Corpus Littéraire Étampois
 
Louis-Eugène Lefèvre
Mæsta et errabunda
poèmes, 1891
     
Louis-Eugène Lefèvre      Louis-Eugène Lefèvre est plus connu des Étampois comme archéologue que comme poète. Il a pourtant laissé une œuvre littéraire intéressante, dont seulement une partie a été publiée, d’ailleurs à des tirages très confidentiels. Le Corpus Étampois envisage à terme de faire connaître cette production proprement littéraire assez variée, poétique, dramatique, épistolaire et narrative.
     Parmi les poèmes épars qui ont été conservé de lui, quatre à notre connaissance étaient destinés à faire partie d’une série conçue à Londres, Mæsta et errabunda, titre inspiré d’un célèbre poème de Baudelaire que nous donnons en annexe (après les variantes de ces poèmes, qui pourront intéresser les curieux et leur montrer comment travaillait Lefèvre, en tant que poète). 
 
MÆSTA ET ERRABUNDA

Pèlerinages de dévotion


                 I.

Comme tous les dévots, j’ai mes pélerinages,   
Souvent en lieux impurs, quelquefois en saints lieux:  
Certes, ce n’est jamais pour y gagner les cieux;  
Mais afin d’y trouver un peu des anciens âges,  

Sculptés dans les vieux murs en naïves images.  
Nulle part, en effet, mon goût ne se plaît mieux  
Qu’à l’intérieur, si calme et si bel à mes yeux,  
D’une église gothique, où les puissants ramages  

Du soleil se font doux dans les vitraux jaunis.  
Seul parmi les piliers, jambes des Infinis,  
J’aime y venir, après les chants et les absoutes,  

Sans aucun chapelet, mais sage et très-décent,  
Lorsqu’elle fleure encor les légers grains d’encens  
Eparpillés dans l’air emprisonné des voûtes.

Nuremberg, juillet 91.



Pèlerinages de dévotion

II.


Tout est un sentiment dans ce que j’entrevois:
Ève séduit Adam sous les pommiers bibliques;
Les saints offrent à Dieu leurs emblèmes mystiques,
Agenouillés parmi les reines et les rois.

La Vierge et Madeleine entrouvrent leurs longs doigts
Pour y laisser glisser des larmes héroïques.
Et Jésus, auquel vont maintenant les cantiques,
Meurt comme un simple gueux pour ses divines lois.

La foi des chevaliers reposant sous les dalles,
Souvenir de combats et de témérité,
Et la foi des martyrs, gloires plus idéales,

Y rayonnent dans l’art avec sincérité.
— Alors, fuyant ma vie et la Modernité,
Je vais m’asseoir dans l’ombre au fond des cathédrales!

Woergl (Tyrol) 19 Sept. 91.





Menu

Ne cherchez pas ici la Sainte Croûte-au-pot,
Ni le Turbot bouilli saucé de Hollandaise,
Les Petits Tournedos, les Pois à la française;
Point de Perdreau truffé, d’Entremets d’abricots.

Mon menu favori: hors d’œuvre, entrée et rôt,
Se sert en un seul plat. Superflue est la braise…
— Ta chair contient piment, sucre et parfum de fraise,
Ma Dame; et mon menu, je l’écris sur ton dos.

Je veux dorénavant n’en concevoir point d’autre
Et prouver qu’il n’est pas goût plus fin que le nôtre.
Au diable les cocktails et les œufs d’esturgeons!

Tu mets en appétit avec ton air étrange,
Zest amer qui te fait bonne comme une orange…
— Euh! J’ai faim, maintenant. Vite, à table, et mangeons!

Londres.



A l’âme qui m’a parlé

«— There are more things in Heaven and earth, Horatio,
Than are dreamt of in yan philosophy……
— Rest, rest, perturbated spirit….
— Well said, old mole!.....
— …… What may this means?
That thou, dead corse, again; in complete steel,
Revisit ’st thus the glimpses of the moon,
Making night hideous, and we foolsof nature,
So horridly to shake our disposition,
With thoughts beyond the reaches of our souls?»
HAMLET.  
        De profundis!!

      Esprit inquiet qui souffres,
      Pauvre âme qui m’as parlé,
Quel remords? quel chagrin t’a fait, du fond des gouffres,
Exhaler jusqu’à moi ces longs soupirs voilés?

      Toi, douce larve innocente,
      Toi, ressentir des remords?
Non, bien sûr, j’ai commis l’erreur qui te tourmente;
Tu pleures, tu gémis sur quelqu’un de mes torts.

      Malgré moi je suis coupable
      D’avoir agi sur ton sort.
Car ce n’est point assez, dans la vie implacable,
Que nous souffrions seuls sans torturer les morts.

      En vain l’on croit disparaître
      Abîmé dans le néant.
Mourir ne se peut pas; car mourir c’est renaître,
Et l’on retrouve un bagne au fond du trou béant!

………..............................….

      Pardon! pauvre âme blessée,
      Du chagrin que je t’ai fait.
Mais si ce n’est pas moi qui trouble ta pensée,
Si pour consolateur tu me veux désormais,

      Ma bonne taupe, travaille,
      Creuse le sol sous mon pied.
Un souffle suffira pour que mon cœur tressaille,
Et que ta triste plainte éveille ma pitié!

          Étampes, 1891.
   
Source: textes originaux saisis par Bernard Gineste en 2004.
   
 
NOTES ET VARIANTES


1) Pèlerinages de dévotion I.

     Une première version de ces vers (1) se lit sur un double feuillet à entête imprimé au nom de Pierre Caume. La Revue d’Art Dramatique, 6 passage de Saint Avoye, Paris, avec un coq rouge surmontant la devise de l’intéressé dans une banière: Gallus semper, ce qui signifie en latin «Français toujours» (on sait qu’en latin Gaulois se dit Gallus, et coq, galus) et une place réservée pour la date de la lettre: London, ………….18….
     Ce feuillet contient les deux sonnets.
     Nous n’avons pas retrouvé pour l’instant aux Archives Municipales l’autre version (2) du premier sonnet, dont Valérie Delattre a heureusement édité un fac-similé en 1991.
   
(1)
(2)
Pèlerinages de dévotion

                 I.

Comme tous les dévots, j’ai mes pèlerinages,
Souvent en lieux impurs, quelquefois en saints lieux.
Certes, ce n’est jamais pour y gagner les cieux,
Mais j’aime y retrouver un peu des anciens âges

Sculptés dans les vieux murs en naïves images.
Nulle part en effet mon goût ne se plaît mieux
Qu’à l’intérieur, si calme et si bel à mes yeux,
D’une église gothique où les puissants ramages

Du soleil se font doux dans les vitraux jaunis.
Seul, parmi les piliers, jambes des Infinis,
J’aime y venir, après les chants et les absoutes,

Sans aucun chapelet, mais sage et très décent,
Quand des murmures d’orgues et des soupçons d’encens,
Tous éteints et mêlés, voltigent sous les voûtes.

                                             Kassa (Hongrie) 1891.
Pèlerinages de dévotion

                 I..

Comme tous les dévots, j’ai mes pélerinages,   
Souvent en lieux impurs, quelquefois en saints lieux :  
Certes, ce n’est jamais pour y gagner les cieux ;  
Mais afin d’y trouver un peu des anciens âges,  

Sculptés dans les vieux murs en naïves images.  
Nulle part, en effet, mon goût ne se plaît mieux  
Qu’à l’intérieur, si calme et si bel à mes yeux,  
D’une église gothique, où les puissants ramages  

Du soleil se font doux dans les vitraux jaunis.  
Seul parmi les piliers, jambes des Infinis,  
J’aime y venir, après les chants et les absoutes,  

Sans aucun chapelet, mais sage et très-décent,  
Lorsqu’elle fleure encor les légers grains d’encens  
Eparpillés dans l’air emprisonné des voûtes.

Nuremberg, juillet 91 

2) Pèlerinages de dévotion (I et II)

     La première version de ces vers (1) est conservée à la suite du premier sonnet sur le même sur un double feuillet à entête cité plus haut.
     Une autre version (2) du deuxième sonnet (que nous suivant parce qu’elle nous paraît plus aboutie) est conservée au dos d’un menu cartonné du Criterion (restaurant londonien, à Picadilly) pour le «Le dîner spécial. Samedi, le 21 janvier, 1890.»
    
(1)
(2)
Pèlerinages de dévotion

II

Tout est un sentiment dans ce que j’entrevois:
Ève séduit Adam sous les pommiers bibliques;
Les saints offrent à Dieu leurs emblèmes mystiques,
Agenouillés parmi les Reines et les Rois.

Marie et Madeleine entrouvrent leurs longs doigts
Pour y laisser glisser des larmes héroïques.
Et Jésus, auquel vont maintenant les cantiques,
Meurt comme un pauvre gueux pour ses divines lois.

La foi des chevaliers reposant sous les dalles,
Souvenir de combats et de témérité,
Et la foi des martyrs, gloire plus idéale,

Y rayonnent dans l’art avec sincérité.
— Alors, fuyant ma vie et la modernité,
Je vais m’asseoir dans l’ombre au fond des cathédrales!

Nuremberg
Pèlerinages de dévotion

II

Tout est un sentiment dans ce que j’entrevois:
Ève séduit Adam sous les pommiers bibliques;
Les saints offrent à Dieu leurs emblèmes mystiques,
Agenouillés parmi les reines et les rois.

La Vierge et Madeleine entrouvrent leurs longs doigts
Pour y laisser glisser des larmes héroïques.
Et Jésus, auquel vont maintenant les cantiques,
Meurt comme un simple gueux pour ses divines lois.

La foi des chevaliers reposant sous les dalles,
Souvenir de combats et de témérité,
Et la foi des martyrs, gloires plus idéales,

Y rayonnent dans l’art avec sincérité.
— Alors, fuyant ma vie et la Modernité,
Je vais m’asseoir dans l’ombre au fond des cathédrales!

Woergl (Tyrol) 19 Sept. 91

3) Menu

     On a trois versions manuscrites de ce poème aux Archives Municipales. La première version (1) est rédigée sur un menu pré-imprimé représentant à gauche une bonne ménagère en prière, un missel à ses pieds, un démon tout vêtu de rouge arrivant derrière elle, avec en haut, en grands caractère cursif: Menu. La deuxième version (2) est rédigée sur un double feuillet à entête imprimé au nom de Pierre Caume. La Revue d’Art Dramatique, 6 passage de Saint Avoye, Paris, avec un coq rouge surmontant la devise de l’intéressé dans une banière: Gallus semper, ce qui signifie en latin «Français toujours» et une place réservée pour la date de la lettre: London, ………….18…. La troisième (3) version est rédigée au verso du même feuillet (une mention au dos y renvoie sur le recto).

 
(1)
(2)
(3)
Menu
Sonnet gastronomique



Un Menu qui n’ait point la Sainte Croûte-au-pot,
Ni le turbot bouilli saucé de Hollandaise;
Ce Ni Tournedos sautés, ce ni pois à la Française,
Ni ce Et sans perdreau truffé, fût-il le meilleur rôt.

Ni même un Menu sans entremet à sauce d’abricot;
Un menu dans lequel toute chose me plaise
Avec son seul parfum, ce parfum de plus exquis que la fraise,
C’est celui Le menu de ton corps, ravissante Margot.

Je veux dorénavant n’en concevoir point d’autre
Et prouver qu’il n’est pas goût plus fin que le nôtre.
Tu mets en appétit, dès qu’à toi nous songeons,

Avec ce quelque chose, attirant mais étrange,
Zest amer qui te fait belle bonne comme une orange…
— Euh! J’ai faim, maintenant. Vite, à table, et mangeons!

L. E. L.
Maître d’hôtel.
Menu
Pour servir en cabinet particulier
Au Grand Hôtel de Cythère
Sonnet gastronomique et apéritif

Un Menu qui n’ait point le Sainte Croûte-au-pot,
Ni le turbot bouilli saucé de Hollandaise;
Sans petits tournedos, sans pois à la Française,
Et sans perdreau truffé, fût-ce le meilleur rôt.

Menu sans entremet à sauce d’abricot:
Un menu dans lequel toute chose me plaise
Avec son seul parfum, plus exquis que la fraise,
C’est celui de ton corps, ravissante Margot.

Je veux dorénavant n’en concevoir point d’autre
Et prouver qu’il n’est pas goût plus fin que le nôtre.
Tu mets en appétit dès qu’à toi nous songeons,

Avec ce quelque chose, attirant, mais étrange,
Zest amer qui te fait bonne comme une orange…
— Euh! J’ai faim, maintenant. Vite, à table, et mangeons!

Londres.






Ne cherchez pas ici le Sainte Croûte-au-pot,
Ni le Turbot bouilli saucé de Hollandaise,
Les Petits Tournedos, les Pois à la française;
Point de Perdreau truffé, d’Entremets d’abricots.

Mon menu favori: hors d’œuvre, entrée et rôt,
Se sert en un seul plat. Superflue est la braise…
La Ta chair contient piment, sucre et parfum de fraise,
Ma Dame; et mon menu, je l’écris sur ton dos.

Je veux dorénavant n’en concevoir point d’autre
Et prouver qu’il n’est pas goût plus fin que le nôtre.
Au diable la voka les cocktails et les œufs d’esturgeons!

Tu mets en appétit avec ton air étrange,
Zest amer qui te fait bonne comme une orange…
— Euh! J’ai faim, maintenant. Vite, à table, et mangeons!

Londres


4) A l’âme qui m’a parlé

     Ce poème est conservée en deux version, l’une imprimée (1) sur un feuillet sans indication d’éditeur, l’autre manuscrite (2).


(1)
(2)
A l’âme qui m’a parlé

«— There are more things in Heaven and earth, Horatio,
Than are dreamt of in yan philosophy……
— Rest, rest, perturbated spirit….
— Well said, old mole!.....
— …… What may this means?
That thou, dead corse, again; in complete steel,
Revisit ‘st thus the glimpses of the moon,
Making night hideous, and we foolsof nature,
So horridly to shake our disposition,
With thoughts beyond the reaches of our souls?»

HAMLET.  
De profundis!!

      Esprit inquiet qui souffres,
      Pauvre âme qui m’as parlé,
Quel remords? quel chagrin t’a fait, du fond des gouffres,
Exhaler jusqu’à moi ces longs soupirs voilés?

      Toi, douce larve innocente,
      Toi, ressentir des remords?
Non, bien sûr, j’ai commis l’erreur qui te tourmente;
Tu pleures, tu gémis sur quelqu’un de mes torts.

      Malgré moi je suis coupable
      D’avoir agi sur ton sort.
Car ce n’est point assez, dans la vie implacable,
Que nous souffrions seuls sans torturer les morts.

      En vain l’on croit disparaître
     Abîmé dans le néant.
Mourir ne se peut pas; car mourir c’est renaître,
Et l’on retrouve un bagne au fond du trou béant!

          …………......................

      Pardon! pauvre âme blessée,
      Du chagrin que je t’ai fait.
Mais si ce n’est pas moi qui trouble ta pensée,
Si pour consolateur tu me veux désormais,

      Ma bonne taupe, travaille,
      Creuse le sol sous mon pied.
Un souffle suffira pour que mon cœur tressaille,
Et que ta triste plainte éveille ma pitié!

          Étampes, 1891.
A l’âme qui m’a parlé

There are more things in Heaven and earth, Horatio,
     Than are dreamt of in your philosophy……
     ….Rest, rest, perturbated spirit.
     ….Well said, old mole!

Hamlet
.… What may this means
That thou, dead corse, again, in complete steel
Revisit ‘st thus the glimpses of the moon,
Making night hideous, and we fools of nature,
So horridly to shake our disposition,
With thoughts beyond the reaches of our souls?

Hamlet




      Esprit inquiet qui souffres,
      Pauvre âme qui m’as parlé,
Quel remords? quel chagrin t’a fait, du fond des gouffres,
Exhaler jusqu’à moi ces longs soupirs voilés?

      Toi, douce larve innocente,
      Toi, ressentir des remords?
Non, bien sûr, j’ai commis l’erreur qui te tourmente;
Tu pleures, tu gémis sur quelqu’un de mes torts.

      Malgré moi je suis coupable
      D’avoir agi sur ton sort.
Car ce n’est point assez, dans la vie implacable,
Que nous souffrions seuls sans torturer les morts.

      En vain l’on croit disparaître
      Abîmé dans le néant.
Mourir est impossible; on pourrit pour renaître,
Et c’est un autre bagne au fond du trou béant!

          ………….........................

      Pardon! pauvre âme blessée,
      Du chagrin que je t’ai fait.
Mais si ce n’est pas moi qui trouble ta pensée,
Si pour consolateur tu me veux désormais,

      Ma bonne taupe, travaille,
      Creuse le sol sous mon pied.
Un souffle suffira pour que mon cœur tressaille,
Et que ta triste plainte éveille ma pitié!
 
 
       
ANNEXE: UN POÈME DE CHARLES BAUDELAIRE


CHARLES BAUDELAIRE

MÆSTA ET ERRABUNDA
 
Dis-moi, ton cœur parfois s’envole-t-il, Agathe,
Loin du noir océan de l’immonde cité,
Vers un autre océan où la splendeur éclate,
Bleu, clair, profond, ainsi que la virginité?
Dis-moi, ton cœur parfois s’envole-t-il, Agathe?

La mer, la vaste mer, console nos labeurs!
Quel démon a doté la mer, rauque chanteuse
Qu’accompagne l’immense orgue des vents grondeurs,
De cette fonction sublime de berceuse?
La mer, la vaste mer, console nos labeurs?

Emporte-moi, wagon, enlève-moi, frégate!
Loin! loin! ici la boue est faite de nos pleurs!
— Est-il vrai que parfois le triste cœur d’Agathe
Dise: Loin des remords, des crimes, des douleurs,
Emporte-moi, wagon, enlève-moi, frégate!

Comme vous êtes loin, paradis parfumé,
Où sous un clair azur tout n’est qu’amour et joie,
Où tout ce que l’on aime est digne d’être aimé,
Où dans la volupté pure le cœur se noie!
Comme vous êtes loin, paradis parfumé!

Mais le vert paradis des amours enfantines,
Les courses, les chansons, les baisers, les bouquets,
Les violons vibrant derrière les collines,
Avec les brocs de vin, le soir, dans les bosquets,
— Mais le vert paradis des amours enfantines,

L’innocent paradis, plein de plaisirs furtifs,
Est-il déjà plus loin que l’Inde et que la Chine?
Peut-on le rappeler avec des cris plaintifs,
Et l’animer encor d’une voix argentine,
L’innocent paradis plein de plaisirs furtifs?

       
Source: textes originaux, saisis par Bernard Gineste en 2004.
 
 
 
    
BIBLIOGRAPHIE
 
Édition
     
     Originaux: conservés aux Archives Municipales d’Étampes.

      Un fac-similé du texte autographe de la deuxième version de Pèlerinages de dévotion I. a été publié par Valérie DELATTRE, 1991, p. 259. 
  
     Bernard GINESTE [éd.], «Louis-Eugène Lefèvre: Mæsta et errabunda (poèmes, 1891)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cle-19-louiseugenelefevre-maesta.html
, 2004.

Études
  
     F. GIRONDEAU,
«Notice biographique sur Louis-Eugène Lefèvre», in Bulletin des Amis du Musée d’Etampes 7 (1929), pp. ?-? [dont une rédition numérique en, mode texte par François Jousset sur son site Stampae, http://www.stampae.org/mylibrary/notices/lefevre.html, 2004].

     René de SAINT-PÉRIER, loc. inc. [cité par V. DELATTRE, p. 257].
  
     Valérie DELATTRE, «Louis-Eugène Lefèvre: l’archéologue en haut-de-forme», in ASSOCIATION ÉTAMPES-HISTOIRE, Le pays d’Étampes au XIXe siècle, Le Mée-sur-Seine, Amattéis, 1991 [288 p.], pp. 257-275.

     François JOUSSET,
«Libris. Base de données bibliographies étampoises» [tapez: "Lefèvre"], in ID., Stampae, http://www.stampae.org/mylibrary/index.php?rub=chercher, 2004.
     
     François JOUSSET [éd.], «F. Girondeau: Notice biographique sur Louis-Eugène Lefèvre (1929)», in ID., Stampaehttp://www.stampae.org/mylibrary/notices/lefevre.html, 2004.

 
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