LEUR FONDATEUR, LEUR COUVENT, LEUR HISTOIRE.
Dans la rue Saint-Martin, au n° 24, près du pont de la ligne
du chemin de fer de Pithiviers, se trouve un vieux bâtiment qui
fut le couvent de la Trinité ou des Mathurins. C’est saint Jean
de Matha qui fonda l’ordre des religieux de la Trinité ou Trinitaires.
Il était né en France, près de Barcelonnette, en
1160. Il prit à Paris le grade de docteur en théologie, puis
résolut de se consacrer à la rédemption des chrétiens
captifs des musulmans. Et c’est dans ce but qu’il fonda les Trinitaires
avec l’aide de saint Félix de Valois. A peine fondés, les
Trinitaires se répandirent en France, en Italie et en Espagne. A
plusieurs reprises, Jean de Matha se rendit dans les états barbaresques
et chaque fois ramena de nombreux chrétiens.
Etampes eut le privilège d’avoir
une des premières maisons de l’ordre au début du XIIIe siècle,
du vivant même de saint Jean de Matha. Ce couvent comprenait deux
corps de logis, une église dédiée à saint André,
un cloître, un pressoir et un jardin allant jusqu’à la Louette.
Les religieux, désignés habituellement sous le nom de Trinitaires,
parce qu’ils s’étaient mis sous la protection de la Sainte-Trinité,
étaient encore appelés spécialement en France sous
le nom de Mathurins, sans doute parce que les premières maisons de
l’ordre furent fondées dans la région de Sens, où on
avait une grande dévotion à saint Mathurin*. Ce saint, en effet, était de la région
de Sens. Il vécut au IIIe siècle.
[p.213] Après sa mort, ses reliques furent déposées
à Sens, puis au village de Larchant, pas très loin d’Etampes.
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En voici la véritable raison selon
Damien Jullemier: «Après les trois fondations initiales (Cerfroid,
Planels et Bourg-la-Reine), Philippe Auguste aida les Trinitaires à
construire un monastère à Paris près d’une chapelle
dédiée à saint Mathurin (il en subsiste aujourd’hui
une arcade 7 rue de Cluny, dans le 5e arrondissement). (…) «Le
couvent Saint-Mathurin prit une telle importance que le nom de Mathurins
qu’on avait donné aux religieux parisiens s’étendit bientôt
à tout l’ordre et, au XVIIe siècle, on ne les nommait plus
guère autrement en France (quoiqu’on les appelât aussi parfois
frères aux ânes, d’après leur
monture à l’origine)” (Emmanuelle Bermès, Le Couvent
des Mathurins de Paris et l’estampe au XVIIe siècle, thèse
à l’École nationale des Chartes).» (B. G., 2005)
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A Etampes, les Mathurins s’établirent
donc dans la rue principale, sur le quartier Saint-Martin, et leur couvent
s’appela la maison des Mathurins. A la tête de cette maison était
un Supérieur qu’on appelait ministre, et les religieux étaient
désignés sous le nom de Frères. Ceux-ci avaient en
outre le titre de cha noines réguliers de la Sainte-Trinité.
Quel fut le rôle des Mathurins à
Etampes?
Le but
principal de ces religieux était le rachat des captifs. Mais en
dehors des religieux qui s’en allaient en missions dans ce but, il y en
avait qui restaient dans leur communauté, faisaient du ministère
dans le lieu de leur résidence et se mêlaient à la
vie paroissiale.
Ainsi, en 1556,
au moment de la rédaction des Coutumes du bailliage, nous voyons
le frère Louis de Scudéry, ministre de la Trinité, convoqué
parmi les membres du clergé, se faire remplacer aux assises par le
frère Philippe Charpentier.
Vers 1650, Lazare Auroux est ministre du
couvent. Il est en même temps aumônier et prédicateur
du roi. Et à l’église Saint Martin il fait fonction de prêtre
habitué et administre les sacrements.
Une fois cependant les bons religieux se
tiennent à l’écart d’une cérémonie officielle
à laquelle ils étaient convoqués. C’était
à l’occasion du service funèbre pour le repos de l’âme
du duc de Vendôme, seigneur d’Etampes. Le maire, René Hémard,
mécontent, demanda qu’on fit une enquête et exigea une condamnation
pour cette absence. Mais on ne sait pas quel fut le résultat de
cette enquête.
Dans leur chapelle, qu’on appelait dans le
pays l’église Saint André, ils font des baptêmes,
mariages et sépultures, mais avec l’autorisation du curé
de Saint-Martin, dont ils sont sur le territoire.
Ainsi, en 1680,
le 23 janvier, on y célèbre le mariage de Jean Chevalier,
fils de Pasquet et de Barbe Sébillon, de la paroisse Saint-Martin,
et Louise Deslandres, veuve en deuxièmes noces de Jean Lecompte, de
la paroisse Saint-Gilles; en présence de Pierre Ingoust, vicaire
de Saint-Martin; Nicolas Blachet, religieux de la Sainte-Trinité;
frère Grégoire Goudet, et Henry Voltigem, peintre du roi.
Les enterrements y sont rares. Par exemple,
il est certifié qu’en 1737 il n’y a eu aucune mort dans la maison
ni aucune inhumation dans l’église. [p.214]
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On y célèbre quelques baptêmes. Le 20 septembre 1750,
un enfant est baptisé par le frère Bauvans, chanoine régulier
de la Sainte-Trinité, ministre de la maison d’Avignon, et le parrain
est messire Clément Couvet, ministre de la maison d’Etampes, provincial
de la province d Paris et premier définiteur au susdit ordre de
la Sainte-Trinité.
En 1778, la communauté
se réduit. Il n’y a plus au couvent que le ministre et deux ou trois
religieux*. Nous approchons de l’époque
de la Révolution.
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* En réalité les effectifs des communautés
trinitaires ont toujours été extrêmement réduits.
(B.G., 2005)
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LES DERNIERS MATHURINS, STATUE DE SAINT JEAN DE MATHA,
L’AUMÔNERIE DES BRETONS.
Le dernier prieur des
Mathurins au moment de la Révolution est Antoine-François
Biou.
Par décret du 13 février 1790,
les vœux monastiques de l’un et l’autre sexe sont prohibés en France.
Les biens des religieux saisis par l’Etat sont vendus comme biens nationaux.
En septembre de la même année,
la maison des Mathurins du quartier Saint-Martin d’Etampes est alors achetée
par M. de la Bigne au prix de 40.000 francs. On vend également leur
appartenant 75 arpents de terre, courtils, aunaies.
L’un des religieux,
Jean-François Sayde, dès le mois de mars 1790, avertit la
municipalité de son départ et réclame l’indemnité
à laquelle lui donnait droit le décret du 13 février.
En partant, les religieux ne doivent rien enlever du mobilier de leur couvent.
Malgré cela, ils vendent à une dame Délivré,
du Haut-Pavé, qui les enleva immédiatement, des effets, des
croisées, des portes vitrées, des espagnolettes, des lits garnis.
Mais une plainte est portée au maire, qui la transmet à la
juridiction du bailliage.
Le Supérieur, François-Antoine
Biou «cy-devant prieur et ministre de la maison des Mathurins»,
et François le Simple «cy-devant chanoine régulier
de la Sainte-Trinité, dit des Mathurins», partent les derniers
en décembre.
François Biou se présente devant
le corps municipal pour déclarer qu’il entendait quitter son Ordre
et sa maison, et qu’en conséquence, il réclamait la pension
accordée dans ce cas par les décrets de l’Assemblée
Nationale. Mais, comme il désirait emporter les meubles et effets
qui garnissaient sa chambre, il a soin d’en demander l’autorisation. Cette
autorisation lui est accordée.
Ce que voyant, François le Simple
présente la même requête;
[p.215] et pour bien disposer la Municipalité, il
prête volontiers le serment civique. Mais cela ne l’empêche
pas, l’année suivante, d’être arrêté comme suspect,
alors qu’il faisait fonction de vicaire à l’église Notre-Dame
d’Etampes.
Une fois les religieux partis, M. de la Bigne
qui avait acheté leur maison, la fait occuper. Mais l’église
Saint-André, vendue à part, est démolie. Aujourd’hui,
de l’ancien couvent des Mathurins, on ne voit, au 24 de la rue Saint-Martin,
qu’un grand bâtiment d’aspect sévère. A signaler la
petite porte d’entrée de la propriété donnant sur la
rue, de style renaissance.
Un autre souvenir du Couvent est la statue
de Saint-Jean de Matha, fondateur de l’Ordre des Mathurins, statue peinte
en bois, représentant le saint vêtu d’ornements sacerdotaux,
tenant un livre de la main droite et des fers de la main gauche; un esclave
est agenouillé à ses pieds dans une attitude d’action de grâces.
Cette statue appartient au Musée d’Etampes, mais depuis la guerre
elle a trouvé un refuge dans l’Eglise Notre-Dame d’Etampes, aux
fonts baptismaux, à côté d’autres statues anciennes.
En terminant, nous pouvons ajouter qu’avant
l’établissement des Mathurins à Etampes, c’est-à-dire
avant le XIIIe siècle, il y avait à l’emplacement de leur
couvent une maison d’accueil pour les pèlerins de Saint-Jacques
de passage à Etampes, dite Aumônerie des Bretons. Cette aumônerie
n’était pas très importante et les Mathurins durent l’agrandir.
Pour cela, il échangèrent une maison, qu’on leur avait donnée
près de l’église Saint-Basile, contre un terrain près
de l’aumônerie, appartenant à un chevalier nommé d’Aguillemont,
seigneur de Boutervilliers, qui fut d’accord pour cet échange.
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REFUGE DES PAUVRES, DES VOYAGEURS, L’HÔPITAL
SAINT-JEAN, LA CHAPELLE.
Dans le quartier Saint-Martin, tout le monde
connaît la rue Saint-Jean. Elle commence au début de la rue
Saint-Martin, en face de la route de Saclas, à un carrefour qu’on
appelait autrefois le carrefour de l’Ecce Homo. Elle monte vers le cimetière
Saint-Gilles, passe devant la piscine et aboutit au pont Saint-Jean qui
passe sur la ligne de chemin de fer. Au carrefour, à l’angle de
cette rue Saint-Jean et de la rue du Haut-Pavé se trouvait l’hôpital
Saint-Jean.
A l’heure actuelle tout ce qui reste
de cet ancien hôpital est [p.216] une
petite maison basse, ayant sur son toit une sorte de guérite carrée
à fenêtre bouchée, en dessous une niche vide de sa
statue et surmontée d’une croix, et une porte en pierre de taille
à cintre surbaissé, masquée par une porte en bois d’une
remise.
L’hôpital Saint-Jean remontait à
une époque très ancienne. On dit qu’il existait dès
l’an 1055 sous le nom de «Refuge des Pauvres» et que le roi
Philippe Ier, en 1085, l’avait doté de revenus importants. Dans cet
hôpital il y avait une chapelle dédiée, dit dom Fleureau,
sous l’invocation de saint Jean-Baptiste et de saint Altin, l’un des compagnons
des saints Savinien et Potentien, apôtres de ce pays.
Cet hôpital était administré
par un personnel laïque. En 1556, dans le procès-verbal de
la rédaction des Coutumes du Bailliage, il y avait comme administrateur
un nommé Simon Charbonnier. Un aumônier naturellement y résidait
pour le service de la chapelle et pour les secours religieux à donner
aux malades et au personnel.
On y recevait les pauvres malades de la ville.
On y hébergeait aussi les étrangers, les voyageurs ou pèlerins
de passage qui avaient besoin de soins. Ainsi, le 3 février 1599,
eut lieu, d’après les registres de la chapelle, «le baptême
de Périne, fille d’Eloy Michon et de Claudine Migret, laquelle estant
en voyage, passant par cette paroisse, estant logée à l’hôpital
Saint-Jean, y est accouchée».
Dans ces mêmes registres, en 1657,
sont inscrits les décès de plusieurs passants, tristes victimes
de la misère générale; de même en 1662, année
de grande mortalité. On y voit également les naissances et
baptêmes des enfants du personnel de l’hôpital le 20 août
1655, le baptême de Jeanne, ou encore la naissance d’un enfant de
Mathurin le Tailleur, gardien de l’hôpital.
L’hôpital eut à souffrir des
guerres, en particulier de la Fronde. Dom Basile Fleureau rapporte qu’en
1652, lors du siège de la ville, le régiment «des Enfants
perdus», conduit par un officier de Picardie, ayant coupé
le régiment de Condé et les Allemands, et forcé les
régiments de Bourgogne, entra à l’hôpital Saint-Jean.
On pense aux dégâts et désordres qui en résultèrent.
Ce petit hôpital jouissait en 1648
d’un revenu de 8.000 livres, suivant un registre du diocèse de
Sens. Il avait du mal à vivre. Il fut réuni à l’Hôtel-Dieu
d’Etampes en 1695, mais la chapelle subsista et continua de servir au culte.
C’est ainsi qu’il y fut célébré le 7 novembre 1702
le mariage entre Abraham Dolbet, écuyer ordinaire de la bouche de
Mme la Duchesse de Bourgogne, et Marie-Marguerite, fille d’Octave Dissou,
receveur des Fermiers [p.217] du
Roi, et de Marie-Françoise Robert; en présence de messire Claude
de Massac, docteur de Sorbonne, ministre de la Sainte Trinité.
Arriva la Révolution. En messidor
an II, la chapelle fut louée au profit de 1’hospice et convertie
en grange. Un peu plus tard, en floréal an IV, elle servit de salle
de réunion pour la réorganisation de la Garde Nationale.
Les citoyens furent convoqués en groupes de 95 hommes et on attribua
à ces groupes les édifices religieux pour élire les
nouveaux gradés. L’un de ces groupes se réunit sous la présidence
de Marc Boivin dans la chapelle Saint-Jean.
En prairial de la même année,
un particulier offrit d’acheter la chapelle mais le Conseil Général
de la Commune refusa d’autoriser la vente, «considérant
que la loi du 2 germinal an II veut que les biens des hôpitaux soient
provisoirement exceptés de ceux compris dans la loi du 27 ventôse
sur la vente des biens nationaux, ce qui est le cas de cette chapelle».
Ce qui n’empêcha pas, peu de temps
après, la chapelle d’être vendue, puis démolie, ainsi
que les bâtiments de l’hôpital, sauf une petite partie de
ces bâtiments que l’on voit encore de nos jours au 50 bis de la
rue du Haut-Pavé. [p.218]
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BIBLIOGRAPHIE
Éditions
Brochure préalable: Léon GUIBOURGÉ
(chanoine, ancien archiprêtre d’Étampes, officier
d’Académie, membre de la Commission des arts et antiquités
de Seine-et-Oise, vice-président de la Société
artistique et archéologique de Corbeil, d’Étampes
et du Hurepoix), Étampes, la favorite des rois
[in-16; 64 p.; figures; plan et couverture en couleur; avant-propos
de Barthélémy Durand, maire; dessin de couverture
de Philippe Lejeune], Étampes, Éditions d’art
Rameau, 1954.
Édition
princeps: Léon GUIBOURGÉ, Étampes,
ville royale [in-16 (20 cm); 253 p.; armoiries de la ville
en couleurs sur la couverture; préface d’Henri Lemoine],
Étampes, chez l’auteur (imprimerie de la Semeuse), 1957.
Réédition
en fac-similé: Léon GUIBOURGÉ,
Étampes, ville royale [réédition
en fac-similé: 22 cm; 253 p.; broché; armoiries
de la ville sur la couverture; préface d’Henri Lemoine],
Péronnas, Éditions de la Tour Gile, 1997 [ISBN 2-87802-317-X].
Édition
électronique: Bernard GINESTE [éd.], «Léon
Guibourgé: Étampes ville royale (1957)»,
in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-20-guibourge1957etampesvilleroyale.html
(33 pages web) 2004.
Ce chapitre: Bernard GINESTE [éd.],
«Léon Guibourgé: Les Mathurins et l’hôpital Saint-Jean
(1957)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-20-guibourge1957etampes603mathurinsetsaintjean.html, 2004.
Sur les Trinitaires alias Mathurins
Michael
M. O’KANE, «St. Felix of Valois» [co-fondateur des Trinitaires],
in The Catholic Encyclopedia, Volume VI, New York, Robert Appleton
Company, 1909. Dont une réédition numérique en mode
texte par K. KNIGHT, 2003, http://www.newadvent.org/cathen/06033c.htm,
en ligne en 2005.
Ch. MOELLER, «Order of Trinitarians»,
in The Catholic Encyclopedia, Volume XV, New York, Robert Appleton
Company, 1912. Dont une réédition numérique en mode
texte par K. KNIGHT, 2003, http://www.newadvent.org/cathen/15045d.htm,
en ligne en 2005.
Léon GUIBOURGÉ, «Les Mathurins
et l’hôpital Saint-Jean», in ID. [chanoine, ancien archiprêtre
d’Étampes, officier d’Académie, membre de la Commission des
arts et antiquités de Seine-et-Oise, vice-président de la
Société artistique et archéologique de Corbeil, d’Étampes
et du Hurepoix], Étampes, ville royale, Étampes,
chez l’auteur (imprimerie de la Semeuse), 1957 [dont une réédition
en fac-similé: Péronnas, Éditions de la Tour Gile, 1997],
pp. 212-217. Dont une réédition numérique illustrée
en mode texte par le Corpus Étampois: http://www.corpusetampois.com/che-20-guibourge1957etampes603mathurinsetsaintjean.html,
2005.
Isabelle MAUREL
(responsable du Musée d’Étampes),
«Saint
Jean de Matha», in Isabelle MAUREL [rédactrice],
Clément WINGLER (responsable du Service du Patrimoine) [collaborateur]
& Patrice MAITRE (maire-adjoint délégué à
la Culture) [préfacier], Œuvres restaurées. Exposition
du 12 septembre au 6 décembre 1998. Ville d’Étampes. Essonne
[21 cm sur 29,4; 16 pages; 14 illustrations en couleur & 14 notices
correspondantes], Étampes, Département Culture et Patrimoine
de la Ville d’Étampes, 1998,
p. 6.
PÈRES TRINITAIRES, «La Fondation
de l’Ordre», in Ordre de la Très Sainte Trinité
et de la rédemption des captifs, http://trinitaires.paris.free.fr/ordre/fondation/, en
ligne en 2005.
ANONYME [catholique], «San Giovanni de
Matha Sacerdote, 17 dicembre, Comune» [39 représentation iconographique
de ce saint, la plupart relevant de la simple image pieuse], in ID., Santi,
Beati e Testimoni, Enciclopedia dei Santi [«Il più completo
ed aggiornato elenco dei Santi, Beati e testimoni della fede. Per ogni santo:
biografia, immagini, cronologia, patronato, etimo, emblema iconografico,
calendario e celebrazione liturgica. Tutti i Patroni e i Santi hanno motore
di ricerca incrociato»; plus 18.000 images en 2005], http://www.santiebeati.it/dettaglio/35750,
en ligne en 2005.
Damien JULLEMIER, «Des Trinitaires aux
Mathurins», in Damien, Colette, Mathurin, Philibert et Léopold
Jullemier, http://perso.wanadoo.fr/damien.jullemier/sts/mathurins.htm,
en ligne en 2005.
Bernard GINESTE [éd.],
«Sculpteur anonyme: Saint Jean de Matha (bois
peint du XVIIe siècle)», in Corpus Étampois,
http://www.corpusetampois.com/cae-17-saintjeandematha.html, 2005.
Toute correction, critique
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