CORPUS HISTORIQUE ÉTAMPOIS
 
Léon Guibourgé
 Les Mathurins et l’hôpital Saint-Jean
Étampes ville royale, chapitre VI.3
1957

24 rue Saint-Martin (cliché Bernard Gineste, 24 otobre 2004)
   24 rue Saint-Martin (cliché Bernard Gineste, 24 otobre 2004)

ÉTAMPES, VILLE ROYALE
Étampes, chez l’auteur, 1957
chapitre VI.3, pp. 212-217.
Les Mathurins et l’hôpital Saint-Jean
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Léon Guibourgé      LEUR FONDATEUR, LEUR COUVENT, LEUR HISTOIRE.

       Dans la rue Saint-Martin, au n° 24, près du pont de la ligne du chemin de fer de Pithiviers, se trouve un vieux bâtiment qui fut le couvent de la Trinité ou des Mathurins. C’est saint Jean de Matha qui fonda l’ordre des religieux de la Trinité ou Trinitaires. Il était né en France, près de Barcelonnette, en 1160. Il prit à Paris le grade de docteur en théologie, puis résolut de se consacrer à la rédemption des chrétiens captifs des musulmans. Et c’est dans ce but qu’il fonda les Trinitaires avec l’aide de saint Félix de Valois. A peine fondés, les Trinitaires se répandirent en France, en Italie et en Espagne. A plusieurs reprises, Jean de Matha se rendit dans les états barbaresques et chaque fois ramena de nombreux chrétiens.

       Etampes eut le privilège d’avoir une des premières maisons de l’ordre au début du XIIIe siècle, du vivant même de saint Jean de Matha. Ce couvent comprenait deux corps de logis, une église dédiée à saint André, un cloître, un pressoir et un jardin allant jusqu’à la Louette. Les religieux, désignés habituellement sous le nom de Trinitaires, parce qu’ils s’étaient mis sous la protection de la Sainte-Trinité, étaient encore appelés spécialement en France sous le nom de Mathurins, sans doute parce que les premières maisons de l’ordre furent fondées dans la région de Sens, où on avait une grande dévotion à saint Mathurin*. Ce saint, en effet, était de la région de Sens. Il vécut au IIIe siècle. [p.213] Après sa mort, ses reliques furent déposées à Sens, puis au village de Larchant, pas très loin d’Etampes.
     * En voici la véritable raison selon Damien Jullemier: «Après les trois fondations initiales (Cerfroid, Planels et Bourg-la-Reine), Philippe Auguste aida les Trinitaires à construire un monastère à Paris près d’une chapelle dédiée à saint Mathurin (il en subsiste aujourd’hui une arcade 7 rue de Cluny, dans le 5e arrondissement). (…) «Le couvent Saint-Mathurin prit une telle importance que le nom de  Mathurins qu’on avait donné aux religieux parisiens s’étendit bientôt à tout l’ordre et, au XVIIe siècle, on ne les nommait plus guère autrement en France (quoiqu’on les appelât aussi parfois frères aux ânes, d’après leur monture à l’origine)” (Emmanuelle Bermès, Le Couvent des Mathurins de Paris et l’estampe au XVIIe siècle, thèse à l’École nationale des Chartes).» (B. G., 2005)
       A Etampes, les Mathurins s’établirent donc dans la rue principale, sur le quartier Saint-Martin, et leur couvent s’appela la maison des Mathurins. A la tête de cette maison était un Supérieur qu’on appelait ministre, et les religieux étaient désignés sous le nom de Frères. Ceux-ci avaient en outre le titre de cha noines réguliers de la Sainte-Trinité.

       Quel fut le rôle des Mathurins à Etampes?


     Le but principal de ces religieux était le rachat des captifs. Mais en dehors des religieux qui s’en allaient en missions dans ce but, il y en avait qui restaient dans leur communauté, faisaient du ministère dans le lieu de leur résidence et se mêlaient à la vie paroissiale.

     Ainsi, en 1556, au moment de la rédaction des Coutumes du bailliage, nous voyons le frère Louis de Scudéry, ministre de la Trinité, convoqué parmi les membres du clergé, se faire remplacer aux assises par le frère Philippe Charpentier.

     Vers 1650, Lazare Auroux est ministre du couvent. Il est en même temps aumônier et prédicateur du roi. Et à l’église Saint Martin il fait fonction de prêtre habitué et administre les sacrements.

     Une fois cependant les bons religieux se tiennent à l’écart d’une cérémonie officielle à laquelle ils étaient convoqués. C’était à l’occasion du service funèbre pour le repos de l’âme du duc de Vendôme, seigneur d’Etampes. Le maire, René Hémard, mécontent, demanda qu’on fit une enquête et exigea une condamnation pour cette absence. Mais on ne sait pas quel fut le résultat de cette enquête.

     Dans leur chapelle, qu’on appelait dans le pays l’église Saint André, ils font des baptêmes, mariages et sépultures, mais avec l’autorisation du curé de Saint-Martin, dont ils sont sur le territoire.

Blason des Trinitaires (dessin de Léon Marquis, 1881)      Ainsi, en 1680, le 23 janvier, on y célèbre le mariage de Jean Chevalier, fils de Pasquet et de Barbe Sébillon, de la paroisse Saint-Martin, et Louise Deslandres, veuve en deuxièmes noces de Jean Lecompte, de la paroisse Saint-Gilles; en présence de Pierre Ingoust, vicaire de Saint-Martin; Nicolas Blachet, religieux de la Sainte-Trinité; frère Grégoire Goudet, et Henry Voltigem, peintre du roi.

     Les enterrements y sont rares. Par exemple, il est certifié qu’en 1737 il n’y a eu aucune mort dans la maison ni aucune inhumation dans l’église. [p.214]

24 rue Saint-Martin (cliché Bernard Gineste, 24 otobre 2004)
     On y célèbre quelques baptêmes. Le 20 septembre 1750, un enfant est baptisé par le frère Bauvans, chanoine régulier de la Sainte-Trinité, ministre de la maison d’Avignon, et le parrain est messire Clément Couvet, ministre de la maison d’Etampes, provincial de la province d Paris et premier définiteur au susdit ordre de la Sainte-Trinité.

     En 1778, la communauté se réduit. Il n’y a plus au couvent que le ministre et deux ou trois religieux*. Nous approchons de l’époque de la Révolution.
     * En réalité les effectifs des communautés trinitaires ont toujours été extrêmement réduits. (B.G., 2005)
LES DERNIERS MATHURINS, STATUE DE SAINT JEAN DE MATHA, L’AUMÔNERIE DES BRETONS.

 
     Le dernier prieur des Mathurins au moment de la Révolution est Antoine-François Biou.

     Par décret du 13 février 1790, les vœux monastiques de l’un et l’autre sexe sont prohibés en France. Les biens des religieux saisis par l’Etat sont vendus comme biens nationaux.

     En septembre de la même année, la maison des Mathurins du quartier Saint-Martin d’Etampes est alors achetée par M. de la Bigne au prix de 40.000 francs. On vend également leur appartenant 75 arpents de terre, courtils, aunaies.

      L’un des religieux, Jean-François Sayde, dès le mois de mars 1790, avertit la municipalité de son départ et réclame l’indemnité à laquelle lui donnait droit le décret du 13 février. En partant, les religieux ne doivent rien enlever du mobilier de leur couvent. Malgré cela, ils vendent à une dame Délivré, du Haut-Pavé, qui les enleva immédiatement, des effets, des croisées, des portes vitrées, des espagnolettes, des lits garnis. Mais une plainte est portée au maire, qui la transmet à la juridiction du bailliage.

     Le Supérieur, François-Antoine Biou «cy-devant prieur et ministre de la maison des Mathurins», et François le Simple «cy-devant chanoine régulier de la Sainte-Trinité, dit des Mathurins», partent les derniers en décembre.

     François Biou se présente devant le corps municipal pour déclarer qu’il entendait quitter son Ordre et sa maison, et qu’en conséquence, il réclamait la pension accordée dans ce cas par les décrets de l’Assemblée Nationale. Mais, comme il désirait emporter les meubles et effets qui garnissaient sa chambre, il a soin d’en demander l’autorisation. Cette autorisation lui est accordée.

     Ce que voyant, François le Simple présente la même requête; [p.215] et pour bien disposer la Municipalité, il prête volontiers le serment civique. Mais cela ne l’empêche pas, l’année suivante, d’être arrêté comme suspect, alors qu’il faisait fonction de vicaire à l’église Notre-Dame d’Etampes.

     Une fois les religieux partis, M. de la Bigne qui avait acheté leur maison, la fait occuper. Mais l’église Saint-André, vendue à part, est démolie. Aujourd’hui, de l’ancien couvent des Mathurins, on ne voit, au 24 de la rue Saint-Martin, qu’un grand bâtiment d’aspect sévère. A signaler la petite porte d’entrée de la propriété donnant sur la rue, de style renaissance.

     Un autre souvenir du Couvent est la statue de Saint-Jean de Matha, fondateur de l’Ordre des Mathurins, statue peinte en bois, représentant le saint vêtu d’ornements sacerdotaux, tenant un livre de la main droite et des fers de la main gauche; un esclave est agenouillé à ses pieds dans une attitude d’action de grâces. Cette statue appartient au Musée d’Etampes, mais depuis la guerre elle a trouvé un refuge dans l’Eglise Notre-Dame d’Etampes, aux fonts baptismaux, à côté d’autres statues anciennes.

     En terminant, nous pouvons ajouter qu’avant l’établissement des Mathurins à Etampes, c’est-à-dire avant le XIIIe siècle, il y avait à l’emplacement de leur couvent une maison d’accueil pour les pèlerins de Saint-Jacques de passage à Etampes, dite Aumônerie des Bretons. Cette aumônerie n’était pas très importante et les Mathurins durent l’agrandir. Pour cela, il échangèrent une maison, qu’on leur avait donnée près de l’église Saint-Basile, contre un terrain près de l’aumônerie, appartenant à un chevalier nommé d’Aguillemont, seigneur de Boutervilliers, qui fut d’accord pour cet échange.

Saint Jean de Matha (bois peint anonyme du XVIIe siècle)

REFUGE DES PAUVRES, DES VOYAGEURS, L’HÔPITAL SAINT-JEAN, LA CHAPELLE.

     Dans le quartier Saint-Martin, tout le monde connaît la rue Saint-Jean. Elle commence au début de la rue Saint-Martin, en face de la route de Saclas, à un carrefour qu’on appelait autrefois le carrefour de l’Ecce Homo. Elle monte vers le cimetière Saint-Gilles, passe devant la piscine et aboutit au pont Saint-Jean qui passe sur la ligne de chemin de fer. Au carrefour, à l’angle de cette rue Saint-Jean et de la rue du Haut-Pavé se trouvait l’hôpital Saint-Jean.

     A l’heure actuelle tout ce qui reste de cet ancien hôpital est [p.216] une petite maison basse, ayant sur son toit une sorte de guérite carrée à fenêtre bouchée, en dessous une niche vide de sa statue et surmontée d’une croix, et une porte en pierre de taille à cintre surbaissé, masquée par une porte en bois d’une remise.

     L’hôpital Saint-Jean remontait à une époque très ancienne. On dit qu’il existait dès l’an 1055 sous le nom de «Refuge des Pauvres» et que le roi Philippe Ier, en 1085, l’avait doté de revenus importants. Dans cet hôpital il y avait une chapelle dédiée, dit dom Fleureau, sous l’invocation de saint Jean-Baptiste et de saint Altin, l’un des compagnons des saints Savinien et Potentien, apôtres de ce pays.

     Cet hôpital était administré par un personnel laïque. En 1556, dans le procès-verbal de la rédaction des Coutumes du Bailliage, il y avait comme administrateur un nommé Simon Charbonnier. Un aumônier naturellement y résidait pour le service de la chapelle et pour les secours religieux à donner aux malades et au personnel.

     On y recevait les pauvres malades de la ville. On y hébergeait aussi les étrangers, les voyageurs ou pèlerins de passage qui avaient besoin de soins. Ainsi, le 3 février 1599, eut lieu, d’après les registres de la chapelle, «le baptême de Périne, fille d’Eloy Michon et de Claudine Migret, laquelle estant en voyage, passant par cette paroisse, estant logée à l’hôpital Saint-Jean, y est accouchée».

     Dans ces mêmes registres, en 1657, sont inscrits les décès de plusieurs passants, tristes victimes de la misère générale; de même en 1662, année de grande mortalité. On y voit également les naissances et baptêmes des enfants du personnel de l’hôpital le 20 août 1655, le baptême de Jeanne, ou encore la naissance d’un enfant de Mathurin le Tailleur, gardien de l’hôpital.

     L’hôpital eut à souffrir des guerres, en particulier de la Fronde. Dom Basile Fleureau rapporte qu’en 1652, lors du siège de la ville, le régiment «des Enfants perdus», conduit par un officier de Picardie, ayant coupé le régiment de Condé et les Allemands, et forcé les régiments de Bourgogne, entra à l’hôpital Saint-Jean. On pense aux dégâts et désordres qui en résultèrent.

     Ce petit hôpital jouissait en 1648 d’un revenu de 8.000 livres, suivant un registre du diocèse de Sens. Il avait du mal à vivre. Il fut réuni à l’Hôtel-Dieu d’Etampes en 1695, mais la chapelle subsista et continua de servir au culte. C’est ainsi qu’il y fut célébré le 7 novembre 1702 le mariage entre Abraham Dolbet, écuyer ordinaire de la bouche de Mme la Duchesse de Bourgogne, et Marie-Marguerite, fille d’Octave Dissou, receveur des Fermiers [p.217] du Roi, et de Marie-Françoise Robert; en présence de messire Claude de Massac, docteur de Sorbonne, ministre de la Sainte Trinité.

     Arriva la Révolution. En messidor an II, la chapelle fut louée au profit de 1’hospice et convertie en grange. Un peu plus tard, en floréal an IV, elle servit de salle de réunion pour la réorganisation de la Garde Nationale. Les citoyens furent convoqués en groupes de 95 hommes et on attribua à ces groupes les édifices religieux pour élire les nouveaux gradés. L’un de ces groupes se réunit sous la présidence de Marc Boivin dans la chapelle Saint-Jean.

     En prairial de la même année, un particulier offrit d’acheter la chapelle mais le Conseil Général de la Commune refusa d’autoriser la vente, «considérant que la loi du 2 germinal an II veut que les biens des hôpitaux soient provisoirement exceptés de ceux compris dans la loi du 27 ventôse sur la vente des biens nationaux, ce qui est le cas de cette chapelle».

     Ce qui n’empêcha pas, peu de temps après, la chapelle d’être vendue, puis démolie, ainsi que les bâtiments de l’hôpital, sauf une petite partie de ces bâtiments que l’on voit encore de nos jours au 50 bis de la rue du Haut-Pavé. [p.218]




50 bis rue du Haut-Pavé (cliché Bernard Gineste, 25 octobre 2004)

     
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BIBLIOGRAPHIE

Éditions
Léon Guibourgé
       Brochure préalable: Léon GUIBOURGÉ (chanoine, ancien archiprêtre d’Étampes, officier d’Académie, membre de la Commission des arts et antiquités de Seine-et-Oise, vice-président de la Société artistique et archéologique de Corbeil, d’Étampes et du Hurepoix), Étampes, la favorite des rois [in-16; 64 p.; figures; plan et couverture en couleur; avant-propos de Barthélémy Durand, maire; dessin de couverture de Philippe Lejeune], Étampes, Éditions d’art Rameau, 1954.

    
Édition princeps: Léon GUIBOURGÉ, Étampes, ville royale [in-16 (20 cm); 253 p.; armoiries de la ville en couleurs sur la couverture; préface d’Henri Lemoine], Étampes, chez l’auteur (imprimerie de la Semeuse), 1957.

    
Réédition en fac-similé: Léon GUIBOURGÉ, Étampes, ville royale [réédition en fac-similé: 22 cm; 253 p.; broché; armoiries de la ville sur la couverture; préface d’Henri Lemoine], Péronnas, Éditions de la Tour Gile, 1997 [ISBN 2-87802-317-X].

    
Édition électronique: Bernard GINESTE [éd.], «Léon Guibourgé: Étampes ville royale (1957)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-20-guibourge1957etampesvilleroyale.html (33 pages web) 2004.

     Ce chapitre: Bernard GINESTE [éd.], «Léon Guibourgé: Les Mathurins et l’hôpital Saint-Jean (1957)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-20-guibourge1957etampes603mathurinsetsaintjean.html, 2004.

Sur les Trinitaires alias Mathurins

     Michael M. O’KANE, «St. Felix of Valois» [co-fondateur des Trinitaires], in The Catholic Encyclopedia, Volume VI, New York, Robert Appleton Company, 1909. Dont une réédition numérique en mode texte par K. KNIGHT, 2003, http://www.newadvent.org/cathen/06033c.htm, en ligne en 2005.

    Ch. MOELLER, «Order of Trinitarians», in The Catholic Encyclopedia, Volume XV, New York, Robert Appleton Company, 1912. Dont une réédition numérique en mode texte par K. KNIGHT, 2003, http://www.newadvent.org/cathen/15045d.htm, en ligne en 2005.

     Léon GUIBOURGÉ, «Les Mathurins et l’hôpital Saint-Jean», in ID. [chanoine, ancien archiprêtre d’Étampes, officier d’Académie, membre de la Commission des arts et antiquités de Seine-et-Oise, vice-président de la Société artistique et archéologique de Corbeil, d’Étampes et du Hurepoix], Étampes, ville royale, Étampes, chez l’auteur (imprimerie de la Semeuse), 1957 [dont une réédition en fac-similé: Péronnas, Éditions de la Tour Gile, 1997], pp. 212-217. Dont une réédition numérique illustrée en mode texte par le Corpus Étampois: http://www.corpusetampois.com/che-20-guibourge1957etampes603mathurinsetsaintjean.html, 2005.

     Isabelle MAUREL (responsable du Musée d’Étampes), «Saint Jean de Matha», in Isabelle MAUREL [rédactrice], Clément WINGLER (responsable du Service du Patrimoine) [collaborateur] & Patrice MAITRE (maire-adjoint délégué à la Culture) [préfacier], Œuvres restaurées. Exposition du 12 septembre au 6 décembre 1998. Ville d’Étampes. Essonne [21 cm sur 29,4; 16 pages; 14 illustrations en couleur & 14 notices correspondantes], Étampes, Département Culture et Patrimoine de la Ville d’Étampes, 1998, p. 6.

     PÈRES TRINITAIRES, «La Fondation de l’Ordre», in Ordre de la Très Sainte Trinité et de la rédemption des captifs, http://trinitaires.paris.free.fr/ordre/fondation/, en ligne en 2005.

     ANONYME [catholique], «San Giovanni de Matha Sacerdote, 17 dicembre, Comune» [39 représentation iconographique de ce saint, la plupart relevant de la simple image pieuse], in ID., Santi, Beati e Testimoni, Enciclopedia dei Santi [«Il più completo ed aggiornato elenco dei Santi, Beati e testimoni della fede. Per ogni santo: biografia, immagini, cronologia, patronato, etimo, emblema iconografico, calendario e celebrazione liturgica. Tutti i Patroni e i Santi hanno motore di ricerca incrociato»; plus 18.000 images en 2005], http://www.santiebeati.it/dettaglio/35750, en ligne en 2005.

     Damien JULLEMIER, «Des Trinitaires aux Mathurins», in Damien, Colette, Mathurin, Philibert et Léopold Jullemier, http://perso.wanadoo.fr/damien.jullemier/sts/mathurins.htm, en ligne en 2005.

     Bernard GINESTE [éd.], «Sculpteur anonyme: Saint Jean de Matha (bois peint du XVIIe siècle)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cae-17-saintjeandematha.html, 2005.


Toute correction, critique ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
Source: Léon Guibourgé, Étampes, ville royale, 1957, pp. 212-217. Saisie: Bernard Gineste, octobre 2004.
    
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