| Le moulin de Vauroux 
 Renseignements disponibles
       
       
  Le moulin de Vauroux en
1904 (carte postale Bréger   sans numéro)  Le moulin de Vauroux en 1904
(carte postale Bréger   sans numéro)
 
                                                        
         
                                                            
           
                                                             
             
                                                             
               
                                                            
                 
                     Il apparaît 
     en définitive qu’il faut distinguer deux époques et deux 
  sites   distincts de ce côté: il semble qu’il a existé 
  à   Vauroux, premièrement un moulin sur la Juine elle-même 
  au XVIe   et XVIIe siècles, et peut-être encore au XVIIIe. 
Il  semble qu’on  avait perdu le souvenir de cette première histoire 
losqu’en   1796 Charles  Bellemère demande l’autorisation de fonder 
un nouveau   à Vauroux,  mais cette fois sur le Juineteau.
 Bernard Gineste, 2 mai 
     2011.
 
 
 
                                       
                                         
                                           | Date 
 | Renseignements disponibles 
 | Sources 
 |  
                       | 1ère 
     époque | Le 
  premier    moulin (situé sur la Juine): XVI-XVIIe siècles 
 | 
 |  
                       | (?) 1532 
 | Il est question d’un
  moulin    en amont de Saint-Pierre, soit celui de Gérofosse ou plutôt,
     à mon sens (B.G.), celui de Vauroux: “E. 3776. (Liasse.) — 1
cahier,       parchemin, de 18 feuillets in-4°. — 11 avril 1532. — Bourgneuf 
(le).      — Procès-verbal de visite de la seigneurie du Bourgneuf 
et des  Moulins-neuf     au faubourg Saint-Père d’Etampes, fait par 
Noël  Bijon, juge   et  garde de la prévôté «de 
la Ferté  Aleps,    à la requête de François 
Roiger, seigneur  de  la  dite seigneurie. La visite commence par un «grand
moulin à     bled  assis sur la dicte rivière de Juisne au-dessus
et joignant   l’hôtel   de Pierre Testard, où pendait pour enseigne
l’image   de Saint-Martin,   et qui était situé au bout du
Pont-aux-lièvres,   autrement   le Pont de Juisne; elle se continue
par un autre moulin foulleret   estant  assis sur la dicte rivière 
au dessoulz du dict pont-aux-lièvres.»        On se transporte 
ensuite en dehors du faubourg Saint-Père, «allant        le long
de la dicte rivière de Juisne droit au villaige d’Ormoy,»  
     pour visiter un autre «moulin folleret, où y a maison couverte
      de tuilles. A cause desquelz molins qu’ilz (les témoins appelés
      par le juge de la Ferté-Alais) dient estre appeliez les molins
  neufz    du fief, terre et seigneurie du dict Bourneuf, dient le dict cours
  deaue   et rivière de Juisne appartenir au dit Roiger, depuis ung
 gué   appelle le gué de la Bronarde [corrigez: Brouarde (B.G.)],
 estant  près du villaige d’Ormoy, au-dessus de la maison de Vaurou,
 jusques  au dessoulz des dictz molins neufz et du dit faulxbourg Sainct-Père,
    et lieu qui se appelle la Teste-à-l’abbé... au-dessus du
 dict   molin foulleret, deux autres saulx de molins, l’un au-dessus et près
    du dict molin foulleret, appelé le Sault du molin de Crochet,
et   l’autre  plus [p.228] hault tirant sur la dicte rivière vers
Vauron   [sic]...»  suit  la délimitation de la censive 
 du chantier   appelé  la censive de Courte, appartenant à la
 dicte terre  et seigneurie des  molins neufz... » Après quoi
 se trouvent les délimitations  des dépendances et appartenances 
 de la seigneurie   de Bourgneuf proprement  dite, etc.” 
 | Archives départementales
        de Seine-et-Oise (aujourd’hui de l’Essonne), Inventaire de la série
        E, tome 2, pp. 227-228 (saisie Bernard Gineste,
     2011). 
 |  
                       | 1580 
 | Aucune mention du 
moulin    de  Vauroux, qui paraît abandonné sans doute à 
la suite    des Guerres de Religion. Dans le même fief du Bourgneuf 
seul subsiste    le moulin du Bourgneuf sur le Pont de Juine, et celui des 
Grais est expressément     mentionné comme en ruine. | Voyez nos notices 
sur   le              moulin   du  Bourgneuf  et sur le moulin  des Grais,  à 
l’année 1580. 
 |  
                                       | 1667 
 | Le
 moulin    paraît  à nouveau en activité: emprisonnement
   du  meunier     de Vauroux. 
 | Martin
   17  (alléguant        AD91 B 1516). On notera que cette donnée 
   paraît en contradiction       avec ce qui suit, d’autant que le moulin
   n’est pas mentionné dans   les états des moulins de 1801
et   1816. 
 |  
                       | 1801 
 | L’état des 
moulins     de  1801 ne fait aucune mention de notre moulin qui paraît 
alors  disparu    depuis longtemps. 
 | État des moulins 
    de   1801, édition Gineste (ici) 
 |  
                       | 2e 
    époque 
 | Le 
    deuxième moulin de Vauroux (sur le Juineteau): XIXe-XXe siècles 
 | 
 |  
                           | 1790 
 | Le 8 août,
  mariage     à  Arrancourt du futur refondateur du moulin de Vauroux,
  François-Charles     Bellemère,  neveu du curé, originaire
  de Normandie, avec  la   fille d’un laboureuse  du lieu enceinte
de  cinq mois: “Ce jourd’huy     huit aoust mil sept cents quatre  vingt
dix,  après la publication    du futur mariage entre François
              Charles Bellemere   fils mineur de Jacques Bellemere laboureur
   et de Margueritte Deslandres  ses pere et mere de la paroisse de Portejoye,
   diocèse d’Evreux,  d’une part, et Margueritte Gartault fille
 mineure  de deffunt Gille Cartault  vivant laboureur et de la Margueritte
 Sergent ses  pere et mere de cette paroisse, d’autre part, faite au prône
 des messes  parroissiales tant en cette eglise qu’en celle de Portejoye
par  trois dimanche  de suitte, sçavoir     le premier, le trois et
le quinze du present mois  sans qu’il se soit trouvé    aucun empechement
ou opposition quelleconque  ainsi qu’il nous est apparu    par le certificat
  du sieur curé signé  Jardin curé  de  Portejoye en
datte  du 20 août present mois, je  pretre curé   soussigné
 après les fiançailles celebrées  du   jour d’hier en
 cette eglise; ay reçu leur mutuel consentement  de mariage  et leur
 ay donné la benediction nuptialle avec les ceremonies   prescrittes
  par la sainte Eglise en presence de de mr Pierre prieur curé   d’Abbeville
  chargé de la procuration de Jacques Bellemere pere de  l’epoux,
faitte   et passée à Louviers par  devant Clair  Dagommer
notaire   au dit lieu, et de Marguerite Sergent mere de l’épouse 
qui a declaré   ne sçavoir signer et presence de Germain Cartault,
  Louis Cartault   freres de l’épouse, Alexandre Butet et Jean Rouault
  le jeune avec    plusieurs parents et amis qui ont signé avec nous.
 L’épouse     a declaré ne sçavoir signer. — François
 Charles Bellemere    — Germain Cartault — Rouault — Allexandre Buta prieur
 curé d’Abbéville    — Bellemère curé.” 
 | Registre d’État
     civil   d’Arrancourt (saisie de B. G., 2001). Il apparaît de l’acte
     suivant   que la mariée était enceinte de presque cinq
mois.     pour éviter   le déshonneur d’une naissance hors
mariage.   Comme  le marié  est un neveu du curé, originaire
de la paroisse   de  Portejoie au diocèse   d’Évreux, il est
probable qu’il  n’est  pas le père de l’enfant,   et que le mariage
a été  arrangé  par le curé. |  
                           | 1790 
 | 19 novembre,
naissance      du  fils  (?) de Bellemère à Arrancourt, paroisse
de sa  femme:    “Le dix  neuf novembre mil sept cents quatre vingt dix a
êté      par moy pretre curé soussigné baptisé
Charles Gilles      Bellemere né d’ajourd’huy du legitime mariage
de François      Charles Bellemere et de Margueritte Cartault
ses pere et mere demeurans      chez la veuve Gille Cartault grande mere
de l’enfant laboureuse en cette     paroisse, laquelle a servi de maraine
et a declaré ne sçacoir     signer. Le parain le sieur Charles
Bellemere qui a signé comme parain    et comme curé de la paroisse
d’Arancourt. — [Signé :] C. Bellemere   curé d’Arancourt.” 
 | Registre d’État
     civil   d’Arrancourt (saisie de B. G., 2001). On voit par cet acte que
  l’enfant   a  été conçu approximativement le 19 mars
  1789, soit   presque  cinq mois avant le mariage. Il n’est sans doute pas
  le fils de son  père.             Cet enfant
  n’a peut-être   pas reçu  beaucoup d’amour: c’est le seul
des   cinq rejetons de Marguerite   Cartault  qui mourra en bas-âge,
en 1793,  bien que ce soit son seul   fils. 
 
 |  
                           | 1792 
 | Le 29 décembre,
     mention   de Bellemère à l’enterrement de son oncle curé
     d’Arrancourt,   paroisse de sa femme: “Le vingt neuf decembre mil sept
  cent   quatre vingt  douze l’an premier de la République française
     a été   inhumé dans le cimetiere par moi curé
     de Saclas soussigné   le corps de Charles Bellemere curé
  de   cette paroisse décédé   avant hier au soir agé
     d’environ soixante et treize ans. Ont assisté   à l’inhumation
                 Charles Bellemere neveu du defunt, de la paroisse
  de   Notre-Dame d’Etampes, Marguerite Cartault epouse du dit Charles Bellemere, 
       les citoyens curés de St Cyr la Riviere, d’Estouches, de Fontaines, 
       de Boissy la Riviere, de Blandy, d’Abbéville et plusieurs autres 
     amis,  dont ceux qui savent signer ont signé avec moi. — [Suivent 
    les signatures  des curés cités ci-dessus, de Bellemère 
    et d’autres].” 
 | Registre d’État
     civil   d’Arrancourt (saisie de B. G., 2001). 
 |  
                           | 1793 
 | Le 2 avril, naissance 
    à    Étampes de la 1ère fille de Bellemère,
               Margueritte (1): “Aujourd’hui
      deux avril mil sept cent quatre vingt treize l’an deux de la République
      cinq heures du soir, par devant moi Jean Antoine Sedillon officier
municipal       et officier public de la section du Midy, supléant
de l’officier     public  de la section du Nord de la commune d’Estampes,
est comparu le  citoyen               François  Charles Bellemere,
négociant,    domicilié de cette commune,  né de
Portejoye, département    de l’Eure arrondissement, district  de Louviers,
lequel m’a déclaré    que le jour d’hier, cinq heures  environ
du soir et du legitime mariage  du  comparant et de Margueritte Cartault
 sa femme, née à Arrancourt    agée de vingt cinq ans,
en  la demeure du dit comparant, est né    un enfant du sexe féminin
 qu’il m’a présenté et auquel    il a donné le prénom
 de Margueritte. — Le tout fut fait en   la maison commune, [en] presence
et  assisté du citoyen Louis Cartault,   laboureur domicilié
à  Arrancourt, district de cette ville,   oncle de l’enfant susnommé
et  de la citoyenne Marie Margueritte Emelie  Vallot agée de vingt
ans,  née et domiciliée  de cette  commune, et de Jacques Gatineau,
 majeur vanier et domicilié  de cette  commune qui ont avec moi signé,
 excepté le citoyen  Louis Cartault  qui a declaré ne le savoir
 de ce requis. — [Signé:]   François  Charles Bellemere — Jacques
 Gatineau — Poisson off. p.” 
 | Registre d’État
     civil   d’Étampes (saisie de B. G., 2001). 
 
 
      (1) Cette fille aînée de Bellemère
   épousera Simon Mérel ou Morel, que nous retrouvons meunier
  de Vauroux en 1834 et 1836. Cf. infra. 
 |  
                        | 1793 
 | Le 24 octobre, mort
  du  fils   (?) de Bellemere: “Aujourd’huy troisiême jour du deuxiême 
   mois   de l’an deux de la république une et indivisible devant moy
   Jean Baptiste  Porthéaut officier municipal pour l’absence des
officiers    publics s’est présenté le citoyen [raturé 
: Ch] François     Charles Bellemere domicilié de cette commune 
section du Nord rue   du  Perray, lequel m’a déclaré que cejourd’huy 
est décédé      en sa maison François Charles 
Gilles Bellemere son fils âgé      de trois ans ; et moy susdit 
je me suis transporté en la demeure    du  susdit Bellemere où 
ayant reconnu la verité de la dite   déclaration  j’ay fait 
et dressé lepresent acte presence du   pere declarant et des  citoyens 
Louis Carnevilliers boulangé, même   rue et section, et François 
Louis Tiffonnet, même section, qui  ont avec le declarant  et moy signé. 
— [Signé:] Tiffonnet —  Bellemere [paraphe] — Louis Carnevillier [paraphe] 
— Portehault officier.” 
 | Registre d’État 
   civil     d’Étampes (saisie de B. G., 2001). 
 |  
                           | 1794 
 | Le 26 août, naissance à Étampes de la 2e fille de Bellemère,
               Anne Augustine (1):  
  “Aujourd’huy  dix fructidor l’an deux de la République une et indivisible
     [27  août 1794], en la maison commune et par devant moy officier
 public    soussigné est comparu le citoyen François Charles
 Bellemere     marchand domicilié de cette commune, section du
Nord, prere  de   l’enfant cy après nommé, lequel m’a declaré
 que  le jour  d’hier [26 août] à neuf heures du matin, en son
 domicille   et  de legitime mariage d’entre luy et la citoyenne Margueritte
 Cartault  son épouse est né une fille qu’il m’a presenté
 et à    laquelle il a donné de prenom de Anne Augustine, [en]
 presence de   Louis Narcisse Claude Baron et Anne Louise Bechu, tous deux
 mineurs domiciliés    chez leur pere section du Nord, et encore en
 présence de Pierre Masson   agent national près la commune
et la citoyenne Marie Cantienne Gerome   femme de Claude Bechu meunier, tous
 deux majeurs et domiciliés de  cette commune section du Nord, lesquels
 temoins ainsi que le pere ont signié    avec moy. — [Signé
:] M. C. G. F. Bechu — Masson agent national —Annette   Bechue — Bellemere
— Baron — Duché off. p.” 
 | Registre d’État
     civil   d’Étampes (saisie de B. G., 2001) 
 
      (1) Cette fille cadette de Bellemère épousera
   le 14 février 1820 le boulanger Barthelemy
  Etienne Constance Gouvet, boulanger, fondateur du premier moulin de la Fosse
   Gombier. 
 |  
                           | 1796 
 | Demande des citoyens
                Bellemère    et Bechu aux administrateurs du
 département   d’autorisation de   construire un moulin à farine
 sur la Juine 
 | Archives municipales
    d’Étampes    3O D33 (Inventaire de Clément Wingler). 
 |  
                                       | 1796-1819 
 | D’août
      1796   à    août 1819 Charles Bellemère
sollicite       l’autorisation   de construire    un moulin en aval du portereau
de Vauroux,      qu’il finit par  construire sans    autorisation. 
 | SV&SH 
    70  (sans    référence) 
 |  
                          | 1796 
 | Le 23 septembre, naissance à Étampes de la 3e fille de Bellemère,
               Caroline Eugénie (1):
   “Aujourd’huy dix neuf vendemiaire l’an cinq de la Republique française 
   une et indivisible [10 octobre 1796] en la maison commune et par devant 
 moy  officier public soussigné. — Est comparu le citoyen         
   François  Charles Bellemere demeurant en cette commune, faubourd
[sic] du Perray,  lequel m’a declaré que le deux [23 septembre 1796]
du present mois  et en son domicile luy est né une fille de son legitime
mariage d’entre  luy et la citoyenne Margueritte Cartault son épouse,
qu’il m’a presentée  et à laquelle il a eté donné
les prenoms de Caroline  Eugenie, en presence du dit François Charles
Bellemere pere de l’enfant,  declarant, du citoyen Pierre Baudet, de la commune
d’Estouches et de la citoyenne  Caroline Bechu demeurante faubourg du Levant,
témoins qui ont signé  avec moy. — [Signé:] Baudet —
Bechu — Bellemere — Po?? off. p.” | Registre d’État 
    civil    d’Étampes (saisie de B. G., 2001) 
 
      (1) Cette troisième fille de Bellemère
   épousera le tailleur d’habits Jean
   Louis (cf. infra, année 1830) |  
                          | 1797 
 | Le 9  décembre, naissance à 
     Étampes  de la 4e fille de Bellemère, Sophie: “Aujourd’huy vingt  neuf frimaire l’an six de la Republique française 
     une et indivisible  [19 décembre 1797] en la maison commune et 
 par    devant moy officier  public soussigné. — Et comparut [sic] 
le citoyen                François  Charles Bellemere, marchand, 
 demeurant    au Perray section du Nord, lequel  m’a declaré que le 
 dix neuf present    mois [9 décembre] en son  domicile luy est née 
 une fille de   son legitime mariage d’entre luy  et la citoyenne Margueritte 
 Cartault son   épouse, qu’il m’a presenté,  à laquelle 
 il a eté    donné le prenom de Sophie. — En presence du dit 
 François Charles   Bellemere pere de l’enfant declarant, du citoyen 
 Henry Vassor agée    de huit ans commissaire du pouvoir executif près
 l’administration   de cette commune, témoins, qui ont signé
 avec moy. — Vassor,   comm du pouvoir executif — Henry Masson — Bellemere
 — ?? officier public”. 
 | Registre d’État 
    civil    d’Étampes (saisie de B. G., 2001) 
 
 |  
                            | 1815 
 | Pièces
 relatives      à   l’établissement illégal du moulin
 Bellemaire  sur    le Juineteau.  Jugement du tribunal criminel de Seine-et-Oise
 condamnant                 M. Bellemaire   à rétablir
 les lieux dans     l’état où ils étaient   avant les
 travaux 
 | Archives municipales 
    d’Étampes    3O D29 (Inventaire de Clément Wingler). 
 |  
                                   | 1817 | Construction
    du  moulin  (reconstruction?) 
 | FG-ETL
 130 
 |  
                                   | 1817 
 | Il est
 d’abord     appelé       moulin du Canal. 
 | FG-ETL
 130;   SV&SH      70  (sans  référence) 
 |  
                         | 1820 
 | 14 février,
  mariage       de Gouvet avec une fille de Bellemère, créateur
  du moulin     de  Vauroux sur le haut Juineteau, qu’il imitera en essayant
  lui aussi  de   créer  un nouveau moulin sur le moyen Juineteau,
celui  de la Fosse   Gombier 
 | Registre d’État
    civil      d’Étampes (saisie de B. G., 2011). Voir notre notice
 sur   le moulin   de la Fosse Gombier (cliquez ici). 
 |  
                                           | 1827 
 | Le   moulin   est figuré sur le cadastre d’Étampes. 
 | 
 |  
                             | 1830 
 | Le moulin produit 
   trois    cents   sacs de farine par mois pour Paris. 
 | État 
des   moulins     de  1830, édition Gineste (ici) |  
                           | 1830 
 | Le 17 mai, décès 
       de Bellemère: “Du mardi dix huit mai mil huit cent trente, dix
   heures    du matin. — Acte de décès du sieur [raturé 
   : Charles]                François Charles Bellemère, 
propriétaire,       âgé de près de soixante 
six ans, [raturé:  natif     de cette] né à Portejoie, 
département de l’Eure,   époux    de Margueritte Cartault, décédé
d’hier   à six   heures du soir, en son domicile en cette ville rue
du Perray   N°35. —  Les témoins ont été les sieurs
Etienne  Constance Barthélémy    Gouvet, boulanger, âgé
 de trente quatre ans, gendre du décédé,    à
cause de dame Anne Augustine Bellemère, son épouse,    et Jean
Louis Vassor, tailleur d’habits, âgé de trente six  ans,  également
   gendre du décédé à cause  de dame Eugénie
   Caroline Bellemère son épouse, domiciliés    de cette
   ville, qui ont signé avec nous maire, après lecture    faite,
   et le décès constaté par nous sousigné.  
 —  [Signé:] Gouvet — Vassor — Boivin-Chevallier.” 
 | Registre d’État
     civil   d’Étampes (saisie de B. G., 2011) 
 |  
                             | 1831 
 | Le moulin appartient
     à    Sédillot et emploie deux ouvriers. 
 | État 
des   moulins     de  1831, édition Gineste (ici) 
 |  
                                   | 1831 
 | Une autorisation
       royale      légalise le moulin. 
 | SV&SH 
  70  (sans    référence) 
 |  
                             | 1831 
 | Le déversoir 
    et  les  vannes sont autorisés   par ordonnance royale du 14 janvier
     1831,  toujours valable en 1838. 
 | État 
des   moulins     de  1838 édition Gineste (ici) 
 |  
                             | 1834 
 | Le moulin qui 
 appartient      à  Sédillot, est tenu par le meunier 
             Morel  [Merel?]  et   produit, avec sa roue unique,  550
 sacs de farine par mois. 
 | État 
des   moulins     de  1834, édition Gineste (ici) 
 |  
                             | 1835 
 | Appartient
toujours     à     Sédillot. 
 | État 
des   moulins     de  1835 édition Gineste (ici) 
 |  
                    | 1836 
 | Le recensement de 1836 
 trouve   à Vauroux: “Simon Mérel, 
 meunier, 52 ans — Margueritte   Bellemère, sa femme, 43 ans”. 
 | Recensement de 1836, 
réédition    numérique en mode image mise en ligne par 
les Archives départementales    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 
2011). 
 |  
                                   | 1837 
 | En novembre 
   le  bâtiment       principal est détruit par un incendie. 
 | FG-ETL
 130;   SV&SH      70  (sans  référence) 
 |  
                                   | 1838 
 | Reconstruction
     autorisée       le 23 mars 1838. 
 | SV&SH 
  70  (sans    référence) 
 |  
                             | 1838 
 | Le moulin dit 
 de  Vauroux     ou  du Canal est présenté comme présentement
   incendié      et détruit. Il occupait deux hommes, faisant
   de blé  farine    avec une grande roue. Le règlement de
1831    faisait toujours  référence.    Le moulin appartient
alors   à             Armant  Bourraine. 
 | État 
des   moulins     de  1838 édition Gineste (ici) 
 |  
                                   | 1838 
 | Le moulin 
  est   alors    encore appelé     moulin Bellemère. 
 | FG-ETL
 130   (alléguant         AD91 7S 26) 
 |  
                  | 1841 
 | Le recensement de 1841 
trouve   à Vauroux: “Jean Baptiste Brinquet, 
garde   moulin, 39 ans — Florence Balet, sa femme, 30 ans — Lucille Brinquet, leur fille, 5 mois.” 
 | Recensement de 1841, réédition
    numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                  | 1842 
 | Le 15 mai, mariage du
futur    meunier, François Stanislas Pierre, alors semble-t-il garde
moulin    du moulin Bonté: “Du lundi quinze
mai mil  huit  cent quarante  trois, heure de midi — sont comparus devant nous François
 Charles Cresté  maire de la ville d’Etampes officier de la légion
 d’honneur et officier  public de l’état civil de la dite ville — Le sieur François Stanislas
   Pierre, garde moulin agé de vingt six ans, domicilié
de   cette ville rue de Saclas, né en la commune de Saint Hilaire,
commune   de ce canton, le vingt quatre décembre mil huit cent seize,
fils majeur  et en légitime mariage de feu Jean Pierre Pierre, en
son vivant journalier,  décédé à Chalo Saint
Mars, commune de ce canton  le deux décembre mil huit cent trente
sept, et de feu Marie Reine Julie Sergent son épouse décédée
au dit lieu le trois mai mil huit cent trente deux. — Et la demoiselle Célestine Louise
 Ancien couturière  agée de vingt quatre ans, domiciliée
 chez son père, née à Etampes le cinq mai mil huit cent
 dix-neuf, fille majeure et en légitime mariage de Jean Louis Antien,
 grainetier agé de soixante quatre ans, domicilié de cette
ville  rue Saint Martin et de feu Marie Flore Pélagie Fougeron son
épouse  décédée  au même lieu le onze aout
mil huit cent  quarante deux, — Lesquels  nous ont représenté  leurs actes de naissance,
les actes de  décès des père  et mère du futur,
dont [mot illisible]  l’acte de décès  de la mère du
futur, ses aïeux  maternels sont mentionnés,  les actes de décès
primo  de Louis Pierre en son vivant laboureur  décédé
à  Etampes le vingt six avril mil sept cent soixante dix, secundo
l’acte aussi  de décès de Anne Hélène  Bordier
épouse  du précédent décédée  en
la commune de  Saint Hilaire le seize florial an treize (six mai mil huit
 cent cinq), aïeux  paternels du dit futur, l’acte également
de  décès de  la mère du futur, et les actes de publication
 du présent mariage  faits en cette commune les dimanches vingt trois
 et trente avril dernier  sans opposition, l’autorisation donné au
futur  de contracter le présent  mariage par monsieur le maréchal
de  camp commandant le deuxième  subdivision de la première
division  militaire en date à Versailles  le six mai présent
mois, — Et après
avoir viséces pièces pour être  annéexées,
nous en avons donné lecture aux parties comparantes  assistées
des quatre témoins ci-après nommé set  qualifiés,
ainsi que du chapitre six du titre du mariage sur les droits  et les devoirs
respectifs des époux. — Ensuite nous avons reçu la déclaration  du sieur
  François Stanislas Pierre qu’il prend pour sa légitime  épouse
  la demoiselle Célestine Louise Antien, et celle de la  demoiselle
 Célestine Louise Antien, qu’elle prend pour son légitime 
époux  le sieur François Stanislas Pierre, — Lesquels conformément au décret
 du trente mars   mil huit cent huit ont déclaré et affirmé
 par serment   que c’est par erreur si dans les actes de décès
 des père   et mère du futur son père y est dénommé
 sous   les prénoms de Pierre jean, que l’ordre de ses prénoms
 sont   Jean Pierre, que c’est aussi par erreur si dans l’acte de décès
   du père du futur sa mère n’y est dénommée
que    sous le seul prénom de Marie, que c’est également par
erreur    si dans l’acte de naissance de la future le nom de famille de sa
mère    est écrit Forgeron, que ce nom est et s’écrit
Fougeron, ce   que les témoins ont également déclaré
et affirmé    par serment. — En conséquence    nous avons déclaré que
le sieur François Stanislas  Pierre  et la demoiselle Célestine
Louise Antien sont unis par le mariage. — Tout ce que dessus fait à Etampes  en l’hôtel de
la mairie les dits jour, mois et an en présence  et du consentement
du père de la future et aussi en présence  des sieurs Pierre
Gabriel, propriétaire, âgé de quatre  vingt un ans, oncle
paternel de l’époux, domicilié de cette  ville, Louis Désiré
Pierre, charretier agé de trente  cinq ans, frère de l’époux,
domicilié à Chalo  Saint Mars, Pierre Fougeron, marchand de
salines agé de quatre vingt  six ans, grand père maternel de
l’épouse, et André Vincent  Caillet, journalier agé
de quarante quatre ans, ces deux derniers domiciliés de cette ville,
qui ont signé avec les époux et nous maire susnommé,
le père de l’épouse   a déclaré  ne le savoir
après lecture faite. — [Signé:] C. Cresté — C. L. Antien — F. S. Pierre — Gabriel Pierre — L. D. Pierre — Fougeron —
 A. V. Caillet.” 
 | Registre d’État 
  civil    d’Étampes (saisie de B. G., 2011) 
 
 
   Sigantures des époux Pierre et Antien en 1842
 
 |  
                  | 1846 
 | Le recensement de 1846 
trouve   à Vauroux: “Léandre Hénault,
   garde moulin, 40 ans — Marie Perroneau, son épouse, 36
ans — Marie Hénault,
leur fille, 14 ans — Charles Hénault, leur fils, 11 ans.” 
 | Recensement de 1846, réédition
    numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                  | 1851 
 | Le recensement de 1851 
trouve   à Vauroux: “Louis Charles Boucher, 
garde   moulin, 32 ans — Virginie Augustine Jardin [sa femme], 30 ans — Marie Ange Boucher, leur fille, 2 ans.” 
 | Recensement de 1851, réédition
    numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                             | 1852 
 | Le moulin appartient
     toujours    à Armand Bouraine. 
 | État 
des   moulins     de  1852 édition Gineste (ici) 
 |  
                  | 1856 
 | Le recensement de 1856 
trouve   à Vauroux: “Léopold Antoine 
Barrillier,   garde moulin, chef de ménage, 
30 ans             — Adèle
 Flizot femme Barrillier,   femme du précédent cehf de ménage,
 20 ans — Eusèbe Edouard
 Barillier, leur   fils, 1 an.” 
 | Recensement de 1856, réédition
    numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                  | 1857 
 | Le 9 mars, naissance d’un
  fils  du meunier: “Du lundi neuf mars mil huit cent
  cinquante  sept, heure de midi. —  Acte de naissance de Paul Désiré Pierre, du sexe
  masculin,  né ce jour à onze heures du matin chez ses père
  et mère,  fils en légitime mariage de François
Stanislas   Pierre, meunier,  âgé de quarante ans, et de
Célestine   Louis Antien, son  épouse, âgée de
trente sept ans, domiciliés  de  cette ville, rue Saint-Martin numéro
quarante neuf. — Les témoins
ont été   les sieurs Pierre Auguste Caillaux, entrepreneur
de bâtiments, âgé   de vingt neuf ans, et Jean Auguste
Bonnet, marchand boulanger, âgé   de vingt sept ans, domiciliés
de cette ville. — Sur
la représentation de l’enfant   et sur la déclaration du père
d’icelui, qui a, ainsi que les   témoins, signé avec nous Ambroise
Charles Buchère second   adjoint spécialement délégué
par le maire d’Etampes,   après lecture faite. — [Signé:] A. Bonnet — François Pierre — P. Caillaux — Amb. Buchere adj.” 
 | Registre d’État 
  civil    d’Étampes (saisie de B. G., 2011) 
 |  
                  | 1861 
 | Le recensement de 1861 
trouve   à Vauroux: “Louis Eugène 
Barrier,  garde moulin, 25 ans         
   — Louise Aubry femme Barrier, 
sa femme,  23 ans — Eugénie 
Barrier,  leur fille, 1 an.” 
 | Recensement de 1861, réédition
    numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                                  | mi-XIXe
 s. 
 | Le moulin
  est   figuré       sur un plan. 
 | SV&SH
  70  (photographie        sans référence) 
 |  
                  | 1866 
 | Le recensement de 1866 
trouve   à Vauroux: “Félix Trubert, 
garde  moulin, 41 ans — Félix Trubert, 13 ans — Hélène Trubert, 11 ans — Octavie Trubert,
  9 ans — Jules Trubert, 7 ans — Julie Trubert, 5 ans             — Anne Trubert, 3 ans — Emile Octave Trubert, 16 mois”. 
 | Recensement de 1866, réédition
    numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                  | 1872 
 | Le recensement de 1872 
trouve   à Vauroux: “Félix Trubert, 
garde  moulin, 47 ans — Julie Adèle [sa femme (erreur probable, cf. 1866)], 45
  ans — Julie ??? Trubert, 11 ans — Anne Emilie Trubert, 9 ans — Emile Octave
Trubert, 7 ans — Léonie Marie Trubert, 5 ans”. 
 | Recensement de 1872, réédition
    numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                     | 1872 
 | En novembre, mise en
 location    du moulin: “A louer pour le 15 juillet 1872, le moulin de Vauroux
 contenant    4 paires de meules, sur la rivière du Juineteau, commune
 d’Étampes.    — S’adresser à M. de Bouraine, à
 Étampes; ou   à Paris, 80 rue d’Amsterdam. — 8-3.” 
 | Abeille d’Étampes
   60/47  (25 novembre 1871), p. 4, annonce signalée par Jean-Marc
Warembourg    (dont un scan ci-dessus). 
 |  
                  | 1876 
 | Le recensement de 1876 
trouve   à Vauroux: “Désiré 
Alexandre   Blot, garde moulin, 34 ans — Hermance Elise Godin [sa femme], 34 ans — Henri Emile Blot,
   6 ans”. 
 | Recensement de 1876, réédition
    numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
            | 1877 
 | Accident le 19 mars 1877: “Lundi dernier le sieur Cochery, charretier chez M. Pierre-Antien,
meunier à Étampes, a été très-gravement
mordu à la joue par le cheval attelé à sa voiture.” 
 | Abeille d’Étampes
             du 24 mars 1877 (dont scan reproduit ci-dessus) 
 |  
                                           | 1881 
 | Le   moulin   de Vauroux est tenu par Pierre père
       qui tient aussi le moulin  Chamois,    autrement dit à Peaux,
  tandis     que Pierre fils tient un  moulin à   vapeur rue des Cordeliers.
    C’est   un simple moulin à  eau dont les quatre  paires de meules
   produisent   neuf sacs de farine par jours. 
 | Marquis     96 = État des moulins
       de 1881 édition Gineste (ici) 
 |  
                 | 1881 
 | Annonce parue dans l’Abeille
 d’Étampes du 31 décembre 1881: “Etude
 de Me Masson, notaire à Etampes, successeur de M. Hautefeuille. — A louer pour entrer en jouissance de
suite, le moulin de Vauroux, sis à Etampes, sur le Juineteau, monté
 à l’anglaise de quatre paires de meules. — S’adresser à M. Blot, garde du moulin, et à
 Me Masson”. 
 | Abeille d’Étampes
             du 31 décembre 1881 (dont scan reproduit ci-dessus) 
 |  
                  | 1881 
 | Le recensement de 1881 
trouve   à Vauroux: “Désiré   Alexandre Blot, garde moulin, 39 ans — Hermance 
Godin, [sa] femme, 39 ans — Henri Blot,    [leur] fils, 11 ans”. 
 | Recensement de 1881, réédition
    numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                  | 1886 
 | Le recensement de 1886 
trouve   à Vauroux seulement un vieillard: “Louis Ledru, propriétaire, 74 ans”. 
 | Recensement de 1886, réédition
    numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                  | 1891 
 | Le recensement de 1891 
trouve   à Vauroux: “Pierre Sommaire, garde 
particulier,   chef [de famille], 45 ans —  Lazarette Guyot, sans profession, épouse, 45 ans — Berthe Germain, sans profession, fille
   [sans doute d’un premier mariage de Lazarette Guyot], 16 ans — Jean Alexandre Sommaire, fils, 2 ans”. 
 | Recensement de 1891, réédition
    numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                  | 1896 
 | Le recensement de 1896 
trouve   à Vauroux: “Alexandre [sic] 
Sommaire,   garde particulier, chef [de famille], 50 ans — Lazarette Guyot, sans profession, femme,
 50 ans — Jean Sommaire,   enfant, 7 ans”. 
 | Recensement de 1896, réédition
    numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                             | 1898 
 | Le moulin est 
 toujours     tenu   par Pierre père et reste un simple moulin 
 à   eau  qui  n’utilise  pas la vapeur en complément. Avec 
ses quatre  paires  de meules il produit  neuf sacs de farine par jour. 
 | État 
des   moulins     de  1898 édition Gineste (ici) 
 |  
                  | 1901 
 | Le recensement de 1901 
trouve   à Vauroux: “Alexandre Sommaire,
 garde,  chef [de famille], 55 ans —  Lazarette Guyot, sans profession, épouse, 55 ans — Alexandre Sommaire,
   fils, sans profession, 12 ans”. 
 | Recensement de 1901, réédition
    numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                                   | 1903 
 | Le moulin 
  est   photographié        par Louis-Didier des Gachons pour sa carte 
  postale   n°21 dont il  existe      une version colorisée. 
 | Deux
versions     de  la  carte  postale L. des G.  n°21  scannées
par Jean-Michel      Rousseau. 
 |  
                                   | 1904 
 | Le moulin 
  est   photographié        pour une série de cartes postales 
  colorisées   éditées       par l’éditeur parisien 
  Bréger. 
 | Carte 
postale     Bréger     sans numéro scannée    par Jean-Michel 
 Rousseau. 
 |  
                  | 1906 
 | Le recensement de 1906 
trouve   à Vauroux: “Alexandre Sommaire,
 garde  particulier employé par De Chamart, chef [de famille],
né  à Abbeville en 1845 — Lazarette Guyot, sans profession, épouse, née à
   Château-Chinon en 1845 — Jean Sommaire, fils, né à
   Etampes en 1888, journalier employé par  La Française”. 
 | Recensement de 1906, réédition
    numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
    de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                                       | 1943
  (?) 
 | Le
 moulin    aurait    cessé    à cette date son activité. | SV&SH 
    70  (se   référant    à “une source” non précisée) 
 |  
                                       | vers
  1990   (?) 
 | Il
 aurait    été        partiellement démoli vers cette
 date. C’est    sans doute alors  qu’il   a été  amputé 
 de ses   deuxième et  troisième   étages. 
 | FG-ETL; 
   SV&SH      70  (se  référant à “d’autres informations” 
   non précisées,     peut-être FG-ELP 130); cf. clichés 
   BG de 2011. 
 |  
                                       | 2010 
 | Une 
 page   lui   est   consacrée    par l’ouvrage La Juine et ses moulins. 
 | SV&SH 
    70 
 |  Chacun 
           est appelé à contribuer à cette enquête, les petits ruisseaux faisant 
           les grandes rivières.
 
 
 B.G., 11 décembre 2010.2e édition, 8 février 2011
 
 
 
 Toute critique,    correction ou contribution
                            sera la bienvenue. Any criticism or contribution
      welcome.
 |