CORPUS HISTORIQUE ETAMPOIS
 
 Dom Basile Fleureau 
Bataille memorable prés d’Estampes
entre Clotaire second Roy de France, & Theodoric Roy de Bourgogne.
 
Antiquitez d’Estampes I, 8
1668
 
Bertoald tué par Clotaire II lui même, épisode imaginaire (miniature pour les Grandes Chroniques de France, 14e siècle, © BNF)
Mort de Bertoald à Étampes (XIVe siècle)

     La saisie des textes anciens est une tâche fastidieuse et méritoire. Merci de ne pas décourager ceux qui s’y attellent en les pillant sans les citer.

Les Antiquitez de la Ville et du Duché d’Estampes
Paris, Coignard, 1683
Chapitre VII,
pp. 12-16
Bataille memorable prés d’Estampes entre Clotaire second Roy de France, & Theodoric Roy de Bourgogne.
 
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PREMIÈRE PARTIE, CHAPITRE IX.
Bataille memorable prés d’Estampes entre Clotairea
second Roy de France,  & Theodoricb Roy de Bourgogne.

a  Comm. à regner 584.

b  Comm. à regner 596.

Childebert II selon un camée du 17e siècle (BNF)        EN vertu de la substitution portée par l’article de la transaction dont je viens de parler, Gontran étant mort sans enfans le vingt-huitiéme de Mars de l’an 594. Chilberbert luy [p.13] succeda en tous ses Estats: Et par sa mort, qui suivit, environ deux ans après, il les laissa à ses deux fils Theodebert second, & Thierry, ou Theodoric. Ces Princes étoient fort jeunes, l’aîné n’êtant âgé que de treize ans. Brunehaut leur ayeule trouva moyen par flaterie, par menaces,  & par presens, de gaigner sur tous les Ordres des Royaumes d’Austrasie, & de Bourgogne, que la tutelle de ses deux petits fils luy fut deferée, avec le Gouvernement de ces deux grands Estats. Elle partagea leur succession, en donnant à Theodebert le royaume d’Austrasie, dont Mets êtoit la ville Capitale: Et à Thierry le royaume de Bourgogne, dont le siege êtoit à Orleans, & à Chalons sur Saone; desorte que la ville d’Estampes, & son Territoire, demeurerent soûmis à la domination de Thierry, ou Theodoric, comme annexez au Royaume de Bourgogne. Clotaire second du nom, fils de Chilperic premier, Roy de Soissons, avoit fort heureusement conduit ses affaires contre Childebert, Roy d’Austrasie, & depuis sa mort contre ses deux enfans Theodebert, & Theodoric, les ayant vaincus en deux batailles, l’une donnée dans le Suessonnois, & l’autre dans le Gastinois; mais la Reyne Fredegonde sa Mere, par les conseils de laquelle il avoit remporté ces avantages, étant morte l’an 579. Brunehaut commença à l’attaquer: elle joignit toutes les forces de ses deux petits fils, pour courir de rechef sur le Royaume de Clotaire, & l’en deposseder entierement.
Partage de 595 (© Jean-Pierre Morillo 2004)
Carte: © Jean-Pierre Morillo 2004
Clotaire II selon un camée du 17e siècle (© BNF)      Ce Roy, qui avoit auparavant remporté la Victoire en deux batailles, se presenta courageusement à la troisiéme, en laquelle il êprouva à son dommage, que le sort des armes est journalier. Les deux armées vinrent aux mains prés du Village de Dormel, distant de la ville de Moret environ une lieüe. Le combat fut long et opiniâtre depart & d’autre, & l’armée de Clotaire êtant rompüe, il se mit luy-même des premiers en fuite, & se sauva dans Paris: (Le lieu où se donna ce combat est encore aujourd’huy appellé Les tres-morts) & toutes les Villes circonvoisines se rendirent aux Vainqueurs, qui prescrivirent au Vaincu telles conditions qu’ils voulurent. Il fut accordé entre autres choses, que tout ce qui  étoit entre la riviere de Loire & de Seine, jusques à la mer Oceanne, & les frontieres de Bretagne, dependroit du Royaume de Theodoric, & que tout ce qui étoit entre les rivieres de Seine & d’Oyse (où le Duché de Dentelin ou Andely étoit compris) jusques à la mer, seroit du Royaume de Theodebert: De sorte qu’entre ces deux rivieres jusques à la mer Oceanne, il [p.14] ne demeureroit à Clotaire que dix Bourgs. D’autres disent Comtez. Et le Livre intitulé l’Empire François assure qu’on ne luy laissa que la ville de Roüen, avec l’étenduë de son Diocese.

Thierry II selon un camée du 17e siècle (© BNF)      Pendant que les deux jeunes Rois étoient occupez contre Clotaire, les Gascons ne pouvans se contenir dans les limites des conquêtes qu’ils avoient fait en Aquitaine, couroient ordinairement sur leurs Voisins, sans que les Lieutenans des Roys de France peussent les arrêter: Mais comme ils virent que les Princes victorieux de Clotaire venoient contre eux, avec toutes leurs forces, plûtôt que de se retirer dans leurs montaignes, comme ils avoient coûtume de faire auparavant, ils leurs [sic] demanderent la Paix, & se rendirent leurs tributaires, & receurent de leur part un Duc nommé Genial, qui les gouverna avec tant d’adresse, & de prudence, que pendant le  temps de son gouvernement, ils ne se revolterent point contre la France. Après cette paix, les Rois, doublement Vainqueurs, s’en retournerent où ils sejournoient ordinairement. Theodebert passa bien-tôt après le Rhin, pour aller contre les Saxons, qui s’estoient revoltez, pendant qu’il faisoit la guerre aux Gascons: Et Theodoric commença à regler ses affaires, dans les païs que Clotaire luy avoit cedez. Il envoya Berthaul [sic] pour en prendre possession pour luy, & pour recuëillir quelques sommes de deniers qui luy devoient étre payées.

     Clotaire qui n’étoit pas content de l’accord qu’il avoit fait avec ses Cousins, plus par necessité qu’autrement, avoit toûjours épié les occasions de recouvrer par quelque moyen, ce qu’il leur avoit abandonné. Pendant qu’ils avoient été occupez contre les Gascons, il avoit assemblé le plus de troupes qu’il avoit pû, sur l’âvis que Bertault marchoit avec trois cens hommes seulement pour aller en Neustrie (c’est la Normandie) se rendre Maître des Places qu’il avoit cedées, il depescha contre luy Landry Maire de son Palais, avec des forces suffisantes, pour le tailler en pieces*. Bertault au premier bruit des approches de Landry, se retira en diligence à Orleans, où Landry le poursuivit, & se presenta en bataille devant les portes de la Ville, defiant Berthault au combat. Celuy-cy répondit qu’il n’avoit pas des forces égales pour accepter la bataille, mais qu’il étoit prét de combattre contre luy seul à seul. Landry refusa l’offre: & aprés qu’il eût vomy mille injures contre Bertault [sic], il se retira. Cependant Theodoric, sur l’avis des desseins de Clotaire, & de ce qui s’etoit passé à Orleans, avoit assemblé ses troupes, & s’etoit mis [p.15] en chemin pour venir secourir Bertault, & executer par la force ce que celuy-cy n’avoit pû faire. Bertault vint se joindre à Theodoric en approchant d’Estampes, où Landry s’étoit venu loger le jour de Noël de l’an 612. avec toute l’armée de Clotaire, en laquelle étoit Merouëe son filis [sic] aîné, non pas pour combatre comme un Chef d’armée en la bataille, parce qu’il  étoit encore trop jeune; mais seulement pour donner de la chaleur à ses armes, & animer les soldats par sa presence. Landry fit occuper par son armée la plaine qui est au dessus de la Ville, du côté d’Occident, pour avoir l’avantage de combatre son ennemy à mesure qu’il sortiroit de la prairie, pour monter sur cette plaine: (Car Thierry venoit du côté d’Orleans, & pour combatre Landry il falloit qu’il traversât la prairie, & les rivieres de Chaloüette, & de Loüette, coulent dans ce Valon) le lieu est encore aujourd’huy nommé le Chantier des batailles: Et plus proche de la Ville est le Champ qui servit à enterrer les morts, surnommé pour cela le Champ des morts, que le Vulgaire appelle le Champs des Mores. Thierry fit toute la diligence possible pour faire passer la riviere à son armée, & gagner le haut de la Colline, & la Plaine, pour combatre avec pareil avantage du lieu: Mais à peine la troisiéme partie de son armée avoit elle passé la riviere, que le combat commença. Dabord l’armée de Clotaire eût [sic] de l’avantage: Bertault qui vouloit tirer raison de l’affront que Landry luy avoit fait, se mêla si avant parmy les ennemis pour le rencontrer, qu’aprés avoir genereusement combatu de tout son pouvoir, il fut tué sur le champ. L’armée de Theodoric ne perdit pas pour cela courage, au contraire étant animée à la vengeance, plûtôt qu’effrayée de la mort de ce Connêtable, elle arracha la Victoire de la main de ses ennemis, & contraignit Landry de prendre la fuite, laissant Meroüée prisonnier. Theodoric tirant droit à Paris, y entra Victorieux: Et quelques Historiens disent qu’il mourut en cette bataille plus de trente mille hommes.


     * Fredegaire en sa Chron. c. 25. & 26.




Bertoald tué par Clotaire II lui même, épisode imaginaire (miniature pour les Grandes Chroniques de France, 14e siècle, © BNF)





Clodion selon un camée du 17e siècle (© BNF)      Au temps que Clotaire commençoit à regner heureusement seul Monarque de la France*, exempt des afflictions publiques, dont il avoit été affranchy par la mort des Rois Theodebert, Theodoric, & Sigebert fils de celuy-cy, qui fut tué l’an 614. ayant regné quelques mois seulement après la mort de son Pere, dans les deux Royaumes, de Bourgogne, & d’Austrasie, il fut visité de Dieu en sa maison l’an 619. par la mort de la Reine Bertrude son êpouse, [p.16] qu’il aimoit tendrement, & que toute la Noblesse de France honoroit beaucoup pour ses rares vertus: Mais il ne tarda pas longtemps à se consoler en épousant Sichilde, sœur de Brunulfe, qui se glorifioit d’étre descendu de Clodion, second Roy des François**. Les mœurs de cette Reine ne correspondirent pas à sa beauté; parce qu’elle fut soupçonnée d’avoir quelque commerce avec un nommé Boson fils d’Andeley, du païs d’Estampes, qui  fut pour cette cause, tué par le Duc d’Arnebert, par le commandement de Clotaire, l’an 43. de son regne selon la remarque de Fridegaire en son addition à Gregoire de Tours.

*
l’An 614.













*
* Anno 43. regni Clotharii, eo anno Boso filius Andoleni de Pago Stampensi jussu Clotharii, ab Arneberto duce interficitur, reputans ei stuprum cum Regina Sichilde. Anno Domini 626.


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Source: Basile Fleureau, Les Antiquitez de la ville et du Duché d’Estampes, pp. 12-16. Saisie: Bernard Gineste, juillet 2001.
   
 
BIBLIOGRAPHIE SOMMAIRE

Éditions

 
     Édition princeps, posthume: Dom Basile FLEUREAU (religieux barnabite, 1612-1674), Les Antiquitez de la ville, et du Duché d’Estampes avec lhistoire de labbaye de Morigny et plusieurs remarques considerables, qui regardent l’Histoire generale de France [in-4°; XIV+622+VIII p. (N.B: les pages 121-128 sont numérotées par erreur 127-134); publication posthume par Dom Remy de Montmeslier d’un texte rédigé en réalité vers 1668], Paris, J.-B. Coignard, 1683.

     
Réédition en fac-similé: Dom Basile FLEUREAU, Les Antiquitez de la ville, et du Duché d’Estampes avec lhistoire de labbaye de Morigny et plusieurs remarques considerables, qui regardent l’Histoire generale de France [23 cm sur 16; XIV+622+VIII p.], Marseille, Lafittes reprints, 1997.

     
Réédition numérique en ligne (en cours depuis 2001): Bernard GINESTE [éd.], «Dom Fleureau: Les Antiquitez d’Estampes (1668)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/index-fleureau.html, 2001-2010.

     
Pour ce chapitre: Bernard GINESTE [éd.], «Dom Fleureau: Les Antiquitez d’Estampes (1668)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-17-fleureau-b08.html, 2001-2010.
 
Sources

     Wilhelmus ARNDT & Bruno KRUSCH [éd.], Gregorii Turonensis Historiae Francorum Libri Decem [«Les dix livres de l’Histoire des Francs de Grégoire de Tours»], Hannoverae [Hannovre], Impensis bibliopolii Hahniani [Societas aperiendis fontibus rerum germanicarum medii aevi: «Monumenta Germaniae Historica. Scriptorum rerum merovingicarum» tomus I], 1884-1885 [dont plusieurs réimpressions ; dont une réédition numérique en mode image par la BNF sur son site Gallica; dont une édition numérique en ligne in Bibliotheca Augustana, http://www.fh-augsburg.de/~harsch/Chronologia/Lspost06/Gregorius/gre_hi00.html, en ligne en 2004].

     ANONOYME [éd.]:
«Gregorius Turonensis: Historia Francorum» [Grégoire de Tours: Histoire des Francs (texte latin intégral)], in The Latin Library, http://www.thelatinlibrary.com/gregorytours.html, en ligne en 2004.

     Bruno KRUSCH [éd.], «Chronica quae dicuntur Fredegarii scholastici» [
«chronique dite du clerc Frédégaire»], in ID., «Fredegarii scholastici Chronicum cum suis continuatoribus, sive Appendix ad sancti Gregorii episcopi Turonensis Historiam Francorum», in Societas aperiendis fontibus rerum germanicarum medii aevi [éd.], Monumenta Germaniae Historica. Scriptorum rerum merovingicarum tomus II: Fredegarii et aliorum chronica. Vitae Sanctorum, Hannoverae [Hannovre], Impensis bibliopolii Hahniani [«Monumenta Germaniae historica. Scriptores rerum Merovingiarum» II], 1888 [dont plusieurs réimpressions; dont une réédition numérique en mode texte d’origine russe:, http://hbar.phys.msu.su/gorm/chrons/fredegar.htm, en ligne en 2004], pp. 127sqq.

     ANONYME [éd.],
«Fredegarii scholastici Chronicum cum suis continuatoribus, sive Appendix ad sancti Gregorii episcopi Turonensis Historiam Francorum» [«Chronique du clerc Frédégaire et de ses continuateurs, ou Appendice à l’Histoire des Francs de saint Grégoire, évêque de Tours», texte latin intégral], in The Latin Library, http://www.thelatinlibrary.com/fredegarius.html, en ligne en 2004.

Cartes

     Les cartes que nous reproduisons ici ont été réalisées par Jean-Pierre Morillo sur la base de différents atlas historiques pour son beau site Clionide des Francs, http://clionide.free.fr/Homepage.htm Nous les donnons à titre indicatif, avec son aimable autorisation (courriel du jeudi 11 novembre 2004 16:38), pour donner une idée du morcellement du royaume, mais aussi du caractère hypothétique de toute cartographie des royaumes mérovingiens: on remarquera qu’elles ne coïncident pas forcément avec les conclusions de Fleureau, puisqu’elles placent plutôt le pays étampois, au départ, dans le royaume de Clodomir (d’Orléans), puis aux confins de la Neustrie de Chilpéric.

     Jean-Pierre MORILLO, Clionide des Francs, http://clionide.free.fr/Homepage.htm, en ligne en 2004.


Une série de camées du 17e siècle sur les rois mérovingiens

     Le Cabinet des Médailles de la Bibliothèque Nationale de France conserve une série presque complète de camées formant la série des rois de France, depuis le mythique Pharamond jusqu’à Louis XIII.

     Cette série d’auteur inconnu est datée des années 1630. Chacun de ces camées d’un format de 24 mm sur 19, est en coquille; sur le revers est appliquée une couche de pâte noire de cire ou de goudron pour donner l’illusion d’une sardoine. L’ensemble a été restaurée en 1993-1994 grâce à la générosité de Madame la comtesse Jean-Jacques de Flers, et a été photographié et mis en ligne par la BNF sur son site Gallica, mais comme l’ensemble est de consultation malcommode, nous en donnons ci-après les liens:

     Voici la série des rois mérovingiens: Pharamond, Clodion, Mérovée, Childéric Ier, Clovis Ier, Thierry Ier, Childebert Ier, Clotaire Ier, Childebert II, Caribert, Thierry II (interverti avec Clotaire III par la BNF), Clotaire II, Clovis II, Clotaire III (interverti avec Thierry II par la BNF), Childéric II, Thierry III, Clovis III, Dagobert II, Clotaire IV, Chilpéric II, Childéric III. On remarquera notamment l
absence de saint Gontran dans la série.

Illustrations médiévales

     BNF (Bibliothèque Nationale de France) [éd.], Le roi Charles V et son temps (1338-1380): 1000 enluminures du Département des Manuscrits, http://www.bnf.fr/enluminures/accueil.htm, en ligne en 2004. On notera particulièrement :
     1) «Supplice de la reine Brunehaut» in Grandes Chroniques de France, Paris, XIVe s. = ms. fr. 2813, fol. 60v (60 x 60 mm),  http://www.bnf.fr/enluminures/images/jpeg/i1_0013.jpg, en ligne en 2004.
     2) «Bataille entre les Francs, commandés par le roi Clotaire II (et non Clotaire Ier, comme indiqué par erreur), et les Saxons» in Grandes Chroniques de France, Paris, XIVe s. = ms. fr. 2813, fol. 63 (65 x 65 mm), http://www.bnf.fr/enluminures/images/jpeg/i1_0014.jpg, en ligne en 2004.
     3) «Combat singulier entre le roi Clotaire II (et non Clotaire Ier, comme indiqué par erreur) et Bertoald, le maire du palais» [épisode imaginé par les Grandes Chroniques, car Clotaire II n’était pas à Étampes lors de la mort de Bertoald] in Grandes Chroniques de France, Paris, XIVe s. = ms. fr. 2813, fol. 66 (65 x 65 mm), http://www.bnf.fr/enluminures/images/jpeg/i1_0015.jpg, en ligne en 2004.

Sur Étampes à l’époque mérovingienne

     Michel MARTIN, «Séquences d’urbanisation du IVe au XIIIe siècle» & «Aux temps mérovingiens, la naissance du ‘pays d’Étampes’», in Jacques [alias Jacky] GÉLIS [professeur émérite d’histoire moderne à Paris VIII, directeur de la collection], Michel MARTIN & Frédéric BEAUDOIN [directeurs du premier tome], Le pays d’Étampes. Regards sur un passé. Tome 1: Des origines à la ville royale [17 cm sur 24; 215 p.], Étampes, Étampes-Histoire, 2003, pp. 69-78 & 79-81.


Discussion sur la bataille de 612 (ou de 604)

     Michel MARTIN, «La localisation de la bataille de 604 entre Thierry et Landry», in Jacques GÉLIS [dir.], Peintres d’Étampes, Étampes, Association Étampes-Histoire [«Les Cahiers d’Étampes-Histoire» 6], 2004, pp. 67-70 (2 plans).

 

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