Corpus Littéraire Étampois
 
Gabriel-Alexandre Dufaï
Étampes
[Histoire des villes de France]
 1859
  
     Alexandre Dufaï est un personnage hors-norme dont ses compatriotes se sont empressés de perdre le souvenir. Il semble avoir été caractériel, et le fait est qu’il est mort à Bicêtre, privé de ses facultés mentales, après avoir été un critique littéraire haï autant que redouté.   
     Pour l’heure, nous n’avons pu mettre la main que sur la notice qu'il avait consacrée à sa petite patrie pour la monumentale Histoire des villes de France d’Aristide Guilbert. Il faut reconnaître qu’on lit de nos jours davantage les auteurs qu’il a critiqués que les critiques qu’il leur décochait. Certains d’entre eux d’ailleurs, dont Flaubert, ne se sont pas privé en retour de l’exécuter, ce qui n’a pas peu contribué, et certainement à un degré injuste, à noircir le peu de souvenirs qu’on gardait de lui. Nous ne manquerons pas, à terme, de remettre en lumière ce qu’il écrit.    
     Pour l’heure, quelqu’un pourrait-il nous proposer des annotations qui remettent à jour tout ce qu’affirme Dufaï sur Étampes, non sans certaines inexactitudes?
     
   ÉTAMPES
    Si l’on en croit certains chroniqueurs, l’étymologie du nom d’Étampes réfute victorieusement les épigrammes des voyageurs qui lui reprochent l’insignifiance et la monotonie de ses paysages.   

     Les Troyens fugitifs qui vinrent chercher un asile aux rives de la Seine, appelèrent la ville nouvelle Tempé, du nom de la célèbre vallée dont elle retraçait le charme à leurs yeux. Quant aux historiens, Grégoire de Tours désigne Étampes sous le nom de Stampæ, dans les divers récits qu’il nous a laissés des nombreuses et sanglantes batailles dont elle fut le théâtre sous la race mérovingienne. Théodoric s’y rencontra, en 604, avec Chlotaire, et lui tua trente mille hommes, qu’on ensevelit dans un lieu voisin de la ville, auquel la tradition a conservé le nom de Champs des morts.   

     Non loin de là apparaissaient encore, il y a un demi-siècle, les débris d’une antique tour dite communément Tour de Brunehaut. On rapporte, en effet, que Brunehaut se plaisait beaucoup dans ce séjour, et qu’elle y créa plus d’un établissement pieux dont il ne reste malheureusement aucun indice.   

     Il en est de même de l’église de Saint-Martin fondée, dit-on, par Chlodwig, et qui, détruite au XIIe siècle, fit place à un monument nouveau, bâti d’un seul jet, entièrement gothique, et où l’on peut étudier en son libre épanouissement cette grande expression du génie architectural.   

     Échappée aux ravages des Normands, Étampes refleurit sous le patronage du roi Robert, lorsqu’il y fixa sa résidence. Cette ville avait déjà vu s’élever dans ses murs la cathédrale de Notre-Dame, achevée seulement au bout de six cents ans, comme l’atteste la succession des styles de son architecture, romane par le bas, gothique par le milieu, gréco-romane par le faîte; et un châtel construit sur une éminence, d’où son énorme tour, flanquée de trois tourelles, environnée de fossé, commandait puissamment tout le vallon. Aussi la possession en fut-elle vivement disputée à chaque guerre, et par là elle devint une cause de désolation et de ruine pour les habitants qu’elle devait couvrir et défendre. Ils s’empressèrent donc de la démanteler, lorsque Henri IV, auquel ils n’avaient cessé de rester fidèles, leur en eut donné la permission. Mais le temps seul peut avoir raison de ces monstrueux édifices.   

     Malgré les assauts de vingt sièges et les coups redoublés de la pioche du maçon, la grosse tour du vieux châtel, dite Tour de Guinette, est encore debout; elle domine à cette heure la nouvelle voie de fer, et semble menacer de ses énormes crevasses les frêles constructions de l’industrie moderne.   

     L’église de Notre-Dame, au contraire, ne cesse d’offrir aux fidèles, comme à l’antiquaire et à l’artiste, un asile sûr, un temple imposant et un objet d’études intéressantes. Toute la nef est composée dans le style roman; des colonnes grosses et courtes y soutiennent des chapiteaux dont les feuilles étaient peintes autrefois des plus brillantes couleurs. Au roman succède le gothique, sitôt qu’on pénètre dans le chœur. L’ogive s’y appuie sur des colonnes sveltes, élégantes, qui s’épanouissent avec légèreté et s’entrelacent harmonieusement.   

     Par malheur, le chœur est coupé brusquement par un gros mur, percé d’une grande fenêtre carrée qui détruit toute la perspective de l’édifice. Au dehors, il n’offre pas moins de singularités qu’au dedans. Le clocher n’y est point placé, selon l’usage, vis-à-vis de la nef, et il s’élance d’entre deux rangs de créneaux dont on avait fortifié l’église, pendant la guerre avec les Anglais. Mais rien n’est plus délicat, plus léger que sa flèche octogone avec ses quatre clochetons percés à jour. C’est un travail d’un fini précieux, et dont la conservation méritait toute la sollicitude que, sur la demande de M. Louis de Laborde, alors député d’Étampes, lui a témoignée le gouvernement depuis quelques années.   

     Le roi Robert fonda encore à Étampes l’église de Saint-Basile; celle de Saint-Gilles date de la même époque. Si ces deux monuments n’ont rien de très remarquable, ils attestent du moins ce redoublement de ferveur qui s’empara de toutes les âmes, à l’approche de l’an mil, fatale époque marquée, disait-on, pour la fin du monde.   

     Le roi Robert, donnant à Étampes les preuves les plus vives de piété et d’humilité, ordonnait, dit l’historien Helgaud, qu’on laissât sa maison se remplir de pauvres. «Un d’entre eux s’étant placé sous ses pieds, le bon roi Robert voulut bien le nourrir lui-même en lui passant des vivres sous la table.   

     Cependant celui-ci ne s’oubliant pas, fixait d’un œil avide un ornement de la valeur de six onces d’or qui pendait aux genoux de son maître; il le détache enfin avec un couteau et prend la fuite. Lorsque la foule des pauvres se fut retirée, la reine Constance, voyant son seigneur dépouillé, se troubla et se laissa emporter contre le saint à des paroles empreintes de peu de constance. — Hé, bon seigneur, qui a déshonoré votre robe d’or? — Moi? Répondit Robert, personne ne m’a déshonoré: cet or était sans doute plus nécessaire à celui qui l’a pris qu’à moi, et, Dieu aidant, il lui profitera.» A Robert succédèrent dans le palais d’Étampes Henri Ier, Philippe Ier et Louis le Gros, qui tous laissèrent à la ville des marques de leur munificence, surtout en protégeant par des règlement spéciaux l’industrie naissante de ces nombreux moulins qui sont aujourd’hui, comme on sait, la principale source de ses richesses.   

     Ce fut un seigneur des environs d’Étampes, nommé Eudes Le Maire, qui remplit, à la place de Philippe Ier, le vœu que ce prince avait fait d’aller armé de toutes pièces visiter le tombeau du Christ pour lui offrir ses armes. Eudes, à son retour de Jérusalem, fut comblé d’honneur par le roi, qui, dans sa reconnaissance, lui accorda pour lui et ses descendants l’exemption de tous impôts. Henri IV, n’étant pas assez riche pour payer encore les dettes de Philippe Ier , supprima l’exemption dont la postérité d’Eudes jouissait toujours.   

     Étampes ne prit aucune part aux insurrections communales des XIIe et XIIIe siècles. Louis le Gros y put séjourner en toute sécurité, et de là fondre tour à tour sur ses rivaux rebelles de Montlhéry et de Puisaye.   

     La ville, jusqu’aux guerres des Anglais, eût vécu dans une tranquillité parfaite, sans les longues et ardentes querelles des chanoines de Saint-Martin avec les moines du couvent de Morigny, sis à une petite distance de ses murs; querelles occasionnées par la donation de toutes les églises du Vieil-Étampes, faites aux uns et aux autres par les rois Robert et Philippe Ier. Thomas, abbé de Morigny, chanoine habile, actif et intrigant, s’emporta contre les chanoines de Saint-Martin, et pour légaliser l’existence de son abbaye, il ne fallut pas moins que le pape Calixte II, qui en consacra solennellement l’église, le 3 octobre 1119.   

     A côté de ces disputes de sacristie, de grandes solennités religieuses se passaient à Étampes. Quatre conciles y furent tenus, le premier en 1048, sous Henri Ier; le second sous Philippe Ier, en 1092; et les deux autres sous Louis le Gros, en 1112 et 1130. Saint Bernard parla longtemps de ce concile, où l’on avait à décider lequel, d’Anaclet II et d’Innocent II, avait été légalement élu à la papauté: par la vigueur accoutumée de son éloquence, saint Bernard fit triompher la cause d’Innocent II.   

     Dix-sept années après, l’abbé Suger fut élu, d’une commune voix, régent de France, dans une assemblée des plus puissants seigneurs du royaume, que Louis le Jeune avait convoquée dans le château d’Étampes. Philippe-Auguste choya cette ville: c’était, disait-il à l’empereur Othon, une des trois meilleures cités du royaume, avec Orléans et Paris. Les Juifs y avaient un quartier auquel on a conservé le nom de Juiverie: Philippe Auguste lorsqu’il les chassa de France, donna à la ville l’église de Sainte-Croix, qui, jusqu’alors, leur avait servi de synagogue.   

     Ce prince cessa dès lors de résider au château d’Étampes qui devint alors une prison d’État. Ingelburge qu’il avait répudiée y passa douze ans captive, dans la prière et dans les larmes, ouvrant de ses mains des vêtements qu’elle faisait distribuer aux pauvres, jusqu’à ce qu’enfin le roi, vaincu par l’inflexible volonté du pape Innocent III, la rappela à la cour de France (1200-1212).   

     Philippe-Auguste fut le dernier roi de la troisième race, au moyen âge, qui posséda la ville d’Étampes en toute propriété. Louis IX en apanagea sa mère, Blanche de Castille; Philippe le Bel la concéda  son frère, en 1295, avec le pays d’Évreux et de Gien, et Charles le Bel l’érigea en comté, en faveur de Charles d’Évreux (1325). Elle passa, en 1399, au duc de Berry, qui la céda au duc de Bourgogne, Philippe le Hardi.   

     Pendant les sanglantes rivalités des Bourguignons et des Armagnacs, Étampes fut maintes fois envahie, rançonnée, pillée par ceux d’Orléans. Ils l’occupaient en 1411, lorsque le jeune Dauphin, qui faisait alors ses premières armes, marcha sur la ville avec les ducs de Bourgogne et de Guyenne. Les habitants ouvrirent leurs portes au Dauphin, qui leur promit de les préserver de toute insulte et de tout pillage.   

     Malgré cette promesse, les Bourguignons ne furent pas moins funestes aux Étampois que ne l’avaient été les Armagnacs. Le sire de Bosrodon ou Boisbourdon, réfugié dans la forteresse, l’abandonna lorsqu’on eut mis en jeu toutes les machines pour en forcer l’entrée, et se retira dans une tour si haute et si solide qu’elle était hors de toute atteinte, la tour de Guinette probablement.   

     Les dames et damoiselles qui s’étaient confiées à sa valeur, tendaient ironiquement leurs tabliers aux pierres que lançaient les machines. Le Dauphin allait lever le siège, quand André Roussel, bourgeois de Paris, imagina de construire, au moyen de plusieurs gros madriers appuyés contre les murs du fort, une sorte de toit incliné, à l’abri duquel trente ouvriers, munis de pics et de hoyaux, travaillèrent à percer les murs du château. La brèche devint praticable, les assiégés la bouchèrent avec des pièces de bois. On y mit le feu, et Boisbourdon fut sommé de se rendre. Le Dauphin pardonna à son courage. Devenu plus tard l’amant d’Isabeau de Bavière, Boisbourdon déplut, par son insolence, à Charles VI, qui le fit jeter dans la Seine, enfermé dans un sac sur lequel on lisait cette terrible inscription: Laissez passer la justice du roi.   

     Dans les nouvelles divisions territoriales qui eurent lieu après l’expulsion des Anglais, on ne sut si le comté d’Étampes revenait à la maison de Bourgogne ou bien au domaine royal. Louis XI commença par s’en emparer. Le comte de Charolais n’y séjourna plus qu’une fois, lorsqu’à l’issue de la bataille de Montlhéry, il y vint reposer ses troupes (1465).   

     Resté paisible possesseur d’Étampes, Louis XI en fit don à Gaston de Foix, comte de Narbonne. C’est sous son règne que fut établi le pont de cette ville, destiné à l’embarquement des blés de la Beauce qu’on transportait à Corbeil et de là à Paris, sur un canal formé des rivières qui arrosent la vallée d’Étampes. De ce port, il ne reste plus que le nom donné à une charmante promenade où se tient la foire de Saint-Michel.   

     La maison de Foix conserva la possession d’Étampes jusqu’au célèbre Gaston, si héroïquement mort à la bataille de Ravennes. Le comté échut alors à la reine Anne de Bretagne, puis à sa fille, Claude de France, femme de François Ier. Étampes eut, à cette époque, un retour de prospérité, et put bâtir un hôtel de ville, un hôtel-Dieu et un collège.   

     L’hôtel de ville ne présente dans son architecture aucun caractère; l’hôtel-Dieu est aujourd’hui l’un des plus vastes et des plus riches que puisse posséder une petite ville de province; le collège embrasse dans un système complet d’enseignement l’apprentissage de toutes les professions libérales et industrielles.   

     François Ier, en même temps que s’élevaient ces trois établissements, fit bâtir un palais pour sa maîtresse, la belle Anne de Pisseleu, première duchesse d’Étampes. Diane de Poitiers lui succéda dans ce duché, à l’avènement de Henri II (1547). Diane de Poitiers résigna le duché d’Étampes, à la mort de son royal amant (1559); il reste toutefois dans cette ville un curieux monument de son séjour: c’est une maison de plaisance bâtie dans le style de la Renaissance, et dont les sculptures délicates encadrent, çà et là, les chiffres entrelacés de Diane et Henri.   

     Les reîtres du prince de Condé occupèrent Étampes, en 1502, et y séjournèrent pendant six semaines; le temps d’épuiser la ville. Les habitants refusèrent, cinq ans après, de se rendre à Saint-Jean, frère du comte de Montgommery; la place fut prise d’assaut et pillée. Henri III l’enleva aux ligueurs, en 1589; il accorda à ses soldats quelques heures de pillage pour punir les habitants d’avoir voulu lui résister, et fit décapiter les magistrats. C’est là qu’il apprit l’excommunication qui venait d’être lancée contre lui, à cause de son alliance avec le roi de Navarre.   

     «Soyez vainqueur, lui écrivit le Béarnais, et vous serez absous.» Henri IV se montra très bienveillant envers les Étampois, auxquels il permit, comme nous l’avons déjà dit, de raser les fortifications du château. Pendant la minorité de Louis XIV (1652), le comte de Tavannes, commandant de l’armée du prince de Condé, se trouvait à Étampes depuis deux jours, quand mademoiselle de Montpensier étant arrivée, désira faire la revue de ses troupes. Au beau milieu de cette intempestive parade, à laquelle Tavannes n’avait oser se refuser, survinrent tout d’un coup les troupes de Turenne et d’Hocquincourt. Elles fondirent sur les bataillons des frondeurs, les poursuivirent jusque dans les faubourgs qu’elles mirent à feu et à sang; puis se retirèrent à Chartres et revinrent, quinze jours après (25 mai 1652), assiéger la ville dans les règles. On se canonna de part et d’autre, durant deux semaines; on se fit réciproquement beaucoup de mal.   

     Turenne enfin plia bagages, pour attaquer l’armée du prince de Lorraine campée non loin de Paris. Tavannes rejoignit, dans cette direction, les troupes du prince de Condé, et les Étampois furent délivrés de la présence des gens de guerre.   

     Le dernier fait important qui doive trouver place dans l’histoire d’Étampes est la terrible émeute de 1792, causée par la cherté du pain. Le courageux maire, Henri Simonneau, menaça les séditieux de faire exécuter la loi martiale. A ce mot, un des insurgés s’élance et lui assène un violent coup de bâton sur la tête. Simonneau parvient à s’arracher de ses mains, et se tournant vers la foule: «Ma vie est à vous, dit-il d’une voix ferme, vous pouvez me tuer, mais je ne manquerai point à mon devoir.»   

     L’émeute paraissait calmée, et Simonneau se retirait escorté de quelques cavaliers, lorsqu’il fut atteint, entre les jambes des chevaux, de deux coups de feu qui l’étendirent mort. L’Assemblée Nationale décréta qu’un monument triangulaire serait érigé sur le marché d’Étampes, et qu’on y inscrirait les dernières paroles de Simonneau; elle ordonna, en outre, la célébration d’une fête en son honneur, le 3 juin de la même année. La fête eut lieu, et avec une grande pompe, mais le monument est encore à faire.   

     Étampes, cependant, pourrait bien plus que d’autres villes réparer cette coupable négligence; elle est, en effet, le chef-lieu d’une des sous-préfectures du département de Seine-et-Oise, et le centre d’une industrie très florissante; son sol n’est pas l’un des moins fertiles de la Beauce qu’on a si justement appelée le grenier de la France.   

     L’arrondissement renferme près de 40.7000 âmes. La ville compte parmi ses 7.896 habitants, de très riches propriétaires qui doivent leur fortune tout entière au commerce des grains et des farines. La ligne du chemin de fer de Paris à Orléans passe par Étampes, et en fait en quelque sorte un nouveau faubourg de la capitale.   

     Parmi les personnages célèbres nés dans cette ville, nous citerons Jean Hüe, docteur en Sorbonne et doyen de la Faculté de théologie, au XVe siècle; Claude Mignault, doyen de la Faculté de droit de Paris, plus connu sous le nom de Minos; Jacques Houllier, premier médecin de François Ier; Étienne Guettard, l’un des plus savants naturalistes de l’Europe, au XVIIIe siècle; Antoine Guénée, qui dans ses Lettres que quelques Juifs portugais, allemands et polonais, adressées à M. de Voltaire, signala avec une habileté et un tact merveilleux les erreurs commises par l’auteur de l’Essai sur les mœurs en parlant des livres saints; et enfin M. Geoffroy Saint-Hilaire, dont le nom est européen.   
   
    



    
     Gallia christiana. — Gregorius Turonensis, Historia ecclesiastica. — Helgund. — Chronique de l’abbaye de Morigny. — Froissard. — Mémoires de Commines. — Mémoires de Tavannes. — Dulaure, Histoire des environs de Paris. — De Montrond, Histoire d’Étampes.
     Source: réédition de 1988, saisie en mode texte par Bernard Gineste, septembre 2001.
 
   
BIBLIOGRAPHIE PROVISOIRE
      
 Édition

     Gabriel Alexandre DUFAÏ, «Étampes», in Aristide GUILBERT [éd.], Histoire des villes de France, t. II, 1859, pp. ?-?.   
    
     Gabriel Alexandre DUFAÏ, «Étampes», in Célestin PORT & V.-A. MALTE-BRUN & Alexandre DUFAÏ, Étampes et son histoire [65 p.; réunion de trois notices de 1859, 1867 & 1887], sans lieu indiqué, Édition du Bastion, 1988, pp. 45-63.   

    Alexandre DUFAÏ, Étampes (1859) [saisie numérique en mode texte sur la réédition de 1988], in Corpus Étampois, août 2002.   
     

Études

     Léon MARQUIS, «Dufaï (Gabriel-Alexandre)», in ID., Les rues d'Étampes et ses monuments, Histoire - Archéologie - Chronique - Géographie - Biographie et Bibliographie, avec des documents inédits, plans, cartes et figures pouvant servir de suppléments et d'éclaircissement aux Antiquités de la ville et du duché d'Etampes, de Dom Basile Fleureau, in-8°, Étampes, Brière, 1881 [438 p. & planches; avec une préface de V. A. MALTE-BRUN] [réimpressions: Marseille, Lafitte reprints, 1986; Éditions de la Tour Gile, 1996], p. 350.  

 
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