptibus S. Cramoisy [Sébastien Cramoisy], 1636-1649, tome IV (1641), pp. 64. Sur
le Palais du Séjour
Léon GUIBOURGÉ, «Le Palais de Justice», in ID., Étampes, ville royale [in-16 (20 cm); 253 p.; préface d’Henri Lemoine], Étampes, chez l’auteur (imprimerie de la Semeuse), 1957 [dont une réédition en fac-similé (22 cm; 253 p.), Péronnas, Éditions de la Tour Gile, 1997 [ISBN 2-87802-317-X], pp. 106-109. Dont une réédition électronique en mode texte et illustrée: Bernard GINESTE [éd.], «Léon Guibourgé: Étampes ville royale (1957)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-20-guibourge1957etampes307palaisdejustice.html, 2004. Monique CHATENET, Nicolas FAUCHERRE & Marie-Pasquine SUBES, «Les résidences royales d’Étampes», in Julia FRITSCH & Dominique HERVIER [dir.], Étampes, un canton entre Beauce et Hurepoix [316 p.; 10 contributeurs, 942 notes; 340 documents photographiques, la plupart en couleur; avec un résumé, with a summary, pp. 297-304], Paris, Éditions du Patrimoine, 1999 [ISBN 2-85822-301-7; 44,21€], pp. 39-59 (avec les notes 51-116, pp. 277-278). Voici les sous parties de ce développement: Monique CHATENET: «Le palatium de la reine Constance», p. 39; Monique CHATENET: «Le Donjon», pp. 39-41; Monique CHATENET: «Le Palais du ‘Séjour’», pp. 41-42; Marie-Pasquine SUBES: «La peinture murale du palais du ‘Séjour’», pp. 43-46; Nicolas FAUCHERRE: «Le château fort», pp. 46-59. Michel
MARTIN, «Le Palais du Séjour: ce que nous apprennent les fouilles»
& «De
l’archéologie à l’histoire», in Jacques GÉLIS [directeur
de la collection], Michel MARTIN & Frédéric BEAUDOIN
[directeurs du premier tome], Le pays d’Étampes. Regards
sur un passé. Tome 1: Des origines à la ville royale
[17 cm sur 24; 215 p.], Étampes, Étampes-Histoire, 2003, pp. 135-141 [2 plans et 11 photographies].
Sur Étampes vers l’an mil Michel MARTIN, «Séquences d’urbanisation du IVe au XIIIe siècle» & «Essor d’Étampes à la période carolingienne», in Jacques GÉLIS [directeur de la collection], Michel MARTIN & Frédéric BEAUDOIN [directeurs du premier tome], Le pays d’Étampes. Regards sur un passé. Tome 1: Des origines à la ville royale [17 cm sur 24; 215 p.], Étampes, Étampes-Histoire, 2003, pp. 69-78 & 81-91. Bernard GINESTE, «Les Vieilles Étampes», in ID., «Trois énigmes toponymiques», in Cahier d’Étampes-Histoire 6 (2004), pp. 72-75. Toute critique, correction ou contribution sera
la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
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