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Jean Casimir
L’histoire religieuse du Palatinat rhénan (Kurpfalz) a été assez mouvementée au 16e siècle. Au commencement de la Réforme, le Prince-Électeur Louis V (1508-1544) resta farouchement catholique, mais son successeur Frédéric II (1544-1556) adhéra à la confession des cités indépendantes de Strasbourg, Konstanz, Memmingen et Lindau qui tentaient de concilier les points de vue de Luther et de Zwingli. Le fils de Frédéric II, Ottheinrich (1556-1559), passa quant à lui au luthéranisme, mais son successeur Frédéric III (1559-1576), calviniste acharné, expulsa du jour au lendemain d’Heidelberg tous les pasteurs luthériens. Frédéric III eut de sa première femme onze enfans. L’aîné de ses fils lui succèdera sous le nom de Louis VI (Ludwig). Le second mourut jeune. Le troisième est notre Jean Casimir, dont le s’écrit en allemand Johann Kasimir, ou Casimir, et en latin Johannes Casimirus. Jean Casimir est né le 7 mars 1543 à Simmern. Comme son père, il est calviniste, et fondera d’ailleurs en 1578 un collège de théologie calviniste à l’université d’Heidelberg qui s’appellera le Collegium Casimirianum. Sa devise est Constanter et sincere, «Avec constance et sincérité». Mais c’est aussi un soldat et un bon vivant, qui aime la chasse, et l’on montre encore au château d’Heidelberg de grands fûts qu’il aurait été le premier à utiliser. Jean Casimir épouse en 1570, âgé de 27 ans, Elisabeth, princesse de Saxe âgée de 18 ans, qui ne lui donnera qu’un garçon mort-né en 1573, puis cinq filles, dont les deux premières mourront en bas âge et dont les deux dernières seront également mort-nées: seule survivra Dorothea (1581-1631).
Finalement, au début de 1576, c’est Jean Casimir, âgé de 33 ans, qui entre en France à la tête d’une armée de quatre mille reîtres. Il s’enfonce jusque dans le Bourbonnais où il fait le 11 mars 1576 sa jonction avec le Duc d’Alençon, généralissime de la coalition, à la tête désormais d’une armée de 35.000 hommes, qui fait trembler la monarchie. Henri III est forcé de composer. Il envoie sa mère, accompagnée de Montmorency au camp des coalisés le 27 avril. Il accepte d’élargir l’apanage du duc d’Alençon et cède à toutes les conditions extravagantes de Jean Casimir: une compagnie de cent hommes d’armes, 14.000 écus de gages en qualité de colonel de 4.000 reîtres pour le service du Roy, une pension annuelle, la solde de ses troupes chiffrée à onze millions de livres, le tout devant être payable à des termes précis. Naturellement, tous ces engagements ne seront pas respectés. Le roi lui cède encore, par lettres patentes en date du 18 mai 1576, le duché d’Étampes revenu à la couronne après la mort de Jean de Brosse en 1564. Le 26 octobre meurt Frédéric III, et lui succède Louis VI, frère aîné de Jean Casimir. Louis a été secrètement élevé par sa mère dans la confession luthérienne, qu’il rétablit aussitôt à Heidelberg. Louis VI, alors âgé de 37 ans, est marié depuis 16 ans à Elisabeth de Hesse, qui ne lui a pas encore donné d’héritier, et ne lui en donnera jamais. Jean Casimir est l’héritier présomptif de son frère jusqu’en 1582. En France, Jean Casimir désespère vite de se voir accorder réellement tout ce qui lui a été consenti par Henri III, maintenant menacé par la Ligue des catholiques intransigeants, et dont les caisses sont vides. On arrive à un compromis et il renonce officiellement à plusieurs des donations qui lui avaient été faites, notamment au Duché d’Étampes, par un acte de renonciation en date 8 mars 1577. La suite de la vie et de la carrière de Jean Casimir est plus brillante mais nous intéresse moins. En 1582, son frère devenu veuf épouse aussitôt une jeune femme de vingt ans, voit naître un héritier, Frédéric IV, et meurt quelques mois plus tard, le 22 octobre 1583. Tout naturellement la Régence revient Jean Casimir, qui l’exercera jusqu’à sa mort survenue le 16 janvier 1592, alors que le jeune roi n’a pas encore dix ans. Naturellement, Jean Casimir a restauré entre-temps le calvinisme dans le Palatinat. Il élèvera son neveu dans cette foi, et sa politique extérieure restera plus centrée sur la France que sur les autres principautés allemandes. Malgré cela le catholicisme sera rétabli de force par la Ligue de 1618 à 1648, avant une nouvelle restauration du calvinisme en 1649, toute provisoire elle aussi. B. G.
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Récit
de Basile Fleureau
[Extrait
du] CHAPITRE XLIII [de la 1ère
partie des Antiquitez d’Estampes]
Des choses memorables arrivées à Estampes sous le Regne de Henry III. Roy de France, mort en 1589. [...] LA paix dont je viens de parler ne dura pas plus que la vie du Roy Charles IX. car d’abord qu’il fut mort le Dimanche 30. May 1574. toutes choses se disposerent à la guerre sous divers pretextes. Le frere du deffunt Roy, & son legitime successeur, qui [p.242] a regné sous le nom de Henry III. étoit absent du Roiaume: la Reine Mere fut établie Regente, pour gouverner son Etat, jusques à son retour de Pologne, où il étoit: Cette conjoncture d’affaires donna lieu aux Religionnaires de se partager en divers avis sur la resolution qu’ils devoient prendre. Les plus moderez opinerent qu’il falloit entretenir la paix, jusques à l’arrivée du Roy: les plus fiers au contraire, vouloient que l’on reprît les armes, croyans que la Regence de la Reine leur seroit un grand avantage pour attirer les Catholiques mécontens à leur party, et les porter à la guerre. Le Prince de Condé s’étoit retiré en Allemagne, & sollicitoit les Princes Protestans à luy donner un puissant secours de gens de guerre, pour rentrer en France; à quoy ils avoient assez d’inclination, s’il eut eu [sic] de l’argent pour payer leurs troupes seulement deux mois. Le Duc d’Alençon, & le Roy de Navarre eussent volontiers fait un effort pour échapper des mains des gardes que la Regente leur avoit donnée [sic]. Le Roy se retira de Cracovie le 18. Juin de 1574. & arriva à Lion le 6. Septembre. Les Religionnaires, & les Catholiques mécontens, autrement les Politiques, liguez ensemble, deputerent vers Sa Majesté, pour lui offrir leurs services, & leur obeïssance: Mais avec de certaines conditions qui tendoient en apparence à une grande reformation de l’Etat, & qui en effet servoient seulement de couverture à la recherche de leurs propres interrests. Le Roy receut en bonne part les remontrances, & les plaintes qu’ils luy firent: & en l’assemblée qui fut tenuë au mois d’Avril de l’année suivante à Paris, où le Duc d’Alençon, & le Roy de Navarre assisterent, Sa Majesté receut aussi les articles des demandes que les deputez de l’Assemblée des Religionnaires, & des Politiques tenuë à Basle, au mois de Mars precedent, luy presenterent: Mais les demandes furent trouvées si hardies, & si insolentes, qu’on jugea qu’elles avoient esté proposées, plûtost pour avoir pretexte de prendre les armes, que sous esperance qu’elles fussent accordées. Car en même temps les Religionnaires surprirent plusieurs villes en diverses Provinces du Roiaume: & le Duc d’Alençon se retira de la Cour au mois de Septembre 1575. auquel plusieurs Seigneurs, & Gentils-hommes se joignirent. Ensuite il publia un Manifeste, par lequel il exposoit les causes de sa retraite, ce qui favorisa grandement le traité du Prince de Condé, avec Federic Comte Palatin, Electeur de l’Empire, lequel ne se pouvoit resoudre à mener, ny à envoyer du secours aux Religionnaires François, sans toucher de l’argent. [p.243] Ce Prince entra en France avec le Duc Jean Casimir, fils de Federic, à la tête d’une puissante armée étrangere, pour ruiner sa patrie, protestant de ne s’arréter point, qu’il ne fût devant Paris, si l’on ne luy accordoit ce qu’il avoit demandé. Il penetra jusques dans le Bourbonnais, & le 11. jour de Mars 1576. il se joignit au Duc d’Alençon; à qui l’on defera tout le commandement, avec la qualité de General de l’armée, qui étoit de trente cinq mille combatans. Le Roy craignant l’issuë d’une bataille, s’il en venoit aux mains avec ses ennemis qui étoient beaucoup plus forts que luy, ne desiroit que de les renvoyer chez eux à quelque prix que ce fût, c’est pourquoy, outre la bonne réponse, qu’il donna aux deputez du Duc, des Princes, & des Religionnaires, la Reine Mere accompagnée du Duc de Montmorency, & de quelques autres du Conseil du Roy, alla dans leur camp, où elle arriva le 27. du mois d’Avril, & convint avec eux de la modification des demandes qu’ils avoient fait à Sa Majesté. L’on dressa un traité de Paix, qui fut ratifié par le Roy, & verifié au Parlement de Paris le 15. jour de May de la même année. L’appanage du Duc d’Alençon fut augmenté: On accorda au Duc Jean Casimir une Compagnie entretenuë de cent hommes d’armes: quatorze mille écus de gages en qualité de Colonel de quatre mille Reistres, pour le service du Roy: une autre pension annuelle: & le payement entier de ce qui luy étoit dû pour la solde de ses troupes, qu’il faisoit monter à onze millions de livres, qui devoient luy estre payées à certains termes. Et outre cela le Roy le gratifia de la jouïssance sa vie durant, du Duché d’Estampes par le brevet suivant: Henry par la grace de Dieu Roy de France, & de Pologne, à nos amez, & feaux les gens tenans nôtre Cour de Parlement, gens de nos Comptes, Tresoriers de France à Paris, & à tous nos autres Iusticiers qu’il appartiendra, salut: Sçavoir faisons, que nous voulons reconnoître envers nôtre tres-cher, tres-ame Cousin, le Duc Iean Casimir Palatin, la devotion, & bonne volonté qu’il montre avoir à nostre service, & iceluy bien, & favorablement traiter, comme merite sa qualité: même lui donner lieu, & maison commode, où il puisse se retirer en cettui nôtre Roiaume prés de nous. A icelui, pour ces causes, & autres à ce nous mouvans, avons donné, & par ces presentes donnons, & octroions, ceddons, quittons, transportons nôtre Duché d’Estampes avec tous, & chacuns les fruits, & revenus d’icelle, ses appartenances, & dependances, ainsi qu’elle se poursuit, & comporte de toutes parts, en tous droits de Iustice, & Iurisdiction haute, moienne, & basse, cens, [p.244] rentes, fermes, dixmes, champarts, prez, vignes, terres, labourables, & autres droits, & devoirs de Seigneurie, & domaine quelconque, droits, & profits de fiefs, entendant neanmoins, que les hommages soient faits, & receus en nôtre Chambre des Comptes à Paris: pour en joüir doresenavant par nôtredit Cousin, sa vie durant, & avoir sa retraite, & demeure en nos Château, & maison, haute & basse dudit Estampes, quand bon lui semblera. Lui donnons außi pouvoir, & faculté de pourvoir aux Offices ordinaires, quand vacation y eschera. Si voulons, & mandons, que de nos presens, don, octroi, ceßion, transport, & delais, vous faites, souffrez, & laissez nôtredit Cousin Casimir, jouïr, & user plainement, & paisiblement, cessant, & faisant cesser, tous troubles, & empêchemens au contraire, & rapportant ces presentes, ou vidimus d’icelles fait sous le seel Roial, ou deuëment collationé par l’un de nos amez, & feaux Notaires, & Secretaires, pour une fois, avec certification de nôtredit Cousin de la jouïssance dudit don, & octroi. Nous voulons tous ceux de nos Receveurs, & comptables, à qui ce pourra toucher, en estre tenus quittes, & déchargez par vous gens de nosdits Comptes, nous mandans ainsi leur faire sans difficulté. Car tel est nôtre plaisir, nonobstant que tous dons ne deussent estre païez, ne acquitez que par le Tresorier de nôtre Epargne, & non autre: ni ceux de cette nature faits, passez, & alloüez que pour la moitié, ou le tiers, tant seulement, les Ordonnances, tant anciennes que modernes faites sur l’ordre, & distribution de nos Finances, & reglement de nôtre domaine: même l’Edit fait à Moulins, prohibitif de toutes aliénations d’icelui, hors les cas y mentionnez, pour quel temps que ce soit, & quelconques autres Ordonnances, restrictions, mandemens, deffenses, & lettres à ce contraires, ausquelles, & aux derogatoires des dérogatoires y contenües, nous avons derogé, & derogeons par ces presentes signées de nôtre main: vous deschargeant pour l’effet susdit des deffenses, & peines portées par nosdites Ordonnances. Donné à Paris le XVIII. jour de May, l’an de grace MDCLXXVI. Et de nôtre regne le deuxiéme. Ainsi signé, Henry: Et plus bas. Par le Roy, Fizes: Et seellées sur simple queuë en cire jaune du grand seel. Registrées, ouï le Procureur General du Roi, pour joüir par ledit Iean Duc Casimir de l’effet, & contenu en icelles. A Paris en Parlement le XXIV. May 1576. Ce don est enregistré aux Ordonnances du Parlement, fol. 49. Les payemens de ce qui avoit été promis au Prince Casimir n’ayans pas été faits aux termes dont on étoit convenu, il fut sollicité par les Reithmaistres qu’il avoit amenez en France, & par d’autres, qu’il s’étoit obligé d’assister, c’est pourquoy il envoya [p.245] au commencement de l’année 1577. Le Seigneur Berthreich vers le Roi, pour presser Sa Majesté de satisfaire à ses promesses. Cet envoié eut aussi ordre de son Maistre de remettre entre les mains du Roy tous les dons, dont il l’avoit gratifié, tant charges que Seigneuries. Ce qu’il fit par un acte de renonciation du 8. de Mars de la même année 1577. & ainsi le Duché d’Estampes revint au Roy, qui l’engagea en suite à la Duchesse de Montpensier par les Lettres patentes suivantes données à Parisle dix-septiéme de Janvier 1579. [...] |
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Dont une édition numérique en mode image par MATEO sur le site de l’Université de Mannheim, «Atrium heroicum Caesarum, regum, [...] imaginibus [...] illustr[atum]: Johann Kasimir, Pfalzgraf bei Rhein (*1543, 1583-1592 Administrator der Kurpfalz)», in ID., http://www.uni-mannheim.de/mateo/desbillons/eico/seite154.html, qui n’est plus en ligne en 2004, mais dont l’image a été reprise en conservée par le Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cae-17-dominicuscustos1602jeancasimir.html, 2004.Dom Basile FLEUREAU, 1683, pp. 241-245. A. NOSS, «Die Kriegstaler des Pfalzgrafen Johann Kasimir», in Mitteilungen der bayerishchen Numismatischen Gesellschaft 29 (1911) [dont une réimpression (94 p.), Munich, 1973], pp. ?-?. H. Godwin GRIMM [de Mannheim], «The Story of the Churches of Christ in Central Europe», in [publication confessionnelle non précisée] (janvier 1957), pp. ?-?, dont une saisie numérique en mode texte in EvangelismUpdate.Com, http://www.evangelismupdate.com/ARTICLES/grimm_article.htm, 2003 (en ligne en 2004) [résumé de l’histoire religieuse du Palatinat rhénan]. Manfred KUHN, Pfalzfraf Johann Casimir von Pfalz-Lautern. 1576-1583 [XXIV+216 p.; thèse soutenu en 1959] Otterbach, Arbogast [«Schriften zur Geschichte von Stadt und Landkreis Kaiserslautern» 3], 1961. Peter KRÜGER, Die Beziehungen der Rheinischen Pfalz zu Westeuropa 1576-82. Die auswärtigen Beziehungen des Pfalzgrafen Johann Casimir [Dissertation: «Les relations du Palatinat rhénan et de l’Europe occidentale 1576-1582. Les relations extérieures du comte palatin Jean Casimir»], München [Munich], 1964. Volker PRESS, Calvinismus und Territorialstaat. Regierung und Zentralbehörden der Kurpfalz 1559-1619, Stuttgart, 1970. Günter HEINEMANN, Pfalzgraf Johann Casimir als Jäger aus Kurpfalz. Das Waidwerk von 400 Jahren nach Notizen aus seinen Tagebüchern. 1567-1589 [44 p.; illustrations], München [Munich], Bayerischwe Vereinsbank [«Bavaria Antiqua» 7], 1975. Volker PRESS, «Die ’Zweite Reformation’ in der Kurpfalz"», in Heinz SCHILLING [dir.], Die reformierte Konfessionalisierung in Deutschland - Das Problem der ’Zweiten Reformation’, Gütersloh, 1986. pp. 104-129. Jörn BAHNS (Hg.), Heidelberg im konfessionellen Zeitalter: aus der Sicht des Heidelberger Kirchenrates Dr. Marcus zum Lamm (1544-1606). Ausstellung zur Eröffnung des Kurpfälzischen Museums im Juni 1991. Ausstellungskatalog. hrsg. von Jörn Bahns [60 p.; illustrations], Heidelberg, Kurpfälzisches Museum, 1991. Frieder HEPP, Religion und Herrschaft in der Kurpfalz um 1600. Aus der Sicht des Heidelberger Kirchenrates Dr. Marcus zum Lamm (1544-1606) [390 p.; illustrations ; «Religion et pouvoir en Palatinat vers 1600, du point de vue du consistoire de Heidelberg: le Dr Marcus zum Lamm»], Heidelberg, Guderjahn [«Buchreihe der Stadt Heidelberg» 4], 1993 [ISBN 3-924973-46-6]. Siggi & Andrea KOPP, «Das Heidelberger Schloss», in ID., Famile Kopp, http://weinhaus.kopp.bei.t-online.de/Heidelberg/Schloss/schloss.html, 2002-2003 (en ligne en 2004) [dont la photographie du tonneau ci-dessus]. «Das große Fass: Johann Kasimir, Regent der Kurpfalz , ließ 1589 bis 1592 als besondere Attraktion im Schloß ein Faß "wie keines noch auf Erden" , bauen, dazu ein Gebäude, um dieses Faß aufzunehmen. Der Küfer Michael Werner aus Landau baute das erste große Fass mit einem Fassungsvermögen von 130.000 Litern.»BADISCHE HEIMAT, «Kurfürst Johann Kasimir» & «Pfalzgraf Johann Casimir, 1578», in Vom Glanz der Kurpfalz [“CD-Präsentation”]. Das goldene Zeitalter der Kupfalz. Der Jäger aus Kurpfalz, http://www.zum.de/Faecher/G/BW/Landeskunde/rhein/pfalz/glanz/johka01.htm & http://www.zum.de/Faecher/G/BW/Landeskunde/rhein/pfalz/kf_joca.htm, 2003 [clichés de la miniature de Markus zum Lamm représentant Jean Casimir et sa femme]. Heinz WEMBER [d’Augsbourg], «Friedrich III., Kurfürst von der Pfalz 1559-1576» & «Johann Kasimir, Pfalzgraf und Herzog von der Pfalz», in ID., «Genealogie der Wittelsbacher», in ID., Heinz Wember Genealogie, http://www.gen.heinz-wember.de/wittelsbacher/FriedrichIII1515.htm & http://www.gen.heinz-wember.de/wittelsbacher/JohannK1543.htm (en ligne en 2004). Ce généalogiste allègue comme sources: Hans RALL, Wittelsbacher Lebensbilder von Kaiser Ludwig bis zur Gegenwart, München 1976; Hans & Marga RALL, Die Wittelsbacher in Lebensbildern, Graz/Wien/Köln 1986, Ausgabe Kreuzlingen 2000 & Adeldatenbank Uni-Erlangen (banque de données nobiliaires de l’Université d’Erlangen), http://faui8l.informatik.uni-erlangen.de/cgi-bin/stoyan/wwp/LANG=germ/?1.DRUCKEREI-KERP & LANDSTUHL, «Die Geschichte von Kaiserslautern - Der Pfalzgraf Johann Casimir (1543-1592)», in ID., Die Geschichte von Kaiserslautern, http://www.shopping-kl.de/Info-KL-Ordner/Staedte/KL-Geschichte7.html, en ligne en 2004. Dans le Corpus Étampois
Bernard GINESTE [éd.], «Notes sur Jean Casimir (compilation)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-16-jeancasimir.html, 2004. Bernard GINESTE [éd.], «Henri III: Donation d’Étampes à Jean Casimir (lettres patentes du 18 mai 1578)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-16-henri3-1576dondetampesajeancasimir.html, 2004. Bernard GINESTE [éd.], «Markus zum Lamm: Jean Casimir en marié (miniature, vers 1578)», in Corpus Étampois, http://corpusetampois.com/cae-16-markuszumlamm1578jeancasimir.html, 2004. Bernard GINESTE [éd.], «Tobias Stimmer: Jean Casimir en combattant (gravure sur bois, vers 1578)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cae-16-tobiasstimmer1578jeancasimir.html, 2004. Bernard GINESTE [éd.], «Conrad Bloc: Jean Casimir âgé de 35 ans (médaille, 1578)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cne-060.html, 2004. Bernard GINESTE [éd.], «Gravure sur bois anonyme: Jean Casimir (vers 1578)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cae-16-anonyme1578jeancasimir.html, 2004. Bernard GINESTE [éd.], «Dominicus Custos: Jean Casimir (gravure et vers latins, 1602)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cae-17-dominicuscustos1602jeancasimir.html, 2004. |
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