Publications de l’association
Étampes-Histoire
rangées
par ordre chronologique de parution
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Jean-Pierre
DURAND [dir.], Suzanne Vayne, une femme
à la mairie d’Étampes (1945-1965). Quel devenir pour le patrimoine
étampois? [21 cm sur 29,6;
51 p.; 43 illustrations et graphiques en couleur], Étampes, Association Étampes-Histoire
[«Les Cahiers d’Étampes-Histoire» n°15],
2018 [ISSN 1291-7791; 15
€].
Voici à nouveau un beau cahier, bien
illustré et particulièrement intéressant, qui continue
l’œuvre de redressement commencée depuis deux ans, même si
le nombre de pages recule à nouveau sensiblement (51) ainsi que le nombre des auteurs
(3) et celui des articles originaux (4), ce qui est bien dommage pour une
coûteuse publication annuelle en couleur.
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ANONYME, «Droit de réponse», p. 2.
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On
reproche violemment à l’auteur de la présente rubrique d’avoir
osé émettre méthodiquement des réserves et
même des critiques sur certains articles ou ouvrages publiés
ces dernières années par l’association. On s’interroge sur
ses motivations qui semblent être avant tout la méchanceté
(ici). Il est embarrassant pour un critique de
commenter de ce qu’on dit de lui, surtout quand il tend autant qu’il peut
à l’objectivité. Passons donc à l’article suivant.
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Jean-Pierre DURAND, «Éditorial», p. 3.
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Le président fixe à son association plusieurs
objectifs précis auxquels on ne peut que souscrire, et auxquels nous
souscrivons pour notre part sans la moindre réserve, notamment pour
ce qui concerne la défense du patrimoine.
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Jean-Pierre
DURAND, «Suzanne Vayne, une femme à
la mairie d’Étampes (1945-1965)», pp. 4-15 [15 clichés couleur]
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Disons d’emblée que cet article
est magistral et du même niveau
qu’un article antérieur de l’auteur que nous admirons beaucoup pour
son caractère pionnier, publié en 1994, au premier âge
d’or d’Étampes-Histoire, sur la naissance du faubourg industriel
de Saint-Martin d’Étampes. L’exposé est clair autant que vivant,
et nourri par une importante documentation essentiellement extraite des
archives municipales, archives parfaitement tenues et trop peu consultées
par les historiens
d’Étampes-Histoire ces quinze dernières années.
Jusqu’à présent il n’existait sur le sujet qu’une très
intéressante et très
indispensable “note de synthèse” rédigée
par Clément Wingler, directeur de ces archives, pour un élu,
et qu’il avait aimablement autorisé le Corpus Étampois
à éditer (BHASE n°8).
Nous devons désormais à Jean-Pierre Durand autre chose qu’une “note”. Il s’agit
plutôt d’une de ces monographies qui sont destinées, sinon
à faire référence, du moins à compter beaucoup
pendant un siècle. Et ce qu’il y a dans la lecture de ce travail
d’agréable et de puissant, c’est de voir évoquer dans un
même mouvement les faits les plus concrets et plus proches du terrain
avec leur contexte national d’une part, et d’autre part avec l’histoire
locale de plus longue durée. La cerise sur le gâteau, comme
disent les étatsuniens, c’est l’espèce d’enquête qu’il
fait partager à son lecteur sur un document énigmatique qu’il
a repéré aux archives municipales, où l’on voit quatre
édiles municipaux nommés seulement par leur initiales délibérer
sur la stratégie qu’il leur faut suivre pour remporter des élections. On peut juste reprocher à ce travail de ne pas citer les
cotes d’archives des documents qu’il utilise, ni de souligner suffisamment
ce qu’il doit à l’important travail de son prédécesseur,
qui n’est mentionné
que furtivement, d’une manière
qui manque un peu d’élégance.
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Christian
CARENTON, «La seigneurie et les seigneurs de Saint-Cyr-la-Rivière
(XIe-XVIIIe siècle)», pp. 16-28 [10 clichés, 6 tableaux].
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L’auteur travaille à ce qu’il semble
depuis plusieurs années sur la question qu’il maîtrise et
expose avec une grande clarté, en rassemblant et résumant
tout ce qui s’est écrit sur la question à date ancienne.
Et c’est une œuvre des plus utile et des plus agréable à lire.
Seulement on ne peut considérer cette monographie que comme un travail
préparatoire. En effet l’histoire ne peut pas s’écrire seulement
de seconde ou de troisième main, mais doit autant que possible s’appuyer
sur des sources primaires (l’auteur n’en citant qu’une seule, un aveu du XVIIIe siècle). On le sait bien, en matière de généalogie
nobiliaire surtout, on ne peut absolument pas se fier les yeux fermés
aux auteurs secondaires anciens (tels que le religieux barnabite Fleureau au XVIIe siècle ou l’abbé
Bernois et le chanoine Depotter au XIXe siècle) et encore moins aux auteurs plus récents
que cite cet article (Étienne Patou par exemple a mis en ligne de
simples fiches généalogiques écrites de troisième
main, qui constituent de très utiles pistes de recherche, mais ne
peuvent être considérées en aucun cas comme des sources
à proprement parler). Aussi, nous ne ferons que deux reproches à
ce travail: c’est d’abord qu’il aurait dû s’intituler:
“Ce qui s’est écrit avant le XXe siècle sur la seigneurie
et les seigneurs de Saint-Cyr”, à la manière de bien des pages
de notre cher Corpus Étampois, que nous mettons en ligne en
grande partie et en toute modestie à l’usage et
pour l’utilité des chercheurs; mais surtout c’est
que l’auteur
semble totalement ignorer les précieuses recherches de Charles Forteau
sur les seigneurs de Saint-Cyr, plus récentes bien que déjà
séculaires: elles lui auraient permis sur bien des points de corriger,
de préciser et de compléter son propos. Justement le Corpus
Étampois s’apprête à les rééditer et
nous les lui aurions bien volontiers communiquées en avant-première
si nous avions su qu’il les ignorait, comme il semble; car nous ne sommes
pas si méchants qu’on semble le croire, bien au contraire.
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Jacques
GÉLIS, «Étienne Geoffroy-Saint-Hilaire et “la fille bi-corps de Prunay-sous-Ablis” (1838)», pp. 29-37 [18 photographies; avec une liste détaillée
des souces consultée].
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Nous n’apprendrons pas à Jacques
Gélis que Prunay-sous-Ablis n’appartient pas au pays d’Étampes.
Déjà, il a cru devoir insérer dans le tome II du Pays
d’Étampes un long article sur une autre naissance monstrueuse
à Toury, qui ne fait pas davantage partie du Sud-Essonne. Que faut-il
en penser? Pourtant nous ne bouderons le plaisir de cette pittoresque visite
de Prunay-sous-Ablis, en compagnie de ces deux éminents tératologistes
étampois: Étienne Geoffroy-Saint-Hilaire et Jacques Gélis.
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Jacques GÉLIS, «L’interdiction d’un culte populaire
à Morigny en 1846», pp. 38-41 [3 photographies,
la deuxième malheureusement illisible].
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L’auteur revient maintenant à
deux autres de ses domaines de prédilection: l’histoire des cultes
populaires à travers les siècles, et celle du jansénisme.
Il a eu en effet la bonne fortune de se voir communiquer par François
Degommier un document autrefois conservé aux archives diocésaines
de Versailles, sur la permanence du culte de Nicolas Glasson à Morigny
au milieu du XIXe siècle (Rappelons qu’on doit au comte de Saint-Périer
une étude sur ce culte que nous avons rééditée
dans le BHASE n°35). Ce
nouveau document était déjà connu de Frédéric
Gâtineau, comme nous avons pu le constater dans sa base de données
malheureusement inédite, Exona (qui référence
notamment tout ce qu’on trouve aux archives diocésaines de Versailles
et d’Évry sur notre secteur). Il est effectivement très intéressant,
puisqu’il s’agit des arguments adressés par le curé à
son évêque pour autoriser ce culte populaire qui sera cependant
interdit. On est donc bien reconnaissant à Jacky Gélis d’en
donner dans ce cahier la première édition. Il y en a beaucoup
d’autres qu’il aurait pu y joindre
pour grossir ce cahier 2018 un peu maigre, et qu’on lui aurait volontiers
signalés si on avait su qu’il ne les connaissait pas. D’ailleurs nous lui signalons ici que
le dit document est désormais conservé
à Évry, contrairement à ce qu’il semble penser.
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ANONYME, «Quel devenir pour le patrimoine étampois», pp. 42-44 [3 photographies].
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On ne peut qu’être d’accord avec les points développés
dans ces deux pages joliment illustrées: 1) il faut protéger
et valoriser le patrimoine; 2) ce patrimoine est en danger; 3) il est urgent
d’agir. La conclusion également s’impose à tous: “Jouons la carte de l’intelligence. Soyons à
la hauteur de l’enjeu”. Ceci rejoint d’ailleurs ce que disait le président dans
son éditorial: “C’est à peu près tout ce que nous pouvons
entreprendre, au risque de déplaire...”
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Jacques GÉLIS, «Le vitrail dit de Jehan Hüe,
église Notre-Dame du Fort à Étampes», pp. 45-51 [2 photographies].“”
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L’auteur aborde maintenant encore un autre
de ses sujets de prédilection, les vitraux, thème qui lui
a déjà inspiré un ouvrage spécial et plusieurs
conférences. Il nous présente, après d’autres auteurs,
un vitrail qui a été déposé il y a maintenant
près de vingt ans soi-disant pour restauration, sans qu’on l’ait revu
depuis. Cet article bien intéressant de Jacques Gélis
n’est pas à proprement parler original puisqu’il a déjà
été publié l’année dernière dans la série
des Mémoires et documents de la société historique
et archéologique de l’Essonne, mais la présente réédition
en est tout à fait justifiée, parce que l’édition originale
avait été gravement altérée par la disparition
inexpliquée de toutes ses notes infra-paginales.
Venons-en au fond. Il aurait fallu supprimer l’allusion
à la bataille de Montlhéry, qui n’a plus de raison d’être
dans cette réédition; ainsi que l’allusion aux cimetière
des Bretons, sans rapport avec notre sujet, d’autant qu’on ne peut
pas se fier sans réserve, comme le fait l’auteur, à ce qu’en
raconte Dom Fleureau plus de deux siècles après les faits
sans s’appuyer sur aucune source précise.
L’auteur s’intéresse seulement à la
partie haute du vitrail qui seule date du XVe siècle, et qui représente
le baptême du Christ. C’est de bonne méthode. La description
et l’interprétation qu’il en fait sont des plus précises
et intéressantes, mais je me permets d’émettre quelques réserves
de détail.
Pourquoi et sur quelle base exclure absolument que
les personnages au second plan figurent les donateurs du vitrail? Pourquoi
imaginer que le donateur n’ait pu qu’être représenté
au-dessous de la scène et supposer de plus
que ce donateur serait nécessairement l’Étampois Jean Hue,
après avoir cependant admis que ce vitrail n’était
pas originellement à la place où il se trouve actuellement?
Pourquoi supposer que les Huguenots l’auraient miraculeusement épargné,
alors qu’ils ont brisé soigneusement tout le reste dans des endroits
plus difficiles à atteindre, au lieu de conjecturer, comme je le
propose, qu’il provient d’une autre église, non étampoise,
à laquelle il aurait antérieurement été offert
par la famille représentée en arrière-plan? N’est-il
pas bien plus naturel de penser que ce vitrail n’a rien à voir avec
Jean Hue, malgré ce qu’en dit la tradition historiographique étampoise?
Par ailleurs il est décevant de voir un historien du niveau
de Jacques Gélis se contenter, au sujet de ce Jean Hue, de paraphraser
dom Fleureau sans chercher à renouveler nos informations sur cet
illustre Étampois, même s’il y a peu de chance, à mon
sens, qu’il ait quelque chose à voir avec ce vitrail. C’est comme
si, pour nourrir une étude sur Napoléon, on ne s’appuyait
que sur les travaux d’Alain Decaux, fort estimables au demeurant.
Venons-en maintenant à un tout dernier point
de détail qui m’a intrigué et que j’ai vérifié
avec soin dans la plus grande tradition franco-française du pinaillage
orthographique. L’auteur ne m’en voudra pas, car il sait bien que c’est
un usage constant dans le monde universitaire que d’aller pêcher à
la ligne, même dans les thèses du plus haut niveau, ce genre
de distractions auxquelles personne n’échappe. C’est même
une marque de respect envers les auteurs, en ce que cela montre le soin
qu’on a pris de les lire avec la plus grande attention. Il écrit
en l’occurrence, au sujet du baptême de Jésus par Jean-Baptiste: “Il s’agit
donc d’un baptême de pénitence où Jésus pose
un acte d’humanité, un geste de solidarité avec les pécheurs,
introduisant ainsi le prémisse du propre baptême du
chrétien” (sic). Voici ce qu’en a écrit l’Académie
française sur son site, ce 7 juillet dernier (ici): “Prémisse et prémices: ces deux
noms sont souvent confondus (...). Prémices, qui ne s’emploie
qu’au pluriel, a d’abord désigné les premières productions
de la terre ou de l’élevage que l’on offrait en sacrifice aux dieux,
puis, par extension, ce nom a aussi pris le sens de «prélude,
signe avant-coureur». Quant à prémisse, qui
se rencontre au singulier comme au pluriel, il appartient à la langue
de la logique et désigne chacune des deux propositions d’un syllogisme
d’où résulte la conclusion; par extension, ce nom désigne
aussi tout argument d’où découle une conséquence.
On veillera donc bien à ne pas employer l’un pour l’autre et on
rappellera que tous deux sont des féminins”.
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Association
ÉTAMPES-HISTOIRE, «De leurs recherches, les historiens d’Étampes-Histoire
ont tiré plusieurs ouvrages qui font désormais référence»,
p. 3 de couverture.
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Bis repetita placent: Il faudrait
décidément supprimer cette phrase maladroite dans sa fierté
naïve, et laisser au lecteur le soin d’en juger, car, encore une fois,
les seuls éloges qui vaillent sont ceux qu’on reçoit d’autrui.
B. G.
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Jean-Pierre DURAND [dir.],
La collégiale Notre-Dame,
nouvelles clés de lecture. Découverte: les peintures murales
de Pierre Rabourdin [21 cm sur 29,6;
64 p.; 71 documents figurés en couleur], Étampes, Association Étampes-Histoire
[«Les Cahiers d’Étampes-Histoire» n°14],
2017 [ISSN 1291-7791; 15
€].
Voici un beau cahier, avec de bonnes illustrations
en couleur, et surtout plus de matière que le précédent
qui marquait lui-même déjà un certain progrès
en nombre de pages.
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Jean-Pierre DURAND, [Éditorial], p. 5.
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Élise
BAILLEUL, «Notre-Dame d’Étampes, une collégiale “royale”?», pp. 4-16 [18 documents
figurés].
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L’auteure, qui est désormais la
spécialiste incontestée de la collégiale Notre-Dame,
nous présente un scénario global des campagnes de construction
qui est vigoureusement et clairement mené, en lien étroit
et habile avec le peu qu’on sait de la vie de la communauté canoniale
de cette époque, le tout clairement illustré.
Les seules pages 9 et 10, qui traitent du portail
dit royal, sont nettement plus faibles, mais il est vrai que ce sujet est
énorme et qu’il est difficile de résumer en peu de mots
tous les problèmes d’interprétations qui restent à
trancher en la matière.
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Jean-Pierre
DURAND, «Un village entre Beauce et Gâtinais: Brouy au XIXe
siècle», pp. 15-21 [2 clichés, dont une magnifique vue
aérienne de 2006 due à Michel De Pooter, 1 carte, 3 graphiques]
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Le sujet est passionnant, et voici une
importante contribution à l’histoire du village de Brouy, dont quelque
jour Frédéric Gatineau, natif et spécialiste du lieu,
nous donnera une belle synthèse. Cependant l’angle d’étude
choisi, à savoir la méthode statistique, est des plus problématique
pour un si petit nombre d’habitants, même si l’auteur assume honnêtement
son choix“qui a le mérite de limiter le travail de dépouillement”.
Ainsi, le graphique démographique de la page
18 présente non pas une mais plusieurs bizarreries, sur lesquelles
il est d’ailleurs vain de s’interroger, parce que ces bizarreries statistiques
sont usuelles et insignifiantes dès lors qu’on travaille sur de tout
petits nombres.
Par ailleurs, le camembert de la page 19 est très
loin d’être clair parce qu’on ne comprend pas ce que sont les “propriétaires
forains”, notion qui aurait d’ailleurs dû être
expliquée parce qu’elle ne fait pas partie de la culture commune.
Le Dictionnaire de l’Académie de 1835 porte: “Propriétaire qui n’a pas son domicile dans le lieu où
ses biens sont situés et où il est porté au rôle
des contributions”. Aussi, quelle est la
différence entre les différentes catégories mises en
valeur par ce camembert (Brouy/autres villages/forains/étampois),
c’est ce qui reste confus pour le lecteur moyen que je suis et le rend donc
en l’état totalement inutile ou du moins illisible. Il aurait fallu
plutôt porter une carte analogue à celle de la page 21, si
claire et si efficace, pour illustrer une matière si intéressante
et diligemment amassée. Cela aurait même permis de mieux visualiser
les conclusions si claires et convaincantes de l’auteur, à savoir
que Brouy appartient depuis toujours à une sorte de marche de l’Étampois,
à un nuage périphérique de villages sans épicentre,
caractéristique à mon sens de ce qu’on appelle le Gâtinais,
région elle-même sans métropole.
Enfin, le graphique de la page 23, qui a demandé
beaucoup de travail à l’auteur, pour autant ne sert à rien,
sinon à démontrer qu’il ne se passe rien de spécial
dans le village de 1836 à 1886.
En revanche ses patientes et passionnantes recherches
sur les destinées des garçons nés à Brouy tracent
un tableau très vivant et intéressant de ce qu’on appelle
l’exode rural.
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Anne-Marie
FIRON, «Une industrie à la campagne: le travail de la laine
et son évolution dans le Sud-Essonne au XIXe siècle»,
pp. 26-37 [7 photographies, 1 graphique].
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L’auteure, par son enracinement à
Pussay, dont elle s’est faite l’historienne depuis longtemps, était
prédestinée à publier le passionnant travail qu’elle
édite ici. Pussay en effet était à l’époque
considérée une sorte de métropole industrielle du Sud-Essonne.
Aussi on n’a pas à s’étonner de la rigueur ni de la richesse
d’un exposé nourri et copieusement illustré dont la matière
a été visiblement amassée et étudiée
pendant de longues années et d’ailleurs déjà utilisée
en partie dans une publication antérieure remarquée.
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Raymonde
AUTIER, «Les ailes brisées. Les pilotes de chasse d’Étampes-Mondésir
face à la guerre (1936-1940)», pp. 39-49 [18 photographies;
avec une liste détaillée des souces consultée].
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L’auteure, fille d’aviateur et depuis
longtemps historienne du canton de Méréville, était
elle aussi prédestinée au témoignage irremplaçable
qu’elle présente ici en nous ouvrant ses archives et celles de la
famille d’un pilote qui mourut en 1940 au même combat que son père.
L’un avait laissé sa famille à Étampes, et l’autre
à Méréville.
La première partie de l’article, apparemment
rédigée à plusieurs mains, s’étend un peu
longuement sur des circonstances de la guerre qui n’intéressent
pas directement notre territoire; puis viennent des souvenirs, émouvants
autant que précieusement précis, souvenirs des deux familles,
dont l’une a conservé des photos et l’autre un journal.
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Jean-Pierre
DURAND, «Mémoire de Jean-François Baron de La Herse
sur la suppression des jachères (1787)», pp. 50-56 [2 clichés,
dont une magnifique vue aérienne de 2006 due à Michel De Pooter,
1 carte, 3 graphiques].
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L’auteur s’est vu signaler un document
des plus intéressant et nous en donne une transcription presque
complète, amputée cependant sans raison claire de la citation
latine qui le concluait. J.-P. Durand ne nous dit pas s’il s’agit
d’un manuscrit ou d’un imprimé, ni qui l’a transcrit, mais le document
est en lui-même bien intéressant. C’est un “Mémoire
sur la question de savoir quelles sont les plantes qu’on peut cultiver
avec le plus d’avantages dans les terres qu’on laisse en jachères
et quel est l’ordre suivant lequel elles doivent être cultivée”,
mémoire proposé par“Jean-François
Baron de La Herse, laboureur et membre du comice agricole d’Étampes”.
Jean-Pierre Durand identifie sans difficulté
l’auteur, fils de l’aubergiste de la Herse, et annote son intéressant
mémoire en soulignant justement que la question de la jachère
est alors à l’ordre du jour. “Jean-François
Baron, conclut-il, inscrit donc sa réflexion dans les préoccupations
du moment”. Mais en fait il ne s’agit pas de réflexions
personnelles sur un thème librement choisi. Ni le thème ni
la structure de l’exposé ne sont librement choisi, c’est tout simplement
la question qui a été mise au programme du concours de 1787.
On en a d’autres exemples, par exemple, ci-contre, cet autre manuscrit de
52 pages in-quarto qui s’est vendu à Drouot il y a quelque temps,
et qui aurait dû en bonne méthode être comparé
à celui de Baron dans leurs grandes lignes (voyez le résumé
ci-contre, donné par le vendeur).
Par ailleurs J.-P. Durand s’étonne de ne
pas avoir trouvé trace à Étampes de ce “comice agricole d’Étampes” qu’il
suppose être de ces “cercles de sociabilité réunissant
la bonne société autour de thématiques diverses” qui
normalement ont dû exister à Étampes à ce qu’il
lui semble. Si cela intéresse l’auteur, nous sommes prêts à
lui communiquer les références d’un ouvrage qui explique
ce qu’étaient ces comices, qui n’étaient pas du tout ce qu’il
imagine.
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François
HÉBERT-ROUX, Jacques GÉLIS et Jean-Pierre DURAND, «Une
découverte: les peintures murales de Pierre Rabourdin» [18
photographies], pp. 52.
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L’association a eu la bonne fortune de
se voir signaler l’existence de peintures murales dans une maison en vente,
au n°4 de l’avenue de Paris. Elles sont clairement l’œuvre d’un gamin
qui a recopié en les agrandissant des images d’Épinal du même
genre que celles qui émerveillaient en son temps le jeune Arthur
Rimbaud.
Léger reproche: il aurait fallu consacrer
plus de recherches aux sources iconographiques de l’artiste en herbe, et
repousser à cet effet la publication de ces intéressants coloriages
enfantins. Même si, tel quel, cet ensemble documentaire est bien joli
et touchant, une recherche plus poussée des sources aurait permis
de reconstituer plus finement l’univers médiatique au sein
duquel se formait l’esprit des jeunes Étampois de ce temps: occasion
perdue.
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Association
ÉTAMPES-HISTOIRE, «De leurs recherches, les historiens d’Étampes-Histoire
ont tiré plusieurs ouvrages qui font désormais référence»,
p. 3 de couverture.
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Il faudrait décidément
supprimer cette phrase maladroite dans sa fierté naïve, et laisser
au lecteur le soin d’en juger, car, encore une fois, les seuls éloges
qui vaillent sont ceux qu’on reçoit d’autrui.
B. G.
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Cahier de 52 pages in-4. — Mémoire
sur la pomme de terre, pour un concours organisé
par la Société royale d’Agriculture. Mémoire adressé à Nos Seigneurs de la Société
Royalle d’agriculture, “pour répondre et concourir pour le prix
proposé sur la question de savoir quelles sont les plantes qu’on
peut cultiver avec le plus d’avantage dans les terres qu’on ne laisse
jamais en jachère? Et quel est l’ordre suivant lequel elles doivent
être cultivées?” Le candidat propose la pomme de terre, et,
après des observations préliminaires sur les terres labourables,
détaille les étapes à suivre sur cinq années
de culture et termine en listant les avantages de cette plante.
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Jacques GELIS, Un médecin dans la tourmente, le carnet de guerre de René de
Saint-Périer (1914-1916) [17 cm
sur 23; 124 p.; 48 illustrations en couleurs; 301 notes de bas-de-page], Étampes, Association Étampes-Histoire
[«Collection Retour aux Sources » n°1], 2016 [14 € en septembre 2017].
Cet ouvrage a fait l’objet d’une recension critique
très détaillée:
Bernard MÉTIVIER et Bernard GINESTE, «Cent trente-quatre remarques critiques sur l’édition
récente d’un carnet de guerre du docteur René de Saint-Périer», in Corpus Étampois, www.corpusetampois.com/cbe-21-2017remarques134.html,
2017.
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Jean-Pierre DURAND [dir.], A la découverte des campagnes étampoise [21 cm sur 29,6; 56 p.; 63 documents figurés en couleur], Étampes, Association Étampes-Histoire
[«Les Cahiers d’Étampes-Histoire» n°13],
2016 [ISSN 1291-7791; 12
€ en septembre 2016, mais on ne le trouvait nulle part encore à la
fin de décembre].
«Carnets de guerre inédits
du Comte de Saint-Périer (1914-1916)» [Réclame pour
une souscription, l’ouvrage saisi par Bernard Métivier et annoté
par Jacky Gélis étant annoncé en édition papier
par Étampes-Histoire pour décembre 2016], p. 2.
Jean-Pierre DURAND, [Éditorial],
p. 5 [L’auteur annonce de nouveaux rédacteurs, qui paraissent
être Mme Évelyne Lejour et M. Bernard Gandon, et de nouvelles
pistes de recherches, qui paraissent être les recensements mis en
ligne par les Archives départementales de l’Essonne depuis 2011,
et que tout le monde utilise déjà depuis longtemps].
Jean-Pierre DURAND, «A la découverte
des campagnes étampoises: le recensement de 1836», pp. 6-14
[6 documents figurés, dont 3 empruntés à Internet
et deux déparés par les filigranes disgracieux du site des
archives départementales].
Jacques GÉLIS, «“Il
y avait dans la mare un enfant noyé...” Un infanticide à
Mespuits en 1724», pp. 15-21 [5 clichés dont 2 flous].
Évelyne LEJOUR, «Hippolyte
Carnot, la défense d’un héritage républicain (182-1888)»,
pp. 22-25 [6 photographies].
Françoise HÉBERT-ROUX, «La
maison d’arrêt d’Étampes: une prison modèle au XIXe
siècle?», pp. 26-38 [15 photographies dont deux ou trois
provenant d’internet et les autres visiblement prises aux Archives départementales
de l’Essonne dans de très mauvaises conditions, floues et mal contrastées,
surtout celle qui occupent des pleines pages en couleur].
Raymonde AUTIER, «Blaise Cendrars,
Méréville et la guerre de 1914-1918», pp. 39-51 [11
photographies].
Jacques GÉLIS, «Une histoire longtemps
occultée: les conséquences des bombardements alliés
pendant la seconde guerre mondiale» [généralités
introduisant le bref témoignage qui suit], p. 52.
Bernard GANDON, «Le bombardement du quartier
Saint-Gilles en juin 1944. Témoignage», p. 53 [une demi-page].
Gaston PINGUENET, «Clichés»,
pp. 54-56. [15 clichés très intéressants qui auraient
mérité d’être publiés en plus grand format,
avec au moins un début de commentaire, à défaut de
recherches approfondies].
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Jean-Pierre DURAND [dir.],
Témoins étampois de la
Grande Guerre [21 cm sur 29,6 (nouveau
changement de format; adoption d’un logo de l’association dessiné
par Philippe Legendre-Kvater, bien que cela ne paraisse pas mentionné,
sauf erreur); 64 p.; 46 documents figurés en
couleur], Étampes, Association
Étampes-Histoire [«Les Cahiers d’Étampes-Histoire»
n°12], 2015 [ISSN
1291-7791; 12 € en 2015].
Jean-Pierre DURAND, «La
parole est aux témoins!», pp.4-5 [1 photographie].
Jean-Pierre DURAND, «Étampes
(1914-1918), le quotidien de la guerre», pp. 6-14 [9 documents
figurés, dont 3 empruntées au Corpus Étampois].
Jacques GÉLIS, «Le
carnet de poilu: une source précieuse pour l’histoire des combattants»
[Le carnet de Louis Guittard], pp. 15-33 [9 illustrations dont 2 images
empruntées à des sites internet; cet article intègre
une saisie intégrale du carnet en question, pp. 22-32, saisie
de Gélis et Métivier].
Raymonde AUTIER-LEJOSNE, «Marguerite
Van Loo, une femme d’Étampes dans la guerre», pp. 36-42
[6 photographies; cet article intègre une transcription intégrale
du Testament de Georges Van Loo, pp. 41-42].
Jean-Pierre DURAND et Bernard MÉTIVIER,
«Lucien Renard, témoin de l’Arrière-Front»,
pp. 43-48 [1 page et demie de texte, 12 photographies dont la 1re reprend
la photographie de couverture, essentiellement tirées de la collection
Renard, et malheureusement non localisées].
Françoise HÉBERT-ROUX, «Le
journal de guerre de Charles Rabourdin», pp. 49-64 [2 pages de
texte; cet article intègre une saisie intégrale du carnet
en question, 12 pages et demie de transcription; 4 photographies].
[Pas de Bibliographie.
Il est bien dommage de passer totalement sous silence les copieuses et
passionnantes monographies qu’ont publiées, documentées
avec autant de travail que de succès, nombre d’associations et
d’institutions du pays d’Étampes à l’occasion du centenaire
de la Grande Guerre: les associations de Méréville, de Valpuiseaux,
du Corpus Étampois, les Archives départementales de l’Essonne
et municipales d’Étampes, entre autres; mais encore faut-il avoir
le courage de tourner quelques pages.]
|
Jean-Pierre DURAND
[dir.], Le Pays d’Étampes
et la Grande Guerre [21 cm sur 29,6 (nouveau
changement de format); 48 p.; 85 documents figurés
en couleur (dont 10 seulement avaient déjà
été mis en ligne par le Corpus Étampois)],
Étampes, Association Étampes-Histoire [«Les
Cahiers d’Étampes-Histoire» n° spécial],
2014 [ISSN 1291-7791; 12 € en
2014].
Aucun article n’est signé,
parce qu’ils reprennent des textes de panneaux élaborés
collectivement.
«Introduction», pp. 3-8 [22
documents figurés].
«1. D’une guerre l’autre (1870-1914)»,
pp. 9-12 [5 documents figurés].
«2. 1914, De la guerre rêvée
à la guerre vécue», pp. 13-16 [4 documents figurés].
«3. Les Étampois au combat
(1915-1918)», pp. 17-23 [11 documents figurés].
«4. L’arrière participe à
l’effort de guerre», pp. 24-29 [11 documents figurés].
«5. La vie quotidienne à Étampes
pendant la guerre», pp .30-37 [13 documents figurés].
«6. 1918. L’année décisive»,
pp. 38-42 [6 documents figurés].
«7. Bilan et mémoire d’un conflit»,
pp. 43-48 [10 documents figurés]. [Après un long battage médiatique célébrant
l’activité d’une dizaine de personnes qui auraient travaillé
d’arrache-pied pendant deux ans sous l’œil des photographes de presse
admiratifs, certains lecteurs ont été un peu étonnés
de voir cette montagne accoucher d’une souris de 48 pages plus remplies
d’illustrations que de texte. Il s’agit de fait d’un simple catalogue
d’exposition qui reprend l’essentiel des panneaux qui avaient été
présentés en novembre 2014 à la salle des fêtes
Jean-Lurçat, exposition dont tout le monde a reconnu l’excellence,
mais ce n’est pas le sujet. L’association n’a pas souhaité semble-t-il
saisir l’occasion de publier quelque chose de plus nourrissant, alors que
la seule Association du Canton de Méréville a trouvé
de son côté la matière d’un gros ouvrage de 400 pages
en petits caractères, aussi bien illustré et non moins intéressant.
Espérons qu’Étampes-Histoire ne va pas maintenant tomber
à nouveau en sommeil, ni distiller avec avarice pendant plusieurs
années la matière ainsi amassée, pendant que les autres
associations locales seront passées depuis longtemps à autre
chose (B.G.).]
|
Jacques GÉLIS
[dir.], Fêtes à Étampes [15,5 cm sur 24 (changement de format); 71 p.; 59 documents figurés dont
2 photographies couleur], Étampes,
Association Étampes-Histoire [«Les Cahiers d’Étampes-Histoire»
11], 2013 [ISSN 1291-7791;
12 € en 2013].
[Dont un compte-rendu
dans le BHASE n°1 de juin 2013, pp. 164-167.]
Jacques GÉLIS,
«Éditorial», p.3.
Françoise HÉBERT-ROUX
et Marie-José MAGOT, «La célébration
des fêtes nationales à Étampes, de la monarchie
à la république», pp. 4-25 [20 illustrations, dont
2 empruntées sans indication de source au Corpus Étampois].
Bernard GINESTE, «Histoire du
papier à Étampes, des origines au milieu du XVIe siècle.
Étude des filigranes conservés (1394-1561)», pp.
26-49 [35 illustrations toutes originales]. [On
trouvera un correctif à cet article dans le BHASE n°1
de juin 2013, p. 166].
Pauline MALATERRE (stagiaire au Musée
intercommunal), «Conservation préventive. Reconditionnement
d’un fonds archéologique», pp. 50-54.
Jacques GÉLIS et Paulette LAWRENCE
(responsable scientifique de ces fouilles qui a relu le texte),
«Les fouilles de la nécropole de Morigny», pp. 55-58.
Jean-Pierre DURAND, «Recherche de
documents. 1914-1918 au Pays d’Étampes. Quels souvenirs dans
vos greniers?», pp. 59-60.
[On s’interroge sur
la raison pour laquelle des moyens si coûteux sont employés
à la publication de seulement deux articles, et de deux brèves
notices, après une interruption de près de quatre ans, étant
de plus considéré que deux seuls de ces textes sont dus
à des membres de la dite association, Françoise Hébert-Roux
et Jacques Gélis, dont un seul à des recherches personnelles,
le premier. L’ensemble ne fait que 60 pages, et ce alors que le format
a diminué de moitié et que les illustrations se sont multipliées
au dépens du texte, contre 96 pages au format A4 en 2007, et 71
pages A4 en 2009.]
|
Aucun cahier n’est
paru en 2010, ni 2011, ni 2012 à notre connaissance.
|
Jacques GÉLIS [dir.], Étampes
et des quartiers. Saint-Martin (2) [21 cm sur 29,6; 71 p.; 59 documents figurés dont 2 photographies couleur], Étampes, Association Étampes-Histoire
[«Les Cahiers d’Étampes-Histoire» 10], 2009 [ISSN 1291-7791; 12 € en 2009].
Jacques GÉLIS,
«Éditorial», p.1.
Michel MARTIN, «La terre et
les paysans» [4 photographies, 8 graphiques et tableaux], pp.
2-15.
Michel MARTIN, «Artisans et
commerçants de l’Ancien Régime à la Restauration»
[2 photographies, 3 tableaux], pp. 16-20.
Michel MARTIN, «Saint-Martin
de l’Ancien Régime à la Restauration» [4 photographies,
7 graphiques et tableaux], pp. 21-29.
Michel MARTIN, «Délinquance,
criminalité et faits divers à Saint-Martin (fin XVIIe-fin
XVIIIe siècle)», pp. 30-32.
Bernard GINESTE, «Un nouveau
plan d’Étampes. L’assiette des dîmes des religieuses
de Maubuisson au XVIIe siècle» [5 photographies dont
une en double page], pp. 33-42.
Bernard GINESTE, «Thibaud d’Étampes»
[6 photographies], pp. 43-56.
Martine BOURGEOIS, Christian CARENTON,
Marie-José MAGOT, «Le Petit-Saint-Mars, un quartier à
part entière?» [9 photographies], pp. 59-64.
Christian CARENTON, François
HÉBERT-ROUX, Marie-José MAGOT, «Laloyau, une entreprise
familiale emblématique du quartier Saint-Martin» [17 photographies],
pp. 65-70.
ANONYME, «Compte-rendu de:
Culmont, Philippe, sous la direction de, Aventures industrielles
en Essonne, Fontenay-le-Vicomte, 2008», p. 71. [On peut regretter qu’il ne soit pas fait mention
des dernières publications de Wingler ni de Gineste dont certaines
sont importantes pour l’histoire locale; pour le reste c’est un très
beau numéro, qui bénéficie surtout des recherches
approfondies et éclairées de l’infatigable Michel Martin].
|
Jacques GÉLIS [dir.], Étampes
et des quartiers. Saint-Martin (1) [21 cm sur 29,6; 56 p.; 47 documents figurés dont 1 photographie couleur], Étampes, Association Étampes-Histoire
[«Les Cahiers d’Étampes-Histoire» 9], 2008 [ISSN 1291-7791; 12 € en 2008].
Jacques GÉLIS,
«Éditorial», p. 1.
Claude ROBINOT, «Saint-Martin
d’Étampes, géohistoire d’un quartier» [3 photographies],
pp. 2-5.
Jacques GÉLIS, «Saint
Martin, un saint populaire», pp. 6-8 [1 photographie].
Jean-Pierre DURAND, «L’église
Saint-Martin: une histoire mouvementée» [16 photographies],
pp. 9-21.
Michel MARTIN, « La
population de Saint-Martin des origines à la Révolution»
[4 photographies dont 2 de plans, 2 graphiques, 14 tableaux], pp.
22-39.
Claude BOSC, «Étampes
/ Saint-Louis du Sénégal: le rêve avorté
de trois motocyclistes étampois (1934)» [6 photographies],
pp. 41-44.
Christian CARENTON, «Statuts
de la maison des vieillards ou “asile Baugin”, 1834» [1 fac-similé],
pp. 45-48.
Steve GLISONI, «Découvertes
à Étampes, rue de la République (2007)»
[3 photographies], pp. 49-52.
Jacques GÉLIS, «Les
décors peints de l’Hôtel Saint-Yon» [10 photographies
couleur], pp. 53-56 et 4e de couverture.
|
Jacques GÉLIS [dir.], Être
maire à Étampes (1800-1914). Les nouveaux nés
abandonnés à l’hospice d’Étampes (1813-1844).
A Saint-Matin: L’imprimerie La Semeuse. Grands ensembles d’habitation
à Étampes. Les seigneurs de Bois-Herpin. Le
Jugement dernier de Saint-Basile. Les cheminots d’Étampes en 1906. Anniversaire du couronnement
et de la bataille d’Austerlitz à Étampes en 1912. Restauration d’une paire
de cariatides d’Élias Robert. Au Musée d’Étampes, nouvelles acquisitions. Découverte
d’une nécropole à Morigny [21 cm
sur 29,6; 96 p.; nombreux documents et illustrations;
publié en mars 2007], Étampes,
Association Étampes-Histoire [«Les Cahiers d’Étampes-Histoire»
8], 2007. [ISSN 1291-7791; 12,50
€ en 2007]
Jacques GÉLIS,
«Éditorial», p. 1
Études
Jean-Pierre DURAND, «Être
maire à Étampes (1813-1844)» [4 documents et
11 photographies], pp. 2-21.
Jocelyne DOUCHIN & Jacques
GÉLIS, «Les nouveaux-nés abandonnés à
l’hospice d’Étampes» [10 documents], pp. 22-35.
Christian CARENTON, «
La disparition d’un site industriel à Saint-Martin: l’imprimerie
La Semeuse» [12 documents], pp. 36-46.
Cécile RIVIÈRE
& François HÉBERT-ROUX, «Cinq grands ensembles
d’habitation à Étampes» [8 photographies], pp.
47-54.
Alain DEVANLAY, « Les
Seigneurs de Bois-Herpin» [3 photographies], pp. 55-59.
Thèses
Nicole THIERRY, «Le Jugement
dernier de l’église Saint-Basile d’Étampes» [18
photographies et schémas; contribution intéressante
au débat ouvert trois ans auparavant par Bernard Gineste dans
la même revue; avec une préface de Jacques GÉLIS p.
61], pp. 61-76.
[Dont une recension
en ligne: Bernard GINESTE, «Une nouvelle étude sur
le Tympan de Saint-Basile» in Corpus Étampois,
http://www.corpusetampois.com/che-21-gineste2007recension01.html,
2007.]
Jeune historien
Mickaël HUGUET,
«Les cheminots d’Étampes en 1906. Portrait d’un groupe
social» [4 documents], pp. 77-80.
Document
Françoise HÉBERT-ROUX,
«Célébration de l’anniversaire du Couronnement
et de la bataille d’Austerlitz, le 6 décembre 1812 à Étampes»
[1 document], pp. 81-83.
Patrimoine
Cécile RIVIÈRE
& Virginie DESCHAMPS, « La restauration d’une paire de
cariatides d’Élias Robert» [4 photographies], pp. 84-87.
Sylvain DUCHÊNE, «Nouvelles
acquisitions du Musée d’Étampes: un nouveau tableau
de Narcisse Berchère, La vieille enseigne du Sapeur-Pompier,
deux pièces d’orfèvrerie étampoise» [4
photographies], pp. 88-92.
Pierre OUZOULIAS, « Découverte
d’une nouvelle nécropole à Morigny» [1 photographie],
pp. 93-94.
Comptes-rendus
Michel MARTIN [auteur de la recension],
«Les enfants des limbes. Morts-nés et parents dans
l’Europe chrétienne, Jacques Gélis, Paris, udibert,
2006, 396 p.», p. 95.
Alain DEVANLAY [auteur de la
recension]: «Henri Ier, Charte en faveur de Notre-Dame d’Étampes
(1046)», Bernard Gineste, Corpus Étampois, www.corpusetampois.com/cls-11-henri1notredame1046.html,
2006, 32 p.», p. 96 [recension très bienveillante].
AUTEUR NON PRÉCISÉ,
Mention de plusieurs articles d’intérêt étampois
dans les Bulletins de la Société historique
de Dourdan et du Hurepoix 49 (2005), 51 (2006) et 52 (2006).
|
Jacques GÉLIS [dir.], Église et Société dans le Pays d’Étampes
[21 cm sur 29,6; 126
pages; 80 documents figurés et tableaux; couverture illustrée
couleur], Étampes, Association Étampes-Histoire
[«Les Cahiers d’Étampes-Histoire» 7], 2005. [ISSN 1291-7791; 10 € en 2005]
Sommaire, p. 1.
Éditorial
Jacques GÉLIS, «Église
et Société », pp. 2-3.
Église et Société dans le pays
d’Étampes
Jacques GÉLIS, «Religieux
et religieuses à Étampes aux XVIIe et XVIIIe siècles»,
pp. 4-24 (7 illustrations).
Françoise HÉBERT-ROUX,
«Le collège des Barnabites et l’instruction des jeunes
garçons à Étampes aux XVIIe et XVIIIe siècles»,
pp. 25-41 (7 documents).
Michel MARTIN, «La propriété
foncière religieuse autour d’Étampes de 1250 au
début du XVIIIe siècle», pp. 42-47 (10 documents
figurés et tableau).
Alain DEVANLAY, «Le domaine
du Chapitre de la cathédrale Sainte-Croix d’Orléans
dans l’Étampois (IXe siècle-XVIIIe siècle)»,
pp. 58-71 (6 documents figurés).
François DEGOMMIER, «La
Séparation de l’Église et de l’État à
Étampes», pp. 72-90 (8 documents figurés).
Françoise HÉBERT-ROUX,
«La tradition des Rosières à Étampes
et Dourdan», pp. 91-101 (13 documents figurés et tableaux)
Document
Jacques GÉLIS, «L’orgue
de Saint-Basile», pp. 102-104 (1 illustration).
Patrimoine
Jacques GÉLIS, «Un
saint des entrailles: le saint Mammès de l’église
de Boissy-la-Rivière», pp. 105-108 (1 illustration).
Cécile RIVIÈRE,
« Pergola de la Douce France», pp. 109-118 (20 illustrations).
Toponymie
Bernard GINESTE, «Darnatal,
Bézegon, Montanchaux et Vauloyer», pp. 119-122.
Fouilles
Xavier PEIXOTO (de l’INRAP),
«Les fouilles de l’ancien hôpital d’Étampes»,
pp. 123-124 (1 illustration) [N.B.:
Ce premier compte-rendu annonce que «les différentes
études et la rédaction d’un rapport ne seront entreprises
qu’au premier semestre 2006»].
Comptes-rendus
Christian CARENTON, «L’industrialisation
en Essonne, XVIIIe-XIXe siècle. Guide de recherche. Inventaire
des sources. Collectif, dir. Serge Bianchi, Philippe Oulmont
et Jean-Pierre Williot. Comité de recherches historiques
sur les révolutions en Essonne, 2004, 416 p.», p. 125.
Michel MARTIN, «Carte
archéologique de la Gaule, 91 Essonne par François
Naudet et alii, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres,
Paris, 2004, 298 p.», pp. 125-126 [N.B:
Ce compte-rendu est fort incisif, ce qui ne laisse pas d’être
rafraîchissant, concernant un ouvrage édité par
une institution aussi prestigieuse que l’Académie des Inscriptions.].
|
Jacques GÉLIS [dir.], Peintres
d’Étampes. Louise Abbéma. Édouard Béliard.
Narcisse Berchère [21 cm sur 29,6; 88 pages; 67 illustrations
(47 photographies couleurs, 15 en noir et blanc, 3 fac-similés,
2 plans; couverture illustrée], Étampes, Association
Étampes-Histoire [«Les Cahiers d’Étampes-Histoire»
6], 2004. [ISSN 1291-7791; 12
€ en 2004]
Sommaire, p. 1.
Éditorial
Jacques GÉLIS,
«Histoire et peinture», pp. 2-3.
Peintres d’Étampes
Sylvie BARTA-CAMUS
& Cécile RIVIÈRE, «Louise Abbéma,
une femme peintre, 1853-1927», pp. 4-13 (12 illustrations).
Jean-Pierre DURAND,
«Sur les traces d’Édouard Béliard, peintre
et homme politique, 1832-1912», pp. 14-30 (13 illustrations).
Cécile RIVIÈRE,
«Narcisse Berchère et Gustave Moreau, quarante
ans d’amitié», pp. 31-39 (2 illustrations).
Sylvain DUCHÊNE,
«Un peintre à la campagne: les séjours
de Gustave Moreau à Étampes», p. 40-48
(12 illustrations)
Patrimoine
Jacques GÉLIS,
« Un patrimoine symbolique: La girouette de l’Hôtel
de Ville», pp. 49-52 (3 illustrations).
Thèses
ANONYME, [présentation
de la nouvelle rubrique] «Thèses», p. 53
Bernard GINESTE,
«Le Jugement dernier de l’église Saint-Basile
d’Étampes, pp. 54-66 (18 illustrations). [Errata: p. 56, n°10, supprimer «conservée
où?», p. 62: intervertir les titres des deux dessins (dont
le deuxième est de plus inversé de droite à
gauche); p. 62, §
2, l. l. 4, remplacer «et un autre corps» par «tandis
qu’un autre corps est»; p. 63, l. 24,
«ordinaires» et non «ordinaire»; p. 72, n. 4: «celui qu’atteste» et non «celui
qui atteste»; p. 74, § 4, l. 2: supprimez «quart-»;
p. 74, n. 9 : ajouter: «p. 17»; p. 76, §
2, l. 5: «parfois» et non «plutôt».]
Michel MARTIN,
«La localisation de la bataille de 604 entre Thierry
et Landry», pp. 67-70 (2 plans).
Débats
ANONYME, [présentation
de la nouvelle rubrique] «Débats», p. 71.
Bernard GINESTE,
«Les Vieilles Étampes, Champdoux, les Terres
Octaves, trois énigmes toponymiques», pp. 72-81
(3 illustrations). [Erratum:
p. 73, §3, l. 1: «conclut» et non «conclue».]
Michel MARTIN,
«La réponse de Michel Martin» [à
l’article qui précède], pp. 82-84.
Document
Michel MARTIN,
«Première page du censier Foresta de 1511, conservé
aux archives départementales», pp. 85-86 (1 illustration).
Comptes-rendus
Jean-Pierre DURAND,
«Étampes en lieux et places, par Frédéric
Gatineau, Étampes, Association ‘A travers champs’, 2003,
150 p.», p. 87.
Alain DEVANLAY,
«Hôtel de ville et Institutions municipales,
1150-1850, par Clément Wingler, Étampes, Archives
municipales, 2002, 40 p.», pp. 87-88.
|
Jacques [alias Jacky] GÉLIS [professeur émérite
d’histoire moderne à Paris VIII, directeur de la
collection], Michel MARTIN & Frédéric BEAUDOIN
[directeurs du premier tome], Le pays
d’Étampes. Regards sur un passé. Tome 1: Des
origines à la ville royale [17 cm sur
24; 215 p.; 123 photographies, 18 gravures, 36 plans, 16 tableaux;
ouvrage publié avec le concours du Conseil général
de l’Essonne et de la Ville d’Étampes], Étampes, Étampes-Histoire,
2003 [ISBN 2-9508-988-07;
27,50 €].
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|
|
Jacky
GÉLIS, «Préface», pp. 7-8.
Michel MARTIN
& Frédéric BEAUDOIN, «Avant-propos»,
pp. 11-12.
1. «Reconstituer
le passé lointain: sources et méthodes»,
pp. 13-27 [22 photographies]
— Michel MARTIN & Didier MERLER: «Le cadre naturel»,
pp. 13-20.
— Frédéric BEAUDOIN
& Michel MARTIN, «Le délicat problème
des sources», pp. 20-23.
— Michel MARTIN, «Les données
archéologiques», pp. 23-27.
2. «Préhistoire et protohistoire»,
pp. 29-48 [28 photographies, 2 planches de gravures, 1 tableau].
— Michel MARTIN, «Les inconnus du paléolithique»,
pp. 29-30.
— Alain DEVANLAY & Michel MARTIN,
«Les gravures du mésolithique», pp. 30-31.
— Bernard BINVEL, Bernard MARTIN,
Michel MARTIN, Dominique MULLER, Richard PROT, «Les
hommes du néolithique, les premiers agriculteurs-éleveurs»,
pp. 32-40.
— Bernard BINVEL, Bernard MARTIN,
Michel MARTIN, Richard PROT, «La révolution
de l’âge des métaux», pp. 41-43.
— Bernard BINVEL, Bernard MARTIN,
Michel MARTIN, Richard PROT, «L’âge du fer
et la culture celte», pp. 44-46.
— AUTEURS NON PRÉCISÉS,
«La fin de l’indépendance gauloise»,
p. 46-48.
3. «La romanisation», pp. 49-78 [31 photographies
& 17 plans].
— Bernard BINVEL, Dominique BASSIÈRE, Alain DEVANLAY,
Georges GAILLARD, Bernard MARTIN, Michel MARTIN, Richard
PROT, «Le pays d’Étampes à l’apogée
de l’Empire», pp. 49-64.
— Michel MARTIN, «La crise
du troisième siècle», p. 65.
— Michel MARTIN, «L’effondrement
du bas empire», pp. 65-69.
— Michel MARTIN, «Séquences
d’urbanisation du IVe au XIIIe siècle», pp.
69-78.
4. «Le haut Moyen Âge», pp. 79-91
[2 photographies, 1 plan].
— Frédéric BEAUDOIN & Michel MARTIN,
«Au temps mérovingiens, la naissance du ‘pays d’Étampes’»,
pp. 79-81.
— Frédéric BEAUDOIN,
Georges GAILLARD, Michel MARTIN & Richard PROT, «Essor
d’Étampes à la période carolingienne»,
pp. 81-91.
5. «Le Moyen Âge central», pp.
93- [27 photographies, 2 reproductions de gravures, 11 plans,
3 tableaux].
— Frédéric BEAUDOIN, Alain DEVANLAY
& Michel MARTIN, «Les campagnes du XIe au XIVe siècle»,
pp. 93-124.
— «La terre et les hommes», pp. 93-106.
— «La répartition des
cultures», pp. 106-108.
— «Chemins et parcelles»,
pp. 108-110.
— «Seigneurs et paysans»,
pp. 110-114.
— «La condition des paysans»,
pp. 114-118.
— «L’économie seigneuriale:
les droits sur la terre et les hommes», pp. 118-123.
— «La justice», p. 123.
— «Le commerce et son influence
sur les campagnes», pp. 123-124.
— Frédéric BEAUDOIN & Michel MARTIN,
«La ville d’Étampes, de l’expansion à
la stagnation», pp. 124-166.
— «La structure de la ville», pp. 124-131.
— «Le roi à Étampes»,
pp. 131-135.
— «Le Palais du Séjour:
ce que nous apprennent les fouilles», pp. pp. 135-141.
— «De l’archéologie
à l’histoire», pp. 141-142.
— «Les fonctionnaires du roi»,
pp. 142-144.
— «Le temps de l’apanage»,
pp. 144-145.
— «La communauté urbaine»,
pp. 145-147.
— «Les gens de métier»,
pp. 147-149.
— «Les échanges»,
pp. 149-152.
— Richard PROT, «Des monnaies
médiévales à Étampes»,
pp. 152-154.
— «Le poids de l’Église»,
pp. 155-161.
— «Les nobles», pp. 161-162.
— «La communauté juive:
de la discrimination à l’expulsion», pp. 163-164.
— «Les institutions charitables»,
pp. 164-166.
[AUTEUR NON PRÉCISÉ], «Conclusions»,
pp. 167-168.
«Annexes», pp. 169-196 [13 photographies,
7 plans, 11 tableaux].
I — Didier MERLE & Michel MARTIN, «Le Stampien,
patrimoine géologique et référence
stratigraphique», pp. 169-171.
II — AUTEUR NON PRÉCISÉ,
«Liste de grands domaines ruraux carolingiens»,
p. 172.
III — Michel MARTIN, «Les noyaux
urbains d’Étampes», pp. p. 172-174.
IV — Michel MARTIN, «Les moulins
à Étampes du Xe au XIIIe siècle»,
pp. 174-175.
V — Michel MARTIN, «Le site
du palais du Séjour», pp. 176-185.
VI — Michel MARTIN, «Les rendements»,
p. 185.
VII — Frédéric BEAUDOIN
& Michel MARTIN, «Les prés», p. 186.
VIII — Michel MARTIN, «La justice»,
pp. 186-187.
IX — Frédéric BEAUDOIN
& Michel MARTIN, «Les propriétés
ecclésiastiques», pp. 187-190.
X — Frédéric BEAUDOIN
& Michel MARTIN, «Les fiefs et les arrière-fiefs
disposant d’un revenu supérieur à 60 livres
(vers 1218-1220)», p. 190.
XI — Dominique BASSIÈRE, «Les
Bouville, seigneurs de Farcheville, des hobereaux qui
ont réussi», pp. 190-195.
XII — Frédéric BEAUDOIN
& Michel MARTIN, «Ventes par des hobereaux»,
p. 196.
XIII — Bernard BINVEL & Michel
MARTIN, «L’élection des députés
aux états généraux de 1308»,
p. 196.
«Tableaux chronologiques», pp. 197-200.
François
BEAUDOIN & MICHEL MARTIN, «Glossaire», pp.
201-204.
[Accensement, alleu, arpent, Austrasie, banal, biface,
borne milliaire, Burgondie, cabane d’artisanat, calcicole,
callune, carbone 14, cartulaire, castellum, castrum, cens,
Cerny, champart, chantre, chasséen, cheville osseuse,
ciergier, colon, coquemar, corvée, coutume, curtis,
datation calibrée, décimateur, déguerpissement,
dîmes novales, droit de chasse à une bête,
droit de cité complet, granfe dîmeresse ou dîmière,
dinandier, échevin, engobe, ételenage, faide,
falun, fanum, finage, gaste ou gâtine, guéret, Hallstatt,
hipposandale, hobereau, homme de corps, hôtes ou colons,
hostise ou hôtise, hypogée, imbrex, justice, larris
ou laris, latrines, limes, lithique, mainmorte, mégalithe,
mégissier, méreau, métapode, minage, muid,
Neustrie, onomastique, oppidum, ost, pagus, palynologie, Pâques
(style de), pars urbana, pénitence publique, peson, pilum,
polissoir, portus, pouillé, prébende, remanié,
rogations, setier, sigillée, taille, tegula, Tène
(La), tenancier, tenure, torque, transsubstantiation, varenne,
terrier, vicus, villa].
«Bibliographie», pp. 205-208.
«Liste
des abréviations», p. 209.
«Tables
des matières», pp. 211-214.
|
Jacques GÉLIS [directeur], Les
lieux et les images de la mort. Deuxième rencontre des
Associations historiques du Sud et Centre Essonne. Brétitigny,
1er décembre 2001 [21 cm sur 29,6; 48 p. (25 folios agraphés);
29 illustrations (photos noir et blanc, fac-similés et
plans)], Étampes, Étampes-Histoire, 2003 [3 €].
Sommaire, p. 2 de couverture.
ANONYME, «Deuxième
rencontre des Associations historiques du Sud et Centre Essonne.
Brétitigny, 1er décembre 2001», p. 1.
Jacques GÉLIS,
«Le sens de cette rencontre», pp. 2-3.
Vincent GOUSTARD
[Institut National de Recherches Archéologiques Préventives],
«Archéologie du cimetère médiéval
et moderne en Essonne. Pratiques funéraires, d’après
quelques études de cas», p. 4-14 (7 illustrations).
Jacques GÉLIS
[Étampes-Histoire], « L’évolution du
sentiment de la mort du XVIe au XIXe siècle»,
pp. 15-18 (3 illustrations)
Christiane BALUFIN
[Association historique du Vieux Bruyères], «Témoignages
funéraires (Dalles-litres-gisants) à Bruyères-le-Châtel
(XVe-XVIIIe siècle)», pp. 19-21 (3 illustrations).
Dominique BASSIÈRE
[Société historique de Brétigny-sur-Orge],
« Les inhumations dans les églises de Brétigny-sur-Orge
(XVIIe-XVIIIe siècle)», pp. 22-26 (2 fac-similés).
Michèle
PLUQUET [Art et histoire au pays de Châtres], «Les
registres de décès: une source pour l’histoire
de la mort. L’exemple de Saint-Germain-lès-Arpajon»,
pp. 27-33 (3 fac-similés).
Raymonde AUTIER-LEJOSNE,
«Le transfert du cimetière de Méréville
en 1866», pp. 34-36 (2 plans).
Marianne CHARDINE,
«Monuments aux morts du Sud-Essonne», pp. 37-45
(8 photographies).
Dominique BASSIÈRE,
«Bibliographie indicative», pp. 46-48.
|
Jacques GÉLIS [dir.], Des grands Étampois méconnus.
Louis Moreau. Nathan ben Meschullam. Le chanoine Desforges.
Le gisement à vertébrés fossiles de
Vayres-sur-Essonne [21 cm sur 29,6; 52 pages; 65 plans,
figures, tableaux, fac-similés et photographies dont 10
en couleur; couverture illustrée], Étampes,
Association Étampes-Histoire [«Les Cahiers d’Étampes-Histoire»
5], 2003. [ISSN 1291-7791; 7,50 € en 2003]
Jacques GÉLIS, «Des grands étampois
méconnus», pp. 2-3.
Philippe
OULMONT, «Louis Moreau, Un inspecteur primaire
dans la résistance étampoise», pp.
4-13 (7 illustrations).
Bernard
GINESTE, «Nathan ben Meschullam et les rabbins étampois
du XIIe siècle», pp. 14-24 (2 illustrations).
[N.B.: remplacez, page 18,
ligne 16, "publié" par "analysé", et, dans la
note 16, "réédité" en "édité";
corrigez, p. 19, ligne 11, "le légendaire dit" par
"il est dit"; remplacez, à l’avant dernière ligne,
"de l’étude sur" par "du"; page 20, dans l’encadré
"Généalogie...", ligne 3, supprimez "Nathan"
avant "de Melun".]
Jacques
GÉLIS, «Voler ou convoler? L’étonnante
destinée du chanoine Desforges», pp. 25-45
(15 illustrations).
Jean-Paul
BAUT, Didier MERLE, Claire SAGNE & Sophie HERVET, «Le
gisement à vertébrés fossiles de
Vayres-sur-Essonne: une découverte importante pour l’histoire
de la mer stampienne», pp. 46-65 (33 tableaux, cartes
et illustrations).
Jacques
GÉLIS, «Chronique campanaire. Les cloches
de l’église de Lardy», pp. 66-70 (2 illustrations).
Cécile
RIVIÈRE & Sylvain DUCHÊNE, «Deux
nouvelles acquisitions au musée municipal d’Étampes»
[Louise Abbéma: autoportrait, huile sur toile, et
projet d’éventail aquarellé], p. 71 (2 illustrations).
François
DEGOMMIER, «Contrat de mariage et inventaire après
décès d’un fermier de la vallée de
la Juine (fin XVIIIe-début XIXe siècle)»,
pp. 72-75 (1 illustration).
Raymonde
AUTIER-LEJOSNE, [Recension de:] «Jean-Joseph de
Laborde, banquier de Louis XV, mécène des
Lumières, par François d’Ormesson et Jean-Pierre
Thomas; Paris, Perrin, 2002, 357 p.», p. 76.
Jacques
GÉLIS, [Recension de:] «Essonne, an 2000;
regards croisés… Publication de l’IUFM de l’académie
de Versailles (AFEC), Pithiviers, 2002, 127 p.», pp.
76-77.
Michel
MARTIN, [Recension de:] «Boissy-le-Sec, une commune
entre Beauce et Hurepoix, par Jean-Pierre Dobler, Millau,
Écomar, 2002, 219 p.», pp. 77-78.
Jacques
GÉLIS & Michel MARTIN, [Recension de:] «Le
Patrimoine des communes de l’Essonne, coll. ‘Le Patrimoine
des communes de France’ Paris, Flohic Éditions, 2 tomes,
2002, 1053 pages», pp. 78-80.
|
Jacques GÉLIS [dir.], Étampes
et ses quartiers. Saint-Pierre (2) [21 cm sur 29,6; 52 pages; 58 plans,
figures, tableaux, fac-similés et photographies dont 10
en couleur; couverture illustrée], Étampes, Association
Étampes-Histoire [«Les Cahiers d’Étampes-Histoire»
4], 2001. [ISSN
1291-7791 (et non 1291-779 comme porté sur ce n°);
9 € e en 2001]
Jacques GÉLIS, «Étampes, le quartier
Saint-Pierre: un château et ses seigneurs», pp.
2-3.
Christian
CARENTON, «La seigneurie du Bourgneuf», pp.
4-9 (7 illustrations).
Jacques
GÉLIS, «Le château au temps des Valory»,
pp. 10-15 (7 illustrations).
Jacques
GÉLIS, «Un grand commis du roi: Guy-Louis-Henry
de Valory», pp. 16-23 (7 illustrations).
Jacques
GÉLIS, «La vie au Bourgneuf», p. 24-31
(15 illustrations)
Jacques
GÉLIS, «Les difficultés de la seigneurie
avant la Révolution», pp. 32-33 (1 illustration).
François
JOUSSET, «La pierre tombale du marquis de Valory»,
pp. 34-35 (1 illustration).
Chantal
MINET, «La fête Saint-Pierre. Un entretien
avec Guy Péluard, dernier président du comité»,
pp. 36-39 (7 illustrations).
Françoise
HÉBERT-ROUX [éd.], «Les suites de
juin 1848 à Étampes. Une lettre au procureur
de la République», pp. 40-42 (1 illustration).
Jocelyne
DOUCHIN, «La Pergola de la Douce France. Une richesse
méconnue du patrimoine étampois»,
pp. 43-44 (5 illustrations).
Michel
MARTIN & Dominique BASSIÈRE, «Les sobriquets
locaux entre 1050 et 1500», pp. 45-47.
Jacques
GÉLIS, [Recension de:] «Marcoussis, Essonne,
Textes de Brigitte Blanc, photographies de Philippe Ayrault,
Drac Île-de-France, 48 p., Paris, 2000. Le Château
de Montlhéry. L’enceinte urbaine, l’hôtel-Dieu,
la prison de la prévôté», Textes
de Brigitte Blanc et Jean-Christophe Guillon, photographies
de Philippe Ayrault, Drac Île-de-France, 40 p., Paris,
2001, Éditions du patrimoine, coll. ‘Itinéraires
du patrimoine’», p. 49 (1 illustration).
Jacques
GÉLIS, [Recension de:] «Michelle Pluquet,
Annick Lalucq, Les Dames de Saint-Eutrope; histoire du monastère
de l’Annonciade de Saint-Germain-lès-Arpajon, impr.
Maury, Malesherbes, 2001, 472 p. ill.», pp. 49-51 (1 illustration).
Jacques
GÉLIS, [Recension de:] «Pierre Bonnet, Bernard
Duclos et Frédéric Gâtineau, Étampes,
chronique d’un siècle, collection ‘Mémoire
en images’, éditions Alan Sutton, Joué-lès-Tours,
2001», p. 51 (1 illustration).
|
Jacques GÉLIS [dir.], Étampes
et ses quartiers. Saint-Pierre (1) [21 cm
sur 29,6; 52 pages; 61 plans, figures, tableaux, fac-similés
et photographies dont 9 en couleur; couverture illustrée],
Étampes, Association Étampes-Histoire [«Les
Cahiers d’étampes-Histoire» 3], 2000. [ISSN 1291-7796. 6,86
€ e en 2000]
Jacques GÉLIS, «Éditorial»,
p. 3.
Chantal
MINET, «Le quartier Saint-Pierre à Étampes:
un quartier abîmé», pp. 4-9 (8 illustrations).
Michel
MARTIN, «Saint-Pierre du Néolithique au XVe siècle»,
pp. 10-13 (3 illustrations).
Jacques
GÉLIS, «Le faubourg Saint-Pierre du XVIe
au XVIIIe siècle», pp. 14-19 (5 illustrations).
Chantal
MINET, «Aspect démographique de la paroisse
Saint-Pierre d’Étampes sous l’Ancien Régime,
pp. 20-25» (9 illustrations, tableaux et graphiques).
Jacques
GÉLIS, «Les lieux de culte de Saint-Pierre»,
p. 30-40 (11 illustrations)
Frédéric
BEAUDOIN & Michel MARTIN, «Quelques sceaux
et un peu d’histoire», pp. 41-46 (6 illustrations).
Jocelyne
DOUCHIN, «La Porte Bressault. Plaidoyer pour une
belle oubliée», pp. 47-48 (4 illustrations).
Jean-Pierre
DURAND, [Recension de:] «Artisanat, industrialisation,
désindustrialisation en Ile-de-France (colloque
de Meaux, 4-5 décembre 1999). Paris et Ile-de-France, Mémoires,
tome 51, 463 p., Paris, 2000 (250F)», p. 49 (1 illustration).
François
HÉBERT-ROUX, [Recension de:] «L’Essonne
au milieu du XIXe siècle; 1848 en Essonne; fascicule
3, Naissances d’une démocratie électorale, 354
p.; fascicule 4, Républiques et vie politique, 288 p.; publication
du comité de recherches historiques sur les révolutions
en Essonne, Malesherbes, 2000; chaque volume 120 F.», pp.
50-51 (2 illustrations).
|
ASSOCIATION
ÉTAMPES-HISTOIRE [Caroline ACHARD, Raymonde AUTIRE,
Sylvie BARTA-CAMUS, Jean-François & Nicole BERTHOMIER,
Charles & Claudette BODIN, Annick, Christian & Jean-Claude
CARENTON, Roger CUCHIN, Jean-Pierre DURAND, Jocelyne DOUCHIN,
Romuald FÉRET, Georges GAILLARD, Jacques & Josette GÉLIS,
Françoise HÉBERT-ROUX, François JOUSSET, France
LEGAVE, Marie-José MAGOT, Chantal MINET, Gérard NIQUET,
Béatrice & Peter ROBBINS, Claude ROBINOT, Odile VIGNOT
(auteurs ou sources des renseignements ou des documents), Marie-Angèle
CASTILLO, Thierry CITRON, Philippe et Patricia LEGENDRE-KVATER, Michel
SOULAS (illustrateurs)], Étampes.
Almanach 2000 [16 cm sur 24; 142 pages non paginées;
53 illustrations (dont cinq œuvres originales) et 12 grilles de mots-croisés; ; couverture illustrée en couleur (aquarelle originale
de Philippe Legendre-Kvater)], Étampes,
Association Étampes-Histoire, 1999
[ISBN 2-9508988-07; 12,20 € en 1999].
Cet ouvrage non paginé mentionne
un événement historique étampois pour chaque jour de
l’année; à quoi s’ajoute des notices et des documents figurés
commentés; un proverbe par semaine; une grille de mots-croisés
par mois; une œuvre originale d’artiste étampois pour
chaque saison.
«L’Almanach d’Étampes:
renouer avec une tradition»; «Basile Fleureau,
‘le père de l’histoire d’Étampes»; «Trucs
et astuces: Un usage original de la choucroute. L’odeur du chou.
Moyen de préserver les choux des chenilles»; «A
la cuisine: Rata beauceron»; «Au jardin (janvier)»;
«En 1753, Guettard…»; «Louise Abbéma,
une femme artiste-peintre»; «A la cuisine: Charlotte
au miel»; «Au jardin (février)»; «Le
Stampien»; «Le printemps, œuvre originale de Thierry
Citron»; «Jacques-Guillaume Simonneau, un martyr de la
liberté»; «A la cuisine: feuilleté aux échalotes»;
«Au jardin (mars)»; «Trucs et astuces: Pour
empêcher son nez de rougir. Pour guérir les rhumatismes»;
«La peinture historique du Tribunal»; «Charades»;
«Rose Chéri, actrice talentueuse et femme de cœur»;
«A la cuisine: Épaule de mouton farci»; «Au
jardin (avril)»; «Édouard Béliard, (1832-1912.
Un artiste, maire d’Étampes»; «A la cuisine: Pintade
aux choux»; «Au jardin (mai)»; «Stampien:
Malacofaune et saumâtre»; «L’été,
œuvre originale de Patricia Legendre»; «Trucs et astuces:
Remède de la sœur d’Étampes contre le choléra.
Destruction des verrues»; «Jean-Louis Bory, le bon
élève et le brillant critique»; «A la
cuisine: Tarte aux asperges»; «Au jardin (juin)»;
«Trucs et astuces: Les piqûres d’abeilles»;
«Ingeburge, reine de France»; «A la cuisine:
Écrevisse à la crème»;; «Au jardin
(juillet)»; «Stampiens: Mollusques continentaux»;
«Michel de l’Hospital, une victime de l’intolérance»;
«A la cuisine: Artichauds à la fondue d’échalotes»;
«Au jardin (août)»; «Stampien : Mammifères»;
«L’automne, œuvre originale de Marie-Angèle Castillo»;
«Trucs et astuces: L’absinthe. Les vertus bienfaisantes du
persil»; «Jacques Houllier et Gérard François.
Deux médecins d’origine étampoise, au XVIe siècle»;
«A la cuisine: Crème de menthe»; «Au jardin
(septembre)»; «Le voyage de la première girafe
à fouler le sol français»; «Trucs et astuces:
L’âge des œufs. Conservation des œufs»; «Nicolas
Le Gendre, un grand sculpteur étampois»; «A la
cuisine: Gratin de potiron»; «Au jardin (octobre)»;
«L’apport scientifique d’Étienne Geoffroy Saint-Hilaire»;
«Jean-Étienne Guettard, un naturaliste précurseur»;
«A la cuisine: Vin de cresson»; «Au jardin (novembre)»;
«Menhirs et dolmens dans le canton d’Étampes»; «L’hiver,
œuvre originale de Michel Soulas»; «Poésie alphabétique»;
«Natalie de Laborde, une âme romantique à
Méréville»; «A la cuisine: Potage
à la mâche. Flan de mâche»; «Au
jardin (décembre)»; «Solutions mots croisés»;
«Solutions charade»; «Nos publications».
|
Jacques GÉLIS, Patrimoine au cœur. Le Pays d’Étampes
[24 cm sur 17; 240 p.; 165 photographies dont 23 en couleur;
ouvrage publié avec le concours de la Caisse d’épargne
Paris-Île-de-France, agence d’Étampes], Étampes, Association Étampes-Histoire,
1999.
[ISBN 2 9508988 0 7; 22, 87 € e en 1999]
«Avant-Propos:
patrimoine et histoire, pp. 6-11.
«Langages de l’eau»,
pp. 12-46.
A la découverte,
le long de la rivière. La fontaine dans la ville.
Passer le pont. Puits publics. Lavoirs et laveuses. Le château
d’eau, une silhouette familière.
« Patrimoine végétal»,
pp. 48-73.
Chemins d’herbe. Des arbres de
grand air. Fleurs et fruits du terroir. Que sont devenus
les arbres de la place? Plaidoyer pour le marais.
«La ville ambiguë»,
pp. 74-105.
Les vieux murs. Les toits, un
jeu de construction. Une ville sous la ville. Le pavé
de nos rues. La publicité gâte la ville. Un
patrimoine en péril.
«Patrimoine rural»,
pp. 106-129.
Du haut de son clocher, le coq.
La mare du village. La cabane du cantonnier. La portail de
la ferme. La haute tour du colombier.
«Témoins spirituels»,
pp. 130-161.
Au porche des églises.
Le vitrail religieux. Croix de bois, croix de fer. Une
parole: la cloche communautaire. La fontaine sainte-Apolline.
Oratoires et chapelles. «Espace
et temps», pp. 162-185.
Les bornes ou l’espace maîtrisé.
Le long de la grand’route. Cadrans solaires. Dans le cimetière,
l’histoire à fleur de terre. Perpétuer
le souvenir: les pierres tombales.
«Décors
et signes», pp. 186-221.
«Au sapeur-pompier».
Le décor de la maison. Les délices du fer.
Les bonheurs simples. Portes anciennes. Les «fabriques»
dans le parc. Au fond du jardin.
«Pour conclure»,
p. 223.
[Cahier de clichés en couleur],
pp. 225-240.
|
Jacques GÉLIS [dir.], Des
plantes et des hommes [29 cm sur 20,5;
60 pages; 47 fac-similés et photographies dont 2
en couleur; couverture illustrée], Étampes, Association
Étampes-Histoire [«Les Cahiers d’Étampes-Histoire»
2], 1999. [ISSN
1291-7796; 6,86 € en 1999]
Jacques GÉLIS, «Éditorial»,
p. 3.
Raymonde
AUTIER, «La culture du cresson à Méréville»,
pp. 4-10 (4 illustrations).
Françoise
HÉBERT-ROUX, «Le safran du Gâtinais
hier et aujourd’hui», pp. 11-20 (12 illustrations).
Jocelyne
DOUCHIN, «La plante dangereuse: l’absinthe»,
pp. 21-22 (3 illustrations).
Christian
CARENTON, «La plante industrielle: la betterave
sucrière», pp. 23-25 (3 illustrations).
Claudette
BAUDIN, «La Société d’Horticulture
d’Étampes», pp. 26-35 (4 illustrations).
Jacques
GÉLIS, «Saint Fiacre, patrons des jardiniers
et des maraîchers», pp. 36-37 (1 illustration).
Jacques
GÉLIS, «Saint Vincent, patrons des vignerons»,
pp. 38-39 (1 illustration).
Marie-José
MAGOT, «Le lieu: Conservatoire national des plantes
à parfum, médecinales, aromatiques et industrielle
de Milly», p. 40.
Bernard
PAILLASSON, «Les pêches Rose-Chéri»
[recette], p. 40 (1 illustration).
Jacques
GÉLIS [éd.]: «Le document: ‘Au marché
d’Étampes’» [réédition illustrée
d’un texte paru dans l’Annuaire-Almanach de la ville et de l’arrondissement
d’Étampes de 1899, pp. 2-10)], pp. 41-47 (7 illustrations).
Jacques
GÉLIS, «Les vitraux de Notre-Dame»
[liste des souscripteurs pour leur restauration], p. 48 (1
illustration).
ANONYME,
«Hôpital, silence!», p. 48 (2 illustrations).
Jacques
GÉLIS, [Recension de:] « Etampes, un canton
entre Beauce et Hurepoix, sous la direction de Julia Fritsch
et Dominique Hervier, Cahiers du Patrimoine 56, Éditions
du Patrimoine, 314 p.; Paris, 1999. 290 francs», p. 50 (1
illustration).
Raymonde
AUTIER, [Recension de:] «Aux Jardins de Méréville,
promenade à la belle époque, par François
d’Ormesson et Pierre Wittmer, Éditions du Labyrinthe,
juin 199», p. 51 (1 illustration).
Jocelyne
DOUCHIN, [Recension de:] «Il était une fois…
Lorigny-Champigny, Commune de Morigny-Champigny, 94 p.,
Éditions Maury, Malesherbes, 1999. 120 francs»,
p. 52 (1 illustration).
Françoise
HÉBERT-ROUX, [Recension de:] «La République
confisquée? 1848 en Essonne, Colloque de Crosne,
21-22 novembre 1998, Comité de Recherches Historiques
sur les Révolutions », p. 53 (1 illustration).
Jacques
GÉLIS, [Recension de:] «L’Essonne au milieu
du XIXe siècle ; 1848 en Essonne; fascule 1, Enfances,
196 p.», p. 54 (1 illustration).
ANONYME,
«Nos amis nous font savoir» [Les Amis du Château
Royal d’Étampes; Amis du Château de Dourdan
et de son Musée; archives départementales; ouvrages
reçus (12)] & «Vie de l’Association»,
pp. 55-56 & 57-60.
|
Jacques GÉLIS [dir.], A
la découverte de Notre-Dame-du-Fort
[29 cm sur 20,5; 40 pages; 42 schémas et photographies
dont 2 en couleur; illustrations; couverture illustrée],
Étampes, Association Étampes-Histoire [«Les
Cahiers d’Étampes-Histoire»
1], 1998. [ISSN 1291-7796
(alors en cours); épuisé en 2003]
ANONYME,
«Présentation» & «Plan
de l’église Notre-Dame (d’après Léon Marquis)»,
pp. 3 & 4.
François HÉBERT-ROUX,
«Les cultes fondateurs», pp. 6-9 (5 illustrations).
Jean-Pierre DURAND, «Une architecture
originale», pp. 10-14 (7 illustrations).
Claudette BODIN & Marie-José
MAGOT, «Le portail royal», pp. 15-24 (12
illustrations).
Claudette BODIN & Marie-José
MAGOT, «Le portail occidental», pp. 25-26
(3 illustrations).
Jacques GÉLIS, «Les
peintures murales», pp. 27-29 (3 illustrations).
Xavier EUSTACHE, «La restauration
du bel orgue du XVIe siècle», pp. 30-34 (4
illustrations).
Jacques GÉLIS, «Les
vitraux», pp. 35-38 (5 illustrations).
ANONYME, «Pour en savoir plus»
[bibliographie, 19 titres] & «Nos publications»
[4 titres], pp. 39 & 40.
|
Jacques GÉLIS [dir.], Caroline ACHARD,
Claudette BAUDIN, Christian CARENTON, Jocelyne DOUCHIN,
Jean-Pierre DURAND, Georges GAILLARD, Josette GÉLIS, François
HÉBERT-ROUX, Marie-José MAGOT, Chantal MINET
& Denis DECROIX [propriétaire de la collection utilisée],
Étampes,
l’album souvenir [22 cm sur 21; 144
p.; couverture cartonnée illustrée;
201 documents extraits de la collection de cartes postales
anciennes de Didier Decroix], Étampes,
Association Étampes-Histoire, 1997. [ISBN 2
9508988-0-7. Ouvrage épuisé en 2003. Réimprimé
en décembre 2004 (avec une seule
modification, concernant la Porte Bressault)]
«Introduction», p. 4-11 (7 cartes).
«Étampes, une ville
à la campagne», pp. 13-29 (22 cartes, 2 photographies,
1 plan)
«Cheminements», pp.
31-51 (38 cartes).
«Vivre à Étampes»,
pp. 53-73 (30 cartes).
«Une ville commerçante»,
pp. 74-87 (18 cartes, 1 photographie, 2 documents)
«Loisirs et fêtes»,
pp. 88-107 (30 cartes).
«Un patrimoine glorifié»,
pp. 108-125 (25 cartes, 1 document).
«L’entrée dans la modernité»,
pp. 126-139 (21 cartes)
«Conclusion», p. 140
(1 carte).
«Tables des matières»,
p. 141.
«Éditeurs et imprimeurs»,
pp. 142-143.
|
ASSOCIATION ÉTAMPES HISTOIRE, Étampes. Travail des hommes. Images
de la ville [260 p.; ouvrage publié
avec le soutien de la direction générale des affaires
culturelles d’Île-de-France (ministère de la Culture
et de la Francophonie), du conseil général de l’Essonne
et de la ville d’Étampes], Étampes,
Association Étampes Histoire, 1994.
Jocelyne DOUCHIN, «Un monde rural en évolution:
le pays d’Étampes au XIXe siècle», pp. 11-30.
Claudette BODIN & Marie-José
MAGOT, «Les métiers de l’eau au fil des
siècles», pp. 31-51.
Françoise HÉBERT-ROUX,
«Boucherie et bouchers: une longue tradition»,
pp. 53-77.
Jean-Pierre DURANT, «Saint-Martin,
naissance d’un faubourg ouvrier», pp. 79-102.
Christian CARENTON, «Du maître
d’école à l’instituteur: instruire et éduquer»,
pp. 107-126.
Claudette BODIN & Marie-José
MAGOT, «Foires et marchés: lieux de rencontre
et d’échanges», pp. 127-141.
Françoise HÉBERT-ROUX,
«Criminels, délinquants et désespérés
au siècle dernier», pp. 143-179.
Claude ROBINOT, «La restauration
de l’Hôtel de Ville: l’invention d’un patrimoine»,
pp. 181-202.
Jacques GÉLIS, «Les
hôtels ‘Anne de Pisseleu’ et ‘Diane de Poitiers’
ou le passé idéalisé», pp. 203-226.
Claude ROBINOT, «Les images
de la ville: du pittoresque au touristique», pp.
227-240.
Hervé JOUBEAUX, «Les
beaux-arts à Étampes: du siècle
des Lumières aux Années Folles», pp.
241-257.
|
ASSOCIATION ÉTAMPES-HISTOIRE,
Le pays d’Étampes au
XIXe siècle [288 p.; ouvrage publié avec le concours de la ville d’Étampes], Éditions Amattéis, Le Mée-sur-Seine,
1991. [Ouvrage
épuisé en 2003]
Françoise HÉBERT-ROUX , «...Et le
train arriva à Étampes!», pp. 11-43.
Christian CARENTON & Jocelyne
DOUCHIN, «Sociétés d’agriculture et
modernisation des campagnes», pp. 45-66.
Romuald FÉRET, «Le
théâtre à Étampes au XIXe siècle»,
pp. 67-87.
Laurent GOUX, «Révolutions
et coups d’État: un écho provincial»,
pp. 90-105.
Claude ROBINOT, «1870-1871:
L’année terrible vue d’Étampes», pp.
107-127.
Marie-Thérèse
LARROQUE, «Une saignée démographique
à Étampes, le choléra de 1832»,
pp. 128-165.
Jacques GÉLIS , «Les
‘Corps-saints’ d’Étampes: la fin d’un culte populaire»,
pp. 169-195.
Jean-Pierre DURAND, «Presse
locale et esprit public à Étampes (1893-1906)»,
pp. 197-217.
Marie-José MAGOT, «Étampes
à la ‘Belle Époque’», pp. 219-238.
Bernard VILFRITE, «Les
centenaires de 1789 et 1792 à Étampes»,
pp. 243-255.
|
ASSOCIATION
ÉTAMPES-HISTOIRE [Frédéric BEAUDOIN,
Christian CARENTON, Jocelyne DOUCHIN, Jean-Pierre DURAND,
Romuald FÉRET, Georges GAILLARD, Jacques GÉLIS,
Laurent GOUX, François HÉBERT-ROUX, Marie-Thérèse
LARROQUE, Marie-José MARGOT, Michel MARTIN, Claude
ROBINOT, Laurent SLOMOVICI, Bernard VILFRITE], Étampes en Révolution. 1789-1799
[248 p.; 78 documents figurés; sources et bibliographie
à la fin de chaque chapitre; cartes de Claude Robinot;
aquarelle de Philippe Legendre-Kvater en 1ère de couverture],
Éditions Amattéis [Comité pour la commémoration
du Bicentenaire de la Révolution Française dans
l’Essonne, «La Révolution en Essonne» (collection
de 9 ouvrages)], Le Mée-sur-Seine, 1989. [ISBN
2 86849-074-3. Ouvrage épuisé en 2003]
«Avant-propos», pp. 5-6.
«1. Étampes et sa région
à la fin du XVIIIe siècle», pp. 8-29.
Au
sud et à l’est, «la belle et féconde
Beauce». A l’est et au nord, la diversité des
paysages et des activités. A Étampes,
le commerce et le pouvoir. Une ville qui s’ouvre. Une ville
de l’eau. Étampes et ses quartiers. Une société
contrastée. Les attitudes devant la vie. Sources. bibliographie.
«2. Les derniers beaux jours
de l’Ancien Régime (janvier 1787-mars 1789»,
pp. 30-50.
Avant
la Révolution, la réorganisation du pouvoir
municipal. Le temps des projets (janvier 1787-juillet 1788).
Un événement lourd de conséquences: la
grèle du 13 juillet 1788. Des élites philanthropes?La
préparation des États généraux mobilise
les énergies (décembre 1788-mars 1789). Les paysans
du plat-pays d’Etampes n’ont-ils rien à dire? Le Tiers État
d’Étampes exprime un désir de réformes.
Les ordres privilégiés en proie à des
sentiments contradictoires. La préparation des États
Généraux s’achève à Étampes. Sources. bibliographie.
«3. Étampes entre en
révolution (avril 1789-juillet 1790)», pp.
51-79.
Les
troubles du marché Saint-Gilles. Le maintien de
l’ordre: prévention et répression. Quand Paris
entre en scène… Les premiers symptômes d’une crise
politique à Étampes.
Malgré la moisson, la crise s’aggrave. La «révolution
municipale» à Étampes? Étampois
et Parisiens: des rapports toujours difficiles. Des élections
municipales laborieuses (26 janvier-1er février 1790).
Le contentieux entre l’ancienne et la nouvelle municipalité.
Étampes dans la bataille administrative. Le district et
la commune. La fête de la Fédération à
Étampes. Sources. bibliographie.
«4. Lassitude des élites
et craintes populaires (août 1790-novembre 1791)»,
pp. 80-102.
L’édifice
religieux se fissure.Grandeur et servitude de la Garde
nationale. La désaffection pour les charges électives.
La gestion du quotidien. La justice locale. La contribution
financière. Le choc de Varennes. Les «journées»
des 10 et 16 septembre. Sources. bibliographie.
«5. L’affaire Simonneau»,
pp. 103-127.
Changement
de ton, changement de rythme. Objectif: le marché
d’Étampes! L’échec d’une stratégie.
L’émeute tourne à la tragédie. L’instruction
de l’affaire et le procès. Simonneau, l’homme de la
situation? Un complot? Quel complot? Aux origines d’une émotion
populaire. Simonneau, martyr de la Loi. Sources. bibliographie.
«6. Dans l’ombre de Paris»,
pp. 128-147.
En toile de fond la guerre
et les subsistances. Le renversement du trône: le 10 août
1792. Et toujours la guerre! Le calme revient… retour à
la gestion quotidienne. Comment faire payer les contributions?
Encore les subsistances! Les problèmes internes du conseil
de commune. Le clergé et ses biens. Les émigrés
et les autres suspects. Sources. bibliographie.
«7. La crise de l’an II: la
guerre et le gouvernement révolutionnaire»,
pp. 148-185.
Sauver
la République: l’effort de guerre. Les mesures
révolutionnaires et la «mission Couturier».
La guerre aux paysans. Prêtres abdicataires et déchristianisation.
Les résistances à la Révolution. Le bataillon
d’Étampes. Prisonniers de guerre: «Vendéens»
et Autrichiens. Subsistance et Maximum. Maximum des salaires
et «coalitions» de salariés. Restrictions
et marché noir. La disette et la fête. Temps nouveaux,
espaces nouveaux. Sources. bibliographie.
«8. De Robespierre à
Bonaparte», pp. 186-213.
La
disette de l’an II. Étampes en Thermidor. Le pouvoir
de quelques-uns. Le patriotisme et la fête. La guerre,
toujours la guerre… Prison et prisonniers. Timide réapparition
de la Garde nationale. Les contributions et les percepteurs.
La police des marchés, des rues et des campagnes. La crise
monétaire de 1795-1796. Les moulins. La vie intellectuelle
et l’instruction publique. Quel bilan, quelles interprétations?
«Pour conclure», pp.
215-217.
«Biographies», pp. 219-227.
Boullemier
Claude-Julien, Brou Jean-Baptiste, Clartan Armand, Constance
Boyard Sulpice-Charles, Couturier Jean-Pierre, Dolivier
Pierre, Dupré Claude, Duverger Théodore-Adrien,
Nasson Pierre, Pailhèse Jean-Baptiste, la famille Périer,
Robert Georges-François Rousseau Jean-Henri, Simonneau
Jacques-Guillaume.
«Glossaire», pp. 229-237.
Abbé
commendataire, administration municipale, agent national,
appréciateurs, ateliers de charité, aulnage,
bailliage, banalité, bénéfice ecclésiastique,
blutage, capitation, champart, chanoine, chapitre, châtellenie,
citoyen actif, colombier (privilège de), comité
de surveillance, commissaire du directoire exécutif, compagnie
de l’arquebuse, conseil général de la commune,
contribution patriotique, corde, dîme, district, directoire,
droits casuels, échevin, élection, enchères,
états provinciaux, fabrique, fermiers généraux,
finage, fouille, gabelle, gardes françaises, garde nationale,
généralité, grenier à sel, gros, hausse,
intendant, laboureur, lieutenant général, logement
des gens de guerre, marché, mégissier, mesures agraires,
mesures anciennes de la région d’Étampes, mesures
de longueur, mesure de masse, mesureur, méteil, milice bourgeoise,
minage (droit de), monnaie, octroi, officiers de judicature, péage,
physiocrate, prévôté, procureur, procureur de
la commune, procureur du roi, procureur syndic, règlement municipal
de 1786, regrattier, représentant en mission, roulier, section,
six-corps, subdélégué, suffrage censitaire,
suffrage universel, taille, tarif, terrier.
«Bibliographie» [36
titres], pp. 239-241.
«[Table des] Tableaux, cartes
et graphiques», p.243.
«Table des matières»,
pp. 245-247.
|
Merci de nous communiquer toute inexactitude que vous constateriez
dans cette bibliographie.
|
Document
Un courrier pittoresque de l’Association
Étampes-Histoire
en date du 16 juillet 2018
|
Première version (courrier
au Corpus, juillet 2018)
|
Deuxième version (cahier
n°15, p. 2, septembre 2018)
|
Troisième version (à
paraître)
|
Étampes, le 16 juillet 2018
M. Bernard Gineste
Président du Corpus Étampois
Monsieur le Président,
Suite à la publication sur le site du Corpus
Étampois de commentaires plus que désobligeants à
l’intention de notre association, de son travail et de ses membres notre
conseil d’administration réuni le 28 juin dernier vous demande unanimement
de publier sur cette page le droit de réponse que vous trouverez
ci-joint. Certain de votre attachement à la liberté d’expression,
je ne doute pas que vous lui donnerez satisfaction.
Jean-Pierre Durand président d’Étampes-Histoire
|
C’est
par hasard que nous avons découvert récemment sur le site
du Corpus Étampois, une page consacrée
à nos publications et nos activités (http://www.corpusetampois.com/cbe-etampes-histoire.html.)
On aurait pu penser qu’il s’agissait là d’une manifestation d’ouverture
d’esprit et de confraternité entre historiens. Mais, stupéfaction,
colère, consternation furent nos réactions à la lecture
de ce qui est en réalité une entreprise de dénigrement
systématique. Comment réagir à cette agression délibérée?
Se taire? S’abaisser à répondre à ces attaques par
d’autres attaques d’aussi mauvais aloi?
Il nous a semblé qu’il fallait laisser nos
adhérents, nos lecteurs, nos sympathisants se faire leur opinion
par eux-mêmes mais les informer de cette situation déplorable.
Certes, le Corpus s’adonne à une conception de l’histoire locale qui
n’est pas la nôtre, mais qu’importe. C’est au public de choisir ce
qui lui convient. Nous n’avons jamais contesté leur travail qui est
loin d’être inutile ; nous avons même invité des membres
du Corpus à participer à nos cycles de conférences ainsi
qu’à la préparation de l’exposition sur Étampes pendant
la Grande Guerre de laquelle ils disent maintenant pis que pendre. Nous leur
avons également ouvert nos colonnes dans les «Cahiers».
Comment expliquer un tel comportement de leur part? A vous d’en juger...
|
C’est par
hasard que nous avons découvert récemment sur le site du
Corpus Étampois, une page consacrée à
nos publications et nos activités (http://www.corpusetampois.com/cbe-etampes-histoire.html.)
On aurait pu penser qu’il s’agissait là d’une manifestation d’ouverture
d’esprit et de confraternité entre historiens. Mais, stupéfaction,
colère, consternation furent nos réactions à la lecture
de ce qui est en réalité une entreprise de dénigrement
systématique. Comment réagir à cette agression délibérée?
Se taire? S’abaisser à répondre à ces attaques par
d’autres attaques d’aussi mauvais aloi?
Il nous a semblé qu’il fallait laisser nos
adhérents, nos lecteurs, nos sympathisants se faire leur opinion
par eux-mêmes mais les informer de cette situation déplorable.
Certes, le Corpus s’adonne à une conception de l’histoire locale qui
n’est pas la nôtre, mais qu’importe. C’est au public de choisir ce
qui lui convient. Nous n’avons jamais contesté leur travail qui est
loin d’être inutile ; nous avons même invité des membres
du Corpus à participer à nos cycles de conférences ainsi
qu’à la préparation de l’exposition sur Étampes pendant
la Grande Guerre de laquelle ils disent maintenant pis que pendre. Nous leur
avons également ouvert nos colonnes dans les «Cahiers».
Comment expliquer un tel comportement de leur part si ce n’est par la jalousie,
le dépit et l’aigreur? A vous d’en juger...
|
|
Autre document
Site internet d’Étampes-Histoire
page de février 2014, toujours en ligne fin juillet 2018
Repompage dès février 2014, à la virgule près,
d’une page du Corpus qu’on nous dit avoir découvert par hasard
en juin 2018.
|
Source: Les ouvrages considérés,
et leurs tables des matières. |