CORPUS BIBLIOGRAPHIQUE ÉTAMPOIS
 
Bernard Gineste
 Les Saint-Périer
bibliographie, depuis 2004
      
dernière mise à jour: 2 mai 2005
 
Emile Bouneau: Dernier portrait du comte de Saint-Périer (juillet 1950)      René de Poilloüe de Saint-Périer est le 18 août 1877 à Biou (Loir-et-Cher), et il est mort le 12 septembre 1950 en son château de Morigny (Essonne), laissant à la postérité une œuvre aussi variée que digne de mémoire.

     Une fois docteur en médecine, il se tourna vers l’archéologie et la préhistoire et débuta sa carrière par des fouilles gallo-romaines à Souzy-la-Briche, d’où il tira
en 1911 une mosaïque actuellement conservée au Musée d’Étampes.

Ex-libris du Comte de Saint-Périer      Il entreprit avant guerre des fouilles préhistoriques à Lespugue (Haute-Garonne), qu’il reprit ensuite, et il y découvrit en 1922 la célèbre Vénus du même nom. Il continua ses fouilles ailleurs, ponctuées de nombreuses publications dans les bulletins de diverses sociétés savantes, spécialement préhistoriques. Il fut notamment trésorier de la Société d’anthropologie de Paris de 1923 à 1926 et Auxiliaire de l’Académie des Inscriptions pour la Carte archéologique de la Gaule romaine à partir du 1er décembre 1927, et il est mort président honoraire de la Société préhistorique française.

     Il fut parallèlement président de la Société des amis du musée d’Étampes dès 1914, puis conservateur de ce même musée à partir de 1931. Il fit surtout d’importantes contributions à l’historiographie locale, qui brillent par leur quantité autant que leur qualité, sans parler d’une intéressante synthèse, la Grande histoire d’une Petite Ville: Étampes (1938). Nous mettrons tout cela en ligne, progressivement.
 
Publications du
 comte de Saint-Périer
Publications de la
comtesse de Saint-Périer
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sur les Saint-Périer
Généalogie
des Saint-Périer

Les Saint-Périer dans
le Corpus Étampois
   
 BROUILLON BIBLIOGRAPHIQUE

     Cette bibliographie est certainement loin d’être complète, ni parfaite: mais elle peut déjà être utile. Certaines références seront précisées ultérieurement. Nous avons indiqués en leur lieu et place les publications de Saint-Périer qui sont accessibles dès à présent en mode image sur le site Gallica de la BNF. Merci à tous de nous aider à la compléter ou à la préciser. S’il se trouve des volontaires pour saisir manuellement le texte de certains articles de Saint-Périer, qu’ils veuillent bien se faire connaître.
B. G.
1. Publications repérées à ce jour du Comte de Saint-Périer
 
Emile Bouneau: Dernier portrait du comte de Saint-Périer (juillet 1950)      René, comte de POILLOÜE DE SAINT-PÉRIER (dit le Comte de SAINT-PÉRIER, 18.08.1877-12.09.1950), Contribution à l’étude de l’emploi thérapeutique des courants de haute fréquence dans les maladies dues au ralentissement de la nutrition [in-8°; 131 p.; thèse de médecine], Paris, C. Naud, 1903 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Découverte d’une roche à pétroglyphes à Moulineux (S.-et-O.)», in Bulletin de la Société préhistorique française 1 (janvier
1912), p. 74-83 (séance du 28 décembre 1911) [ADE].
     Extrait: Découverte d’une roche à pétroglyphes à Moulineux (S.-et-O.) [in-8°; 8 p.; figures], Le Mans, Monnoyer,
1912 [BNF, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Gravure magdalénienne à contours découpés», in L’Homme préhistorique 12 (1912), pp. ?-?.
     Extrait: Gravure magdalénienne à contours découpés [in-16; 7 p.; figures], Le Mans, Monnoyer,
1912 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Fouille de la grotte des Boeufs à Lespugue (Haute-Garonne) (magdalénien)», in Bulletin de la Société préhistorique française (
1912), pp. ?-? (séance du 25 juillet 1912).
     Extrait: Fouille de la grotte des Boeufs à Lespugue (Haute-Garonne) (magdalénien) [in-8°; 23 p.; figures; planches], Le Mans, Monnoyer, 1912 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Villa gallo-romaine à Souzy-la-Briche (Seine-et-Oise)», in Bulletin de la Société préhistorique française 3 (octobre
1912), pp. 607-609 [ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Le Fief des Barbacanes aux Émondants», in L’Abeille d’Étampes (5 novembre 1912) [N.B. on nous signale une erreur dans cette référence, soit le mois ou le quantième: qui peut nous donner la bonne référence?].
     Extrait : Le Fief des Barbacanes aux Émondants [in-12; 4 p.], Étampes, Lecesne,
1912 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Pièces paléolithiques de la grotte de Lespugue (Haute-Garonne)», in Bulletins et Mémoires de la Société d’anthropologie de Paris 6e série, tome 3 (
1912) [dont une réédition numérique en mode image par la BNF, http://gallica.bnf.fr/scripts/ConsultationTout.exe?E=0&O=n063952.htm, en ligne en 2003], pp. 48-49 (séance du 15 février 1912), pp. 48-49.
     Extrait: Pièces paléolithiques de la grotte de Lespugue (Haute-Garonne) [in-8°; 5 p. paginées 48-49], Paris, Société d’anthropologie de Paris,
1912 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Pièces paléolithiques de la grotte des rideaux à Lespugue (Haute-Garonne)», in Bulletins et Mémoires de la Société d’anthropologie de Paris
6e série, tome 3 (1912) [dont une réédition numérique en mode image par la BNF, http://gallica.bnf.fr/scripts/ConsultationTout.exe?E=0&O=n063952.htm, en ligne en 2003], pp. 149-153 (séance du 2 mai 1912).
     Extrait: Station magdalénienne d’un abri sous roche à Lespugne [sic pour Lespugue] (Haute-Garonne) [in-8°; paginé 399-404; figures], Société d’anthropologie de Paris,
1912 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Station magdalénienne d’un abri sous roche à Lespugne (sic pour Lespugue) (Haute-Garonne)», in Bulletins et Mémoires de la Société d’anthropologie de Paris 6e série, tome 3 (
1912) [dont une réédition numérique en mode image par la BNF, http://gallica.bnf.fr/scripts/ConsultationTout.exe?E=0&O=n063952.htm, en ligne en 2003], pp. 399-404 (séance du 5 décembre 1912).
     Extrait: Station magdalénienne d’un abri sous roche à Lespugne [sic pour Lespugue] (Haute-Garonne) [in-8°; paginé 399-404; figures], Société d’anthropologie de Paris, 
1912 [BNF].

     [Nous citons ici pour mémoire un document indiqué confusément sans références claires dans une liste bibliographique d’origine canadienne: Société d’excursion scientifique: St-Yon, St-Sulpice-de-Favières, Souzy-la-Briche (?), 
1912].

     René de SAINT-PÉRIER, «Gravure à contours découpés en os et coquilles perforées de l’époque magdalénienne» [avec discussion], in Bulletins et Mémoires de la Société d’anthropologie de Paris 6e série, tome 4 (
1913) [dont une réédition numérique en mode image par la BNF, http://gallica.bnf.fr/scripts/ConsultationTout.exe?E=0&O=n063953.htm, en ligne en 2003], pp. 47-52 (séance du 6 février 1913).
     Extrait: Gravure à contours découpés en os et coquilles perforées de l’époque magdalénienne [in-8°; paginé 47-52; figures], Paris, Société d’anthropologie de Paris, 
1913 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Les temps préhistoriques dans la région d’Étampes», in L’Abeille d’Étampes (15 mars 1913), pp. 1-2.
     Dont une réédition numérique en mode texte par le Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-00-saintperier1913prehistoire-abeille.html, 2004.


     René de SAINT-PÉRIER, «Les temps préhistoriques dans la région d’Étampes», in Bulletin de la Société des Amis du Musée d’Étampes 1 (
1913), pp. 39-47 [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Sur la présence de l’industrie magdalénienne aux environs d’Étampes», in Bulletin de la Société préhistorique française 3 (27 mars
1913), pp. 174-183 (séance du 27 mars 1913) [ADE].
     Extrait: Sur la présence de l’industrie magdalénienne aux environs d’Étampes [in-8°; 12 p.; figures], Le Mans, Monnoyer, 
1913 [BNF, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Fouilles et découverte d’une mosaïque gallo-romaine à Souzy-la-Briche, arrondissement d’Étampes (Seine-et-Oise)», in Annales de la Société historique et archéologique du Gâtinais XXXI (
1913), pp. 225-274 [précédé d’une double planche en couleur hors-texte]. [AME, ADE]
     Extrait: Fouilles et découverte d’une mosaïque gallo-romaine à Souzy-la-Briche, arrondissement d’Étampes (Seine-et-Oise) [in-8°; 51 p.; planches], Fontainebleau, M. Bourges, 
1913 [BNF, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Sépultures gauloises à Congerville (Seine-et-Oise)» [séance du 26 juin 1913;
1 photographie], in Bulletin de la Société préhistorique française X (1913), pp. 366-369 [ADE].
     Extrait (2 p.) aux ADE.

     René de SAINT-PÉRIER, «Sépultures anciennes à Saclas», in L’Abeille d’Étampes (11 octobre 
1913), p. 2.

     René de SAINT-PÉRIER, «Haches non polies et polissoir détruit à Bouville (Seine-et-Oise)», in L’Homme préhistorique 2 (
1913), pp. 48-50.
     Extrait: Haches non polies et polissoir détruit à Bouville (Seine-et-Oise) [in-8°; paginé 48-50; figures], Paris, J. Gamber, 
1913 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Les Cosaques à Étampes en 1814 et le pillage du château de Bois-Herpin», in Bulletin de la Société historique et archéologique de Corbeil, Étampes et du Hurepois XIX/2 (
1913), pp. 105-110 [AME, ADE].
     Extrait: Les Cosaques à Étampes en 1814 et le pillage du château de Bois-Herpin [in-8°; 8 p.], Étampes, Librairie historique, 
1913 [BNF, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Station de l’âge du Renne aux environs d’Étampes», in Bulletin de la Commission des Antiquités et des Arts de Seine-et-Oise XXXIII (
1913), pp. 90-92.
     Extrait aux ADE
.

     René de SAINT-PÉRIER, «Lampe magdalénienne provenant de la Grotte des Harpons, à Lespugue (Haute-Garonne)», in 9e Congrès préhistorique de France, session de Lons-le-Saunier
1913, pp. 147-173.
     Extrait: Lampe magdalénienne provenant de la Grotte des Harpons, à Lespugue (Haute-Garonne) [in-8°; 12 p.; figures], Le Mans, Monnoyer, 
1914 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Lésions osseuses d’un squelette d’enfant trouvé dans un milieu gallo-romain», in Bulletins et Mémoires de la Société d’Anthropologie de Paris
6e série, tome 5 (1914) [dont une réédition numérique en mode image par la BNF, http://gallica.bnf.fr/scripts/ConsultationTout.exe?E=0&O=n063954.htm, en ligne en 2003], pp. 31-36 (séance du 15 janvier 1914).
     Extrait: Lésions osseuses d’un squelette d’enfant trouvé dans un milieu gallo-romain [in-8°; paginé 31-36; figures], Paris, Société d’anthropologie de Paris, 
1914 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «La villa gallo-romaine», in Bulletin de la Société des Amis du Musée d’Étampes 2 (1914), pp. 22-38 [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «La Trouvaille de Saint-Yon (Seine-et-Oise)», in L’Homme préhistorique (juillet 
1914), pp. ?-?.

     René de SAINT-PÉRIER, «La visite du Congrès Archéologique de France à Étampes» [visite du 17 mai], in L’Abeille d’Étampes, supplément du 24 mai 1919, pp. 1-2 [coupure: ADE, 76 J 5].

     René de SAINT-PÉRIER, R.-S. Podalire. Hippocrate chez les pingouins. Lettre-préface d’Anatole France [in-16; 123 p.; préface d’Anatole-François Thibault, dit Anatole France], Paris, Edition indépendante,
1919 [BNF].
 
     René de SAINT-PÉRIER, «Les dépenses d’un gentilhomme étampois au XVIIIe siècle», in L’Abeille d’Étampes (3 mai 1919)
     Extrait aux ADE.

     René de SAINT-PÉRIER, «Le Graduel de la Congrégation de Notre-Dame d’Étampes (1677)», in Bulletin de la Société des Amis du Musée d’Étampes 3 (
1919-1920), pp. 21-29 [AME, ADE].
     Extrait: Le Graduel de la Congrégation de Notre-Dame d’Étampes (1677) [in-8°; 8 p.], Étampes, Terrier frères,
1920  [BNF, ADE, AME].

     René de SAINT-PÉRIER, «Découverte d’un fond de cabane ancienne à Morigny», in L’Abeille d’Étampes (24 avril 
1920), p. 1 [AME; coupure: ADE, 76 J 5 fin].

     René de SAINT-PÉRIER, «La Grotte des Harpons à Lespugue (Haute-Garonne)», in L’Anthropologie XXX (
1920), pp. 209-234.
     Extrait: La Grotte des Harpons à Lespugue (Haute-Garonne) [in-8°; paginé 209-234; figures], Paris, Masson, 
1920 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Pendeloques fausses en schiste», in Bulletins et Mémoires de la Société d’anthropologie de Paris, 7e série, tome 1 (
1920) [dont une réédition numérique en mode image par la BNF, http://gallica.bnf.fr/scripts/ConsultationTout.exe?O=N063958, en ligne en 2003], pp. 77-78 (séance du 6 mai 1920).
     Extrait: Pendeloques fausses en schiste [in-8°; paginé 77-78; figures], Paris, Société d’anthropologie de Paris, 
1920 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «L’époque néolithique dans l’arrondissement d’Étampes», in Bulletin de la Société des Sciences de Seine-et-Oise, série II, tome 1 (?1920?
date à vérifier), fascicule 8, pp. 47-.

     René de SAINT-PÉRIER, «Présentation» [simple mention], in Bulletins de la Société d’anthropologie de Paris 7e série, tome 1 (
1920) [dont une réédition numérique en mode image par la BNF, http://gallica.bnf.fr/scripts/ConsultationTout.exe?O=N063958, en ligne en 2003], p. 110 (séance du 15 janvier 1920).
     Dont la présente saisie: «1209e séance. — 15 janvier 1920. Présidence du Prince Roland Bonaparte. […] M. de Saint-Périer présente un tibia de Renard porteur d’une exostose d’origine traumatique.»

     René de SAINT-PÉRIER, «Présentations» [simples mentions], in Bulletins de la Société d’anthropologie de Paris t. 1 [7e série] (
1920) [dont une réédition numérique en mode image par la BNF, http://gallica.bnf.fr/scripts/ConsultationTout.exe?O=N063958], p. 112.
     Dont la présente saisie: «[p.112] 1218e séance. — 3 juin 1920. Présidence du Prince Roland Bonaparte. — M. de Saint-Périer: présentation d’amulettes bretonnes. — Présentation d’une machine humaine de Poloffittes [sic, lisez: d’une mâchoire humaine de palofitte]»

     René de SAINT-PÉRIER, «La Borne seigneuriale de Saclas», in L’Abeille d’Étampes (21 août 
1920).

     René de SAINT-PÉRIER, «Base de Harpon magdalénien perforée», in Bulletins de la Société d’anthropologie de Paris 7e série, tome 1 (
1920) [dont une réédition numérique en mode image par la BNF, http://gallica.bnf.fr/scripts/ConsultationTout.exe?O=N063958, en ligne en 2003], pp. 174-177.

     René de SAINT-PÉRIER, «Les Grottes préhistoriques de Lespugue et de Montmaurin (Haute-Garonne)», in Revue de Comminges (2e trimestre 1921), pp. ?-?.
     Extrait: Les Grottes préhistoriques de Lespugue et de Montmaurin (Haute-Garonne) [in-8°; 41 p.; figures], Saint-Gaudens, Abadie, 
1921  [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Vase gallo-romain trouvé à Malassis», in Bulletin de la Société des Amis du Musée d’Étampes 4 (
1921), pp. 25-26 [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Le tombeau de Salazar dans l’église de Morigny», in Bulletin de la Société des Amis du Musée d’Étampes 4 (
1921), p. 27-28 [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Le sceau de Louis d’Archambault, abbé de Morigny», in Bulletin de la Société des Amis du Musée d’Étampes 4 (
1921), p. 29-31 [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «L’époque gallo-romaine dans la région d’Étampes», in L’Abeille d’Étampes (22 octobre 
1921) [numéro manquant absent aux AME & ADE; coupure conservée: ADE, 76J5 fin].

     René de SAINT-PÉRIER, «Variété historique. Nicolas Glasson, vicaire de Saint-Germain-lès-Etampes, 1602-1637», in L’Abeille d’Étampes (11 ou 12 mars 
1921) [absent aux AME].
     Extrait: Variété historique. Nicolas Glasson, vicaire de Saint-Germain-lès-Etampes, 1602-1637 [in-16; 8 p.], Étampes, Terrier frères, 
1921 [BNF, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, Le Solutréen supérieur de la grotte des Harpons à Lespugue (Haute-Garonne), rapport présenté au Congrès de Rouen de l’Association française pour l’avancement des sciences, année 1921 [in-8°; 8 p.; figures], Paris, 28, rue Serpente, 
1921 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Vase gallo-romain découvert à Morigny», in Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France (1921 ou 1922, à vérifier), pp. 278-?.
     Extrait: Vase gallo-romain découvert à Morigny près d’Etampes, par le comte de Saint-Périer, associé correspondant de la Société nationale des antiquaires de France [in-8°; 8 p.; 1 figure], Paris, Société nationale des antiquaires de France, 
1921 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Hache à bords droits avec encoche découverte à Puiselet-le-Marais», in Bulletin de la Société préhistorique française XVIII (1921), pp. 84-86 [ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Le Burin tardenoisien», in Revue anthropologique XXXII/9-10 (septembre-octobre 
1922), pp. 315-321.
     Extrait: Le Burin tardenoisien [in-8°; paginé 315-321; figures], Paris, E. Nourry, 
1922 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Le Tumulus Hallstatien de Puiselet-les-Marais», in Bulletin de la Société des amis du musée d’Etampes 5 (
1922), pp. 16-21 [AME, ADE].
     Extrait: Le Tumulus Hallstatien de Puiselet-les-Marais [in-8°; 8 p.; figures], Etampes, Terrier frères et Cie, 
1922 [BNF, AME].

Vénus de Lespugue découverte par le comte de Saint-Périer      René de SAINT-PÉRIER, «Nouvelles recherches dans la caverne de Montmaurin (Haute-Garonne)», in L’Anthropologie XXXII/3-4 (1922), pp. 193-202.
     Extrait: Nouvelles recherches dans la caverne de Montmaurin (Haute-Garonne) [in-8°; paginé 193-202; figures], Paris, Masson, 
1922 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Statuette de femme stéatopyge découverte à Lespugue (Haute-Garonne)», in L’Anthropologie XXXII (
1922), pp. 361-381.
     Extrait: Statuette de femme stéatopyge découverte à Lespugue (Haute-Garonne) [in-8°; paginé 361-381; figures; planches], Paris, Masson, 
1923 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «La Police municipale à Étampes en 1779», in L’Abeille d’Étampes (1928 décembre 
1923).

     René de SAINT-PÉRIER, «Maxime Legrand», in L’Abeille d’Étampes (27 septembre 1924), p. 1 [coupure: ADE: 76 J 5].

     René de SAINT-PÉRIER, «Maxime Legrand», in Bulletin de la Société des Amis du Musée d’Étampes 6 (
1923-1924), pp. 16-17.

     René de SAINT-PÉRIER, «Objets du Moyen-Age découverts à Étampes en 1923», in Bulletin de la Société des Amis du Musée d’Étampes 6 (
1923-1924), pp. 29-32 [AME, ADE]. [ADE (erreur?): «Une statue du Musée d’Étampes», pp. 25-32)]

     René de SAINT-PÉRIER, «Bracelet en schiste découvert à Morigny», in Bulletin de la Société des Amis du Musée d’Étampes 6 (
1923-1924), pp. 33-35 [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Les Plantes des environs d’Étampes au XVIIIe siècle» [article daté du 20 décembre 1923 sur la flore de François Descurain éditée par son petit-fils Jean-Étienne Guettard], in L’Abeille d’Étampes (2 février 
1924), p. 2 [AME].
     Réédition partielle in Michel BILLARD [éd.], Voyages à travers l’histoire d’Étampes [234 p.], Étampes, Éditions du Soleil, 1985, pp. 146-149.
     Réédition intégrale et illustrée par Bernard GINESTE [éd.], «René de Saint-Périer: Les Plantes des environs d’Étampes au XVIIIe siècle (1923)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cse-18-descurain1923.html, 2003.

     René de SAINT-PÉRIER, «Les Fouilles de 1923 dans la grotte des Rideaux à Lespugue (Haute-Garonne)» in L’Anthropologie. XXXIV/1-2 (
1924), pp. ?-?.
     Extrait: Les Fouilles de 1923 dans la grotte des Rideaux à Lespugue (Haute-Garonne) [in-8°; 15 p.; figures; planches], Paris, Masson, 
1924 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Notes d’histoire locale. Un meurtre à Étréchy en 1395», in L’Abeille d’Étampes (31 mai 
1924), p. 1 [AME].
     Extrait: Notes d’histoire locale. Un meurtre à Étréchy en 1395 [in-16; 6 p.], Étampes, Terrier frères, 
1924 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Exercice financier 1923-24, clos le 31 octobre 1924» [alias «Rapport sur la situation financière»], in Bulletins de la Société d’anthropologie de Paris 7e série, tome 5 (
1924) [dont une réédition numérique en mode image par la BNF, http://gallica.bnf.fr/scripts/ConsultationTout.exe?O=N063961, en ligne en 2003], pp. 96-98.

     René de SAINT-PÉRIER, «Borne seigneuriale de Saclas», in Bulletin de la Commission des Antiquités et des Arts de Seine-et-Oise XLI-XLII (1924), pp. 133-134 [ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Une prisonnière au château d’Étampes au XVe siècle», in Almanach-Annuaire de la ville et de l’arrondissement d’Étampes (
1925), pp. 15-?.

Ex-libris du Comte de Saint-Périer      René de SAINT-PÉRIER & Raymonde-Suzanne, comtesse SAINT-PÉRIER, «Autour d’une énigme généalogique. Les Paviot de Boisy-le-Sec et les Paviette de Lorraine», in Annales de la Société historique et archéologique du Gâtinais XXXVII (1925), pp. 118-163 [AME, ADE].
     Extrait: Autour d’une énigme généalogique. Les Paviot de Boisy-le-Sec et les Paviette de Lorraine [26 cm; in-8°; 48 p.; figures; 2 folios de planches illustrées], 
1925 [BNF, ADE, AME].

     René de SAINT-PÉRIER, «Poterie à anse intérieure de Carry-le-Rouet (Bouches-du-Rhône)», in Bulletin de la Société préhistorique française ? (
1925), pp. ?-? (séance du 26 février 1925).
     Extrait: Poterie à anse intérieure de Carry-le-Rouet (Bouches-du-Rhône) [in-8°; 4 p.; figures], Le Mans, Monnoyer, 
1925 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Exercice financier 1924-25, clos le 31 octobre 1925» [alias: «Rapport sur la situation financière»], in Bulletins de la Société d’anthropologie de Paris 7e série, tome 6 (
1925) [dont une réédition numérique par la BNF, http://gallica.bnf.fr/scripts/ConsultationTout.exe?O=N063962, en ligne en 2003], pp. 254-256.

     René de SAINT-PÉRIER, «Faune fossile du pont de Gouërris à Lespugue», in Revue de Comminges (2e trimestre 
1925), pp. ?-?.
     Extrait: Faune fossile du pont de Gouërris à Lespugue [in-8°; 9 p.], Saint-Gaudens, Abadie, 
1925 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Quelques pièces inédites de la grotte des Harpons à Lespugue (Haute-Garonne)», in L’Homme préhistorique 7-8 (
1926), pp. ?-?.
     Extrait: Quelques pièces inédites de la grotte des Harpons à Lespugue (Haute-Garonne) [in-8°; 8 p. ; figures], Le Mans, C. Monnoyer, 
1926 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Rapport financier» [alias: «Rapport du trésorier»], in Bulletins de la Société d’anthropologie de Paris 6e série, tome 7 (
1926) [dont une réédition numérique par la BNF, http://gallica.bnf.fr/scripts/ConsultationTout.exe?E=0&O=n063963.htm, en ligne en 2003], pp. 151-152.

     René de SAINT-PÉRIER, «Le passage de la duchesse de Berri à Étampes en 1828», in L’Abeille d’Étampes (25 décembre 
1926).
     Extrait: Le Passage de la duchesse de Berri à Étampes en 1828 [in-16; 10 p.], sans nom de lieu ni d’éditeur, 
1926 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «La Grotte des Scilles à Lespugue (Haute-Garonne)» in L’Anthropologie 36 (
1927), pp. 15-40 [figures].
     Extrait: La Grotte des Scilles à Lespugue (Haute-Garonne) [in-8°; paginé 15-40; figures], Paris, Masson, 
1927 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «La Grotte de Gouërris à Lespugue», in L’Anthropologie XXXVII (
1927), pp. ?-?.
     Extrait: La Grotte de Gouërris à Lespugue [in-8°; paginé 235-276; figures], Paris, Masson, 
1927 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER & Henri BREUIL (1877-1961), Les Poissons, les batraciens et les reptiles dans l’art quaternaire [in-4° 171 p.; figures], Paris, Masson [«Archives de l’Institut de paléontologie humaine. Mémoires» 2], 
1927 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Le chien pêcheur des Cordeliers d’Étampes», in L’Abeille d’Étampes (11 août 
1928).

     René de SAINT-PÉRIER, Bibliographie étampoise. Le Chien pêcheur des cordeliers d’Étampes [in-18; 6 p.; fac-similé], Étampes, Terrier, 
1929 [BNF, AME] [Extrait du précédent?].

     René de SAINT-PÉRIER, «Le privilège de Chalo-Saint-Mard», in L’Abeille d’Étampes (8 juin 
1929).

     René de SAINT-PÉRIER, «Bouteille gallo-romaine en verre découverte à Souzy-la-Briche», in Bulletin de la Société des Amis du Musée d’Étampes 7 (
1925-1929), pp. 43-46 [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Une ancienne vue de Mesnil-Girault», in Bulletin de la Société des Amis du Musée d’Étampes 7 (
1925-1929), pp. 47-49 [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Les Villezans, seigneurs de la Tour Guillerval», in Bulletin de la Société des Amis du Musée d’Étampes 7 (
1925-1929), pp. 50-57 [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Un petit manoir disparu à Souzy-la-Briche», in Bulletin de la Société des Amis du Musée d’Étampes 7 (
1925-1929), pp. 59-61 [AME, ADE].
     Extrait aux ADE.

     René de SAINT-PÉRIER, «Carreaux de la Renaissance au Musée d’Étampes», in Bulletin de la Société des Amis du Musée d’Étampes 7 (
1925-1929), pp. 62-64 [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, La Grotte d’Isturitz. I. Le Magdalénien de la salle de Saint-Martin [in-4°; ? p.; figures; planches], Paris, Masson [«Archives de l’Institut de paléontologie humaine. Mémoires» 7], 
1930 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Les Saint-Périer, ancienne famille des confins du Gâtinais», in Annales de la Société historique et archéologique du Gâtinais XL (
1931), pp. 60-88 [ADE].
     Extrait aux ADE.

     René de SAINT-PÉRIER, «Une plaque de ceinturon mérovingienne», in Bulletin de la Commission départementale des Antiquités et des Arts de Seine-et-Oise XLV-XLVI (1931), pp. 125-126 [ADE].
     Extrait: Une plaque de ceinturon mérovingienne [4 p.; illustr.], sans nom de lieu ni d’éditeur, 
1931 [AME].

     René de SAINT-PÉRIER, «Un bourgeois d’Étampes au XVIe siècle. Ses biens et sa descendance», in Conférence des Sociétés savantes de Seine-et-Oise. 10ème session,
1931, pp. 98-110 [ADE].
     Extrait: Un bourgeois d’Étampes au XVIe siècle. Ses biens et sa descendance [? p.], Rodez, P. Carrère,
1931 [BNF].
     [Jean Foudrier, marchand de grains et son épouse née David: leur inventaire après décès conservé dans les archives de la famille de Poilloüe (copie sur papier de 294 p. avec biographie et portrait d’Isaac Foudrier)].

Emile Bouneau: Dernier portrait du comte de Saint-Périer (juillet 1950)      René de SAINT-PÉRIER, «La pierre tombale et la seigneurie de Bonnevaux», in Bulletin de la Commission départementale des Antiquités et des Arts de Seine-et-Oise XLV-XLVI (1931), pp. 133-152 [ADE].
     Extrait: La pierre tombale et la seigneurie de Bonnevaux [22 p.; illustr.], sans nom de lieu ni d’éditeur, 
1931 [AME].

     René de SAINT-PÉRIER, «Une inondation à Étampes», in L’Abeille d’Étampes (31 janvier 1931).

     René de SAINT-PÉRIER, L’Art préhistorique. Époque paléolithique [in-8°; 76 p.; 60 planches hors-texte en héliogravure], Paris, Rieder [«Maîtres de l’Art ancien» 22], 
1932 [ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Gentilhommes de Beauce», in Le Beauceron de Paris 4 (juin octobre 1932), pp. 37-38.
     Extrait (incomplet) au ADE.


     René de SAINT-PÉRIER, «Figure de sable…», in L’Abeille d’Étampes (25 juin 
1932).

     René de SAINT-PÉRIER, «Le dieu gaulois de Bouray», in L’Abeille d’Étampes (1er juillet 
1933), p. 1.
     R
envoie à: Antoine HÉRON DE VILLEFOSSE (1845-1919), Le Dieu gaulois accroupi de Bouray (Seine-et-Oise) [in-8°; 32 p.; fig.; extrait des Mémoires de la Société nationale des antiquaires de France LXXII], Paris, 1913; Raymond LANTIER (1886-1980), conservateur du Musée de Saint-Germain-en-Laye: notice alors à paraître].

     René de SAINT-PÉRIER, «Le bel envers d’un évier», in L’Abeille d’Étampes (29 juillet 
1933).

     René de SAINT-PÉRIER, «La nouvelle donation au Musée d’Étampes», in L’Abeille d’Étampes (19 août 
1933).

     René de SAINT-PÉRIER, «Lespugue au Moyen Age», in Revue de Comminges (4e trimestre 
1933), pp. ?-?.
     Extrait: Lespugue au Moyen-Age [in-8°; 31 p.; figures; planches], Saint-Gaudens, Abadie, 
1933 [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Lames de silex du Grand-Pressigny provenant de Boutigny (Seine-et-Oise)», in Bulletin de la Société Préhistorique Française (1933), pp. 141-143 [ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Quelques particularités de la faune et de la flore étampoise», in Conférence des Sociétés savantes, littéraires et artistiques du département de Seine-et-Oise (1933), pp. 103-106 [ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Borne armoriée des Bréviaires (Seine-et-Oise)», Bulletin de la Société nationale des Antiquaires de France (1934), pp. 175-?.

     René de SAINT-PÉRIER, «Les vipères en Seine-et-Oise dans la région des sables stampiens», in Conférence des Sociétés savantes de Seine-et-Oise, 1935, pp. 96-98 [ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Le nouveau don au Musée d’Étampes (Le Claviharpe)», in L’Abeille d’Étampes (5 janvier 
1935).

     René de SAINT-PÉRIER, La Grotte d’Isturitz. II. Le Magdalénien de la grande salle [in-4°; 140 p.; figures; planches], Paris, Masson [«Archives de l’Institut de paléontologie humaine. Mémoires» 17], 
1936 [en fait 1937] [BNF].

     René de SAINT-PÉRIER, «Coléoptères Nécrophages dans l’inflorescence d’Arum Dracunculus», in Conférence des Société savantes, littéraires et artistiques du département de Seine-et-Oise (1937), pp. 125-127 [ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «La grande histoire d’une petite ville: Étampes», in CAISSE D’ÉPARGNE D’ÉTAMPES, Centenaire de la Caisse d’Épargne d’Étampes. 1893-1938 [16 cm sur 25; 176 p.; 8 gravures sur bois originales in-texto de Jules Lepoint-Duclos; 16 planches hors-texte dont deux croquis et 14 photographies originales de Jules Lepoint-Duclos; ouvrage couronne par l’Institut], Étampes, La Semeuse, 1938, pp. 45-174 [& 14 planches hors-texte] [AME].

Couverture de l'édition séparée de La grande histoire d'une petite ville par le Comte de Saint-Périer (1938)      René de SAINT-PÉRIER, La grande histoire d’une petite ville: Étampes [in-4° (16 cm sur 25); 143 p.; 8 gravures sur bois originales in-texto de Jules Lepoint-Duclos; 16 planches hors-texte dont deux croquis et 14 photographies originales de Jules Lepoint-Duclos; ouvrage couronne par l’Institut], Étampes, Édition du Centenaire de la Caisse d’Épargne (1838-1938), 1938 [AME, ADE].
     - Dont une réédition remaniée posthume à partir de 1964 dans le Bulletin Municipal d’Étampes.

     - Dont une réimpression en fac-similé: René de SAINT-PÉRIER, La grande histoire d’une petite ville: Étampes [20 cm; 140 p.; illustrations; reproduction en fac-similé de l’édition de 1938], Paris Le Livre d’Histoire [
«Monographies des villes et villages de France»], 2004 [On notera que cette réédition ne tient aucun compte des remaniements posthumes de l’ouvrage, qui ne sont même pas mentionnés, et que sa notice introductive est entièrement repompée sur celle que le Corpus Étampois avait mis en tête de la présente page bibliographique, qui n’est pas non plus mentionnée bien qu’on y fasse allusion à ces recherches bibliographiques "en cours" dont le plagiaire semble ainsi s’attribuer le mérite.
     -
Dont une réédition numérique en mode texte, Bernard GINESTE [éd.], «René de Saint-Périer: Grande histoire d’une petite ville, Étampes (1957-1969)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-20-saintperier1938grandehistoire.html (9 pages web), 2005.

     René de SAINT-PÉRIER, «Malesherbes botaniste», in Annales de la Société historique et archéologique du Gâtinais XLIV (1939), p. 1 [ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Chaudrons en bronze de Baulne (Seine-et-Oise)», in Bulletin de la Société préhistorique française XXXVI (1939), pp. 192-196 [ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Quelques bornes armoriées de Seine-et-Oise», in Bulletin de la Société historique et archéologique de Corbeil, d’Étampes et du Hurepoix (1944), pp. 119-124 [ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Le Gué des Sarrasins», in Le Journal d’Étampes (3 novembre 1945).

     René de SAINT-PÉRIER, «Le cimetière de Champigny», in Bulletin de la Société des Amis d’Étampes et de sa région 1 (
août 1946), pp. 6-7 [AME, ADE].

Ex-libris du Comte de Saint-Périer      René de SAINT-PÉRIER, «La Juine navigable», in Le Journal d’Étampes (21 décembre 1946), p. ?.

     René de SAINT-PÉRIER, «Le comte de Saint-Léon», in Le Journal d’Étampes (8 novembre 
1947), p. ?.

     René de SAINT-PÉRIER, «La litre seigneuriale de Bouville», in Bulletin de la Société des Amis d’Étampes et de sa région 2 (1er semestre
1947), pp. 19-20 [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «La borne milliaire de Saclas», in Bulletin de la Société des Amis d’Étampes et de sa région 3 (
1947), p. 50 [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Le choléra à Étampes», in Le Journal d’Étampes (15 novembre 
1947).

     René de SAINT-PÉRIER, «Les derniers objets magdaléniens d’Isturitz», in L’Anthropologie 51 (
1947), pp. 393-415.

     René de SAINT-PÉRIER, «La Période gallo-romaine dans la région d’Étampes», in Conférence des Société savantes de Seine-et-Oise. 15ème réunion
1947, pp. 98-102 [ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Le Temple de Jeurre», in Bulletin de la Commission des Antiquités et des Arts de Seine-et-Oise LII (1945-1948) [publié en fait en 1950], pp. 113-115 [ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «A propos de Geoffroy Saint-Hilaire», in Le Journal d’Étampes (10 janvier 
1948).

     René de SAINT-PÉRIER, «Le Jugement dernier du portail de Saint-Basile», in Bulletin de la Société des Amis d’Étampes et de sa région 4 (février
1948), pp. 60-61 [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Le duc de Berry», in Annuaire de la ville et l’arrondissement d’Étampes, Paris, Havas, 
1948.

     René de SAINT-PÉRIER, Plan de poche d’Étampes, Paris, Havas, 
1948.

     René de SAINT-PÉRIER, «Les Mazarinades à l’époque du siège d’Étampes (1652)», in Bulletin de la Société des Amis d’Étampes et de sa région 5 (décembre 1948 - janvier 1949), pp. 77-80 [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «A propos des enceintes en rapport avec les roches pétroglyphes», in Bulletin de la Société préhistorique française XLVI/3-4 (mars-avril 1949), pp. 106-108 [ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Une découverte dans le passé de Morigny», in Bulletin de la Société des Amis d’Étampes 6 (avril
1950), pp. 98-99 [Selon M. Masai, conservateur des manuscrits de la Bibliothèque de Belgique, le manuscrit latin BNF latin 9724, lectionnaire enluminé du VIIe siècle originaire de Luxueuil avait peut-être été exécuté pour l’abbaye mérovingienne du site de Brunehaut].

     René de SAINT-PÉRIER, «La première pompe à incendie à Étampes», in Le Journal de Seine-et-Oise (26 janvier 1950).

     René de SAINT-PÉRIER, «Silex du Grand-Pressigny trouvés aux environs d’Etampes», in Bulletin des Amis du Musée de Préhistoire du Grand-Pressigny 1 (1950), pp. 13-15.

     Eugène PITTARD & René de SAINT-PÉRIER, «La Préhistoire», in COLLECTIF, Histoire Générale de l’Art, Paris, Flammarion, 1950, vol.1, pp. 10-32.

     René de SAINT-PÉRIER, «L’écu des Hurault à Morigny», in Bulletin des Amis d’Étampes et de sa région 7 (
janvier 1951), pp. 123-125 [1 illustration] [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER, «Une découverte gallo-romaine à Morigny», in Bulletin de la Société des Amis d’Étampes et de sa région 7 (janvier 1951), pp. 126-127 [1 illustration] [AME, ADE].

     René de SAINT-PÉRIER & Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, La Grotte d’Isturitz. III. Les Solutréens, les aurignaciens et les moustériens [in-4°; VI+265 p.; figures; planches en noir & en couleur], Paris, Masson [«Archives de l’Institut de paléontologie humaine. Mémoires» 25], 1952 [BNF].
 

Sans date

     René de SAINT-PÉRIER, Les ″Unio″ et les ″Anodonta″ dans les gisements préhistoriques [in-8°; 4 p.], Paris,
sans date [BNF].

     [Dans sa nécrologie, Henriette ALIMEN cite encore, mais sans références, outre des publications préliminaires, deux études: «Représentation du Mamouth» et
«Baguettes sculptées du paléolithiques» et «Poissons, Batraciens et Reptiles dans l’Art quaternaire»; on trouve encore cité: «Les gravures quaternaires du mammouth»]


2. Publications repérées à ce jour de la Comtesse de Saint-Périer

     Raymonde-Suzanne , née FRANÇOIS-BARROUX, comtesse de POILLOÜE DE SAINT-PÉRIER [conservatrice du Musée d’Étampes], «Lame pressignienne découverte près d’Etampes (Seine et Oise)», in Bulletin des Amis du Musée de Préhistoire du Grand-Pressigny 4 (1953), pp. 13-15.

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «La grille de l’abbaye de Morigny au Musée d’Etampes, par Mme de Saint-Périer (Étampes)», in Conférence des sociétés savantes de Seine-et-Oise. XVIIIe congrès. Mantes. 16 et 17 octobre 1953.

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «Charles Paillet (1860-1951)» [notice nécrologique], in Bulletin des Amis d’Étampes et de sa Région 8 (1953), pp. 5-6 [AME, ADE].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «La grille romane de l’ancienne abbaye de Morigny (S.-et-O.)», in Bulletin archéologique du Comité des Travaux historiques et scientifiques (1953), pp. 86-89 [ADE].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, Conférence faite par Mme de Saint-Périer, le 20 février 1954. Une grille romane conservée au Musée d’Étampes [in-4°; 10 p.; polytypé], Paris, Roy, 1954 [BNF].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «La grille de l’abbaye de Morigny», in Bulletin de la Commission des Antiquités et des Arts de Seine-et-Oise LV (1953-1954), pp. 7-8 [ADE].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «L’exportation des silex pressigniens serait-elle une légende?», in Bulletin des Amis du Musée de Préhistoire du Grand-Pressigny 7 (1956), pp. 23-38.

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «La grille romane de l’abbaye de Morigny, par la comtesse de Saint-Périer (Étampes)», in Conférence des sociétés savantes de Seine-et-Oise. XXe congrès. Mantes. 31 mai et 1er juin 1957 [d’après la «Liste des travaux» des «seizième à vingt-quatrième sessions: 1949-1966», Versailles, 1967, citée par BILLARD 1984, p. 122; texte non publié d’après BILLARD 1984, p. 121].

     Charles HAQUET, «La grille de l’abbaye de Morigny» [compte-rendu dans un quotidien parisien non identifié ni daté d’une des conférences de la comtesse de Saint-Périer, cité in-extenso d’après un article reproduit par BILLARD 1984 pp. 121-122].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «Donation d’un domaine près d’Étampes par Philippe-Auguste à l’Ordre de Saint-Jacques», in Bulletin des Amis d’Étampes et de sa Région 10 (1960), pp. 8-9 [AME, ADE].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «[sans titre]» [six photographies commentées à la suite d’un article de Georges HARLÉ sur «Monsieur Vincent» (pp. 14-19)], in Bulletin des Amis d’Étampes et de sa Région 10 (1960), pp. 20-25 [AME, ADE].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «Le premier musée d’Étampes», in Bulletin des Amis d’Étampes et de sa Région 11 (1961), pp. 30-31 [AME, ADE].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «Le grand passé du pays et de la ville d’Étampes», in Pays d’Yvelines, d’Hurepoix et de Beauce 1 (1961), pp. 27-32 [ADE].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «Les pièces pressigniennes de la Croix-Blanche à Moigny (Seine-et-Oise)», in Bulletin des Amis du Musée de Préhistoire du Grand-Pressigny 13 (1962), pp. 27-29.

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «Le Musée d’Étampes», in Étampes. Bulletin Officiel Minicipal 1 (juillet 1963), pp. 24-25 [ADE]. Dont une réédition numérique par le Corpus Étampois, «Suzanne de Saint-Périer: Le Musée d’Étampes (1963)», http://www.corpusetampois.com/cae-20-saintperier1963musee.html, mai 2005.

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «Quelques indications complémentaires sur l’abbaye et le village de Morigny, par Mme la comtesse de Saint-Périer (Étampes)», in Conférence des sociétés savantes de Seine-et-Oise. XXIIIe congrès. Pontoise. 13 et 14 juin 1964 [d’après la «Liste des travaux» des «seizième à vingt-quatrième sessions: 1949-1966», Versailles, 1967, citée par BILLARD 1984, p. 122; texte non publié d’après BILLARD 1984, p. 122].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER [éd.] & René de SAINT-PÉRIER [†1950], «La grande histoire d’une petite ville: Étampes» [réédition mise à jour publiée en feuilleton], in Étampes. Bulletin Official Minicipal 2 (janvier 1964), pp. 20-30; 3 (2e semestre 1964), pp. 24-29; 4 (hiver 1964-1965), pp. 25-31; 5 (janvier 1966), pp. 13-16; 6 (septembre 1967), pp. 13-15; 7 [et non 6 comme indiqué aux AME] (2e semestre 1967), pp. 9-11; 10 [et non 9 comme indiqué aux AME] (1er semestre 1969), pp. 17-19 [AME, ADE].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «Morigny et son abbaye», in Pays d’Yveline, de Hurepoix et de Beauce 9 (1965), pp. 14-18 [illustrations] [ADE].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «Jean Guettard», in Bulletin des Amis d’Étampes et de sa Région 12 (1965), pp. 9-15 [AME, ADE].
     Extrait: Jean-Étienne Guettard (4 p.) [AME].

     Bernard JEANSON & Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «La porte Bressault», in Bulletin des Amis d’Étampes et de sa Région 12 (1965), pp. 31-32 [AME, ADE].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «Assemblée générale du 13 février 1966. Rapport de la Secrétaire générale» [mauvaise santé de la comtesse], in Bulletin des Amis d’Étampes et de sa Région 12 (1965), pp. 33-34 [AME, ADE].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «Notes archéologiques, par Mme la comtesse de Saint-Périer», in Conférence des sociétés savantes de Seine-et-Oise. XXIIIe congrès. Pontoise. 3 et 4 juin 1966 [d’après la «Liste des travaux» des «seizième à vingt-quatrième sessions: 1949-1966», Versailles, 1967, citée par BILLARD 1984, p. 122; texte non publié d’après BILLARD 1984, p. 122].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «Une hache de bronze de la région d’Étampes» [simple mention de cette présentation à la Société préhistorique française le 26 juin 1969, sans aucun détail], in Bulletin de la Société préhistorique française 66 (juin 1969), p. 162.

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, «Coup d’œil sur Étampes et ses dix communes», in Le canton d’Étampes, 1976, pp. 5-7. [ADE].

     Raymonde-Suzanne de SAINT-PÉRIER, L’histoire d’Étampes en quelques lignes [8 p.], Étampes, La Familiale, sans date [AME].

3. Publications repérées à ce jour sur les Saint-Périer

     Léon BALAS, «Le Comte de Saint-Périer, un des plus éminent archéologue Français est décédé à son château de Morigny», in Le Journal de Seine-et-Oise 5/285 (jeudi 14 septembre 1950), p. 1.

Le Comte de Saint-Périer, un des plus éminent archéologue Français est décédé à son château de Morigny.
     M. le Comte de Saint-Périer n’est plus. C’est avec une douloureuse stupéfaction que nous avons appris le décès de notre éminent compatriote dont la renommée a illustré Étampes de l’éclat de son immense savoir.
     Nous consacrerons ultérieurement un article documenté sur la vie du disparu, mais aujourd’hui, en nous inclinant avec émotion devant sa dépouille et en présentatnt à Mme la Comtesse de St-Périer l’hommage de notre douleur, nous rappelerons brièvement ce qu’a été le Comte de St-Périer.
     Issu d’une très vieille famille qui a reçu ses lettres de noblesse dans le mointain passé du moyen-âge, après de brillantes études couronnées par le doctorat en médecine, le Comte de St-Périer, esprit curieux, infatigable chercheur, orienta son activité vers les plus passionnantes études qui soient: l’histoire, l’anthropologie, l’archéologie surtout. Ses recherches dans les gisements pyrénéens sont célèbres; sa découverte à Lespugue: la statue aurignacienne, ses fouilles d’Isturitz dans le pays basque auraient suffisamment suffi à sa renommée. Loin des fastes et du bruit, tel un autre grand savant, l’entomologiste Fabre — l’ermite de Sérignan — le comte de St-Périer, dédaigneux des honneurs et des titres, a poursuivi dans le calme d’une existence qu’il voulut volontairement modeste, de remarquables travaux qui ont répandu son nom hors des limites de la France et devaient — malgré lui — lui assurer une place éminente dans le monde archéologique. Correspondant de l’Institut depuis de nombreuses années, M. de St-Périer n’a reçu que tardivement l’hommage auquel depuis bien longtemps il avait droit; ce n’est en effet que l’année dernière qu’il fut promu chevalier de la Légion d’honneur.
     Ceux qui l’ont connu n’oublieront pas cette attachante figure, la bienveillance cordiale de son accueil, la finesse de son esprit. Converser avec le Comte de St-Périer était un régal inestimable; ses récits émaillés d’anecdote, de bons mots, étaient relevés de sel attique dont il avait seul le secret de les parfumer et par-dessus tout ce qu’on admirait, c’était sa grande probité de savant qui faisait que toutes ses communications portaient le sceau de l’exactitude rigoureuse si loin du fruit de l’imagination.
     Si nous, Étampois, nous perdons en M. le comte de St-Périer un ami irremplaçable, nous pouvons dire que la France perd un de ses fils qui a hautement honoré son pays.
Léon BALAS.

     Barthélémy DURAND, , «Le dernier hommage au Comte de Saint-Périer» [oraison funèbre prononcée le 14 septembre 1950 à Morigny], in Le Journal de Seine-et-Oise 5/286 (jeudi 21 septembre 1950), p. 2.

L’Allocution de M. B. Durand aux obsèques du Comte de Saint-Périer
     C’est au nom de la ville d’Étampes, que j’ai l’honneur de représenter au nom de la Société des Amis d’Étampes dont il fut un des conférenciers les plus assidus et les plus éminents, au nom de ses si nombreux amis et admirateurs, que je viens rendre un dernier hommage, dire un dernier adieu au citoyen sans reproche, au savant désintéressé que fut Monsieur le comte de Saint-Périer.
     Sa vie entière n’a été qu’un tissu de bonnes actions dont la trame était faite de travail, de science et de dévouement.
     De très ancienne famille de Beauce, il fit ses études de médecine en 1903. Il fut attiré de très bonne heure par la biologie, mais ces études, par l’emploi constant du microscope, lui causèrent des troubles oculaires graves qui furent la cause de [2 mots manquent]tation vers l’archéologie et la préhistoire.
     Mobilisé en 1914, il fit la guerre comme médecin-major.
     Démobilisé, il entreprit des fouilles préhistoriques dans les gisements pyrénéens ,où iol découvrit en 1922 la fameuse statuette de Lespugue, vieille de 40.000 ans, devenue célèbre dans le monde entier, dont il fit don à l’état et qui se trouve aujourd’hui au Musée de l’Homme.
     L’activité du comte de Saint-Périer était inlassable, mais c’est surtout pour l’histoire naturelle, l’archéologie et l’histoire locale qu’il se passionnait en raison de son grand attachement à sa ville natale et à son musée dont il était le conservateur qualifié.
     Il était membre de nombreuses sociétés scientifiques, de la commission des monuments historiques, auxiliaire de l’Institut de France. Il reçut, bien tardivement d’ailleurs, en 1948, un dernier hommage du gouvernement: la croix de la Légion d’honneur qu’il avait si heureusement méritée.
     M. le Comte de Saint-Périer n’est plus, mais il nous en restera le souvenir et l’exemple: le souvenir de l’homme équitable, droit, universellement aimé, du grand savant modeste, laborieux, désintéressé, l’exemple d’une vie de travail toute consacrée au devoir et à la science.
     Imitons-le: comme lui, accomplissons chaque jour avec simplicité, avec bonne humeur, avec courage, la tâche qui nous est dévolue, au poste qui nous est assigné ou que nous avons choisi. La Patrie, pour se relever, n’en demande pas davantage. Et quand l’heure du repos éternel aura sonné, comme M. le Comte de Saint-Périer, acceptons-là avec sérénité, résignation et grandeur d’âme.
     A son épouse éplorée qui, nouvelle Antigone, lui prodigua les soins les plus éclairés, avec un amour et un dévouement admirable, qui fut son incomparable collaboratrice dans tous ses travaux, à sa famille, à ses amis, j’adresse mes plus sincères, mes plus affectueuses condoléances.

     Léon BALAS, «Le dernier hommage au Comte de Saint-Périer», in Le Journal de Seine-et-Oise 5/286 (jeudi 21 septembre 1950), pp. 1-2.

LE DERNIER HOMMAGE AU COMTE DE SAINT-PÉRIER
JEUDI dernier ont été célébrées à Morigny les obsèques de M. le Comte de Saint-Périer; cérémonie ô combien émouvante dans sa sobriété, qui a été volontairement simple, selon le vœu du défunt, simple comme le fut toute la vie du regretté disparu.
     Après l’absoute donnée par M. le chanoine Guibourgé, archiprêtre de Notre-Dame d’Étampes, pendant que le cercueil modestement drapé, sans fleur ni couronne, au pas lent des chevaux était dirigé vers le champ de l’éternel repos, une petite pluie fine tomba, symbolique: aux larmes de la douleur humaine, le ciel, pour pleurer le savant, ajoutait le deuil de la nature. Il est à déplorer que la période de vacances actuelle n’ait pas permis à toutes les personnalités françaises et étrangères de se joindre à celles présentes pour rendre au comte de Saint-Périer leur dernier devoir.
     Tout près de la tombe où dorment ses aïeux, M. de St-Périer reçut le suprême hommage dû à l’homme et au savant. D’abord M. Buffenoire, au nom d’une société dont le défunt était président; ensuite, M. Barthélémy Durand, au nom de la ville d’Étampes et des «Amis d’Étampes», prononça le discours dont nos lecteurs trouveront la copie plus bas, retraçant en quelques touches aussi délicates que vraies l’existence laborieuse et les qualités de l’éminent disparu dont la vie fut un exemple et un enseignement.M. le professeur Rivet, directeur honoraire du musée de l’Homme, vint dire le suprême et affectueux adieu à l’ami très cher et au distingué savant. Avec des mots puisés directement au cœur, M. le Professeur Rivet parla du «doux géant» dont les hautes qualités avaient fait du comte de Saint-Périer un savant dans toute la grandeur du terme, uin de ces savants dont l’espèce disparaît, que les générations nouvelles ne connaîtront pas, le monde moderne emporté dans le tourbillon de la vie trépidante, n’ayant plus de temps à consacrer aux patientes recherches. Tout comme M. Barthélémy Durand qui avait salué en Mme la comtesse de Saint-Périer une Antigone moderne, M. le Professeur [p.2] [la suite manque]
 
     René de SAINT-PÉRIER, «Les Saint-Périer, ancienne famille des confins du Gâtinais», in Annales de la Société historique et archéologique du Gâtinais XL (1931), pp. 60-?.

     Émile BOUNEAU, «Dernier portrait du comte de Saint-Périer (juillet 1950)», in Bulletin de l’Association Les Amis d’Étampes et de sa région 7 (1951), p. 120 [dont l’image au début de la présente page].

     Adrien GAIGNON, «Le Comte de Poilloüe de Saint-Périer» [notice nécrologique], in Bulletin de l’Association Les Amis d’Étampes et de sa région 7 (janvier 1951), pp. 117-119 [AME, ADE].
     Réédition partielle: BILLARD 1984, pp. 115-118.
     Réédition
numérique intégrale: Bernard GINESTE [éd.], «Adrien Gaignon: Le Comte de Poilloüe de Saint-Périer (nécrologie, 1951)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cpe-20-saintperier-gaignon1.html, 2004].
     Reprise ci-dessous:

     Un grand savant vient de disparaître, qui fut à la fois préhistorien, naturaliste, archéologue et historien : sa perte nous est particulièrement sensible car, aux «Amis d’Étampes», nous étions à même d’apprécier ses hautes qualités.
    Né dans le Loir-et-Cher, à Biou, près de Chambord, dans la famille de sa mère, le 18 août 1877, il était fils du comte Guy de Poilloüe de Saint-Périer et de Maximilienne de Kergorlay.
     Il est décédé le 12 septembre 1950, en son château de Morigny, dans cette maison pleine de souvenirs du passé: personne de ceux qui ont reçu son accueil ne pourra l’oublier.
     Il fit ses études de médecine à Paris de 1898 à 1903. Reçu docteur, il se consacra d’abord à la biologie. Un véritable vocation l’entraînait depuis son adolescence vers cette science captivante, dont il avait considéré ses études de médecine comme une préface, mais l’usage du microscope fit peser de telles menaces sur sa vue qu’il dut y renoncer et c’est ainsi qu’il se tourna vers l’archéologie et la préhistoire, où il devait devenir un maître. Mais en qualité de médecin-major de 1ère classe, il fit toute la guerre de 1914, réengagé volontaire, après réforme, pour troubles oculaires, en 1915.
     Comme préhistorien et archéologue, il débuta en Seine-et-Oise par des fouilles gallo-romaines à Souzy-la-Briche, d’où il tira une superbe mosaïque qu’il donna au Musée d’Étampes en 1911.
     En Haute-Garonne, à Lespugue, il avait entrepris en 1911 des fouilles préhistoriques, qui furent interrompues par la guerre. Il les reprit ensuite et découvrit, en 1922, la belle statuette aurignacienne en ivoire, vieille de plus de 40.000 ans, devenue célèbre sous le nom de «Vénus de Lespugue», et conservée aujourd’hui au Musée de l’Homme.
     Dans l’Ardèche, dans les Basses-Pyrénées surtout, à Isturitz, il poursuivit d’autres fouilles préhistoriques qui sont des modèles de rigueur scientifique comme les publications qu’il leur a consacrées. Il a recueilli au cours de ses recherches des pièces d’une valeur inestimable dont, avec un entier désintéressement, il a fait don aux Musée nationaux.
     Il fut nommé conservateur du Musée d’Étampes en remplacement de M. Girondeau, décédé, le 19 mai 1931.
     Président de la Société des Amis du Musée dès 1914, il le resta jusqu’en 1945, date à laquelle cette société procéda à sa dissolution pour aider à la création de la Société des Amis d’Étampes. Le comte de Saint-Périer, membre fondateur de cette Société fut nommé Président de la section d’archéologie et le Bulletin des Amis d’Étampes publia régulièrement ses communications comme le Bulletin de la Société de la Société des Amis du Musée.
     Son ouvrage capital sur notre région est cette Grande histoire d’une Petite Ville: Étampes, que publia, en 1938, la Caisse d’Épargne d’Étampes, pour célébrer son centenaire et qu’a couronné l’Institut. Il faut relire ce volume écrit avec talent, imprégné d’un souci constant de l’exactitude et enrichi des trouvailles de cet infatigable chercheur qui devait périr à la tâche. Sans vouloir diminuer lesmérites d’un Montrond, d’un Léon Marquis, d’un Maxime Legrand ou d’un Louis-Eugène Lefebvre, je dois dire que le comte de Saint-Périer est le plus grand historien d’Étampes que nous ayons eu depuis Dom Basile Fleureau. Il a su non seulement écrire un ouvrage capital, mais aussi nous communiquer sa passion pour notre cité et les faits qui s’y sont déroulés, pour ses monuments qui ont survécu au temps et aux calamités de toutes sortes. J’ai écrit qu’il était notre chef de file: il n’en est pas un parmi nous qui ne le reconnaisse en partageant la douleur que sa perte nous a causée.
     Son œuvre et son nom sont immortellement attachés à la ville d’Étampes; je pense qu’une rue ne tardera pas à porter la désignation du grand historien.
     Les nombreux articles qu’il publia depuis 1938 dans l’Abeille d’Étampes, dans le Journal d’Étampes, dans le Journal de Seine-et-Oise et son étude sur le duc de Berry, dans l’Almanach d’Étampes en 1948, complètent cette histoire et laissaient prévoir la publication d’une édition augmentée. Nous souhaitons que cette nouvelle édition soit rendue possible malgré la rigueur des temps.
     Ses titres divers rendaient honneurs à sa haute personnalité: Auxiliaire de l’Institut, Membre de la Commission des Monuments Historiques, Président honoraire de la Société Préhistorique française, Président du Conseil d’Administration et du Comité de Perfectionnement de l’Institut de Paléontologie humaine.
     Comme conservateur du Musée d’Étampes, il se dévoua avec désintéressement, mais, dans l’exercice de ses fonctions, il fut considérablement gêné par le manque de stabilité des locaux destinés à abriter les collections. Néanmoins, il aura laissé le souvenir d’un conservateur très informé des choses locales et très avisé dans l’estimation de leur valeur.
     Comme écrivain scientifique, il a publié des études dans divers revues et journaux spécialisés comme l’Anthropologie, la Revue anthropologique, le Bulletin de la Société des Antiquaires de France, les Annales de la Société Historique et Archéologique du Gâtinais, les Bulletins de la Commission des Antiquités de Seine-et-Oise, de la Société des Amis d’Étampes, de la Société des Amis du Musée d’Étampes, etc… Tous ces articles offrent un intérêt qu’apprécient particulièrement les lecteurs de ces savantes publications.
     Le comte de Saint-Périer fut un homme distingué, racé, en qui tout plaisait, sa courtoisie, son caractère affable, sa bienveillance pour ceux qui s’efforçaient de suivre ses traces tant dans l’Histoire que dans l’Archéologie, cet empressement qu’il mettait à les guider et la distinction de sa personne, se manifestant même dans l’inflexion grave et douce à la fois de sa voix.
     Nous avons perdu en lui un ami, et cette perte nous est d’autant plus sensible que le comte de Saint-Périer avait éveillé en nous une sympathie et une affection fraternelles.
     Et c’est avec un culte suscité par ses grands mérites que nous continuerons à lire les belles pages qu’il nous a laissé sur l’histoire d’Étampes et sur tant d’autres sujets, traités avec le même bonheur par cette vaste intelligence à qui rien n’était étranger.
     Rendons ici hommage à Mme la comtesse de Saint-Périer qui fut pour son mari une compagne très dévouée et une collaboratrice dont nous apprécions la compétence dans les matières historiques, archéologiques et artistiques que cultiva si brillamment son mari.

     ANONYME, «Bibliographie des œuvres du Comte de Saint-Périer concernant la région d’Étampes», in Bulletin de l’Association Les Amis d’Étampes et de sa région 7 (janvier 1951), pp. 121-123 [AME].

     Adrien GAIGNON, «Le comte de Poilloue de Saint-Périer», in Bulletin de la Commission des Antiquités et des Arts de Seine-et-Oise LIV (1950-1952), pp. 107-110 [ADE].

     Henriette ALIMEN, «René de Poilloüe, comte de SAINT-PÉRIER, président honoraire de la Société préhistorique française (18 août 1877 - 12 septembre 1950», in Bulletin de la Société préhistorique française XLVIII/3-4 (mars-avril 1951), pp. 132-135.

     Michel BILLARD, «?» [notice nécrologique sur la Comtesse de Saint-Périer], in Le Pli [journal étampois] (16 février 1978), p. 6.    

     Michel BILLARD, «Chapitre IX. Le château de Morigny. Les familles de Poilloüe de Saint-Périer et de Kergorlay» & «Chapitre X. Le château de Morigny. René et Raymonde de POILLOÜE DE SAINT-PÉRIER, historiens», in ID., Morigny-Champigny. Du Roi-Soleil à la Cinquième République [23,5 cm cm sur 16,5; 152 p.; illustrations], Étampes, Éditions du Soleil, 1984, pp. 105-113 & 115-122.
     [Figures: 14 (blason de la famille de Poilloüe), 15 (blason de la famille de Kergorlay), 16 (Le Comte Florian de Kergorlay), 17 (sceau du dernier Comte de Poilloüe de Saint-Périer), 18 (portrait du Comte de Saint-Périer en 1950); bibliographie pp. 118-122, reprise de la précédente, classée par thème].
     P. FOUCHER & C. SAN JUAN, «Le niveau D solutréen de l’abri des Harpons (Lespugue, Haute-Garonne). Collection Saint-Périer du Musée des Antiquités nationales», in Antiquités nationales 32 (2000), pp. 17-55.

     ???, «Les industries solutréennes de l’abri des harpons et de la grotte des rideaux (Lespugue, 31). Collections Saint-Périer des Musées de Lespugue et de Saint-Gaudens», in Bulletin de la société préhistorique de l’Ariège 55 (2000), pp. 27-33.

     QUID, «Lespugue», http://www.quid.fr/communes.html?mode=browse&req=lespu, en ligne en 2003:
     «Les grottes de la Save furent fouillées pendant la première moitié du 20, par les Saint-Périer qui y découvrirent en 1922 la Vénus stéatopyge, en ivoire de mammouth, dite de Lespugue (musée des Antiquités nationales de Saint-Germain-en-Laye).»

     MUSÉE-FORUM DE L’AURIGNACIEN [Aurignac], «La naissance de la Préhistoire. L’Abri d’Aurignac (Haute-Garonne): trouvaille fortuite, découverte capitale.», http://www.aurignacien.com/html/histoiredunedecouverte.jsp, en ligne en 2003.

     «A la suite de la commémoration de 1961, le conseil municipal d’Aurignac demande après délibération que soit installé un musée à Aurignac. C’est à ce moment qu’entre en scène un passionné de Préhistoire locale, le curé de la paroisse, André Algans. Il faudra huit ans de combat acharné au doyen pour parvenir à ses fins. Louis Méroc s’oppose à l’ouverture d’un musée, car, si le site est connu, la commune ne possède pas de collections. Le ton monte entre les deux hommes qui finissent par se fâcher, après s’être copieusement insultés par courrier. Puis le doyen cherche des appuis: Suzanne de Saint-Périer, épouse du comte inventeur de la Vénus de Lespugue, Fernand Lacorre qu’il presse de céder ses collections. Puis on en vient à écrire à André Malraux, alors ministre de la culture. Finalement, le ministère donne son accord, Fernand Lacorre la moitié de ses collections à Aurignac, l’autre au musée des Eyzies en Dordogne où il réside. Le musée est inauguré le 22 juin 1969.»
 
4. Généalogie des Poilloüe de Saint-Périer

     René de SAINT-PÉRIER, «Les Saint-Périer, ancienne famille des confins du Gâtinais», in Annales de la Société historique et archéologique du Gâtinais XL (1931), pp. 60-?.

     G. PONCELET, «Essai de répertoire des ex-libris de Seine-et-Oise antérieurs à 1900», in Bulletin de la Commission des Arts et des Antiquités de Seine-et-Oise LIV (1950-1952), pp. 58-98.

     Michel BILLARD, «Chapitre IX. Le château de Morigny. Les familles de Poilloüe de Saint-Périer et de Kergorlay» & «Chapitre X. Le château de Morigny. René et Raymonde de POILLOÜE DE SAINT-PÉRIER, historiens», in ID., Morigny-Champigny. Du Roi-Soleil à la Cinquième République [23,5 cm cm sur 16,5; 152 p.; illustrations], Étampes, Éditions du Soleil, 1984, pp. 105-113 & 115-122.
     [figures 14 (blason de la famille de Poilloüe), 15 (blason de la famille de Kergorlay), 16 (Le Comte Florian de Kergorlay), 17 (sceau du dernier Comte de Poilloüe de Saint-Périer), 18 (portrait du Comte de Saint-Périer en 1950); bibliographie pp. 118-122, reprise de la précédente, classée par thème].
     MINISTÈRE DE LA CULTURE ET DE LA COMMUNICATION, «Personnages représentés. Plante-Pourtalès», in ID., Base Joconde, http://www.culture.gouv.fr/documentation/joconde/QUIDAMS/quidams_60.htm, en ligne en 2003.
 
     Cliquez: «Poilloüe de Saint-Périer, Jean-Guy de [1845-1885]» et «Poilloüe de Saint-Périer, vicomtesse de» [Jeanne de Kergorlay, 1850-1897]) [portraits des parents du Comte de Saint-Périer par John Singer Sargent, donnés en 1929 sous réserve d’usufruit et entrés en possession du Musée d’Orsay après la mort de la Comtesse en 1978.

     ARCHIVES DES YVELINES, « Série E. — Titres de famille. — E43-3993. — M à Z», http://www.cg78.fr/archives/seriee/guidee/seriee/tit_fam/n_m_z.htm, en ligne en 2003.

     «Poilloux de Saint-Mars de Saint-Périer (famille). — Preuves de noblesse: membres de la famille inscrits sur la nécropole des chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem et armoiries, demande de place de page chez le duc d’Orléans, mémoires des services militaires de César de Saint-Périer, ordres donnés au chevalier de Saint-Périer, commissaire d’artillerie, hommages faits au roi par la veuve de Michel Poinet, en l’élection d’Etampes pour les fiefs de Valnay et Courmeunier, correspondance entre les hommes d’affaires de M. de Saint-Périer et du marquis de Talaru pour des terres de Brières, 1402-XVIIIe siècle. — Fonds complémentaires. — Archives départementales des Yvelines. — 4Q220 : dossier de séquestre révolutionnaire; 5Q253: dossier individuel de la direction des domaines; 5Q317: restitutions et indemnités, loi dite du Milliard, dossier individuel. — Bibliographie: GAIGNON (A.), "Le comte de Poilloue de Saint-Périer", Bulletin de la Commission des Antiquités et des Arts de Seine-et-Oise, 1950-1952, t. LIV, p. 107.»

     Antoine de NADAILLAC, «Chapitre XIX, Section A. La branche illégitime de Bourbon, comtes de Busset», in ID., La Dynastie des Capétiens [survivance d’une autre branche des comtes de Poilloüe de Saint-Périer], http://mapage.noos.fr/anosteo/Bourbonbusset.html, en ligne en 2003 [page dont la disparition est constatée en 2020, date à laquelle nous avons également supprimé de l’extrait suivant la mention de trois personnes à la demande de l’une des intéressées].

     «Hélène, Charlotte, Henriette de Bourbon Busset (° 1940) ép. 1960, Amaury, Urbain, Florian, Marie de Poilloue de Saint-Périer de Kergorlay (°  1935), comte puis marquis de Saint-Périer, fils de Guy, marquis de Saint-Périer et d’Elisabeth Gervais. Dont: A. Jean-Guy de Poilloue (° 1961), comte de Saint Périer. — B. François de Poilloue (° 1962), comte de Saint Périer ép. 1993, Frédérique Thomas (° 19....). Dont: a. Romain de Poilloue de Saint Périer (° 1994). b. Morgane de Poilloue  de Saint Périer (° 1996). — C. Hugues de Poilloue (° 1964), comte de Saint Périer ép. 1990. Marie Gorainoff (° 19....). [...]. — D. Laurent de Poilloue (° 1976), comte de Saint Périer. — E. Sylvie de Poilloue de Saint Périer (° 1979). — F. Anne de Poilloue de Saint Périer (° 1984).»


 
5. Les Saint-Périer dans le Corpus Étampois

    Bernard GINESTE [éd.], «René de Saint-Périer: Les temps préhistoriques dans la région d’Étampes (1913)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-00-saintperier1913prehistoire-abeille.html, août 2003.

    Bernard GINESTE [éd.], «René de Saint-Périer: Les Plantes aux environs d’Étampes au XVIIIe siècle (1923)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cse-18-descurain1923saintperier.html, août 2003.

     Bernard GINESTE [éd.],
«Émile Bouneau: Dernier portrait du comte de Saint-Périer (dessin, juillet 1950)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cae-20-bouneau1950saintperier.html, septembre 2003.

     Bernard GINESTE [éd.], «Adrien Gaignon: Le Comte Poilloüe de Saint-Périer (nécrologie, 1951)», , in Corpus Étampois,http://www.corpusetampois.com/cpe-20-saintperier-gaignon.html, 2003.

     Bernard GINESTE [éd.], «Le Comte de Saint-Périer et son épouse: une bibliographie», in Corpus Étampois,http://www.corpusetampois.com/cbe-saint-perier.html
, 2003.

     Bernard GINESTE [éd.], «René de Saint-Périer: Grande histoire d’une petite ville, Étampes (1957-1969)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-20-saintperier1938grandehistoire.html (9 pages web), 2005.

     Bernard GINESTE [éd.], «Suzanne de Saint-Périer: Le Musée d’Étampes (1963)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-20-saintperier1963musee.html, mai 2005.


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