| Le moulin Riquois, alias Pierre, alias Rabourdin Renseignements disponibles 
                                                                         
                      
       
 
 
                      
                        
                          | Date 
 | Renseignements 
 | Sources 
 |  
                 | 1705 
 | Un acte cite l’hostel
 de  Vendôme. 
 | FG-ELP 49 (sans référencequi 
  place cet hôtel au n°13, ce qui me semble une coquille pour le 
 n°25, au droit de la rue de Vendôme et derrière lequel se
 trouve le n°5 de la rue de l’Abreuvoir des Cordeliers) 
 |  
                 | XVIIIe s. 
 | La famille Riquois est
attestée   à Étampes au moins depuis le XVIIe siècle. 
 | Différents sites 
internet   généalogiques. 
 |  
                          | 1738 
 | Un 
acte   cite l’hôtel du Duc-de-Vendôme. 
 | FG-ELP 
  49 alléguant le registre paroissial de Saint-Martin. |  
                          | 1876 
 | Le 
recensement de 1876 trouve au n°25 de la rue des Cordeliers: “Édouard Henri Riquois, marchand de grains, 34 ans — Léonie
 Louise Trouvé [sa femme], 24 ans — Henri Riquois,
4 ans — Edmond Édouard Riquois, 3 ans”. 
 | Recensement
 de 1876, réédition  numérique en mode image mise en
ligne par les Archives départementales  de l’Essonne (saisie Bernard
Gineste 2011). 
 |  
              | Peu avant  1881 | Selon Léon Marquis, 
qui écrit en 1881: “Au coin  des rues des Cordeliers et de l’Abreuvoir-des-Cordeliers,
 dans un terrain  dépendant de l’ancien hôtel de Vendôme,
 on vient d’établir  un moulin à vapeur important, appelé
 moulin Riquois.” 
 | Marquis  127; FG-ELP 109 
 |  
                | 1880 
 | Décès de Louis
  Eugène Riquois le 5 juin 1880: “L’an mil huit cent quatre-vingt
le   sept juin à l’heure de midi, par devant nous Léonard Breuil,
  adjoint spécialement délégué par le maire de
 la ville d’Etampes, officier de l’Etat Civil de la dite ville, arrondissement
  d’Etampes, département de Seine-et-Oise, sont comparus Jules
Riquois,   marchand de grains, agé de trente sept ans, fils du
décédé   ci après nommé et qualifié 
et Pierre Eugène   Toicy, employé à cette mairie, âge
de cinquante deux  ans, tous deux domiciliés en cette ville, lesquels
nous ont déclaré   que Louis Germain Riquois, marchand de
grains, agé de soixante  six ans, né à Etampes,
fils de feu Louis Germain Riquois et  de feu Julie Catherine Barillié,
son épouse, tous deux décédé   à Etampes,
époux de Françoise Elisabeth Bergerat, agée   de cinquante
huit ans, domicilié en cette ville rue Saint-Martin numéro 
dix sept, est décédé avant hier à trois heures 
 du soir en cette ville au domicile dudit. Et après nous être 
 assuré du décès, nous avons dressé le present 
 acte que les déclarants ont signé avec nous adjoint susnommé 
 après lecture faite. — [Signé :] E. Toicy. — Jules Riquois. 
 — Breuil.” 
 | Registre d’État Civil (saisie Bernard Gineste,
  2011) 
 |  
              | 1881 
 | Le recensement de 1881 trouve
 au n°25 de la rue des Cordeliers de nouveaux occupants, Riquois étant 
décédé: “Alexandre Gossard, receveur 
principal, 59 ans — Honorine Eugénie Ruel femme Gossard, sa femme, 40 ans — Antoinette Marie Gossard, leur fille,
 8 ans — Esther Joséphine Marin, femme de chambre, 16 ans”. 
 | Recensement de 1881, réédition
  numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
  de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                       | 1881 
 | Le moulin, alors
appelé   moulin Pierre, est de fait tenu par Pierre fils,
rue des Cordeliers.   Avec ses quatre paires de meules il produit quarante
sacs de farine par jour.  A la même date Pierre père
tient les moulins de Vauroux  et à Peaux, alias Chamois. 
 | Marquis 96 
 |  
               | 1881 
 | Le 19 mars, naissance du
fils  et futur successeur du meunier: “L’an mil huit cent quatre-vingt-un,
le dix-neuf  mars, trois heures de relevée, par devant nous Léonard 
Breuil  adjoint spécialement délégué par le maire 
de la ville d’Étampes, officier de l’état civil de la dite ville,
 arrondissement d’Étampes, département de la Seine-et-Oise, 
a comparu le sieur Paul Désiré Pierre, meunier, âgé 
 de vingt-quatre ans, demeurant en cette ville rue des Cordeliers numéro 
 vingt-cinq, lequel nous a présenté un enfant du sexe masculin 
 qu’il nous a dit être né ce jour à quatre heures du matin,
 en son domicile, de lui et de Émélie Alexandrine Dauvillier, 
 son épouse, âgée de vingt-trois ans, avec laquelle il 
 demeure, et auquel enfant il a donné les prénoms de Paul Désiré 
 Louis. Les dites déclaration et présentation faites en présence 
 des sieurs François Stanislas Pierre, âgé de soixante-quatre 
 ans, propriétaire, et Frédéric Désiré 
Dauvillier, aussi propriétaire, âgé de cinquante-trois 
ans, tous deux aïeuls de l’enfant et domiciliés à Étampes. 
 Et ont le déclarant et les témoins signé le présent 
 acte avec nous adjoint sus-nommé, après lecture faite. — [Signé:] 
 P. Pierre [paraphe] — F. D. Dauvillier. — S. Pierre — L. Breuil [paraphe].” 
 | Registre d’État Civil (saisie Bernard Gineste,
  2011) 
 |  
             | 1888 
 | Le 15 novembre, décès 
au moulin du père du meunier: “L'an mil huit 
cent quatre-vingt-huit, le quinze novembre à deux heures de relevée, 
par devant nous Louis Laurent Chenu, maire de la ville d'Etampes, officier 
de l'état civil de la dite ville, département de Seine-et-Oise, 
sont comparus Paul Désiré Pierre, meunier, âgé 
de trente-un ans, fils du décédé ci-après nommé 
et qualifié, et Jules Narcisse Charpentier, rentier âgé 
de soixante-treize ans, tous deux domiciliés en cette ville, lesquels 
nous ont déclaré que François Stanislas Pierre, ancien 
meunier âgé de soixante-onze ans, né en la commune 
de Saint-Hilaire (Seine-et-Oise), et demeurant à Etampes rue des Cordeliers 
numéro vingt-cinq, époux de Célestine Louise Antien, 
sans profession, âgée de soixante-neuf ans, demeurant rue et 
numéro susdits, fils de Jean Pierre Pierre et de Marie Reine Julie 
Sergent, son épouse, décédés tous deux à 
Chalo-Saint-Mard (Seine et Oise) est décédé ce jour à
une heure du matin en son domicilie. Et après nous être assuré
du décès nous avons dressé le présent acte que
les comparants ont signé avec nous, maire susnommé, après
lecture faite. — [Signé:]
Charpentier — P. Pierre — Chenu [paraphe].” 
 | Registre d’État Civil (saisie Bernard Gineste,
  2011) 
 |  
                 | 1898 
 | Un certain Riquois est
signalé   comme mécanicien au n°1 de la rue du Haut-Pavé. 
 | Annuaire de l’Abeille
 d’Étampes  pour 1898. 
 |  
             | 1901 
 | Le recensement de 1876 trouve
 au n°25 de la rue des Cordeliers : “Honoré 
Trubert, employé, 64 ans, chef [de famille] 
            — Camille Lefort, 
épouse, sans profession, 62 ans — Gabrielle Trubert, fille, couturière, 29 ans — Jeanne Giraud, 
petite-fille, couturière, 20 ans — Germaine Trubert, petit-fils [sic], sans profession, 10 ans”. 
 | Recensement de 1901, réédition
  numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
  de l’Essonne (saisie Bernard Gineste 2011). 
 |  
                 | 1903 
 | Le moulin apparaît
 partiellement  sur la carte postale Mulard n°63 (parfois numérotée
 par  erreur n°3) 
 | Scan de Jean-Michel Rousseau 
 |  
                 | 1906 
 | Le moulin apparaît
 partiellement  sur la carte postale ND (Neurdein) n°20 | Scan de Jean-Michel Rousseau 
 |  
                 | 1958 
 | “Rabourdin Pierre, 
 négociant,  25, rue des Cordeliers.” 
 | Annuaire Le Familial. 
 |  
                 | Vers 1960 
 | La famille Rabourdin tient
  toujours ce moulin. 
 | FG-ELP 107 
 |  
                       | Années 1970 
 | Transformation du 
moulin   en résidence. 
 | FG-ELP 107 
 |                 Chacun est appelé à
contribuer à cette enquête, les petits ruisseaux faisant les
grandes rivières.
 
 
 B.G., 21 décembre 2010. 
 
 Toute critique,    correction ou contribution 
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 | 
                                          
                                 | BIBLIOGRAPHIE PROVISOIRE Édition
      COLLECTIF, «Le
       moulin Riquois (compilation)»,    in Corpus
                       Étampois, http://www.corpusetampois.com/cee-moulinriquois.html, 
          depuis 2010. Autres sources
 Léon
 MARQUIS,           Les rues d’Étampes et
 ses monuments,           Étampes, Brière,
 1881, p. 96  et 127.
 
 Frédéric GATINEAU, Étampes     en lieux et places, Étampes, A travers    champs, 2003, p. 19, 107 et 109.
 
 Références d’archives
 Aucune pour l’instant.
 
 
 Site de la FFAM
 FFAM (Fédération 
       Française des Amis des moulins), Le monde des moulins [site officiel], http://www.moulinsdefrance.org/, en 
       ligne en 2011.
 
 Autres moulins d’Étampes
      COLLECTIF, «Les
       moulins d’Étampes (compilation)»,    in Corpus
                       Étampois, http://www.corpusetampois.com/cee-moulinsdetampes.html, 
          depuis 2010. 
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