ANNEXE BIBLIOGRAPHIQUE
PAR BERNARD GINESTE
Marie Alexandre
GUÉNIN [compositeur], Six trios dont les trois premiers ne doivent
s’exécuter qu’à trois et les autres avec tout l’orchestre...
Œuvre Ier. Gravé par Bouré... [musique imprimée;
daté d’après: Annonces, affiches et avis divers (31
mars 1768)], Paris, Guénin (l’auteur), 1768.
Marie Alexandre GUÉNIN [compositeur],
Deux concertos a violon principal, premier et second dessus,
alto et basse... Œuvre IIe... [musique imprimée; 10 p.; daté
d’après: Annonces, affiches et avis divers (2 janvier
1769)], Paris, Guénin (l’auteur), 1769.
Marie Alexandre GUÉNIN [compositeur],
Six duos pour deux violons dédiés a
Monsieur Guelle Controlleur général des Suisses et Grisons Œuvre IIIe. Gravés
par Mme Annereau [musique imprimée; 2 parties (vl. I, vl. II);
daté d’après: Mercure de France (avril 1775)],
Paris, Guénin (l’auteur), 1775.
Marie Alexandre GUÉNIN [compositeur], Trois simphonies a premier
et second dessus, alto, basse, deux hautbois obligés et deux cor
ad libitum... Œuvre IV.... Gravées par Mme Annereau [musique
imprimée; 8 parties (vl. I, vl. II, vla., b., ob. I, ob. II, cor I,
cor II); daté d’après Mercure de France (novembre 1776)],
Paris, Guénin (l’auteur), 1776.
François GIROUST (1737-1799) [compositeur],
Passage de la Mer rouge tiré du Cantique de Moyse.— Cantemus
Domino [musique manuscrite (conservé à la BNF, site de
Richelieu); 30,5 cm sur 23; 31 parties], 1779: Guénin est mentionné
manuellement comme l’un des interprètes (d’après la notice
de la BNF).
François GIROUST (1737-1799) [compositeur],
Laudate Dominum de cœlis [musique manuscrite (conservé
à la BNF, site de Richelieu); 30,5 cm sur 23,5; 66 parties], 1779 & 1780: Guénin
est mentionné manuellement comme l’un des interprètes (d’après
la notice de la BNF).
Marie Alexandre GUÉNIN [compositeur],
Trois sonnates pour le clavecin ou le piano forte avec
accompagnement de violon... Œuvre V... [musique imprimée; 2
parties (cemb., vl.); daté d’après: Annonces, affiches et
avis divers (5 février 1781)], Paris Guénin (l’auteur),
1781.
Marie Alexandre GUÉNIN [compositeur],
Trois simphonies à premier et second dessus, alto,
basse, deux hautbois et deux cors... Œuvre VI.... Gravées par Richomme
[musique imprimée; 8 parties (vl. I, vl. II, vla., ob. I, ob. II,
cor I, cor II, b.); daté d’après: Mercure de France
(12 avril 1788)], Paris, Guénin, (l’auteur), 1788.
François DUMONT (1751-1831) [peintre], Marie Alexandre
Guénin [aquarelle sur ivoire; 12 cm sur 16],
1791 [conservé
au Musée du Louvres].
Marie Alexandre GUÉNIN [compositeur],
Trois Quatuors pour deux violons, alto et basse... Œuvre
7e. Premier livre de quatuors [Musique imprimée; 4 parties (vl.
I, vl. II, vla., b.)], Paris, Guénin (l’auteur), vers 1800.
François-Joseph FÉTIS (directeur de la Revue
musicale, 1784-1871), Curiosités historiques
de la musique. Complément nécessaire de La musique mise à
la portée de tout le monde [455 p.], Paris, Janet et Cotelle,
1830 [dont une réédtion
numérique au format PDF mise en ligne par Google, en ligne
en 2007].
François-Joseph FÉTIS, «Guénin (Marie-Alexandre)»,
in ID., Biographie universelle des musiciens et bibliographie
générale de la musique [8 volumes], 1866, t. 4 [dont une réédition
numérique en mode image par la BNF sur son site Gallica,
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k69720x, en ligne en 2006], pp.
131-132 [dont reproduction ci-contre].
Lionel de LA LAURENCIE (1861-1933), L’école française
de violon de Lully à Viotti. Études d’histoire et d’esthétique
[in-8°; 3 volumes (442+516+321 p.); bibliographie t. 3, pp. 213-272;
index; illustrations (15 reproductions); nombreuses citations musicales],
Paris, Delagrave, 1922-1924 [rééditions
en fac-similé (3 volumes, 23 cm): Genève, Minkoff, 1971.
1991 (ISBN 2-8266-0351-5)], t. 2, pp. ?-?.
Marie-Alexandre GUENIN (1744-1835)
[compositeur], ENSEMBLE INSTRUMENTAL DE PARIS dirigé par Louis
de FROMENT (1921-1994) [interprètes], Symphonie n°2 opus
4 n°2 en ut majeur [enregistrement sonore sur disque 33 tours
(17 cm)], sans mention de lieu ni d’éditeur (référence
commerciale “L’Oiselet DOLD16”), 1955.
Joseph de BOLOGNE, dit le CHEVALIER DE SAINT-GEORGES
(1745-1799), Marie-Alexandre GUENIN (1744-1835) & Isidore BERTHEAUME
(vers 1752-1802) [compositeurs] & ENSEMBLE INSTRUMENTAL JEAN-MARIE LECLAIR
[interprètes], Symphonie concertante en sol majeur, œuvre
IX n°2 du Chevalier de Saint-Georges. Symphonie en ré mineur,
œuvre IV n° 3 de M. A. Guénin. Symphonie concertante en mi bémol
majeur, œuvre VI n°2 d’I. Bertheaume.— Symphonie en sol majeur, œuvre
XI n° 1 du Chevalier de Saint-Georges. L’Ensemble Instrumental Jean-Marie
Leclair [disque 33 tours (30 cm)], Sans mention de lieu ni d’éditeur
(référence commerciale Erato LDE3037), 1957.
Frédéric ROBERT, «Une
découverte musicologique: trois Quatuors opus VII de Marie-Alexandre
Guénin (1744-1835)», in
Recherches sur la musique française classique
[Paris, éditions A. et J. Picard], 1 (1960),
pp. 145-152.
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Articles «Guénin» de
la Biographie universelle des musiciens de Fétis
(édition de 1866)
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VILLE DE MAUBEUGE [éd.], Marie-Alexandre GUENIN (1744-1835) [compositeur], Sonate
en ré majeur pour clavecin et violon opus 5 n°1, Quatuor à
cordes en sol mineur opus 7 n°2, Sonate en Trio en mi bémol
majeur opus 1 n°2 et la symphonie en ut majeur opus 4 n°2 [disque 33 tours], Maubeuge,
Ville de Maubeuge, sans date (années 1970)
[mentionné en juin 2007 par un contributeur du site http://musiqueclassique.forumpro.fr,
dénommé “Joachim”].
Avec cette notice sur la pochette (qui pourrait
nous en donner l’auteur?): “Le 20 février 1744 a été baptisé
à Maubeuge Marie Alexandre Guénin, né ce même
jour à deux heures du matin, fils d’Hilaire Guénin et de Marie
Michèle Dolphin son épouse...” (Actes de baptême de la paroisse de Maubeuge).
Ce que l’on sait de Marie Alexandre Guénin
est dû essentiellement au musicologue Lionel de la Laurentie qui,
dans son “Ecole française
du violon de Lully à Viotti”, a écrit une biographie du musicien.
Dès l’âge de 6 ans, Marie Alexandre
manifeste des dons exceptionnels de violoniste. En 1760, son père
l’envoie à Paris pour y développer son talent. Guénin
est élève de Capron et Gaviniès. Il reçoit
les conseils de Jarnowic, il travaille la composition avec Gossec, dont il
gagne l’amitié. Gossec est né en 1734 à Vergnies, village
situé à une trentaine de km de Maubeuge.
C’est aux côtés de Capron que Guénin
débute au Conseil Spirituel en 1773, dans une symphonie concertante
de Davaux. Dès cette première apparition, le jeune violoniste
est couvert de fleurs. Le 2 février 1774, Guénin, Capron,
Duport et Monin jouent une symphonie à quatre de Stamitz.
Auparavant, il a dédiè son opus
1 à son maître Gossec: 6 Trios, “dont les trois premiers
doivent s’exécuter à trois, les autres à l’orchestre”.
Au début de 1769, il publie son opus 2:
2 Concertos pour violon, dédiés au comte de Montrevel. Puis
en 1775 son opus 3: 6 Duos pour 2 violons dédiés à
M. Guelle, contrôleur général des Suisses et Grisons.
En novembre 1776, le “Mercure” annonce l’Œuvre
4, dédicacée au prince de Rohan-Guémenée,
Grand Chambellan: 3 Symphonies. Par cette œuvre, Guénin sait s’attirer
une réputation qui dépasse les frontières.
Il entre en 1778 au service du Roi, et dirige
quelques uns de ces concerts particuliers qui se donnent au Trianon sur
le désir de Marie-Antoinette. Il paraît aussi aux concerts
du Duc de Polignac. En 1778, il remplit encore les fonctions d’intendant
de la musique du Prince de Condé. En 1781 il dédie son opus
5 à Mlle de Condé: 3 Sonates pour le clavecin avec accompagnement
de violon.
Le “calendrier musical” de 1782 fait figurer
Guénin comme premier violon parmi les professeurs de violon attachés
à l’opéra, celui de 1783 comme Premier violon de l’Opéra.
En 1783 est créée l’Ecole Royale
du Chant qui, en dépit de son nom, comprend des classes d’instruments,
et deviendra le Conservatoire. Guénin y est nommé comme
professeur.
Trois nouvelles Symphonies opus 6 paraissent en
1788, dédiées au Duc de Polignac.
Survient la Révolution. On ne sait presque
rien sur la vie du musicien durant cette période troublée.
Entre 1788 et 1815 paraissent: 6 Quatuors à cordes opus 7, 3 Sonates
en trio opus 9, 3 autres sonates opus 10, 3 Duos opus 13.
En 1802, à l’âge de 58 ans, Guénin
est mis à la retraite de l’Ecole de Chant, par un arrêté
du 1er vendémiaire an XI. La mise à la retraite de l’opéra
survient en 1813, mais par une cabbale, sa pension est supprimée,
et il ne l’obtiendra que 12 ans plus tard.
Il est contraint de quitter Paris, où il compte tant d’amis
et d’élèves qui le regrettent. Il fait alors partie de la
musique du Roi d’Espagne Charles IV et le suit dans son exil à Marseille
après son abdication. Trois autres artistes français figurent
dans cette maison musicale de de Charles IV: Bouchet, Ferrière et
Duport;
Lors de la première Restauration, Guénin
s’empresse de faire des démarches pour rentrer dans la maison royale.
En mai 1814 il envoie une pétition à son protecteur le Prince
de Condé pour lui demander de l’appuyer auprès de Louis XVIII
qui, appuyé par Cherubini, ordonne que Guénin fasse partie
de sa chapelle. Il a alors 70 ans, Cherubini le surnommait “l’invieillissable”.
En 1815, il interprète son opus 14, un concerto pour alto.
Entré depuis 1766 à la Société
il en est devenu le Président et le Doyen. Il y fait sa dernière
apparition en quatuor en octobre 1822.
Son opus 15: 3 Duos pour violon et violoncelle, et son opus 18: 3
Duos faciles pour deux violoncelles, semblent être ses dernières
compositions connues. Guénin aurait également écrit,
on ne sait quand, un duo pour harpe et pianoforte avec accompagnement de
flûte et cors.
Mais Guénin n’a pas de chance en matière
de pension: Soit par suite de nouvelles intrigues, soit par insouciance,
ou encore par cette dignité d’homme qui refuse de faire des courbettes,
l’ancien premier violon de l’opéra ne peut rien toucher, et cherche
une retraite où il pourra oublier tant d’injustice et d’ingratitude.
Il se retire donc chez sa fille Anne-Rose, épouse du docteur Jean
Sédillot à Etampes.
Le 22 janvier 1835 à 7 heures du matin,
Marie Alexandre Guénin, veuf de Suzanne Joly, s’éteignait
chez son gendre à Etampes, âgé de 91 ans.
“Nul ne fut, plus que lui, dévouè
à la musique, comme le dit Bouilly, et il eut le courage de se
regarder vieillir en un temps où la musique, cette coquette, changeait
souvent d’adorateur”.
Guénin eut aussi un fils, Hilaire Nicolas,
né à Paris le 4 juillet 1773, qui écrivit quelques
compositions et fut professeur de piano à Paris pendant plus de
40 ans.
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Guy REMAUD
(né en 1947) [éditeur (qui a reconstitué la partition)],
Marie-Alexandre GUENIN (1744-1835), Symphonie pour cordes, une flûte,
deux hautbois et deux cors [partition; 30 cm; 25 p.; durée:
9 mn 25 s], Avrillé, AMUCA, 2001.
Claude ROLE
(né en 1939, spécialiste du compositeur François-Joseph
Gossec), Marie-Alexandre Guénin, violoniste et compositeur
maubeugeois. 1744-1835 [in-8° (24 cm); 89 p.; illustrations; bibliographie,
iconographie & discographie pp. 57-61], Maubeuge, Association Les
amis du livre, 2003 [ISBN 2-9514413-2-0;
16€].
Dont
cet extrait mis en ligne par la page http://www.loiseaulire.com/Histoire/France/Nord.html:
Avant-propos
«Sauf erreur, aucune biographie
récente n’a été écrite sur Marie-Alexandre
Guénin, virtuose du violon et compositeur qui occupa durant cinquante
ans une place éminente dans le monde musical, non seulement parisien
mais européen. Aujourd’hui sa vie et ses œuvres ne sont guère
connues et apparaissent le plus souvent comme par “réfraction”, lci dans la presse contemporaine, là, soulignées
mais sans excès, par son appartenance à ce qu’il est devenu
commun d’appeler “l’École
française de violon”, c’est-à-dire
l’ensemble non structuré des violonistes dont la France pendant
un siècle, depuis Lully jusqu’à Viotti, peut s’enorgueillir
à juste titre.
Pourtant, la longue carrière de Guénin
à un point charnière de la vie musicale en France, entre
1760 et 1820, offre à la musicologie de vastes et nouvelles perspectives.
Elles mériteraient d’être examinées de plus près
car, si l’on excepte les biographies superficielles du musicographe Fétis
et du littérateur Bouilly, celle rédigée par Lionel
de La Laurencie date quand même de 1922-1924! Mais c’est ici l’occasion
de rappeler tout ce que lui doit la présente notice et de rendre
hommage à un auteur remarquable par tant d’excellents travaux musicologiques.
Jusqu’à ces dernières années
prévalait, à quelques nuances près, l’idée
que la musique française n’avait peu ou pas existé entre
la mort de Rameau (1764) et l’apparition, quelques soixante années
plus tard, de notre Berlioz “national” (la Symphonie fantastique date de 1830). Il était
évidemment facile aux musicographes de la fin du XIXe siècle
et même plus tardifs, d’enjamber cette période. Nombreux
étaient les musiciens de “premières magnitudes”, les Mozart, Haydn, Beethoven, Schubert, suivis des
Brahms, Wagner et aussi par Bach et Vivaldi, qui occultaient de leur génie
incomparable l’horizon hexagonal. Devant ce constat d’une soi-disant période
musicale “sans repères
spécifiquement français”,
il était tentant d’y aller voir de plus près et, d’un passé
méconnu, évoquer les noms et les ouvrages de musiciens célèbres
en leur temps mais aujourd’hui oubliés.»
|
Marcel et Jean SAINT-SEVIN, «Le pain,
le vin, les sous», in ID., Le siècle des Saint-Sevin dits
l’Abbé [“l’histoire vraie et bien souvent inédite de
trois musiciens partis de Bordeaux puis d’Agen pour conquérir Versailles
et Paris au Siècle des Lumières”], http://pagesperso-orange.fr/saint-sevin/pageab.htm, en
ligne en 2007.
Extrait: “En 1713, le violoniste, Bernard
Quentin gagnait 400 livres au Grand Chœur de l’Opéra. 600 livres
était le salaire courant d’un tel instrumentiste au milieu du siècle.
Quant à Marie-Alexandre Guénin, premier violon en 1790 il
gagnait 2000 livres l’an.”
|
Christopher BOULIER, «Guénin Marie-Alexandre»,
in ID., «Dictionnaire des interprètes » in ID.,
Le site du violon, http://www.christophe-boulier.com/pages/interpretes.html,
en ligne en 2007.
Extrait: “Guénin Marie-Alexandre
(B-1744 / 1814). V. Attaché pendant 10 ans à la Musique de
Chambre du Roi, 1er violon des Concerts de la Reine (concerts qu'il dirigea
également), 1er violon au Concert Spirituel à Paris pendant
20 ans. Professeur à l'Ecole Royale (1784) puis au Conservatoire
de Paris dès sa création (1795) jusqu'en 1802.”
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ANONYMES (sous les pseudonymes “Joachim” et “Snoopy”), «Marie
Alexandre Guénin», in «Les Compositeurs»,
in Toutes les musiques du monde... Forum sur la musique classique,
http://musiqueclassique.forumpro.fr/les-compositeurs-f2/marie-alexandre-guenin-t2503.htm,
2007.
Extrait: “Les symphonies de Guénin
(sauf l’opus 6 n° 2) sont écrites en trois mouvements, et cette
division ternaire est d’autant plus à remarquer que la plupart des
symphonies contemporaines sont en quatre mouvements.”
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Jean
BELLIARD [éd.], «Marie Alexandre Guénin
(notice biographique, 2007)», in Corpus
Étampois, http://www.corpusetampois.com/cae-18-guenin2007jeanbelliard.html,
2007.
Sur Jean Belliard
Lydwine DE HOOG-BELLIARD, «Weblog de l’Association Exultate»
[site officiel de cette association loi 1901], in Haut et Fort [plate-forme
de blogging],http://exultate.hautetfort.com, en ligne depuis février
2005 [contient notamment un dossier de presse, des photographies et
des informations régulièrement mises à jour sur la
vie de l’Association].
Bernard GINESTE [éd.], «Jean
Belliard: une présentation» in Corpus Étampois,
http://corpusetampois.com/cae-21-belliard.html,
depuis 2005.
Toute critique, correction ou contribution
sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
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