|
|
|
|
|
Et sur qui rare est le commandement, Furent tousjours, ô illustre duchesse, Vostre plus grand et plus riche ornement. L’une est au corps,
l’autre à l’entendement;
|
1. Ces vers semblent être faits pour un ballet où figuroit Venus, qui s’adressoit à Diane, et celle-ci étoit comme toujours Diane de Poitiers. P.B.
[Prosper Blanchemain, 1873]
2. L’entendement. — En dépit de l’habileté que mettoit Diane à conserver la beauté du corps, c’étoit surtout par la beauté de l’esprit qu’elle triomphoit encore, au moment où Melin la chantoit ainsi. E. P.-B.
[Emmanuel Phelippes-Beaulieux]
|
Source: édition princeps de 1873 par Prosper Blanchemain, mise en ligne en mode image par la BNF et saisie en mode texte par Bernard Gineste, février 2003. |
Prosper Ed. BLANCHEMAIN [éd], Œuvres poétiques de Melin
de Sainct-Gelays. Tome troisième et dernier. Édition revue,
annotée et publiée par Prosper Blanchemain; avec un commentaire
inédit de MM. Emm. Phelippes-Beaulieux, R. Dezeimeris , etc.
[331 p.], Paris, Sans nom d’éditeur [«Bibliothèque
Elzevirienne» 78], 1873. Dont une réédition en fac-similé:
Nendeln (Liechtenstein), Kraus Reprint, 1970. Dont une réédition
numérique en mode image par la BNF, gallica.bnf.fr, N027827, http://gallica.bnf.fr/scripts/ConsultationTout.exe?E=0&O=N027827
(en ligne en 2003), pp. 116-117.
|
|