Corpus Historique Étampois
 
Congrégation de Notre-Dame d’Étampes
Déclaration de biens, rentes et meubles
22 février 1790
  
Déclaration de biens de la Congrégation Notre-Dame d'Etampes le 22 février 1790
Déclaration de biens des religieuses de  la Congrégation (archives municipales d’Étampes)

     A l’heure où les religieuses de la Congrégation dressent, sur ordre de l’Assemblée  Nationale, l’inventaire de leurs biens somme toute modestes, elles sont loin d’imaginer qu’elles vont bientôt en être spoliées: car la supérieure se plaint en passant de telle taxe que lui impose la paroisse Saint-Gilles.

     La saisie des textes anciens est une tâche fastidieuse et méritoire. Il ne faut pas décourager ceux qui s’y attellent en les pillant sans les citer.

 
Congrégation de Notre-Dame d’Étampes
Déclaration de biens, rentes et meubles
22 février 1790


     Declaration exacte des biens, rentes et meubles des religieuses de la congrégation de Notre-Dame d’Estampes etablie pour l’instruction gratuite des jeunnes filles

     Notre couvent contient environs six arpens de terrin y compris l’église et le jardin, le tout clos de murs.

     Une grande cour au dehors, a droite l’eglise, a gauche les parloirs, au dessus l’appartement du chapelin.

     Porte de clauture, en entrant une cour, le batiment des pensionnaires, deux etages, le ray de chaussée, une classe, refectoire, et bucher*.
* Bûcher: lieu où l’on range le bois à brûler (B.G.).
     1er et 2eme etages, quatre grandes chambres et trois cabinets ou il y a 35 lits, garnis, un bois lit, une pailliasse, un lit de plumes, un matelat, un traversin, deux couvertures, tout garnis de rideaux de serge, quatre armoires, plusieurs tableaux, un seul a cadre doré, chaises, tables et bancs necessaires, actuellement 33 pensionnaires.

     Notre corps de logis, ray de chaussées, les offices de la maison et le refectoire; le haut, 3 etages: au p(remi)er notre chœur, la sacristie, notre salle de com(munau)te, l’infirmerie; 2eme et 3eme etages: 44 celulles, 31 sont ocupées; chacune: un bois de lit, pailliasse, un matelas, un traversin, deux couvertures, rideaux de serge, une table, une petite armoire et une chaise, 5 tableaux en papier.

     La biblioteques, 900 a 1000 volumes, tout livres de piété encien.

     Basse cour: elle contient trois appartement de dames, dont un sert de noviciat, la cuisine, le four, un bucher, un [sic] ecurie, deux vacheries, une grange et un poulaier.

     3 classes externes, deux pour la lecture et l’ouvrage, et la 3eme l’ecriture. Les enfants que nous enseignons sont au nombres de 260 a 280.

     En toutes la maison vingt armoires tant grandes que petites, aucun meubles de prix ny boisseries, ny tapisseries, 80 chaises de pailles, 18 tables, 30 tableaux de tres bas prix.

     Jardin clos de murs, 300 arbres a fruits, au bout un petit bouquet de bois d’ormes. [p.2]

     Suitte du mobillier

     Notre eglise: la nef, des bancs cellez tout au tour, et quelques chaises, une chapelle de chaque cotté ou on peu dire la messe, l’hautel en bois, le sanctuaire separé par une grille de fer, le maitre hautel en bois; au dessus  sont les orgues; cinq tableaux en cadres dorés en sont tout l’ornement.


Argenterie
4 petits chandelliers d’argent pesant 18 mars un once, deux croix pes(ant) 8 mars, un benitier pesant 9 mars, une lampe p(esant) 7 m(ars), 5 on(ce), 1 gr(os), un encensoir et la navette p(esant) 3 m(ars) 6 on(ces), 5 gros, deux paires de burettes et le plats p(esant) 6 m(ars) 5 on(ces) 1 gros, en tout cinquante trois mars deux onces cinq gros.


     Trois calices, deux sts ciboires, trois reliquaires* represent(ant) la Ste Vierge, St Joseph et St Augustin, le soleil pour le St Sacrement.

Ornemens
     Une chape de velour cizeles garnis en dentelle argent fin
     Un
[sic] chasuble, fond d’argent garnis en galon d’or fin
     Deux dalmatique galonné en or fin
     2 chasubles galonnés en or fin
     15 autres galonnés en soies
     26 aubes, 3 surplis &

     28 couvers d’argent a notre usage. [p.3]
      * Nous apprenons ici que les statuettes d’argent mentionnées par l’inventaire de 1792 étaient des reliquaires (B.G.).



Etat des rentes
Rentes sur le Roy
3062 £
Rentes sur particuliers

321 £ 14 s
Biens
Deux maisons a Estampes donner a bail a vie, l’une a Mr Picart, l’autre à Mr Baron, loué une 150 £ et l’autre 400 £.
550 £
Un jardin rue Basse, clos de murs 150 £
Une ferme a Ginette [Guinette] loué
et 50 sacs de blé
500 £ et
Une a la Foret le Roy loué
et 15 sacs de ble
150 £ et
Une a Pierrefitte loué
Et 18 sacs de blé
120 £ et
55 arpens de terre labourable et trois arpens de prés loué 109 £
5 quartiers de terre a la Montagne 24 £
43 arpens a Merouville 160 £
40 arpens a Bois Herpin 200 £
38 a Dhuillet 10 sacs de ble et 150 £
22 a Bouville 160 £
12 a Etrechy, 3 sacs de blé et 50
Deux arpens de pres, bail emphiotique aux heritiers de Mr Lesourd
63 £
Une maison vendue a rente 20
Produit des 96 sacs de blé que nous avons de nos fermiers; nous les contons sur les beaux à 20 £ 1920 £
Total du revenu 8309 £ 15 s.
Charges cy contre 3610 £ 14
Reste
4699 £ 01

Charges de la maison
Droits du Receveur de nos rentes 40 £
Depences indispensables pour l’entretient des batimens, de l’eglise, du dome, de nos maisons, fermes et murs de jardins, années communes 2000 £
Depence de la sacristie pour la cire, l’huile, linges, ornements 230
Pour 530 messes fondées 318 £
Pour notre chapelin 800 £
Les decimes 172 £
Le petit sacristin / 18 £


Droits que nous devons au domaine pour plusieurs maisons qui font partis de celles que nous habitons achetée et payes en 1640 et pour une partis du terrin de notre eglise par année y compris 16 s 6 de cens  *plus 21 £ 10 s
Droit a la cure de St Gille pour pouvoir fairre faire la 1ere communion a nos Dlles pension(naires) quand nous les en jugeons capable, et pour avoir la liberté d’enterrer ches nous nos pensionnaires, par ans.

Je ne crois pas ce droits bien fondé
10 £ 4 s
Pour l’affranchisse
1 £
* plus nous sommes obligés de chanter une grande messe tous les ans jour de st Louis

Total des charges
3610 £ 14 s



     Nous soussignées, superieure et procureuse du couvent de la congrégation de Notre-Dame de cette ville, certifions la presente declaration sincere et veritable
     A Estampes ce vingt deux fevrier mil sept cent quatre vingt dix
[Signatures:] sr St Denis superieure et St Bruno procureuse.

Signature de la soeur supérieure

     Et pour porter les declaration et etat [p.4] des autres parts a messieurs les officiers municipaux de la ville d’Estampes, les affirmer sinceres et veritables comme nous le faisons par ces presentes * et en requerir acte nous avons prié et nomme Monsieur Empereur, chanoine de ste Croix et chapelain de notre maison, au quel nous donnons tout pouvoir de ce faire, a Estampes ledit jour vingt deux fevrier mil sept cent quatre vingt dix.
     * [post-scriptum] Meme* que nous n’avons aucune connoissance qu’il ait été fait quelques soustractions de lettres papiers et mobliers de notre maisons
[Signatures:] Sr St Denis superieureSr St Bruno procureuse
 
Signature de la soeur procureuse
     * Même rend le latin item, “en outre” (B.G.).
     Nous habitans de la parroisse St Gilles d’Estampes soussignés certiffions que les declaration et etat des autres parts ont esté publiées et affichés a la principalle porte de laditte eglise, en foy de quoy nous avons signé, a Estampes ce premier mars mil sept cent quatre vingt dix

[Signatures:] DeshayesPerrotDeshayesMasson


     Aujourd’huy premier mars mil sept cent quatre vingt dix, devant nous officiers municipaux de la ville d’Estampes soussignés, est comparu Mr Empereur, chapelain de la congrégation de Notre Dame d’Estampes, lequel a apporté et a affirmé sincere et veritable les declaration et etat des autres parts transcrit; même* il n’a aucune connoissance qu’il ait eté fait quelques soustractions de lettres, papiers et mobiliers de la congrégation; dont il a requis acte, a luy octroyé pour servir et valloir ce que de raison les jour et an que dit est, et a signé.
 
[Signatures:] T. Petit, maire — Denis — Empereur

     * Même rend le latin item, “en outre” (B.G.)

Signature du maire, Thomas Petit
Envoyé à l’assemblée nationale
Le 13 mars 1790


  
ANNEXE
Ce qu’a écrit Léon Marquis sur ces religieuses
Les Rues d’Étampes et ses monuments (1881)

     Il s’agit de passages que nous avons déjà mis en ligne, mais qu’on nous saura gré peut-être de regrouper ici en regard de notre document. On notera surtout que le site du couvent de la Congrégation se trouvait, avant la Révolution, à peu près sur celui de l’actuel Crédit Agricole, et non pas sur celui du Couvent des Cordeliers, où elles se réintallèrent seulement lors de leur retour à Étampes, et dont elles furent à nouveau spoliées et chassées en 1905.

Carrefour des Religieuses. — A gauche de la rue Saint-Jacques, en face la rue d’Enfer. Son nom lui vient de l’ancien couvent des religieuses de la congrégation de Notre-Dame, établi à Étampes en 1630, du vivant de Pierre Fourier, fondateur de l’ordre. Ce couvent, primitivement rue Saint-Jacques, fut transporté quelques années après à l’endroit occupé aujourd’hui par le grenier d’abondance, dont la destination première était d’emmagasiner les farines jusqu’au chiffre de 14,000 quintaux. C’est maintenant [en 1881] un magasin succursale de la papeterie de M. Darblay, à Essonnes. Le grenier d’abondance est de 1823; il s’effondra vers 1825. [...]

     La maison n°8 du carrefour des Religieuses dépendait de l’ancien couvent, et on y voit une belle cave de 11 mètres de profondeur qui contient une ancienne chapelle (1).
     (1) Minute de Me Hautefeuille, notaire.
     Le 19 septembre 1645, les religieuses de la Congrégation, malgré l’opposition des Cordeliers, obtinrent de la duchesse de Vendôme et d’Étampes la permission de renfermer la rivière dans l’étendue de leurs héritages.

Carte postale Brière

     Le couvent eut beaucoup à souffrir en 1652. Les religieuses furent renfermées dans leur quartier et dans la cour des pensionnaires; le reste de la maison fut livré au pillage. Le jardin servait de place d’armes aux soldats des princes. Voyant les dangers continuels auxquels elles étaient exposées, vingt et une religieuses et pensionnaires munies de passeports furent menées avec une [p.123] bonne escorte à Paris, chez les dames de Port-Royal. Les religieuses qui étaient restées pour empêcher la perte de la maison soutinrent de continuelles alarmes, mais les soldats n’entrèrent point dans leur quartier, où il y avait toujours deux gardes qui les préservaient des insultes (1).
     (1) Annales de la Congrégation.
     En 1695, le couvent était des plus florissants, car il était composé de cinquante-deux sœurs professes et de six converses (2). En 1740, il n’est composé que de quarante à cinquante religieuses (3).
     (2) Almanach de Sens de 1778.
     (3) Mémoires manuscrits particuliers.
     De 1752 à 1745, le désaccord régna entre le couvent et l’autorité diocésaine, à propos de la bulle Unigenitus et d’un nouveau catéchisme de l’archevêque de Sens. Durant la nuit du 1er juin 1756, huit religieuses furent enlevées et conduites par le prévôt de la maréchaussée chez les religieuses de Saint-Charles d’Orléans. Leur crime était d’avoir refusé de reconnaître pour supérieure celle que l’archevêque de Sens avait fait élire.

    En janvier 1760, pour subvenir aux besoins de l’État, la congrégation de Notre-Dame d’Étampes fait l’envoi à la Monnaie de Paris de sa vaisselle d’argent, pesant 27 mars 4 onces 2 gros.

     Le 5 septembre 1792, les religieuses, au nombre de trente, furent chassées de leur couvent, et on les recueillit dans différentes maisons de la paroisse Saint-Basile (4).
     (4) Archives nationales, manuscrits particuliers. Le nombre de quarante à cinquante est indiqué sur un mémoire manuscrit de 1740.
     Le 4 novembre 1792, il y eut un envoi à la Monnaie de Paris, par les administrateurs et procureur syndic du district d’Étampes de l’argenterie provenant de la congrégation, pesée par les citoyens Hugo et Énard, orfèvres, après en avoir séparé les corps étrangers, savoir:
     Deux calices, deux patènes, un plateau, un soleil et un ciboire, le tout en vermeil et pesant 17 mars 6 onces 1 gros;
     Une lampe avec sa chaîne, quatre burettes et plats, un bénitier, un encensoir, une navette et sa cuillère, quatre chandeliers, deux croix, un calice, un ciboire et son couvercle, trois écuelles, une tasse, un gobelet à pied, deux boites, une plaque, trois statues [p.124] représentant saint Augustin, saint Joseph et la sainte Vierge, le tout en argent et pesant 85 marcs 6 onces 7 gros.

     L’inventaire fait en 1792 nous apprend que le clocher contenait quatre cloches, trois grosses et une petite (1).
     Les religieuses persécutées, accusées de complots contre la sûreté de l’État, furent obligées de quitter leur établissement, devenu bien national en 1792, et c’est un serrurier d’Étampes nommé Delaville qui l’acheta, le 9 fructidor an IV (2).

     Grâce à des temps meilleurs, les sœurs le rachetèrent et s’y établirent en 1808. Une ordonnance royale du 1er novembre 1826 leur a donné une existence légale.

Carte postale Brière

     En 1864, elles firent reconstruire l’ancienne chapelle des Cordeliers, qui leur était devenue insuffisante, et c’est l’abbé Guillet, ancien vicaire de Notre-Dame, mort directeur du petit séminaire de Versailles, qui se chargea de la plupart des décorations. On y remarque surtout un ancien tableau du peintre Liébaur, représentant l’apothéose du bienheureux Fourier.

Carte postale Brière

     Le clocheton de la chapelle a une ancienne cloche venant de la prison, et qui aurait été donnée au couvent par le maire Romanet au commencement de ce siècle. Elle porte cette inscription en lettres gothiques: JE FU FAICTE L’AN MIL Vc LV ET FU NOMMÉE MARTHE. Son diamètre est de 45 centimètres et sa hauteur de 40.

     Derrière cette chapelle on en voit une autre très-ancienne où prêcha, dit-on, saint Bernard. A côté est une pièce munie d’une immense cheminée sur laquelle sont écrits dans un style gothique les mots: La Paix.

     A droite est l’ancien cloître des Cordeliers, ayant une quinzaine de belles colonnes en pierre à chapiteaux sculptés; à côté, le pensionnat datant de 1847 et sous lequel sont d’anciens souterrains. Enfin, dans les cours, on voit les traces d’énormes piliers venant du couvent des Cordeliers.
     (1) V. la note B. Voici cette « Note justificative» B (p. 401): «B. Inventaire fait en la Congrégation les 21, 22, 23, 20 et 27 juillet 1790. Récolement et évaluation de la maison les 3 et 4 septembre 1792. Sont comparues vingt-deux sœurs d’Étampes, deux de Meaux, quatre sœurs converses et deux novices…. Suit l’inventaire des objets se trouvant dans l’établissement: la sacristie, l’église, la bibliothèque, l’infirmerie, l’apothicairerie, le laboratoire, le réfectoire, la cuisine, les trente-quatre lits dans les trente-quatre cellules, le chapitre, le pensionnat, le dortoir, les offices, le parloir, le noviciat, les serres, la laiterie, la basse-cour, la buanderie, les jardins, le poulailler, le bûcher et les caves….  Biens immeubles, rentes, dettes passives, titres et papiers dont soixante-trois concernent la ferme de Guinette louée à Hélye….. Dans le clocher, trois cloches de différentes grandeurs et une autre petite cloche servant à une horloge en fer garnie de ses cordes et poids….. A chacune des sœurs il est demandé si elles veulent rester ou sortir de la maison; et toutes ont répondu que leur plus grand désir était d’y vivre et mourir…. Signé: Voizot, Préaux, Sibillon, maire, Crosnier, secrétaire (Archives départementales.)»

     (2) V. la note C. Voici cette «Note justificative» C (pp. 401-402): «C. La commune d’Étampes demande à être autorisée à faire l’acquisition de la maison conventuelle de la ci-devant Congrégation (12 novembre 1792).
     “Vu la délibération du conseil général de la commune; considérant l’utilité dont peut être à la commune d’Étampes les bâtiments et dépendances de la Congrégation, soit pour y construire des casernes, soit pour y transporter l’hospice….. soit enfin pour y établir une maison d’éducation, estime qu’il y a lieu d’autoriser la commune à se rendre adjudicataire de la maison de la Congrégation.» Signé: Sagot, Crosnier, secrétaire.
     Dans une autre pièce du 13 nivôse an II, on voit “le comité révolutionnaire de surveillance de la commune faire paraître devant lui les religieuses dénoncées indignement par la citoyenne Coffi, ex-religieuse, [p.402] pour de prétendus complots qui auraient existé au couvent en 1788 et 1789.”
     Il existe aux archives départementales des pièces analogues pour les autres couvents d’Étampes.»
   
BIBLIOGRAPHIE SOMMAIRE
 
Éditions

    
Original conservé aux archives municipales d’Étampes.

     
Bernard GINESTE [éd.], «Congrégation Notre-Dame d’Étampes: Déclaration de biens, rentes et meubles (22 février 1790)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-18-17900222congregation.html, 2008.

Sur cette congrégation

     Dom Basile FLEUREAU, «Du Monastere des Religieuses de la Congregation de Nôtre-Dame», in ID., Les Antiquitez de la ville, et du Duché d’Estampes avec lhistoire de labbaye de Morigny et plusieurs remarques considerables, qui regardent l’Histoire generale de France [in-4°], Paris, J.-B. Coignard, 1683, pp. 445-447.
     Dont une réédition électronique en ligne: Bernard GINESTE [éd.], «Dom Fleureau: De I’Eglise & du Couvent des RR. PP. Cordeliers (1668)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-17-fleureau-c19.html, 2006.

     Léon MARQUIS, Les Rues d'Étampes et ses monuments, Étampes, Brière, 1881, pp. 122-124 & 401-402.
     Dont une réédition numérique ci-dessus, http://www.corpusetampois.com/che-18-17900222congregation.html#marquis, 2008.

     Bernard GINESTE [éd.], «Léon Guibourgé: La Congrégation Notre-Dame (1957)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-20-guibourge1957etampes503congregationnotredame.html, 2004.

     Jacques GÉLIS, «Religieux et religieuses à Étampes aux XVIIe et XVIIIe siècles» (7 illustrations), in ID. [dir.], Église et Société dans le Pays d’Étampes, Étampes, Association Étampes-Histoire [«Les Cahiers d’Étampes-Histoire» 7], 2005 [ISSN 1291-7791; 10 € en 2005], pp. 4-24, spécialement pp. 11-15 & 21-24 [La légende de l’illustration de la page 12 doit être rectifiée: il s’agit des locaux du XIXe siècle sur le site de l’ancien couvent des Cordeliers].

     Bernard GINESTE [éd.], «Congrégation Notre-Dame d’Étampes: Déclaration de biens, rentes et meubles (22 février 1790)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-18-17900222congregation.html, 2008.

Sur l’histoire de l’Éducation à Étampes

     CORPUS ÉTAMPOIS, «Histoire de l’Éducation au Pays d’Étampes: base de données en construction (depuis 2007)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cbe-histoiredeleducation.html, depuis 2007.



Toute critique, correction ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.

Source du texte: Archives municipales d’Étampes, cliché et saisie de B. Gineste, août 2008.
   
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