CORPUS HISTORIQUE ÉTAMPOIS
 
 
Victor Petit
Le Donjon d’Étampes
Bulletin Monumental, 1846
 
   
Vue extérireure du Donjon
Vue intérireure du Donjon
Vue extérieure du Donjon
Vue intérieure du Donjon
   
     Voici une étude pionnière des restes du château d’Étampes publiée dès 1846 par Victor Petit avec d’intéressants croquis de son cru pour le Bulletin Monumental.
B.G.
 
 
BULLETIN MONUMENTAL
2e série, tome 2, volume 12 (1846), pp. 488-501
Le Donjon d’Étampes


LE DONJON D’ETAMPES.

Par M. Victor PETIT,

Membre de la Société française et de plusieurs autres Sociétés savantes.



     L’itinéraire d’Antonin de même que la table géographique de Conrad Peutinger, indiquent une voie allant de Genabum, Orléans, à Lutecia, Paris. Cette voie, reconnue et étudiée par nos géographes modernes, sortait d’Orléans par la muraille d’enceinte du nord, et se dirigeait, en ligne légèrement brisée, vers Salioclita, position mentionnée dans l’itinéraire d’Antonin, et généralement signalée comme ayant dû occuper l’emplacement du village de Saclas. De ce point, la voie s’avançait vers Paris, mais bientôt son tracé, jusqu’ici reconnaissable à sa rectitude, se perd dans la route royale d’Orléans à Paris. Cette voie antique, qui a été décrite par plusieurs auteurs, entre autres par M. Jollois, dans son ouvrage sur “Les Antiquités du Loiret,” se trouve parfaitement indiquée dans la belle carte du dépôt de la guerre, feuilles 65 et 84, et aussi dans presque toutes les bonnes cartes.

     Or, à neuf mille pas environ, au nord de Salioclita, on construisit sur la voie romaine, à une époque qui est restée incertaine, une petite cité nommée Stampæ et dont il est fait mention dès l’année 604, à l’occasion de la bataille livrée dans ses environs, entre le roi Thierry et Clotaire, son oncle. [p.489] En 911, elle fut ravagée par les Normands; mais suivant une tradition relatée dans les chroniques locales, elle fut réparée par le roi Robert qui la dota de plusieurs fondations pieuses. Suivant la même tradition, le pieux roi Robert obéissant à la demande de sa seconde femme, Constance, fit bâtir un château-fort qui dominait la ville. Ce château, dont les fondations auraient été commencées vers l’an 1020, fut entouré de grandes murailles, et bientôt une partie de cette nouvelle enceinte prit le nom d’Etampes-les-Nouvelles, pour la distinguer de la première ville, nommée par cela même, Etampes-les-Vieilles. Aujourd’hui cette petite ville, propre et assez bien bâtie sur les bords de la Juine , est devenue un des chefs-lieux d’arrondissement du département de Seine-et-Oise, et la principale station du chemin de fer de Paris à Orléans.

     Un religieux Barnabite, Dom Fleureau, dit, dans son histoire des Antiquités de la ville et duché d’Etampes, imprimée en 1683, qu’on n’a pas de preuves suffisantes pour justifier que le roi Robert a été le fondateur d’Etampes-les-Nouvelles; mais Dom Morin, le naïf historien du Gâtinais, ne doute pas que ce ne soit ce Roi qui ait fait bâtir le château “fort de structure” et fondé l’église de Notre-Dame, remarquable monument, dont le Bulletin monumental donnera bientôt quelques dessins. Si de nouvelles recherches ne viennent pas prouver que le roi Robert est le fondateur du château, on doit présumer que Philippe-Auguste qui pourvut à la défense des villes de ses états, en les entourant de hautes murailles, a été le véritable fondateur de la forteresse dont on admire encore les ruines, et surtout l’énorme tour qui domine non-seulement la ville, mais aussi une grande étendue de la vallée. D’ailleurs le nom de Philippe-Auguste se rattache assez étroitement l’histoire du donjon d’Etampes; c’est là qu’il fit enfermer dès l’an 1199, sa femme Isburge, pauvre reine que les épaisses murailles de la forteresse retinrent [p.490] prisonnière jusqu’au mois d’avril 1201. Dom Fleureau qui s’est plu à raconter longuement les infortunes d’Isburge, ne dit que quelques mots de la forteresse, qu’il a pu voir pourtant presque entière et qu’il lui était si facile de décrire. Les nombreuses pages de son gros livre sont remplies par le récit des dissentions [sic] politiques ou religieuses, qui agitèrent la ville d’Etampes. Quelques phrases descriptives, écourtées et laconiques, indiquent seulement l’existence du vieux château. Après avoir parlé des fossés bordés de murailles qui entourent le donjon, Dom Fleureau ajoute que “La grosse tour servant de donjon est faite en forme de rose à quatre-feuilles de 40 toises de tour et 20 de hauteur; les murs ont 12 pieds d’épaisseur dans lesquels était un escalier en forme de pied-droit pour monter aux étages d’en haut de cette tour, au-dessus de laquelle s’élevait une tourelle qui servait d’échauguette ou guérite pour découvrir les avenues et les environs du château.” Il termine, après avoir indiqué brièvement la longueur des bâtiments situés en avant du donjon, en disant: “Tous ces édifices étaient couverts d’ardoises et de plomb, garnis de roses, de fleurons et d’autres embellissements, dont il ne reste aujourd’hui qu’une partie de la tour, où les vassaux du duché d’Etampes vont rendre leurs hommages (1683).”

     Le graveur Chastillon, dans ses vues des monuments de France, a donné une vue de la tour d’Etampes, prise à vol d’oiseau. J’ai adopté avec empressement, pour mon dessin cette disposition qui permet de reconnaître parfaitement la forme curieuse de la tour de Guinette; c’est ainsi qu’on la nomme dans le pays. J’ignore tout-à-fait l’origine de ce mot. La gravure de Chastillon, tout inexacte qu’elle soit, peut donner d’utiles renseignements sur la forme et le développement des fossés, bordés de murailles, qui isolent complètement le donjon du reste du château, lui-même entouré [p.491] de fossés d’une grande profondeur. Malheureusement cette petite gravure reproduit d’une manière trop peu exacte, les constructions qui existent encore, pour qu’on puisse compter sur l’exactitude des parties qui ont été démolies. Voici ce qu’étaient, approximativement, les dispositions défensives du château d’Etampes.

Vue extérireure du Donjon
Vue extérieure du Donjon

     La ville d’Etampes a la forme d’un long triangle isocèle dont la base, ou petit côté, est tournée vers le nord. Un des grands côtés, celui du sud-est, s’étend dans la plaine que baigne une jolie rivière, la Juine; le troisième côté longe le versant d’une colline assez haute et qui domine toute la ville; c’est sur le penchant de cette colline et vers l’angle nord de l’enceinte, que s’élève l’enceinte spéciale du château toutes deux reliées entre elles par de larges fossés qui existent encore en partie. Deux portes fortifiées s’ouvraient dans les murs d’enceinte du château; l’une sur la ville, l’autre sur la campagne près de la vieille route de Dourdan. De vastes bâtiments dont il ne reste plus que de larges fondations, cachées sous les massifs de verdure d’un petit bois, s’élevaient en avant du donjon, et ne communiquaient avec lui qu’à l’aide d’un pont-levis placé sur la muraille quadrangulaire qui formait autour de ce donjon une nouvelle enceinte défendue par un fossé profond, ainsi que le dit Dom Fleureau. Une petite partie de ce gros mur se retrouve encore vers le côté ouest de la tour. Un peu à droite de ces bâtiments, on remarquait une petite chapelle dédiée à St.-Laurent; enfin on aperçoit encore çà et là les restes de quelques voûtes souterraines et l’orifice d’une citerne. Les détails que je pourrais ajouter, n’auraient que peu d’intérêt pour les lecteurs du Bulletin monumental; tous connaissent parfaitement les dispositions habituelles des forteresses du moyen-âge, et je n’ai, ici, rien de nouveau à signaler. Pendant de longues années les entrepreneurs de maçonneries ont fait du château [p.492] une immense carrière et sans 1’intervention heureuse [p.493] du possesseur actuel, le donjon lui-même n’existerait plus. Grâce au goût éclairé de M. de Grandmaison, nous pouvons encore étudier un reste imposant de notre ancienne architecture militaire.

     Le dessin joint à cette notice montre la partie la plus intéressante de la tour de Guinette; c’est le côté qui fait face à la ville.

     L’ouverture placée en bas à gauche, au niveau du premier étage, est la porte d’entrée. On y arrivait par un pont-levis qui s’abaissait sur le mur d’enceinte dont j’ai déjà parlé. Au-dessus de cette porte, on remarque une seconde ouverture complètement défigurée par suite de l’arrachement des larges pierres qui l’entouraient; elle éclairait une petite salle voûtée servant de corps-de-garde.
[p.494]
Vue extérireure du Donjon
Vue extérieure du Donjon


     
Une salle toute semblable aboutit au pont-levis; toutes les deux sont percées dans l’intérieur des murs qui ont plus de quatre mètres d’épaisseur. Le plan indique la disposition de cette partie du premier étage. On remarque à gauche un escalier descendant au rez-de-chaussée, qui semble n’avoir été éclairé que par des ouvertures très-étroites. De fortes poutres, s’appuyant sur un pilier central, soutenaient le plancher de la grande salle du 1er étage. Celle-ci, éclairée par quatre longues fenêtres à larges embrâsures [sic] intérieures, était voûtée en pierre; la retombée des nervures, formées de grosses moulures rondes, posait sur un simple tailloir et sur un pilier central. Le dessin de l’intérieur de la tour et aussi le plan feront comprendre mieux [p.495] qu’une description la disposition de ces voûtes dont l’ensemble devait être imposant et monumental.

     L’escalier conduisant au deuxième étage s’arrêtait environ à la moitié de son développement, à l’endroit où, dans notre dessin, on remarque une longue brèche. De là, l’escalier montait en spirale; ou bien, ce qui semble probable, il était interrompu et on ne parvenait au deuxième étage qu’à l’aide d’un escalier mobile, disposition dont les forteresses du moyen-âge offrent, dit-on, quelques exemples.
Premier étage
A. Porte. B. Corps-de-garde. C. Fosse d’aisance.


     Ce deuxième étage, qui était assurément la partie la plus remarquable de l’édifice, formait sans nul doute le logement du seigneur-châtelain. Quatre colonnes ornées de beaux chapiteaux, soutenaient de forts arcs doubleaux destinés à supporter soit une voûte en pierre soit un plancher. Il ne reste aucune trace de voûte, tandis que de larges trous placés de manière à recevoir l’extrémité des poutres sont très-reconnaissables; ainsi s’expliquerait l’emploi de nombreux corbeaux, qui sans doute servaient de supports aux étais de ces mêmes poutres. Toutefois j’avoue que cette belle salle m’a semblé fort difficile à réédifier par la pensée. Des planchers à demi-hauteur pour les quatre tours, sans moyens apparents d’y arriver, et la non uniformité de l’élévation des petits arcs doubleaux des côtés présentent quelques difficultés à expliquer.


     La vue intérieure de la tour et aussi la vue extérieure enfin le plan, indiquent, aussi exactement qu’il m’a été possible, la disposition de cette belle salle, qui était éclairée par de longues fenêtres également à larges embrâsures intérieures. Deux énormes cheminées dont il ne reste que le foyer et le tuyau n’offrent plus d’intérêt.

Deuxième étage
A. Porte. B. Corps-de-garde. C. Escalier intérieur.
D. Puits. E. Fosse d’aisance.

      Le troisième étage, auquel on arrive par un escalier en spirale encore bien conservé, est celui qui a le plus souffert.

     Les murs ont été détruits presque jusqu’à leur base; il est donc impossible d’indiquer la hauteur de cet étage qui, selon [p.496] toutes les probabilités, devait être celui qui supportait les toitures. D’après la gravure de Chastillon de nombreux créneaux, assez étroits, éclairaient l’intérieur et ne paraissent pas devoir border une petite plate-forme. Malheureusement il ne reste aucun renseignement sur la forme et la hauteur de ces toitures qui, peut-être, étaient aigués et coniques au-dessus de chacune des demi-tourelles qui forment la masse du donjon; un grand toit central supportait la portion qui ne posait pas sur la muraille.

     On peut assez approximativement se figurer l’aspect imposant et si pittoresque que devait présenter la vaste tour de Guinette surmontée de ses toits aigus, d’ardoises et de plomb, qui, ainsi que le dit Dom Fleureau, avait cent vingt pieds de hauteur. Mais aujourd’hui qu’elle a perdu [p.497] ses toits et une partie de son couronnement, elle n’a plus que quatre-vingt-cinq pieds environ d’élévation.

Troisième étage
A. Petite salle. B. Escalier de la tourelle. C. Fosse d’aisance.
     L’escalier en spirale, dont j’ai déjà parlé plusieurs fois, arrivé au sommet de la tour, continuait à monter dans l’intérieur d’une petite tourelle très-haute, et qui se terminait par une sorte de guérite de laquelle on pouvait parfaitement voir tous les environs, et jusqu’à la porte même du donjon car elle se trouvait précisément placée au-dessus de cette porte. Aujourd’hui, il ne reste plus que la base de cette tourelle.

     Enfin il me reste à mentionner deux détails d’aménagement fort utiles dans un donjon où les assiégés pouvaient rester bloqués fort long-temps. Je veux parler d’un puits étroit et très-profond, dont l’orifice s’ouvrait dans la grande salle du premier étage , et aussi d’un immense conduit de fosse d’aisance, allant du sommet à la base de la tour, dans l’intérieur de la muraille. Les vastes proportions de ce conduit et surtout sa position dans l’épaisseur des murs, firent penser que ce ne pouvait être que d’affreuses oubliettes. Le moindre examen à chaque étage fait justice de cette supposition d’emploi.

     Après la description sommaire qui précède, il est nécessaire d’indiquer le mode de construction motivé par la nature des matériaux qu’on avait à employer. La base de la tour est formée de quelques assises de pierres de taille de moyenne grosseur; c’est une sotte de calcaire d’un grain fort dur et dont la nuance est gris-jaunâtre. Tout le reste de l’édifice est bâti en petites pierres simplement cassées au marteau et formant un blocage d’une grande solidité, qui était recouvert à l’intrados comme à l’extrados, d’un crépi de mortier de chaux et sable. L’appareil est, comme on le pense, peu monumental, mais tous les grands angles des murs, tous les parements et les cintres des ouvertures, sont bordés de pierres de taille soigneusement dressées et jointées par une couche très-mince de mortier. Les claveaux des grands arcs doubleaux sont minces, d’une épaisseur uniforme, et parfaitement posés. [p.498]

     La brique n’a été employée que pour le foyer des cheminées; elle est disposée en arête de poisson. Enfin on ne remarque [p.499] sur les quelques plaques de plâtre restées aux murailles aucune trace de peinture.

Vue intérieure du Donjon
Vue intérieure du Donjon
    Je vais essayer maintenant de préciser l’époque de construction, et cet essai me semble assez facile à l’aide des détails sculptés et de la forme généralement en plein cintre des voûtes. Je dis généralement, parce que plusieurs cintres ont leur courbe surbaissée afin d’avoir moins d’élévation sous clef; plusieurs fenêtres sont même couvertes d’un linteau droit, d’une seule pièce; mais nulle part, on ne reconnaît une voûte ogivale. On est donc amené à faire remonter jusqu’au XIIe siècle l’époque de construction du donjon d’Etampes. Les détails d’ornementation, si utiles pour faciliter l’appréciation de l’âge des monuments, ne nous manquent pas ici; voici le dessin de l’un des quatre grands chapiteaux et d’une base de colonne de la salle du 2e étage. [p.500]

     Les tailloirs épais et saillants, ornés de feuilles ou de dentelures; les larges feuilles plates de la corbeille, enfin le profil des bases, indiquent la fin du XIIe siècle, et pour ainsi dire la première période du règne de Philippe-Auguste, de 1180 à 1200. Cependant, c’est dans le pays une tradition généralement accréditée, que le roi Robert a bâti le chastel d’Etampes, dénomination qu’on trouve, dit-on, dans un titre datant de ce roi. Quoi qu’il en soit, rien clans la construction encore debout ne semble remonter à une époque aussi reculée. Le pieux roi mourut vers l’an 1030, et on ne peut lui attribuer que les fondations d’un vaste château, que Philippe-Auguste jugea utile d’achever, et on sait l’usage qu’il en fit à l’égard de sa jeu ne femme Isburge, ou Isemburge. Si de nouvelles recherches ne viennent pas confirmer que le roi Robert ait bâti le château, on peut reporter l’époque de la construction à la période du règne de Philippe-Auguste, c’est-à-dire de 1180 à 1223. Je ne parle que pour mémoire de l’origine romaine qu’on donne quelquefois à la tour de Guinette; cette origine ne me semble pas soutenable, malgré la proximité de la voie antique. Rien dans notre vieux et remarquable donjon n’appartient à l’ère gallo-romaine; rien, excepté pour les gens qui ne voient dans un plein cintre romain, roman ou renaissance, aucune différence.

     Les ruines du donjon d’Etampes ne sont pas seulement l’ouvrage du temps, et dom Fleureau nous a laissé à ce sujet quelques détails curieux: “Sa Majesté Henry IV, dit-il, prit le chemin d’Orléans et vint loger à Montlhéry, et le lendemain, quatrième novembre, il fit camper son armée sous les murailles d’Etampes. Alexandre de Castelnau, comte de Clermont, de Lodêve, était dedans pour la Ligue, avec cinquante gentilshommes et quelques autres gens de guerre; il ne voulut pas s’exposer au siége dans une ville de si grande garde, laquelle tous les habitants avaient abandonné pour [p.501] ne pas tenir contre le roi, et la rendit le même jour à la première sommation, à Sa Majesté.
     L’expérience du passé avait fait connaître à ceux d’Etampes que le château de leur ville était la cause de sa perte et de leur ruine; ils demandèrent au roi la permission de le démolir, qu’il leur accorda, et ils l’exécutèrent aussitôt eux-mêmes.
     D’ailleurs, Sa Majesté considérant que cette misérable ville avait été prise trois fois en quatre mois, jugeant qu’il était difficile de la conserver, fit ruiner ce qu’il y avait de fortifications
.” (Années 1589 et 1590.)

     Toutefois, il faut croire que la vieille tour ne fut pas complètement privée de moyens de défense, puisque le vicomte de Turenne l’assiégea en vain à coup de canon en mai et juin 1652. — Mais si elle résista aux attaques des hommes de guerre, elle allait s’écrouler, cent quatre-vingts ans plus tard, aux coups de marteau des vendeurs de pierre.

     Je terminerai ma notice ici, en félicitant le bienveillant possesseur de la belle tour d’Etampes, d’avoir su, il y a vingt ans, préserver d’une ruine complète, le curieux monument dont nous avons donné quelques dessins.


Un des quatre grands chapiteaux et une base de colonne de la salle du 2e étage
Un des quatre grands chapiteaux et  une
base de colonne de la salle du 2e étage.

Fin

   
Sources: Saisie en mode texte de l’édition en mode image de la BNF par B.G., juin 2006.
   
BIBLIOGRAPHIE PROVISOIRE
      
Éditions

     Victor PETIT (1818-1871), «Le Donjon d’Étampes», in Bulletin Monumental 2e série, tome 2, volume 12 (1846), pp. 488-501.

     BNF [éd.], «Société française d’archéologie. Bulletin monumental. 1846 (Sér. 2 / T. 2)» [édition numérique en mode image], in Gallica, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k310313, en ligne en 2006, pp. 488-501.

     Bernard GINESTE, «Victor Petit: Le Donjon d’Étampes (1846)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/che-19-victorpetit1846donjon.html, 2006.



Toute correction, critique ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
   
Explicit
   
Sommaire généralCatalogue généralNouveautésBeaux-ArtsCartes postalesBibliographieHistoireLittératureTextes latinsMoyen Age NumismatiqueProsopographieSciences et techniquesDom FleureauLéon MarquisLiensRemerciementsÉcrire au RédacteurMail to the Webmaster