Corpus Latinum Stampense
 
Abbaye de Morigny
Achat d’une rente de huit livres au cens de La Ferté-Alais
quatre actes de 1248
     
Chapiteau de l'église de Morigny (12e siècle)
Chapiteau de l’église de Morigny (12e siècle)
 
     En 1248, les moines de Morigny achètent à Guillaume des Barres (frère de Marie de Mont-Saint-Jean dame de La Ferté-Alais) et à sa femme Belloys, pour un montant de 140 livres, une rente annuelle de 8 livres parisis à percevoir au cens de La Ferté-Alais qu’il y détenait probablement par héritage.
     Le premier acte ici édité est une reconnaissance de vente et une quittance signée par les vendeurs. Le deuxième une autorisation du roi saint Louis, dont le fief était mouvant, le troisième une attestation par l’évêque de Meaux, le quatrième et dernier, une lettre de Guillaume des Barres à sa sœur dame de La Ferté, et surtout à ses prévôts sur place à la Ferté-Alais, les informant de la transaction.

     Ces quatre chartes de 1248 ont été traduites en cours de latin médiéval aux Archives Départementales de l’Essonne à Chamarande, en janvier 2005.
     Nous faisons appel à toutes les bonnes volontés pour améliorer ce travail et l’enrichir de notes relatives aux institutions, aux personnes et aux lieux mentionnés par les chartes que nous mettons et mettrons en ligne. Tous les contributions retenues seront mentionnées avec le nom de leur auteur, sauf volonté expresse d’anonymat.


    
Saisir des textes anciens est une tâche fastidieuse et il ne faut pas décourager ceux qui s’y attellent en les pillant sans les citer.
   

 
Abbaye de Morigny
Achat d’une rente de huit livres à la Ferté-Alais
(éditions de Fleureau et Menault, avec traduction)
 

1. DE OCTO LIBRIS PARISIENSIBUS ANNUI REDITUS QUAS HABEMUS IN PREPOSITURA DE FERITATE AALES.
     (1248) Charte LXIIIe de Menault
1. ACTE DE VENTE DE LA RENTE ET QUITTANCE
     [Au sujet des huit livres parisis de rente annuelle que nous avons dans la prévôté de La Ferté-Alais.]
EGO Guillermus miles Dominus de Barris et ego Belouys uxor dicti Guillermi, notum facimus omnibus presentes litteras inspecturis quod nos vendidimus Ecclesie de Maurigniaco site juxta Stampas octo libratas redditus Parisiensis monete quas habebamus et percipiebamus singulis annis ad Purificationem beate Marie Virginis in prepositura de Firmitate Aelipdis pro septem [sic] vinginti libris Parisiensis monete, de quibus denariis tenemus nos jam pro pagatis, et hanc venditionem concedimus legitime supradicte Ecclesie imperpetuum tenere et possidere. Et promittimus nos bona fide super venditione ista dicte Ecclesie rectam garantiam contre omnes portaturos. Quod ut ratum et firmum permaneat, presentes litteras sigillorum nostrorum munimine fecimus roborari. Actum anno Domini M° CC° XLVIII° mense junio.


     Moi le chevalier Guillaume seigneur des Barres, et moi Belouys épouse dudit Guillaume, faisons savoir à tous ceux qui consulteront le présent document que nous avons vendu à l’église de Morigny sise près d’Étampes huit livres de rente du cens de Paris que nous avions et que nous percevions chaque année à la Purification de la bienheureuse Vierge Marie dans la prévôté de la Ferté-Alais pour cent quarante livres parisis, desquels deniers nous nous considérons comme payés et nous autorisons à bon droit la susdite église à tenir et à posséder cette vente à perpétuité.
     Et nous promettons que nous nous apporterons de bonne foi au sujet de cette vente notre garantie authentique à la dite église contre qui que ce soit.
     Et pour que cela demeure établi et ferme, nous avons fait confirmer le présent document par le renfort de nos sceaux. Fait l’an du Seigneur 1248 au mois de juin.
2. [VIDIMUS et CONCEDIMUS du Roi]
     Transcription de Dom Basile Fleureau (Antiquités d’Estampes, p. 578) qui semble avoir échappé à l’attention de Menault. On notera , outre de légères variantes, l’orthographe certainement fautive Heloys (pour Beloys, anthroponyme plus rare mais bien attesté).
2. AUTORISATION DE LOUIS IX (SAINT-LOUIS)
     Introduction de Fleureau: «Car je trouve qu’avant l’an 1248. elle [La Ferté-Alais] appartenoit à une Dame nommée Marie, veuve de Guillaume du Mont-Saint-Jean, Chevalier; & que cette Dame la tenoit en fief du Roy, comme il se justifie par l’acte suivant d’inféodation d’une rente de huit livres parisis, à prendre tous les ans sur cette Seigneurie, que Guillaume des Barres Chevalier, frere de Marie, vendit aux Religieux de l’Abbaie de Morigny.» (p. 578)
     Ludovicus Dei gratia Francorum Rex: Notum facimus tàm præsentibus quàm futuris quòd nos litteras dilecti, & fidelis nostri Guillelmi de Barris, & Heloydis uxoris ejus vidimus in hæc verba. Ego Guillelmus Miles, dominus de Barris, & ego Heloys uxor dicti Guillelmi: Notum facimus præsentes litteras inspecturis, quod nos vendidimus Ecclesiæ de Maurigniaco, sitæ juxta Stampas octo libras reditus paris. monetæ, quas habebamus, & percipiebamus ad Purificationem Beatæ Mariæ Virginis in præpositura de Firmitate Aelisis pro septem [sic] viginti lib. paris. monetæ, de quibus denariis tenemus nos jam pro pagatis: et hanc venditionem concedimus legitimè supradictæ Ecclesiæ, in perpetuum tenere, & poßidere; & promittimus bona fide super venditione ista dictæ Ecclesiæ bonam garantiam contre omnes portaturos, quod ut ratum, & firmum permaneat præsentes litteras sigillorum nostrorum munimine fecimus roborari. Actum an. Domini MCCXLVIII. mense Iunio. Nos verò venditionem prædictam octo libratarii reditus ad preces, & requisitionem dicti Guillelmi, & Heloys uxoris suæ volumus, cum de feodo nostro moveat, & concedimus, salvo jure nostro, & alieno. Quod ut ratum, & firmum futuris temporibus habeatur præsentem paginam sigilli nostri fecimus impreßione muniri. Actum apud Domum hospitalem juxta Carbolium [sic] anno Domini MCCXLVIII.
     Louis par la grâce de Dieu roi des Français. Nous faisons savoir tant aux personnes présentes qu’à venir que nous avons vu un acte de notre cher et fidèle Guillaume des Barres et de son épouse Héloys de la teneur suivante:
     Moi le chevalier Guillaume seigneur des Barres, et moi Héloys épouse dudit Guillaume, faisons savoir à ceux qui consulteront le présent document que nous avons vendu à l’église de Morigny sise près d’Étampes huit livres de rente du cens de Paris que nous avions et que nous percevions à la Purification de la bienheureuse Vierge Marie dans la prévôté de la Ferté-Alais, pour cent quarante livres parisis, desquels deniers nous nous considérons comme payés et nous autorisons à bon droit la susdite église à tenir et à posséder cette vente à perpétuité. Et nous promettons que nous nous apporterons de bonne foi au sujet de cette vente notre garantie authentique à la dite église contre qui que ce soit. Et pour que cela demeure établi et ferme, nous avons fait confirmer le présent document par le renfort de nos sceaux. Fait l’an du Seigneur 1248 au mois de juin.
     Quant à nous, nous acquiesçons à cette vente d’une rente de huit livres à la prière et à la demande du dit Guillaume et d’Héloys son épouse, puisqu’elle dépend de notre fief, et nous l’autorisons, étant sauvegardé notre droit, et celui d’autrui.
     Et pour que cela passe pour établi et ferme, nous avons fait certifier le présent acte par l’impression de notre sceau. Fait à la Commanderie Hospitalière près de Corbeil l’an du Seigneur 1248.
3. ITEM DE OCTO LIBRIS PARISIENSIBUS QUAS HABEMUS IN PREPOSITURA DE FERITATE AALES.
     (1248) Charte LXIVe
de Menault
3. ATTESTATION DE PIERRE, ÉVÊQUE DE MEAUX
     [Encore au sujet des huit livres parisis que nous avons dans la prévôté de La Ferté-Alais.]
Petrus miseratione divina Meldensis Ecclesie Minister humilis. Omnibus presentes litteras inspecturis salutem in Domino. Notum facimus quod nobilis mulier Belloysis uxor Guillermi de Barris militis, recognovit quod ipsa et prefatus Guillermus maritus ejus vendiderant et quitaverant imperpetuum Ecclesie de Maurigniaco juxta Stampas, pro septies [sic] vinginti libris Parisiensibus jam solutis, octo libratas annui redditus Parisiensis monete quos habebant et percipiebant ut dicebat dicta nobilis singulis annis ad Purificationem Beate Marie Virginis in prepositura Firmitatis Aalesis. Et promisit dicta Belloysis fide prestita corporali quod contra venditionem et quitationem predicte Ecclesie garentizabit et liberabit ad usus et consuetudines patrie contra omnes. Datum anno Domini M°. CC°. XLVIII°. mense julio.
     Pierre par un effet de la miséricorde divine humble ministre de l’église de Meaux, à tous ceux qui consulteront le présent document, salut dans le Seigneur.
     Nous faisons savoir que noble femme Belloys, épouse du chevalier Guillaume des Barres a reconnu qu’elle et son susdit mari Guillaume avaient vendu et cédé à perpétuité à l’église de Morigny près d’Étampes, pour la somme de cent quarante livres parisis déjà réglée, huit livres de rente annuelle du cens de Paris qu’ils avaient et percevaient au dire de la dite noble femme chaque année à la purification de la bienheureuse Vierge Marie à la prévôté de la Ferté-Alais.
     Et la dite Belloys a promis solennellement qu’elle garantira au contraire cette vente et ce règlement à la susdite église et l’en affranchira, selon l’usage et la coutume du pays, contre qui que ce soit.
     Donné l’an du Seigneur 1248 au mois de juillet.
4. ITEM DE EISDEM OCTO LIBRIS PARISIENSIBUS.
(1248) Charte LXXIIe
de Menault
4. MISE EN PLACE DE LINFÉODATION
(Lettre de Guillaume à sa s
œur, dame de La Ferté)
     [Encore au sujet des mêmes huit livres parisis.] 
KARISSIME sorori sue nobili Domine, Marie Domine de monte Sancti Johannis ejusque Prepositis de feritate, Guillermus miles Dominus de Barris, salutem et fraternam dilectionem. Rogamus vos et requirimus quatinus octo libratas redditus quas in Prepositura vestra de feritate Aalesis habebamus et consueveramus percipere annuatim in Purificationem beate Marie, Ecclesie Maurigniacensi de cetero sine aliqua contradictione solvatis vel solvi faciatis, scituri pro certo quod solutiomem [sic] quam eidem Ecclesie feceritis gratam habebimus et acceptam, nec loco illius redditus a vobis amodo per me vel per alium aliquid exigetur. Datum anno Domini M° CC° XLVIII°, die Veneris prima ante festum beate Marie Magdalene.
     A sa très chère sœur la noble dame Marie, dame de Mont-Saint-Jean et à ses prévôts de la Ferté, le chevalier Guillaume, seigneur des Barres, salut et affection fraternelle.
     Nous vous demandons et requerrons de vous que les huit livres de rente que nous avons dans votre prévôté de la Ferté-Alais et que nous avions coutume d’y percevoir chaque année à la purification de la bienheureuse Marie, vous les régliez ou que vous les fassiez régler à l’avenir à l’église de Morigny sans aucune opposition, sachant avec certitude que nous agréerons et accepterons le règlement que vous en ferez à la dite église, et qu’en lieu et place de cette rente il ne sera rien exigé de vous dorénavant ni par moi ni par aucun autre.
     Donné l’an du Seigneur 1248, le premier vendredi avant la fête de la bienheureuse Marie Madeleine.


     N.B. acte 1. On remarquera que 140 livres correspondent à 17 ans et demi de revenu de cette rente de 8 livres. (B.G.).

     
N.B. acte 1. Beloys, Belloys, Belouys, Bellouys, Belouis et Bellouis sont encore attestés comme patronymes à l’époque moderne. Le deuxième acte porte Heloys, leçon moins vraisemblable, car ce dernier anthroponyme féminin est beaucoup est plus courant.

     N.B. acte 2. De la commanderie Hospitalière de Saint-Jean de Corbeil aujourdhui disparue, il ne subsiste que la chapelle Saint-Jean en lÎle, consacrée en 1185.

     N.B. acte 3. Ce Pierre évêque de Meaux paraît avoir été le prédécesseur direct du plus célèbre Philippe de Vitry (1351-1361).

     
N.B. acte 4. La Marie de Mont-Saint-Jean citée par notre quatrième document est celle que l’on appelle plus habituellement Marie des Barres, épouse de Guillaume II de Mont-Saint-Jean (qui meurt le 8 février 1250 à la bataille de Mansourah, lors de la 7e croisade: elle nest donc pas encore veuve en 1248, comme le suppose à tort Fleureau).
     Il ne faut pas la confondre comme le font certains généalogistes avec sa fille Marie de Mont-Saint-Jean (épouse de Jacques de Saulx mort en 1249, puis de Jean de Passavant),
ni non plus confondre Guillaume II avec son fils aîné et successeur Guillaume III (mort sans héritier en 1256).



     Qui aurait des données sur la famille des Barres?
Source du texte: Éditions de Fleureau en 1683 (acte 2) et de Menault en 1867 (actes 1, 3 & 4).
 
   
     
BIBLIOGRAPHIE
(en cours, merci de patienter)
 
Éditions

     Dom Basile FLEUREAU [1612-1674], Les Antiquitez de la ville, et du Duché d’Estampes avec lhistoire de labbaye de Morigny et plusieurs remarques considerables, qui regardent l’Histoire generale de France [in-4°; 622 p.; publication posthume par Dom Remy de Montmeslier d’un texte rédigé entre 1662 et 1668], Paris, J.-B. COIGNARD, 1683 [dont une réimpression: Marseille, Lafittes reprints, 1977; édition numérique en cours: Corpus Étampois, depuis 2001], p. 579 (notre acte n°2).
 
     Ernest MENAULT, Essais historiques sur les villages de la Beauce. Morigny, son abbaye, sa chronique et son cartulaire, suivis de l’histoire du Doyenné d’Etampes [in-8°; 209 p.; «ouvrage qui a reçu une mention honorable à l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, concours de 1862»], Paris, Auguste Aubry, 1867, pp. 106-107 & 113-114 (nos actes n°1, n°3 et n°4).
   
     Bernard GINESTE [dir.], «Abbaye de Morigny: Achat d’une rente de huit livres au cens de La Ferté-Alais (quatre actes de 1248)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cls-13-morigny1248laferte.html, 2004-2005.
 
Le Cartulaire de Morigny
   
     Bernard GINESTE, «Table chronologique du Cartulaire de Morigny», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cls-13-cartulairedemorigny.html, 2004-2005.

Études variées

     Dom Basile FLEUREAU, «Histoire de la Ville et du Comté de la Ferté-Aalés», in ID., Op. cit., pp. 576-587 spécialement p. 579.

     Auguste ALLOU [évêque de Meaux depuis 1839], Chronique des évêques de Meaux, suivie d’un état de l’ancien diocèse et du diocèse actuel [in-80; 408 p.; en fait, les deux états successifs du diocèse occupent la majeure partie du livre, depuis la page 207 jusqu’à la fin, avec un aperçu intéressant sur la formation du département de Seine-et-Marne], Meaux, A. Cochet, 1875.

     Paul QUESVERS & Henri STEIN (1862-1940), Essai de généalogie de la famille Des Barres (Brie, Gâtinais, Sénonais, Nivernais, Berri, Bourbonnais, Bourgogne) [in-4°; 52 p; tableaux; extrait du tome III des Inscriptions de l’ancien diocèse de Sens], Fontainebleau, M. Bourges, 1901.

     Paul JOUSSET,
«Pages d’histoire locale. La Famille des Barres à Étampes», in L’Abeille d’Étampes (6 avril 1929). [article traitant de la famille qui portait ce nom à Étampes aux XVIIe et XVIIIe siècles; dont une réédition numérique en mode texte par le François Jousset, petit-fils de l’auteur:  François JOUSSET [éd.], «Paul Jousset: La famille des Barres à Étampes (1929)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-20-pauljousset1929familledesbarres.html, 2005].

     Paul PINSON [éd.], «Basile Fleureau: Histoire de l’abbaye de Villiers» (1893), in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-fleureau-villiers1.html, 2004, pp. 13-14.

     Extrait: «Au mesme mois et an, Hesmes Brice légua à la mesme abbaie [de Villiers], du consentement de sa femme, trois arpents et demy de vigne assis près la métairie de Beauvais (16), au-dessus d’Estampes, et au mois de février 1230, Guillaume des Barres, chevalier, du consentement du Roy St Louis, amortit quatre arpens de terre assis à Courdimanche, mouvant de son fief, légués à la susdite abbaie par Jean surnommé Li Chaneiers.
    
«Je remarqueray que les de Barres, des Barres, dont il est souvent parlé en cette histoire, et en plusieurs aultres titres que j’ay veu dans le pays estoient d’une très noble famille et qu’ils ont esté seigneurs de Nanteau sur Lunain. Ils portoient lozangé.»

     ANONYME, «Les Mont-Saint-Jean. Tableau généalogique de la Famille de Mont-Saint-Jean», in Mont-Saint-Jean [site officiel de cette commune de Bourgogne], http://perso.wanadoo.fr/mont.st.jean/sires.html, en ligne en 2005.

     Extrait: «GUILLAUME II. […] Son mariage avec Marie des Barres lui apporte la seigneurie de la Ferté Alais en Beauce. Guillaume II mourut pendant la 7ème croisade en 1248 à la bataille de Mansourah. De son mariage étaient nés trois fils, Guillaume, Etienne et Pierre.— GUILLAUME III , épousa Marguerite de Bourgogne et mourut vers 1256 sans enfant.— PIERRE était sire de Salmaise et Joursenvaux et mourut vers 1257.— ETIENNE II, leur succéda. En 1263, il vend la terre de la Ferté Alais au roi Saint-Louis moyennant trois cents livres de rente.»

     Miroslav MAREK , «Family de Mont-Saint-Jean», in ID., Geneaology, http://genealogy.euweb.cz/french/msjean.html, 2002, en ligne en 2005.


    
     Merci de nous communiquer tout autre donnée disponible. 
    
Explicit
 
 
Sommaire généralCatalogue généralNouveautésBeaux-ArtsBibliographieHistoireLittératureTextes latinsMoyen Age Numismatique ProsopographieSciences et techniquesDom FleureauLéon MarquisLiensRemerciementsÉcrire au RédacteurMail to the Webmaster