Corpus Scientifique Étampois
 
John L. Jambor
Guettardite
1966
    
Jean-Etienne Guettard
Jean-Étienne Guettard
Jean-Etienne Guettard
Guettardite
John L. Jambor
John L. Jambor
           
     John L. Jambor, minéralogiste canadien, a découvert et identifié entre 1961 et 1966 plusieurs minéraux inconnus jusqu’alors parmi des échantillons collectés en 1924 à Madoc, en Ontario. Comme il a nommé l’une de ces nouvelles espèces guettardite, en l’honneur du célèbre minéralogiste étampois Jean-Étienne Guettard (1719-1791), nous lui avons demandé, et il a très aimablement accepté de nous raconter l’histoire de cette découverte. 
      
John L. Jambor
Découverte de la guettardite
      
John L. Jambor      Pendant une bonne partie des années 1920, des campagnes de prospection de la Commission Géologique du Canada, sous la direction de M. E. Wilson, cartographièrent les environs de Madoc, en Ontario. On s’efforça notamment de répertorier les gisements de minéraux à caractère économique, spécialement ceux de fluorite. Les notes de campagne tenues par le Dr. Wilson ont révélé que le 5 juillet 1924 l’un de ses assistant explora un groupe de petits forages effectués à la recherche de marbre près de Madoc. Une imprégnation du marbre par de la pyrite [FeS2], de la sphalérite [(Zn,Fe)S] et de la jamesonite [Pb4FeSb6S14] y fut notée, et on en collecta environ un kilogramme d’échantillon. Ce matériel fut rapporté par la Commission Géologique à Ottawa, et, quoique on n’en ait pas poussé très loin l’examen minéralogique, on y travailla suffisamment pour noter que cet assemblage contenait un minéral du type sulfosel non identifié.

    En 1961, alors que je procédais à la remise à jour du fichier de référence de la Commission Géologique pour les spectres corpusculaires des sulfosels, j’examinai le matériel qui avait été collecté presque quarante ans plus tôt lors de l’entreprise de cartographie de Wilson. Il devint vite évident qu’on était en présence d’un assemblage de minéraux unique en son genre, et une étude systématique en fut entreprise. Plusieurs week-ends, je fis le voyage de Madoc en voiture pour forcer la chance, ce qui n’était pas facile, parce que beaucoup de temps s’était écoulé et que la carte de Wilson n’était pas à une échelle très détaillée. Cependant le site originel fut redécouvert en 1963, et dans la suite la Commission Géologique y recueillit une grande quantité de marbre contenant des grains de sulfosel épars; ces échantillons constituaient un matériel très prisé que des collectionneurs accepteraient volontiers d’échanger contre des espèces minérales non encore représentées dans les collections de la Commission Géologique.

    Dans les descriptions qui furent publiées des minéraux de Madoc, plusieurs nouveaux noms de minéraux furent introduits. L’un de ces noms fut consacré au nom de la localité qui avait fait connaître l’espèce, à savoir la madocite. Un autre le fut à mon ancien professeur de minéralogie, R. M. Thompson. Mais comme le nom de thompsonite avait déjà été donné en bonne et due forme à un autre minéral, et comme l’une des caractéristique de ce minéral est d’être toujours maclé («twinned» en anglais, littéralement «jumelé» en français), le nom choisi fut twinnite. D’autant plus que  Thompson signifie ‘fils de Thomas’, et que Thomas signifie en araméen ‘jumeau’ (twin).

     Dans mes jeunes années l’histoire de la géologie m’avait beaucoup intéressé et j’avais lu plusieurs livres sur le sujet. La série de Madoc fournissait l’occasion d’honorer quelques uns des pionniers de la science géologique, et c’est pourquoi furent choisis les noms de
guettardite, de sorbyite, de launayite et de playfairite. La guettardite est très proche de la twinnite, et bien qu’une légère différence de composition ait été attribuée à ces deux minéraux lors de leur première description voici quarante ans, on considère aujourd’hui qu’elles ont la même composition, et qu’elles sont polymorphes.
John L. Jambor
septembre 2003
(trad. B. Gineste,
vérifiée et corrigée
par un minéralogiste
spécialiste des sulfosels)

     NOTES
   
     [1] Le spectre corpusculaire d’une molécule est l’analyse de sa composition par le moyen des rayons X.
     [2] Jean-Étienne Guettard (1719-1791), botaniste, minéralogiste et géologue français né à Étampes (qui a aussi donné son nom au genre botanique guettarda et à un astéroïde).
     [3] John Playfair (1748-1819), mathématicien et géologue écossais, auteur de Illustrations of the Huttonian Theory of the Earth.
     [4] Henry Clifton Sorby (1826-1908) chimiste et géologue anglais, fondateur de la métallographie.
     [5] Louis de Launay (1860-1938), géologue français, spécialiste de l’origine des gisements métalliques.
     [6] Robert Mitchell Thompson (1918-1967), professeur de minéralogie à l’Université de Colombie Britannique, dont Jambor fut élève lors de ses années d’études
     [7] Allusion à l’Évangile selon Saint-Jean, XX, 24: l’un des douze apôtres de Jésus se dénommait Thomas, mais on l’appelait aussi Didymos. Or, comme toutes les Bibles annotées le précisent, tant Thomas en araméen (langue vulgaire de la Palestine à l’époque de Jésus-Christ) que Dydymos en grec (langue dans laquelle fut écrit le Nouveau Testament) signifient «jumeau». Preuve s’il en fallait que la culture religieuse n’est pas chose morte dans les milieux scientifiques anglo-saxons.
(Bernard Gineste)
      [8] Des espèces minérales sont qualifiées de polymorphes lorsqu’elles ont la même composition chimique, mais des structures cristallines différentes. Ainsi la calcite et l’aragonite correspondent à deux formes cristallines distinctes du carbonate de calcium CaCO3 (Remarque: lorsque le polymorphisme ne concerne que deux espèces, on parle plus communément de dimorphes).
(Un minéralogiste)
Texte original

John L. Jambor      For several years in the 1920s, Geological Survey of Canada field parties under the supervision of M.E. Wilson mapped the area around Madoc, Ontario. Part of the effort was directed toward examination of the economic mineral deposits, especially those of fluorite. Field notes provided by Dr. Wilson revealed that on July 5, 1924, one of his assistants examined a cluster of small prospect pits in marble near Madoc. Impregnation of the marble by pyrite [FeS2], sphalerite [(Zn,Fe)S], and jamesonite [Pb4FeSb6S14] was noted, and about a kilogram of sample was collected. This material was brought to the Geological Survey in Ottawa, and although no detailed mineralogical examination was carried out, sufficient work was apparently done to indicate that the assemblage contained an unidentified sulfosalt mineral.
     In 1961, when in the process of updating the Geological Survey’s reference file of X-ray patterns for sulfosalts minerals, I examined the material that had been collected almost 40 years earlier during Wilson’s mapping project. It soon became evident that a unique mineral assemblage was present, and a systematic study was begun. On several weekends I drove to Madoc to search for the occurrence, which was not easily found because of the lapsed time and because Wilson’s map was not on a detailed scale. However, the original site was found in 1963, and subsequently the Geological Survey collected a large amount of marble containing grains of disseminated sulfosalts; the samples were considered to be valuable material that collectors would be willing to exchange for species that were not yet represented in the Survey’s mineral collection.
     In the published descriptions of the Madoc minerals, several new mineral names were introduced. One of the names was for the type locality (hence, madocite), and one was my former mineralogy professor, R.M. Thompson. The name thompsonite, however, was already in use for a mineral in good standing; consequently, because a characteristic feature of the mineral is that it is always twinned, the name chosen was twinnite. Thompson is ‘son of Thomas’, and Thomas in Aramaic is ‘a twin’.
     In my earlier years I was quite interested in the history of geology, and I had read several books on the subject. The Madoc suite presented an opportunity to recognize some of the historic contributors to the science of geology, and that is why the names guettardite, sorbyite, launayite, and playfairite were chosen. Guettardite is closely related to twinnite, and although slightly different compositions for the two minerals were given in the original descriptions 40 years ago, the two are now thought to have the same composition and are polymorphs.

John L. Jambor
     Source: Pièce jointe à un courriel de John L. Jambor à Bernard Gineste, en septembre 2003. 
      
Fragment de cristal de guettardite
© Mineralogic Record 1982
     Voici une photographie de guettardite prise au microscope électronique et publiée par l’équipe de John Jambor dans le Mineralogical Record en 1982, sans nom de photographe. Elle nous a été très aimablement communiquée par László Horváth, minéralogiste canadien, par un courriel en date du 12 décembre 2003.

     Cet éclat de cristal provenant de Madoc, en Ontario, est conservé au Musée Royal de l’Ontario, à Toronto, sous le numéro de spécimen M35890. La barre d’échelle en bas à droite correspond à 100 µm (100 micromètres ou microns, c’est-à-dire 0,1 millimètre). On peut agrandir cette image par un simple clic.

     Nos remerciements renouvellés à
László Horváth, qui nous a aussi procuré une bonne image de la première carte géologique d’Amérique du Nord, dressée par Guettard en 1752.


La Guettardite
      
Historique sommaire
 
      Parmi un lot d’échantillons qui avait été prélevé en 1924 dans une carrière de marbre près en Madoc, en Ontario, John L. Jambor a découvert, à partir de 1961, plusieurs nouvelles espèces de sulfosels. En 1966, la dénomination de guettardite pour l’un d’entre eux a été approuvée par l’Association Internationale de Minéralogie, et cette découverte a fait l’objet d’une première publication l’année suivante dans le Canadian Mineralogist, pp. 191-213, sous le titre «New lead sulfantimonides from Madoc, Ontario. 2 Mineral descriptions».

Description sommaire

Jean-Etienne Guettard      La guettardite est un sulfosel (anglais sulfosalt), dont la formule chimique est Pb (Sb,As)2 S4, où Pb représente le plomb (38,60% de la masse moléculaire), Sb l’antimoine (24,95%), As l’arsenic (12,56%) et S le soufre (23,89%). Les cristaux de guettardite peuvent contenir, en matière d’impuretés, du cuivre (Cu), occasionnellement du fer (Fe). 
     On considère désormais que la guettardite présente exactement la même composition que la twinnite, sous une forme cristalline différente: c’est un cas de dimorphisme.
Sa densité est de 5,29.
     La morphologie de la guettardite est aciculaire, c’est-à-dire qu’elle se présente sous la forme de grains allongés en forme d’aiguilles.
Elle peut présenter des macles (c’est-à-dire des cristallisations cruciformes). Sa couleur est d’un noir grisâtre, son éclat métallique et son pouvoir réflecteur de 34,8 à 39,3 (589).
     Le système cristallin (ou holoédrie) de la guettardite est monoclinique. Classe de symétrie: 2/m. Son réseau de Bravais est primitif (P). En voici les paramètres. a: 20,09b: 7,94c: 8,76; béta: 101,12; Z (nombre de formules chimiques par unité de cellule): 8. Le clivage de la guettardite est parfait (le clivage est la division mécanique, dans une ou plusieurs directions, de la masse d’un corps cristallisé, division qui met à jour les joints des lames dont ce corps est composé). La guettardite est fragile. Sa dureté de 4,00. Elle laisse des traces d’un noir brunâtre et se casse de façon conchoïdale (c’est-à-dire en forme de coquille, comme sur la photographie électronique ci-contre).

Localisation
  
     On a trouvé, depuis 1967, de la Guettardite un peu partout: en France (carrière de marbre du Jas Roux, à Valgaudemar, sur le mont Pelvoux, dans les Hautes-Alpes), en Italie (Valle S. CaterinaCampiglia Marittima, dans la province de Livourne en Toscane; carrières de Pitone, à Seravezza dans la province de Lucca), au Kirghistan (gisement d’antimoine et de mercure de Chauvai, dans les monts Alai de vallée de Ferghana, district de Osh), en Russie (gisement de molybdène et d’uranium de Lenskoye, Novoye, Amurskaya Oblast, dans la région extrême-orientale), ainsi qu’aux Etats-Unis (mine de Brobdignag à Silverton, dans le district du même nom, comté de San Juan, dans le Colorado).
BIBLIOGRAPHIE
 
     J. L. JAMBOR,
«New lead sulfantimonides from Madoc, Ontario. 2 Mineral descriptions» [«Nouveaux sulfantimonides de Madoc en Ontario. Deux descriptions minéralogiques»], in The Canadian Mineralogist 9 (1967), pp. 191-213.

     ?,
«?», in American Mineralogist 53 (1968), pp. 1425-?.

     G. BRACCI, D. DALENA, P. ORLANDI, G. DUCHI & G. VEZZALINI, 
«Guettardite from Tuscany, Italy: a second occurrence» [«Guettardite de Toscane (Italie): deuxième trouvaille»], in The Canadian Mineralogist 18 (1980), pp. 13-15.
 
     J. L. JAMBOR, J. H. G. LAFLAMME  & D. A. WALKER, «A re-examination of the Madoc sulfosalts» [«Réexamen des sulfosels de Madoc»], in Mineralogic Record 13 (1982), pp. 93-100 [L’image que nous mettons en ligne provient de cette publication et nous a été aimablement communiquée par László Horváth par un courriel du vendredi 12 décembre 2003 15:33].

     Robert GAIT, «Mineral Species from Canadian Type Localities, an Annotated List» [«Espèces minérales dont le type a été découvert dans des localités canadiennes. Une liste annotée»], The Canadian Mineralogist 21 (1983), pp. 145-157 [article dont se nourrit une page web anonyme, «Minerals First Discovered in Ontario (based upon Gait, 1983)», http://www.ontariominerals.com/type.mins.htm, en ligne en 2003].

     Jeffrey de FOURESTIER, 
«The naming of mineral species approved by the Commission on new minerals names of the International Mineralogical Association. A brief history» [«Comment les dénomination despèces minérales sont acceptées par la Commission de lAssociation Internationale de Minéralogie pour les noms de nouveaux minéraux. Bref historique»], in The Canadian Mineralogist 40 (2002), pp. 1721-1735 [dont une édition en ligne au format PDF, http://www.geo.vu.nl/users/ima-cnmmn/CNMMNhistory.pdf, en ligne en 2003], spécialement p. 1727: «1966: 66-012 = Mckinstryite, 66-015 = Madocite, 66-016 = Veenite, 66-017 = Twinnite, 66-018 = Guettardite, 66-019 = Playfairite, 66-020 = Sterryite, 66-021 = Launayite».

L      Robert F. MARTIN [éd.], László HORVÁTH [auteur, minéralogiste amateur né en 1931], Minerals Species Discovered in Canada and Species Named after Canadians [382 p. (dont un cahier de 16 pages couleurs); 3 parties; 7 appendices; index; «Espèces minérales découvertes au Canada et espèces dénommées d’après des noms de Canadiens»], Ottawa, The Canadian Mineralogist [«Special Publication» 6], 2003 [ISBN 0-921294-40-9; $45].
     Dont une recension en anglais par Igor V. PEKOV, du département de minéralogie de l’université Lomonosov de Moscou, in Mineralogical Almanac, http://webcenter.ru/~minbooks/reviews.html, en ligne en 2003, ci-dessous traduite en français:
      La partie principale de ce livre décrit les 206 minerais qui ont été étudiés la première fois sur le territoire du Canada. Le Canada tient la quatrième place après les États-Unis, la Russie, et l’Allemagne en matière de découvertes minéralogiques. La description de chaque minerai occupe une page distincte et inclut la formule chimique, la symétrie, la géographie détaillée de la localité-type, une courte description de l’occurrence (roches en place, taille minérale, morphologie, couleur, minerais associés, etc.), l’origine du nom minéralogique, le dépôt des spécimens types, ainsi que les références complètes de la première étude et, dans certains cas, d’autres travaux significatifs. Si la découverte d’un minerai a une histoire, elle est donnée dans la section "Commentaires", qui inclut également d’autres informations additionnelles sur ce minerai. Les pages présentant des espèces minérales dénommées en hommage à des Canadiens ne contiennent pas seulement quelques données sur ces personnes, mais également leurs portraits (chose apparemment très importante!). Les autres illustrations de cet ouvrage comprennent les photographies noir et blanc des minerais (fondamentalement des images de SEM), des schémas de cristaux, et des images pittoresques des localités-type. Une insertion comporte 39 photos de couleur des spécimens des minerais canadiens les plus beaux.
     L’histoire des découvertes de nouvelles espèces minérales au Canada, couvrant plus de 220 ans, est brièvement décrite dans l’introduction. Les annexes à la fin du livre incluent la chronologie des découvertes, des plans situant les localités-type, la distribution de l’espèce minérale parmi les classes chimiques, et l’index des noms d’auteur. Une autre section du livre, très intéressante, traite de noms qui avaient tout d’abord été proposés à la littérature minéralogique sur la base de l’études de minerais canadiens (quoique ces noms soient obsolètes aux yeux de la nomenclature minéralogique actuelle).
     Une section distincte décrit 30 espèces minérales découvertes hors du Canada mais dénommée en hommage à des Canadiens, minéralogistes, cristallographes et géologues. Les descriptions dans cette section ont la même structure que celles de la partie principale, et nous pouvons y voir aussi les portraits de toutes ces personnes.
     Le livre est très complet et détaillé. Ces qualités sont absolument cruciales pour ce genre d’édition de référence. Ayant l’expérience de la préparation d’une synthèse analogue pour le territoire de l’ancienne URSS, je suis bien placé pour réaliser l’énorme effort qui a été fourni par l’auteur pour rassembler toutes ces informations et particulièrement le matériel illustré de ce livre. Il est très intéressant et sa lecture captivante. Et, malgré la surabondance des données, l’information y est d’un accès facile du fait de l’organisation claire et commode du matériel dans chaque section. Ce travail remarquable est une contribution fondamentale à l’histoire de la minéralogie et sa lecture peut être recommandée tant aux professionnels qu’aux amateurs.
     You can order this book from P.O. box 78087, Meriline Postal Outlet, 1460 Merival Road, Ottawa On Canada. Order online at http://www.mineralogicalassosiation.ca or by fax 1-418 226-4651 or Mineralogical Assosiation of Canada. Price $45 (postage includes).

     ANONYME, «Guettardite», in All Minerals of the World / Tous les minéraux de la terre, http://euromin.w3sites.net/mineraux/GUETTARDITE.html, en ligne en 2003.

     ANONYME, «Guettardite», http://www.sci.qut.edu.au/minerals/mineral%20general%20descriptions/G/guettarditepcd.htm, en ligne en 2003.
 
     David BARTHELMY, «Guettardite», in ID., Mineralogy Database, http://www.webmineral.com/data/Guettardite.shtml, en ligne en 2003.
 
     Jolyon RALPH, «Guettardite», in ID., MinDat.org, http://www.mindat.org/min-1768.html, en ligne en 2003.
   
     Bernard GINESTE [éd.],  
«John L. Jambor: La Guettardite (1966)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cse-guettardite.html, 2003.


Toute critique ou contribution seront les bienvenues. Any criticism or contribution welcome.
Sources: Remerciements à MM. John Jambor, Yves Moëllo, Robert F. Martin et László Horváth.
   
Explicit
 
 
Sommaire généralCatalogue généralNouveautésBeaux-ArtsBibliographieHistoireLittératureTextes latinsMoyen Age NumismatiqueProsopographieSciences et techniquesDom FleureauLéon MarquisLiensRemerciementsÉcrire au RédacteurMail to the Webmaster