Nom
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Dates d’attestation
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Localisation
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Signalée
par
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Remarques
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En ligne
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Aigle-d’Or
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Fermée avant 1881
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Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 424
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Arche-de-Noé
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Fermée quelques années
avant la Révolution
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Rue Darnatal
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Travers 427
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auberge qui n’existait plus
déjà quelques années avant la Révolution. L’enseigne
de cette très ancienne maison se voit encore, ainsi qu’une Vierge en
pierre d’une [p.428] exécution remarquable, placée dans une niche, au-dessus
de laquelle on lit cette inscription:
L’original de cette image
Est un chef-d’œuvre si parfait,
Que l’ouvrier qui l’a fait
S’est renfermé dans son ouvrage.
Les habitants du quartier prétendent
que l’auteur de cette statue a été, selon son désir,
enterré dans le mur. L’énigme cachée dans ce quatrain
alambiqué* est bien plutôt une
allusion, dans le goût des XVIe et XVIIe siècles, au mystère
de l’Incarnation. Tel est l’avis de Maxime de Montrond, qui dit: «S’il
est permis d’attribuer a ces vers ambigus un autre sens, profondément
mystique et religieux, ne peut-on pas croire qu’ils rappellent le mystère
de l’Incarnation de l’Homme-Dieu, ouvrier divin qui a voulu se renfermer
et prendre naissance dans le sein de la Vierge Marie, chef-d’œuvre de ses
mains et son plus parfait ouvrage (1)».
Une tradition veut que, dans cette auberge, aient
logé les ouvriers qui travaillèrent à l’église
Notre-Dame, lorsqu’elle fut garnie d’un mur d’enceinte crénelé
et de fossés, qui la transformèrent en forteresse, au XVe siècle,
lors des guerres avec les Anglais. (Travers 427-428)
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Belles-Croix |
Fermée au commencement
du XIXe s. (Travers 417)
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Rue des Belles-Croix
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Travers 417
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Belle-Image
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Fermée avant 1881
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Rue de l’Hôtel-de-Ville
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Travers 426
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Bénédiction-de
-Jacob
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Supprimée entre 1830
et 1840 (Travers 417)
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Rue Saint-Martin
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Travers 417
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Bois-de-Vincennes
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Réuni au Grand-Courrier
en 1865
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Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 423
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Hôtel longtemps le mieux
fréquenté de la ville, réuni en 1865 à celui du
Grand-Courrier (Travers 423).
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Bon-Laboureur
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Fermée avant 1881
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Rue de la Boucherie
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Travers 431
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Bras-d’Or
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Fermée avant 1881
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Rue de l’Hôtel-de-Ville
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Travers 426
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auberge «tenue, dit M.
Marquis, par la famille Démollière, famille de saltimbanques,
alliée aux Roba, également saltimbanques, qui faisaient le succès
de la foire d’Étampes au commencement du siècle (1)». L’imprimeur
Dupré, qui a longtemps habité cette maison, avait épouse
une Démollière.(Travers 426 note 1)
(Travers 426) |
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Champ-de-Mars
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Supprimée entre 1830
et 1840 (Travers 417)
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Rue Saint-Martin
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Travers 417
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Chapeau-Rouge
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Fermée avant 1881
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Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 424
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Ce nom est sans doute dû
ici, comme ailleurs, au séjour de quelque cardinal en voyage. De même,
dans un grand nombre de villes situées sur les grands chemins menant
de Paris aux frontières, on rencontre encore l’hôtel des Ambassadeurs:
par exemple, sur les routes se dirigeant sur l‘Espagne, à Libourne,
à Bordeaux, à Mont-de-Marsan, ainsi qu’à Figeac, à
Cahors, à Albi, à Toulouse, à Tarbes, etc. (Travers
424 note 3)
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Chariot-d’Or
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Existait encore en 1881
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Rue du Perray
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Travers 429
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Ancienne (Marquis 229); avec
un chariot doré pour enseigne (Travers 429)
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Chasse
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Existant encore en 1881
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Rue du Haut-Pavé
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Travers 417
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Ancienne auberge (Travers 417)
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Chaumière
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Existait encore en 1881
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Rue de la Boucherie
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Travers 429-430
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Auberge qui est la seule d’Etampes
ou l’on joue encore à l’ancien jeu d’esses (Travers 430).
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Chêne-Vert
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Fermée avant 1881
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Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 424
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Cheval-Blanc
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Fermée avant 1881
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Rue de la Boucherie
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Travers 431
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Cheval-Rouge (1)
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1471
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Quartier Saint-Gilles
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Gineste (ici)
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Cheval-Rouge (2)
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Existait toujours en 1881
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Place Notre-Dame
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Travers 427
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Coignée
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Fermée avant 1881
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Rue de la Boucherie
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Travers 431
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Coq
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Fermée vers 1830
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Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 424
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hôtel supprimé
vers 1830 et ayant fait partie de la maison des Célestins qui appartenait
aux religieux de Marcoussis. Il a laissé son nom à la rue du
Puits-du-Coq, en face de laquelle il était situé. (Travers 424)
Il y a encore sur le quai de la Mégisserie, à Paris, une assez
jolie enseigne sculptée, représentant le Coq hardi, perché
sur le dos d’un lion dont il becquette la crinière. (Travers 424 note
2).
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Coq-en-Pâte
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Existant toujours en 1881
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Carrefour du Pont-Doré
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Travers 426
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assez vieille auberge ayant
pour enseigne un tableau qui représente un coq sortant d’un pâté.
«Au commencement de ce siècle, dit M. Marquis, le théâtre
d’Étampes était dans une espèce de grange dépendant
de cette auberge. On l’appelait la «salle du Coq-en-Pâte».
Cet établissement renommé a donné son nom à
la petite place sur laquelle il était situé. (Travers 426).
Situé aussi par Travers Place Dauphine (jadis place Royale, puis de
l’Ancienne-Comédie) (Travers 427)
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Coq-Hardi
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Fermée avant 1881
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Rue Saint-Jacques
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Travers 424
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l’enseigne représentait
un coq perche sur le dos d’un lion (Travers 424) Il y a encore sur le quai
de la Mégisserie, à Paris, une assez jolie enseigne sculptée,
représentant le Coq hardi, perché sur le dos d’un lion
dont il becquette la crinière.(Travers 424 note 2).
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Croissant
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Supprimée entre 1830
et 1840
(Travers 417) |
Rue Saint-Martin
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Travers 417
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Croix-d’Or
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Fermée vers 1844
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Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 424
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Cygne (1)
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1527
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Rue Saint-Jacques
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Fleureau 33; Marquis 113; Travers 421-422
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Aurait touché au Lion-d’Or
(Fleureau 33; Travers 421); A propos de cette hôtellerie, le barnabite
Basile Fleureau donne les détails suivants: «L’abbé de
Saint-Benoist-sur-Loire avoit droit de mairie sur les habitans de Sainville,
Meronville et Sonchamp, pour l’exercice de laquelle il avoit eu d’ancienneté
une maison en la paroisse de Saint-Gilles d’Estampes, appelée la Greneterie,
où pendoit pour enseigne le Cygne avec une boucle de fer ou d’airain
sur le pan, pour marque de cette juridiction, dite de la boucle, laquelle
s’aperçoit en plaine rue... La boucle reste encore attachée
au pan de la maison qui touche celle du Lion-d’Or, en la paroisse Saint-Gilles,
à laquelle pendoit anciennement pour enseigne le Cygne, comme je l’ay
appris d’une declaration de cette maison passée au roy le 10 juillet
1527. Le vulgaire dit par erreur que cette boucle est la marque de la franchise
de Chalo-Saint-Mard, et qu’anciennement elle servait d’azile (1)».
Mais M. L. Marquis, après avoir cité
ce passage, ajoute: «Tout le monde n’est pas de l’avis de l’historien
d’Étampes qui rapporte ces faits, et l’on doit [p.422] respecter les traditions.
Monteil, dans son Histoire des Français, ou il n’avance rien sans preuves,
dit qu’il y avait a Étampes une maison ou un descendant de Chalo-Saint-Mard
donnait l’hospitalite a de nombreux pèlerins. Les armes de la femme
de Chalo, qui sont: «un serpent entortillé cherchant à
mordre sa queue (1)», ressemblent assez à une boucle, et l’hôtellerie
du Cygne était sans doute l’ancienne maison des descendants du fameux
pèlerin (2) » (Travers 421-422)
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Cygne (2)
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Supprimée entre 1830
et 1840 (Travers 417)
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Rue Saint-Martin
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Travers 417
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Dauphin
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Existait en 1610, fermée
il y a plus d’un demi-siècle
(Travers 418) |
Rue Saint-Jacques, non loin de la porte Saint-Martin
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Marquis 113; Travers 418
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Auberge très importante.
Magnifiques caves conservées en 1881 (Travers 418)
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Duc-de-Bourgogne
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Fermée vers 1843 (Travers
419)
|
Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 419
|
Hôtel (Travers 419).
«Son enseigne semble indiquer une
certaine ancienneté», dit M. L. Marquis. Est-ce un souvenir
du séjour fait a Étampes, du 19 au 31 juillet 1465, par Charles
le Téméraire? On peut en douter, car ce prince n’était
alors que comte de Charolais. Le nom de cet ancien hôtel me semble
plutôt venir du duc de Bourgogne, petit-fils de Louis XIV, qui, le
5 décembre 1700, coucha à Étampes, alors qu’avec le
duc de Berry, il accompagnait Philippe V, lequel allait prendre possession
du trône d’Espagne. (Travers 419)
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Duc d’Orléans
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Fermée en 1879
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Au Prince-d’Orléans,
très ancienne auberge, ayant pour enseigne un grand portrait du prince.
Reconstruite de nos jours et supprimée en 1879, son enseigne était
en dernier lieu: Au Duc-d’Orléans (Travers 427).
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Écu
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Fermée avant le XVIIIe
siècle (Travers 417)
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Rue de la Treille (jadis ruelle
de l’Écu)
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Travers 417
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avait pour enseigne l’Écu de France (Travers 417)
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Écu de France (puis
hôtel de France)
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Rebâti en 1833, fermé
avant 1881 (Travers 423) |
Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 423
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Sur l’emplacement duquel fut
bâti en 1833 l’hôtel de France, qui lui-même n’existe plus
(Travers 423).
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Étoile (1)
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Fermée avant 1881 (Travers
418)
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Rue du Haut-Pavé
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Travers 418
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Très ancienne auberge
ou s’arrêtaient les chaînes de forçats pour recevoir des
rafraichissements (Travers 418)
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Étoile (2), jadis A l’Étoile-du-Point-du-Jour
|
Cité fin XVIIIe siècle,
existait encore en 1881
|
Rue du Perray
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Travers 429
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Très vieille auberge
ou s’arrêtaient, à la fin du dernier siècle, les chevaux
des convois militaires (Travers 429).
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Fleur-de-Lys
|
Fermée avant 1881
|
Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 423
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Fontaine
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Citée en 1498
(Travers 418-419) |
Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 418-419
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Bâtiments très
vastes. Louis XII reçut, le 11 août 1498,
Niccolo Michiel, Antonio Loredan et Hieronimo Zorzi, ambassadeurs de Venise: la hostaria di la Fontana (Travers 418-419).
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Fontaine-Tristan
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Citée en 1323
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?
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Gineste (ici)
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Est-ce la même auberge
que la précédente?
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Girafe
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Fermée mi-XIXe siècle
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Rue du Faubourg-Saint-Jacques
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Travers 431
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Autre auberge fermée
vers la même époque (que le Saiont-Jacques fermé en 1859)
et qu’il faut citer comme exemple d’enseigne d’origine anecdotique, etc (Travers
431-432). «Des comédiens ambulants, dit
M. Marquis, donnaient quelquefois des spectacles dans une des pièces
de cette auberge, qui s’appelait le salon de la Girafe. On voit toujours son
enseigne représentant une girafe conduite par un Bédouin»
(Travers 431).
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Grâce-de-Dieu
|
Existant encore en 1881
|
Rue Saint-Jacques
|
Marquis 113; Travers 423
|
Ancienne auberge qui a encore
pour enseigne un tableau représentant une barque battue par la tempête
et montée par un homme qui se recommande à la grâce de
Dieu. M. Marquis pense que c’était, en 1511, «l’hostel de Gillet
le Coupt, assis devant l’église Saint-Basile, grande rue Saint-Jacques,
où pend pour enseigne Saint-Sébastien» (Travers 423).
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Grand-Cerf
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Cité commencement XVIIIe,
fermé vers 1820
|
Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 423
|
Très
en vogue au commencement du XVIIIe siècle (Travers 423)
|
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Grand-Courrier (autrefois
des Trois-Fauchets)
|
Existait encore en 1881
|
Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 424
|
Hôtel dit anciennement
des Trois-Fauchets, aujourd’hui du Grand-Courrrier et du Bois-de-Vincennes
réunis, à l’angle de la rue des Trois-Fauchets (rue des Trois-Faucheurs,
sous la Révolution), et à laquelle il a donne son nom (Travers
424).
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Grand-Monarque
|
Existait encore en 1881
|
Place Romanet
|
Travers 427
|
hôtel fondé il
y a un quart de siècle par un ancien propriétaire de celui du
Grand-Courrier, rappelle sans doute le nom d’une ancienne auberge (Travers
427)
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Grand-Saint-Martin
|
Fermée avant 1881 (Travers
417)
|
Rue Saint-Martin, à
l’angle de la rue Saint-Jacques (Travers 417) |
Travers 417
|
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Grande-Maison
|
Fermée avant 1881 (Travers
417)
|
Rue Saint-Martin
|
Travers 417
|
|
|
Herse
|
Existait encore en 1881
|
Rue de la Boucherie
|
Travers 431
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Hirondelle
|
Fermée vers 1825 (Travers
417)
|
Rue Saint-Martin
|
Travers 417
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Ile-d’Amour
|
Fermée avant 1881
|
Rue Sainte-Croix
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Travers 425
|
Enseigne d’un pâtissier-restaurateur,
chez lequel les vignerons se réunissaient le jour de la fête
de saint Vincent. Ils chantaient alors en l’honneur de leur patron une chanson
dont M. Marquis cite le premier couplet, qui est assez curieux et dénote
une facture ancienne (Travers 425)
|
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Image-Notre-Dame
|
Fermée avant 1881
|
Rue de l’Hôtel-de-Ville
|
Travers 426
|
à l’angle de la place
et de la Petite-Rue-Sainte-Croix (Travers 426)
|
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Image Saint-Louis
|
Avanat la Révolution
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Rue Darnatal
|
Travers 428
|
auberge située à
l’angle de la rue Darnatal et de la place du Petit-Marché, avait sans
doute fourni le nom de cette rue qui s’appelait anciennement rue Saint-Louis
et qui, sous la Révolution, devint la rue des Trois-Couleurs (Travers
428).
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|
Levrette
|
Fermée avant 1881
|
Rue Saint-Jacques
|
Marquis 113; Travers 423
|
A l’angle d’une rue à
laquelle elle avait donné son nom et qui est devenue la rue Elias-Robert,
en souvenir d’un statuaire de talent, né à Étampes (Travers
423)
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Lion-d’Argent
|
Fermée vers 1834
|
Rue Saint-Jacques
|
Marquis 113; Travers 423
|
auberge fréquentée
surtout par des rouliers (Travers 423); Sur une partie
de son emplacement, on a perce en 1842, une rue dite d’abord du Lion-d’Argent,
et appelée aujourd’hui rue Lenicolais, du nom d’un bienfaiteur de la
ville d’Étampes (Travers 423).
|
|
Lion-d’Or (1)
|
Cité vers 1668
|
Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 421
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Voisine du Cygne en 1527 (Fleureau
33; Travers 421)
|
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Lion-d’Or (2)
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Fermée en 1840
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Rue du Petit-Marché
(Rue de l’Ancienne-Comédie)
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Travers 427
|
à l’angle de cette rue
et de celle du Petit-Mesnil-Girault (Travers 427)
|
|
Mores
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Rue du Faubourg-Évezard
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Mouton (1)
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Fermée il y a une quarantaine
d’années (Travers 417-418)
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Rue du Haut-Pavé
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Travers 417-418
|
A laissé son nom à
la ruelle ou passage du Mouton (Travers 417-418)
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Mouton (2)
|
Fermée avant 1881
|
Rue des Cordeliers
|
Travers 425
|
auberge qui a donné
son nom à la rue du Mouton (anciennement rue du Pivert), en face de
laquelle elle était située, et à la rue de l’Abreuvoir-du-Mouton,
qui fait suite à la précédente (Travers 425)
|
|
Nord
|
Tout moderne en 1881
|
Place de l’Embarquadère
|
Travers 426
|
En face de la gare du chemin
de fer, près de l’hôtel du Nord, tout moderne, se trouvait
l’hôtel des Voyageurs, supprimé en 1879, qui existait
dès le siècle dernier et avait de grandes caves aboutissant
aux fosses de la ville.
|
|
Ours
|
Fermée vers 1800
|
Rue Saint-Jacques
|
Marquis 113; Travers 423
|
Dite aussi Maison de l’Ours
(Travers 423)
|
|
Papillon
|
Existant encore en 1881 (Travers
417)
|
Rue Saint-Martin
|
Travers 417
|
|
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(?) Petit-Écu
|
?
|
Carrefour-du-Chat
|
Travers 429
|
M. Marquis signale une maison
dite du Petit-Écu située dans ce carrefour et composée
de deux corps de logis, cour et jardin en terrasse, avec dix arpents de terre
et de pré, appartenant au chapitre de Notre-Dame, vendue nationalement
en 1791. N’est-ce point un souvenir de quelque ancienne auberge?
(Travers 429) |
|
Petit-Paris
|
Fermée en 1820
|
Rue Saint-Jacques
|
Marquis 113; Travers 424
|
|
|
(?) Pivert
|
(?)
|
Rue des Cordeliers
|
Travers 425
|
Le Mouton, auberge qui
a donné son nom à la rue du Mouton (anciennement rue du Pivert),
en face de laquelle elle était située, et à la rue de
l’Abreuvoir-du-Mouton, qui fait suite à la précédente
(2). (2) Le nom du Pivert
venait peut-être de quelque auberge oubliée. (Travers 425
et note 2)
|
|
Point-du-Jour
|
Fermée au commencement
du XIXe s. (Travers 417)
|
Rue des Belles-Croix
|
Travers 417
|
l’enseigne était une
poule, sculptée sur une pierre au-dessus de la porte, et à cause
de laquelle la rue de la Cordonnerie s’est longtemps appelée rue de
la Poule (Travers 427)
|
|
Port-Saint
|
Fermée avant 1881
|
Rue du Faubourg-Évezard
|
Travers 433
|
Auberge très ancienne
(Travers 433)
|
|
Poule
|
Fermée en 1820
|
Rue de la Cordonnerie
|
Travers 427
|
l’enseigne était une
poule, sculptée sur une pierre au-dessus de la porte, et à cause
de laquelle la rue de la Cordonnerie s’est longtemps appelée rue de
la Poule (Travers 427)
|
|
Prince-d’Orléans
|
Fermée en 1879
|
Rue de la Cordonnerie
|
Travers 427
|
très ancienne auberge,
ayant pour enseigne un grand portrait du prince. Reconstruite de nos jours
et supprimée en 1879, son enseigne était en dernier lieu: Au
Duc-d’Orléans (Travers 427)
|
|
Quatre-Chemins
|
Existait encore en 1881
|
Rue du Sablon
|
Travers 431
|
En face
d’une petite place où se tient la fête annuelle du faubourg Saint-Pierre
(Travers 430).
|
|
(?) Renard
|
(?) Avant 1881
|
(?) Rue Saint-Jacques
|
Travers 425
|
auberge qui aurait, dit-on,
été située à l’angle de la rue Saint-Jacques
et de celle du Renard, à laquelle elle aurait laissé son nom.
Mais cette appellation peut avoir une autre origine. «Cette rue ou plutôt
cette ruelle, dit M. Marquis, était anciennement dans un creux formant
ravin... c’était un vrai «renard », qui servait à
l’écoulement des eaux pluviales (1).
La rue de la Queue-de-Renard... a sans doute la même origine».
(Travers 425), Ce terme est encore employé, en parlant de canaux ou
de bassins, pour signifier une fente, un trou, par où 1`eau se perd
et qu’il est malaisé de découvrir (Travers 425 note 1).
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|
Rendez-vous-des-Bons-Enfants
|
Existait toujours en 1881
|
Place Notre-Dame
|
Travers 427
|
|
|
Robinson
|
Fermée avant 1881
|
Rue de l’Hôtel-de-Ville
|
Travers 426
|
auberge ancienne, qui datait
peut-être de l’époque ou le roman de Daniel de Foë devint
populaire (Travers 426)
|
|
Roi-d’Espagne
|
Fermée vers 1826
|
Rue des Cordeliers
|
Travers 425
|
Son nom rappelait peut-être
le passage de Philippe V, en 1700, dont j’ai parlé plus haut à
propos de l’auberge du Duc-de-Bourgogne (Travers 425).
|
|
Rose
|
Fermée avant 1881
|
Rue Saint-Jacques
|
Marquis 113; Travers 421
|
Auberge voisine des deux suivantes
[le Lion-d’Or et le Cygne]. Leurs propriétaires eurent entre eux de
nombreux procès. L’enseigne de cette auberge existe encore et elle
a laisse son nom à la rue de la Rose qui se trouve en face.
|
|
Rossignol
|
Fermée vers 1844
|
Rue Saint-Jacques
|
Marquis 113; Travers 423
|
Son enseigne est devenue celle
d’un marchand de vins (en 1881) (Travers 423).
|
|
Saint-Christophe (1)
|
Citée fin XVIIIe s.,
1823. Fermée avant 1881
|
Rue Saint-Jacques
|
Marquis 113; Travers 423-424
|
hôtel très vaste,
en vogue, [p.423] il y a un siècle, était fréquenté
par les hauts fonctionnaires. En 1823, les gardes du corps qui rejoignaient
l’armée envoyée en Espagne y descendirent (1). (Travers 423-424) N.B.:
Un autre hôtel Saint-Christophe existait en 1846, dans le faubourg
Saint-Pierre. (Travers 424 note 1)
|
|
Saint-Christophe (2)
|
Fermée avant 1881
|
Rue de la Boucherie
|
Travers 431
|
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|
Saint-Jacques
|
Fermée en 1859
|
Rue du Faubourg-Saint-Jacques
|
Travers 431
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Grande auberge fermée
en 1859, dans la cour de laquelle était installé, tous les
ans, le cirque de la foire Saint-Michel (Travers 431).
|
|
Saint-Jean
|
Fermé depuis longtemps
en 1881
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Place Dauphine (jadis place
Royale, puis de l’Ancienne-Comédie) (Travers 427)
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Travers 427
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ancienne auberge, avec bas-relief
sculpté sur la façade, à l’angle de cette place et de
la rue de la Tannerie; c’est depuis longtemps une maison particulière
(Travers 427)
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Saint-Julien (1)
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XVIe siècle
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Rue du Faubourg-Évezard
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Travers 433
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Auberge existant au XVIe siècle
(Travers 432).
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Saint-Julien (2)
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Encore vers 1842. Fermée
depuis longtemps en 1881
(Travers 416) |
Rue des Belles-Croix
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Travers 416
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Saint-Nicolas
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Fermée en 1825 (Travers
418)
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Rue du Haut-Pavé
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Travers 418
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Hôtellerie importante
(Travers 418)
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Sainte-Barbe
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Fermée avant 1881
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Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 423
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Auberge
de rouliers (Travers 423)
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Sapeur-Pompier
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Existait encore en 1881
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Rue du Perray
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Travers 429
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Doit,
d’après son nom, être de création assez récente
(Travers 429)
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Sauvage (1)
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1526 (Travers 416)
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?
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Travers 416
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Sauvage (2)
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?
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Rue Évezard.
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Travers 416, 429
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Auberge qui avait fait
anciennement donner a cette rue le nom de rue du Sauvage (Travers 429).
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Sauvage (3)
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Encore en 1842. Fermée avant
(Travers 416)
1881 |
Rue des Belles-Croix
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Travers 416
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Auberge à relais (Travers
416). Identifiée sans doute erronément avec celle des Belles-Croix
(Travers 416).
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Sentine
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Supprimée en 1846 (Travers
416)
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Rue des Belles-Croix, en face
de la rue de Charpeau
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Travers 416
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Tête-Noire
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Fermée avant 1881
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Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 424
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Soleil-d’Or
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Supprimée entre 1830
et 1840 (Travers 417)
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Rue Saint-Martin
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Travers 417
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Trois-Fauchets
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?
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Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 424
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Ancien nom du Grand-Courrier
(Travers 424)
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Trois-Marchands
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Fermé vers 1820
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Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 421
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Trois-Maures (ou Maures)
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Cité 1589.
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Carrefour des Religieuses
(et non rue Saint-Jacques)
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Fleureau 250; Travers 419-420.
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Confondu à tort par
Marquis avec les Trois-Rois (Travers 419-420). En
1589, les sieurs de Vaugrigneuse et de Monroger, officiers de l’armée
de Henri IV, furent pris, dans l’hôtellerie des Mores, par quelques
soldats ligueurs venus de Dourdan, et les habitants d’Étampes furent
obligés de payer leur rançon (Fleureau 250, Montrond II, p.
108; Travers 420).
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Trois-Rois
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Cité 1666, 1668, 1772. Existe
encore en 1881 (Travers 419-420)
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Rue Saint-Jacques
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Marquis 113; Travers 412; 419-420
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Hôtel
très ancien et fort renommé autrefois (Travers 419). Mais confondu
à tort par Marquis avec les Trois-Maures (Travers 419-420). Mme de Vendôme et sa fille, Mlle d’Aumale, future reine de
Portugal, logèrent dans cet hôtel, le 30 mai 1666; de même
Louis XIV et la reine Marie-Thérèse, les 25 septembre et 19
octobre 1668, au cours d’un voyage a Chambord. C’est là aussi que fut
reçue solennellement, le 27 février 1722, l’infante Marie-Anne-Victoire
d’Espagne, fiancée au roi Louis XV (Travers 420). «Au fond de la cour de l’hôtel des Trois-Rois, dit
M. L. Marquis, est un grand corps de logis sur la façaade duquel est
un ancien cadran solaire. Dans l’intérieur, on remarque un bel escalier
ancien avec balustres en bois sculpté. Cet escalier conduit à
des appartements somptueux ou l’on voit de superbes panneaux et de grandes
cheminées en marbre, artistement sculptés. C’est là sans
doute qu’eurent lieu les réceptions du dernier siècle; mais
tout cela tombé en décrépitude, il ne restera bientôt
aucune trace de ces anciens bâtiments (2)»
(Travers 420). une scène de l’opéra-comique du Pré-au-Clercs
se passe aux Trois-Rois et qu’un des décors en représente
le jardin; — enfin que cet hôtel possédait une magnifique [p.421] et ancienne batterie
de cuisine, qui a été vendue de nos jours. au grand détriment
de l’histoire de l’industrie. (Travres 420, note 2)
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Vaisseau
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Fermée avant 1881
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Rue du Faubourg-Évezard
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Travers 433
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Ville-de-Rouen
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Fermé il y a une vingtaine
d’années
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Rue Évezard
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Travers 429
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Vieil hôtel, fermé
il y a une vingtaine d’années (Travers 429).
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Voyageurs
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Fermée en 1879
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Place de l’Embarquadère
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Travers 426
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En face de la gare du chemin de
fer, près de l’hôtel du Nord, tout moderne, se trouvait
l’hôtel des Voyageurs, supprimé en 1879, qui existait
dès le siècle dernier et avait de grandes caves aboutissant
aux fosses de la ville. (Travers 426)
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