Corpus Latinum Stampense
 
Eugène III
Charte en faveur des moines de Longpont
Segni, 21 février 1152
   
Eglise de Longpont (Gravure de L. Gaucherel)
Statue de Notre-Dame (Gravure de L. Gaucherel)
Portail de l'Eglise de Longpont (Gravure de L. Gaucherel)
    
     En février 1152, le pape Eugène III (1145-1153) accorde aux moines de Longpont une bulle mettant leurs possessions sous sa protection. Cela nous vaut une intéressante liste des principales de ces possessions à cette date. On remarquera qu’elle comprend en Étampois le prieuré de Paponville, dans la commune actuelle de Saint-Escobille.

     La saisie des textes anciens est une tâche fastidieuse et méritoire. Il ne faut pas décourager ceux qui s’y attellent en les pillant sans les citer.

 
Eugène III
Charte en faveur des moines de Longpont
Segni, 21 février 1152
1. Première traduction (2008)

     Eugenius, episcopus, servus servorum Dei, dilectis filiis Teobaldo, priori monasterii beate Marie de Longo Ponte, ejusque fratribus, tam presentibus quam futuris, regularem vitam professis, in perpetuum.
     Eugène, évêque, esclave des esclaves de Dieu, à ses chers fils Thibaud, prieur du monastère de Longpont de Notre-Dame de Longpont et les frères tant présents qu’à venir qui ont fait profession d’y vivre selon la règle, pour valoir à perpétuité.
     Quociens illud a nobis petitur quod religioni & honestati convenire dinoscitur, animo nos decet libenti concedere, & petentium desideriis congruum impertiri suffragium.
     Autant de fois qu’on nous demande quelque chose qui est manifestement en accord avec la religion et les convenances, il importe que nous le concédions de bon gré et que nous donnions notre agrément à ceux qui nous adressent une juste demande.
     Ea propter, dilecti in Domino filii, vestris justis postulationibus clementer annuimus, & prefatum monasterium, in quo divino mancipati estis obsequio, sub beati Petri & nostra protectione suscipimus, & presentis scripti privilegio communimus, statuentes ut quascumque possessiones, quecumque bona idem monasterium in presentiarum juste & canonice possidet, aut in futurum, concessione pontificum, largitione regum vel [p.60] principum, oblatione fidelium seu aliis justis modis, Deo propicio, poterit adipisci, firma vobis vestrisque successoribus & illibata permaneant.
     C’est pourquoi, très chers fils dans le Seigneur, nous avons consenti à vos justes requêtes, et nous prenons sous la protection de saint Pierre et la nôtre le susdit monastère dans lequel vous vous êtes soumis au service de Dieu, et nous le protégeons par l’octroi du présent privilège, en statuant que tous les biens que possède actuellement le dit monastère en accord avec la justice et le droit canon, ou bien qu’il pourra acquérir à l’avenir, soit par la concession de prélats, ou par la libéralité de rois ou de princes, ou par l’offrande de fidèles, ou par d’autres moyens légitimes, avec l’aide de Dieu, demeurent votre propriété et celle de vos successeurs, fermement et inviolablement.
     In quibus hec propriis duximus exprimenda vocabulis: In episcopatu parisiensi, villam videlicet de Longo Ponte cum decima & atrio; capellam sancti Juliani, Parisius, juxta Parvum Pontem sitam, cum sepultura; ecclesiam de Forgiis cum decima & atrio; ecclesiam de Orceaco cum decima & atrio; ecclesiam de Piscosis cum decima & atrio; ecclesiam de Champlant cum atrio & tercia parte decime & dimidio modio; ecclesiam de Bunduflo cum decima & atrio; ecclesiam de Orengiaco cum decima & atrio; ecclesiam de Noereio cum decima; decimas de Monte Leterico; medietatem decimarum Viriaci; decimas de Joi; medietatem decimarum de Monteclein; medietatem decimarum de Saviniaco; quartam partem decime Sancti Mederici; decimas de Britiniaco & Plesseiz; quartam partem decimarum Ville Abbatis; villam que vocatur Saviniacus; villam que vocatur Ver, & sextam partem decimarum; medietatem ville Soliniaci cum medietate decimarum; medietatem ville que vocatur Champlant; in villis Jude & Fretnes terciam partem decimarum & tractum tercio anno.
     Parmi ces propriétés il nous a paru bon de mentionner celles-ci nominativement. Dans le diocèse de Paris, le domaine de Longpont, avec sa dîme et son cimetière; la chapelle de Saint-Julien à Paris, sise à côté du Petit Pont, avec le droit d’ensevelissement; l’église de Forges[-les-Bains] avec sa dîme et son cimetière; l’église d’Orsay avec sa dîme et son cimetière; l’église de Pecqueuse, avec sa dîme et son cimetière; l’église de Champlant avec son cimetière et le tiers de sa dîme plus un demi-muid; l’église de Bondoufle avec sa dîme et son cimetière; l’église d’Orangis avec sa dîme et son cimetière; l’église de Nozay avec sa dîme; les dîmes de Montlhéry; la moitié des dîmes de Viry; les dîmes de Jouy[-en-Josas]; la moitié des dîmes de Monteclain; la moitié des dîmes de Savigny; le quart de la dîme de Saint-Merry [de Linas]; les dîmes de Brétigny et du Plessis; le quart des dîmes de Villabé; le domaine appelé Savigny; le domaine appelé Ver et le sixième de ses dîmes; la moitié du domaine de Soligny avec la moitié de ses dîmes; la moitié du domaine appelé Champlan; dans les domaines de Villejuif et de Fresne[-lès-Rungis], le tiers des dîmes et la rétribution du percepteur de la dîme une année sur trois.
     In archiepiscopatu Senonensi, terciam partem decimarum de Mandavilla. In episcopatu Carnotensi, monasterium Sancti Andree de Orphegiis & obedientiam de Papinivilla cum appendiciis suis. In episcopatu Luxoviensi, monasterium de Tocha cum pertinentiis suis; decimam de Ophergiis.
     Dans le diocèse de Sens, le tiers des dîmes de Mondeville. Dans le diocèse de Chartres, le monastère Saint-André d’Auffargis et le prieuré de Paponville avec ses dépendances. Dans le diocèse de Lisieux, le monastère de Touques avec ses dépendances. La dîme d’Auffargis.
     Decernimus ergo ut nulli omnino hominum liceat prefatum monasterium temere perturbare, aut ejus possessiones auferre vel ablatas retinere, minuere aut aliquibus vexationibus fatigare, sed omnia integra conserventur, eorum, pro quorum gubernatione (1) & sustentatione concessa sunt, usibus omnimodis pro futura, salva sedis apostolice auctoritate & Cluniacensium abbatum obedientia, atque diocesanorum episcoporum canonica [p.61] justicia.
     Nous décrétons donc qu’il ne sera loisible à personne que ce soit d’oser inquiéter le dit monastère, ni de lui enlever ses possessions, ni de les détenir après qu’elles lui auraient été enlevées, ni de les diminuer, ni de les harceler de quelque manière que ce soit; mais que toutes resteront intégralement à disposition de ceux pour la traite (1) et l’entretien desquels elles ont été données, quelque usage qu’ils veuillent en faire, dans la limite de l’autorité du pape, de l’obéissance due aux abbés de Cluny et de la juridiction canonique des évêques de chaque diocèse.
     Si qua igitur in futurum ecclesiastica secularisve persona hanc nostre constitutionis paginam sciens contra eam temere temptaverit venire, secundo terciove commonita, si non satisfactione congrua emendaverit, potestatis honorisque sui dignitate careat, reamque se divino judicio existere de perpetrara iniquitate cognoscat & a sacratissimo corpore ac sanguine Dei & Domini redemptoris nostri Jesu Christi aliena fiat atque in extremo examine districte ultioni subjaceat. Cunctis autem eidem loco justa servantibus fit pax domini nostri Jesu Christi, quatenus & hic fructum bone actionis percipiant & apud districtum judicem premia eterne pacis inveniant. Amen — amen — amen. —
     Si donc quelque personne que ce soit à l’avenir, ecclésiastique ou laïque, informée de la teneur de notre édit, ose y contrevenir, quand elle aura été avertie deux ou trois fois, si elle ne s’amende pas en y obtempérant comme il faut, qu’elle soit privée de la dignité de sa seigneurie ou de sa charge, qu’elle sache qu’elle se trouve sous le coup du jugement de Dieu, qu’elle soit privée des très saints corps et sang de Jésus-Christ, et qu’au jugement dernier elle soit l’objet d’un châtiment rigoureux; quant à tous ceux qui conserveront au dit établissement ses biens légitimes, que la paix de notre seigneur Jésus Christ soit avec eux, qu’il reçoivent ici-bas le fruit de leur bonne action et qu’ils obtiennent du Juge rigoureux la récompense de la paix éternelle. Amen, amen, amen.
     Ego Eugenius, catholice ecclesie episcopus, SS. Ego Gregorius presbiter cardinalis tituli [sancti] Calixti, SS. Ego Julius, presbiter cardinalis tituli sancti Marcelli, SS. Ego Ubaldus, presbiter cardinalis tituli sancte Crucis in Jerusalem, SS. Ego Imarus, Tusculanensis episcopus, SS. Ego Nicolaus, Albanensis episcopus, SS. Ego Hugo, Hostiensis episcopus, SS. Ego Bernardus, presbiter cardinalis, tituli sancti Clementis, SS. Ego Otto, diaconus cardinalis sancti Georgii (2) ad Velum aureum, SS. Ego Gregorius, diaconus cardinalis sancti Angeli, SS. Ego Guido, diaconus cardinalis sancte Marie in Porticu, SS. Ego Johannes, sancti Sergii & Bachi diaconus cardinalis, SS.
     Moi Eugène, évêque de l’église catholique, j’ai signé. Moi Grégoire cardinal-prêtre du titre de Saint-Calixte, j’ai signé. Moi Jules, cardinal-prêtre du titre de Saint-Marcel, j’ai signé. Moi Hubaud, cardinal-prêtre du titre de Sainte-Croix-en-Jérusalem, j’ai signé. Moi, Imar, évêque de Tuscolo, j’ai signé. Moi Nicolas, évêque d’Albano, j’ai signé. Moi Hugues, évêque d’Ostie, j’ai signé. Moi Bernard, cardinal-prêtre du titre de Saint-Clément, j’ai signé. Moi Othon, cardinal-diacre de Saint-Georges-au-Vélabre (2), j’ai signé. Moi Grégoire, cardinal-diacre de Saint-Ange, j’ai signé. Moi Guy, cardinal-diacre de Notre-Dame-du-Portique, j’ai signé. Moi Jean, cardinal-diacre de Saints-Serge-et-Bache, j’ai signé.
     Datum Signie, per manum Bosonis, sancte romane ecclesie scriptoris, VIII Kalendas Marcii, indictione XV, incarnationis Dominice anno M° C° L° I° pontificatus vero domni Eugenii tercii pape anno septimo.
     Donné à Segni, par la main de Boson, secrétaire de la sainte Église de Rome, le 8 des calendes de Mars [21 février], indiction 15, l’an de l’incarnation du Seigneur 1151 [1152 en nouveau style] et 7 du pontificat de monseigneur le pape Eugène III.

NOTULES

     (1) Gubernatio est ici un vulgarisme qui n’a pas été relevé à ma connaissance par aucun dictionnaire de latin médiéval. Gouverner signifie notamment en ancien français, selon le Lexique  de Godefroy, «entretenir, nourrir, pourvoir à» et se gouverner a notamment pour sens «tirer ses moyens d’existence» (B.G.).

     (2) Le cartulaire porte par erreur Sancti Gregorii (de Saint-Grégoire), pour Sancti Georgii (de Saint-Georges). Nous corrigeons ici le texte selon la suggestion de Marion dans sa note 4 (B.G.).
2. Texte et notes de Marion (1879)


     Eugenius (1), episcopus, servus servorum Dei, dilectis filiis ii p Teobaldo, priori monasterii beate Marie de Longo Ponte, ejusque fratribus, tam presentibus quam futuris, regularem vitam professis, in perpetuum.
1152, 21 février.

     (1) Eugène III, pape. — mars 1145 —8 juillet 1153.

     Quociens illud a nobis petitur quod religioni & honestati convenire dinoscitur, animo nos decet libenti concedere, & petentium desideriis congruum impertiri suffragium. Ea propter, dilecti in Domino filii, vestris justis postulationibus clementer annuimus, & prefatum monasterium, in quo divino mancipati estis obsequio, sub beati Petri & nostra protectione suscipimus, & presentis scripti privilegio communimus, statuentes ut quascumque possessiones, quecumque bona idem monasterium in presentiarum juste & canonice possidet, aut in futurum, concessione pontificum, largitione regum vel [p.60] principum, oblatione fidelium seu aliis justis modis, Deo propicio, poterit adipisci, firma vobis vestrisque successoribus & illibata permaneant. In quibus hec propriis duximus exprimenda vocabulis: In episcopatu parisiensi, villam videlicet de Longo Ponte cum decima & atrio; capellam sancti Juliani, Parisius, juxta Parvum Pontem sitam, cum sepultura; ecclesiam de Forgiis cum decima & atrio; ecclesiam de Orceaco cum decima & atrio; ecclesiam de Piscosis cum decima & atrio; ecclesiam de Champlant cum atrio & tercia parte decime & dimidio modio; ecclesiam de Bunduflo cum decima & atrio; ecclesiam de Orengiaco cum decima & atrio; ecclesiam de Noereio cum decima; decimas de Monte Leterico; medietatem decimarum Viriaci; decimas de Joi; medietatem decimarum de Monteclein; medietatem decimarum de Saviniaco; quartam partem decime Sancti Mederici; decimas de Britiniaco & Plesseiz; quartam partem decimarum Ville Abbatis; villam que vocatur Saviniacus; villam que vocatur Ver, & sextam partem decimarum; medietatem ville Soliniaci cum medietate decimarum; medietatem ville que vocatur Champlant; in villis Jude & Fretnes terciam partem decimarum & tractum (2) tercio anno. In archiepiscopatu Senonensi, terciam partem decimarum de Mandavilla. In episcopatu Carnotensi, monasterium Sancti Andree de Orphegiis & obedientiam de Papinivilla cum appendiciis suis. In episcopatu Luxoviensi, monasterium de Tocha cum pertinentiis suis; decimam de Ophergiis. Decernimus ergo ut nulli omnino hominum liceat prefatum monasterium temere perturbare, aut ejus possessiones auferre vel ablatas retinere, minuere aut aliquibus vexationibus fatigare, sed omnia integra conserventur, eorum, pro quorum gubernatione & sustentatione concessa sunt, usibus omnimodis pro futura, salva sedis apostolice auctoritate & Cluniacensium abbatum obedientia, atque diocesanorum episcoporum canonica [p.61] justicia. Si qua igitur in futurum ecclesiastica secularisve persona hanc nostre constitutionis paginam sciens contra eam temere temptaverit venire, secundo terciove commonita, si non satisfactione congrua emendaverit, potestatis honorisque sui dignitate careat, reamque se divino judicio existere de perpetrara iniquitate cognoscat & a sacratissimo corpore ac sanguine Dei & Domini redemptoris nostri Jesu Christi aliena fiat atque in extremo examine districte ultioni subjaceat. Cunctis autem eidem loco justa servantibus fit pax domini nostri Jesu Christi, quatenus & hic fructum bone actionis percipiant & apud districtum judicem premia eterne pacis inveniant. Amen — amen — amen. —






     (2) Le droit qualifié tractus ou tractus decimæ serait, d’après Ducange, une dîme levée sur la dîme elle-même (redecima), sans doute au profit du collecteur. (V° Tractus, 3.) [p.62]
     Ego Eugenius, catholice ecclesie episcopus, SS. (3). Ego Gregorius presbiter cardinalis tituli [sancti] Calixti, SS. Ego Julius, presbiter cardinalis tituli sancti Marcelli, SS. Ego Ubaldus, presbiter cardinalis tituli sancte Crucis in Jerusalem, SS. Ego Imarus, Tusculanensis episcopus, SS. Ego Nicolaus, Albanensis episcopus, SS. Ego Hugo, Hostiensis episcopus, SS. Ego Bernardus, presbiter cardinalis, tituli sancti Clementis, SS. Ego Otto, diaconus cardinalis sancti Gregorii (4) ad Velum aureum, SS. Ego Gregorius, diaconus cardinalis sancti Angeli, SS. Ego Guido, diaconus cardinalis sancte Marie in Porticu, SS. Ego Johannes, sancti Sergii & Bachi diaconus cardinalis, SS.
Bulle (sceua en plomb) d'Eugène III      (3) En avant de la signature du Pape est destiné le fac-simile du sceau de plomb, portant, suivant la forme consacrée, les mots: SCS PETRVS, SCS PAULVS, EVGENIVS PP III. disposés dans les quatre cantons de la croix centrale, &, en exergue, la devise d’Eugène III: Domine, signum in bonum fac mecum. — Toutes les signatures des témoins sont précédées de grandes croix, tracées alternativement à l’encre rouge & à l’encre verte.

     (4) Lisez: Georgii. — Il s’agit de la basilique cardinalice de Saint Georges au Vélabre.
     Datum Signie, per manum Bosonis, sancte romane ecclesie scriptoris, VIII Kalendas Marcii, indictione XV, incarnationis Dominice anno M° C° L° I° pontificatus vero domni Eugenii tercii pape anno septimo (5).
     (5) 1152 (nouveau style). — La chancellerie d’Eugène III faisait partir le commencement de l’année, tantôt du 1er janvier, tantôt du 25 mars. C’est d’après le dernier de ces deux usages qu’est datée la présente bulle. En effet, elle porte la double indication de l’année 1151 & de la septième année du pontificat. Or, la septième année d’Eugène III court du 4 mars 1151 au 4 mars 1152. Le 21 février de la septième année (date de la bulle) est donc évidemment le 21 février 1152 (nouv. st.); pour que ce 21 février porte en même temps le millesime de 1151, il faut de toute nécessité que l’année 1151 ait commencé seulement le 25 mars & se soit prolongée jusqu’à la même date de l’année suivante



        

Charte d'Eugène III en date du 1er novembre 1147
Charte d’Eugène III du 1er novembre 1147 (ci-dessous)
en faveur des moines de Saint-Martin-des-Champs
ANNEXE
Charte analogue d’Eugène III
confirmant les biens des moines de Saint-Martin-des-Champs (Paris, 1147)

Réédition à venir.
En attendant on peut consulter en manière de comparaison celle de l’École des Chartres,
http://elec.enc.sorbonne.fr/cartulaires/smchamps2/acte324/, en ligne en 2008.

Source du texte: L’édition de Jules Marion (1879).
 
   
BIBLIOGRAPHIE SOMMAIRE ET PROVISOIRE
 
Éditions

     Jules MARION, Le Cartulaire du Prieuré de Notre Dame de Longpont de l’ordre de Cluny au diocèse de Paris, publié pour la première fois avec une Introduction et des Notes. XIe-XIIe siècle [in-8°; 371 p.; 3 planches; texte latin; index], Lyon, A. Louis Perrin  & Marinet, 1879, n°I, pp. 59-62.
     Dont une réédition numérique en mode image par la BNF sur son site Gallica, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111131d
, en ligne en 2008.

     Bernard GINESTE [éd.], «Eugène III: Charte en faveur des moines de Longpont (21 février 1152)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cls-12-eugene3longpont21fevrier1152.html, 2008.
 
Sur Eugène III

     James LOUGHLIN, 
«Pope Blessed Eugene III», in The Catholic Encyclopedia, vol. 5, New York, Robert Appleton, 1909.
     Dont une réédition numérique par Kevin KNIGHT, in New Advent, http://www.newadvent.org/cathen/05599a.htm, en ligne en 2008.

Bulle (sceua en plomb) d'Eugène III      F. STEFFENS, Lateinische Paläographie, Berlin & Leipzig, Walter de Gruyter & Co, 1929.
     Donne la photographie d’une bulle d’Eugène III, reproduite médiocrement sur la page http://medievalwriting.50megs.com/decoration/seal7.htm
, en ligne en 2008, et reproduite ci-contre.

     COLLECTIF D’INTERNAUTES, «Eugène III», in Wikipédia, http://fr.wikipedia.org/wiki/Eug%C3%A8ne_III, en ligne en 2008.
 


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