CORPUS DES ÉTABLISSEMENTS ÉTAMPOIS
 
Jules Riquois, marchand de grains à Étampes
25 place Saint-Gilles, ...1866-1886

Jules Riquois, marchand de grains à Etampes en 1872

Signature de Jules Riquois en 1872

      Nous partons ici d’une lettre en vente sur Internet en 2016, écrite par un négociant en grains d’Étampes, qui essaie de se faire rembouser par une commission ad hoc des sacs de grains lui appartenant, qui ont été détruits à Paris par le grand incendie  du Grenier d’Abondance, lors des événements de la Commune de 1871. Nous reconstituons le cours de la vie de ce négociant né et mort à Étampes, Jules Riquois (1843-1886).

Bernard Gineste, novembre 2016


Ruines du Magasin d'Abondance incendié en 1871

Jules Riquois, marchand de grains à Etampes en 1872
Courrier de 1872 sur feuillet à entête
Jules Riquois, marchand de grains à Etampes en 1872

*

Jules Riquois, marchand de grains à Etampes en 1872
Enveloppe postale à entête adressée le 23 août 1877 à un négociant belge
Jules Riquois, marchand de grains à Etampes en 1877

Jules Riquois, marchand de grains à Etampes en 1877
Jules Riquois, marchand de grains à Etampes en 1877

Signature des époux Riquois en 1881
Signature des époux Riquois lors de leur mariage en 1881

Jules Riquois, marchand de grains à Étampes
25 place Saint-Gilles, ...1872...



     Jules Riquois est né à Étampes en 1843, troisième fils d’un portefaix devenu négociant grainetier au n°17 de la rue Saint-Martin.

     Lui-même devient marchand de grains, tout en continuant à habiter chez son père. En 1872, alors qu’il est âgé de 29 ans, nous voyons qu’il tient sa propre boutique de
Grains, graines, farines, vins en gros” au n°25 de la place Saint-Gilles d’Étampes.

     A cette date, il adresse un intéressant courrier, dont nous avons fait l’acquisition en novembre 2016, à
la Commission Cantonale des indemnités du 4ème arrondissement à Paris. Nous y apprenons qu’il détenait une grosse quantité de grains stockée au Grenier d’Abondance de Paris, qui a été détruite lors des événements de la Commune, lorsque ce bâtiment fut incendié, en  juin 1871. Il entame par ce courrier des démarches en vue d’en obtenir une indemnité.

     La suite de sa vie telle que nous la connaissons est courte. En juin 1880 il perd son père. En février  1881 il se marie à Sancheville, en Eure-et-Loir à Marie Popot, avec qui il emménage au n°122 de la rue Saint-Jacques, et qui lui donne une fille en décembre de la même année.

     Il meurt prématurément chez lui à l’âge de 43 ans le 7 mars 1886.
Jules Riquois, marchand de grains à Etampes en 1872



1841
Les Riquois n’habitent pas encore au n°17 de la rue Saint-Martin.
AD91 6M 119.
1843 (février)
Naissance de Jules Riquois “N°22 —Riquois Jules — Le jeudi deux février mil huit cent quarante trois, heure de midi — Acte de naissance de Jules Riquois, du sexe masculin, né d’hier à sept heures du soir, chez ses père et mère, fils en légitime mariage de Louis Germain Riquois, portefaix, agé de vingt neuf ans, et de Élisabeth Bergerat son épouse agée de vingt huit ans, domicilié de cette ville rue Saint Martin n°17 — Les témoins ont été les sieurs Pierre Paul Billard, portefaix agé de trente un ans, et Auguste Eugène Cadet, paveur, agé de vingt cinq ans, domiciliés de cette ville. — Sur la représentation de l’enfant et sur la déclaration du père d’icelui qui a dit ne savoir signer, les témoins ont signé avec nous François Charles Cresté maire de la ville d’Étampes, officier de la légion d’honneur, après lecture faite. — [Signé:] Billard — Cadet — C. Cresté.
AD91 4E 1202 (saisie de Bernard Gineste, 2016)
1846
Le recensement de 1846 trouve au n°17 de la rue Saint-Martin: 1°Louis Riquois, portefaix, 9 ans [sic, en fait environ 32 ans]; 2° son épouse Liza Bergerat, 2 ans [sic, en fait environ 31 ans]; 3° leur fille Célina Riquois, 32 ans [sic, en fait environ 8 ans], et leurs trois fils: 4° Louis Riquois, 6 ans; 5° Édouard Riquois, 4 ans; 6° Jules Riquois, 3 ans; 7° leur fille Olive Riquois, 1 an.
AD91 6M 119 (saisie de Bernard Gineste, 2016)
1851
Le recensement de 1851 trouve au n°17 de la rue Saint-Martin: 1°Louis Germain Riquois, marchand de grains, 37 ans; 2° son épouse Élisabeth Bergerat, 36 ans; 3° leur fille Céline Riquois, 13 ans; leurs trois fils: 4° Louis Germain Riquois, 11 ans; 5° Édouard Riquois, 9 ans; 6° Jules Riquois, 8 ans; 7° leur fille Olive Riquois, 6 ans.
AD91 6M 120 (saisie de Bernard Gineste, 2016)
1856
Le recensement de 1856 trouve au n°17 de la rue Saint-Martin: 1°Louis Germain Riquois, négociant, 42 ans; 2° son épouse Élisabeth Bergerat femme Riquois, 41 ans; 3° leur fille Clérine [sic] Riquois, 18 ans; leurs trois fils: 4° Louis Germain Riquois, 16 ans; 5° Édouard Riquois, 14 ans; 6° Jules Riquois, 13 ans; 7° leur fille Olive Riquois, 11 ans.
AD91 6M 121 (saisie de Bernard Gineste, 2016)
1861
Le recensement de 1861 trouve au n°17 de la rue Saint-Martin: 1°Louis Germain Riquois, marchand de grains, 46 ans; 2° son épouse Élise Bergerat, 46 ans; 3° leur fille Céline Riquois, 23 ans; leurs trois fils: 4° Louis Germain Riquois, 21 ans; 5° Édouard Riquois, 19 ans; 6° Jules Riquois, 18 ans; 7° leur fille Olive Riquois, 16 ans.
AD91 6M 121 (saisie de Bernard Gineste, 2016)
1866
Le recensement de 1866 trouve au n°17 de la rue Saint-Martin: 1°Louis Germain Riquois, grainetier, 51 ans; 2° son épouse Élisabeth Bergerat, 50 ans; 3° leur fille Céline Riquois, 28 ans; leurs trois fils: 4° Louis Germain Riquois, 26 ans, marchand de grains; 5° Édouard Riquois, 25 ans, aussi marchand de grains; 6° Jules Riquois, 23 ans, aussi marchand de grains; 7° leur fille Olive Riquois, 21 ans.
AD91 6M 122 (saisie de Bernard Gineste, 2016)
1872
Le recensement de 1872 trouve au n°17 de la rue Saint-Martin: 1°Louis Germain Riquois, grainetier, 58 ans; 2° son épouse Élisabeth Bergerat, 57 ans; 3° leur fille Céline Riquois, 34 ans; [Louis Germain et Édouard ne sont plus là (Édouard est sans doute le fondateur du moulin à vapeur Riquois)]; 4° leur 3e fils Jules Riquois, 29 ans; 7° leur fille Olive Riquois, 26 ans.
AD91 6M 122 (saisie de Bernard Gineste, 2016)
1872 (juillet)
Lettre autographe de Jules Riquois à la Commission Cantonale des indemnités du 4éme arrondissement à Paris[Étiquette ovale imprimée scellant l’enveloppe:] Grains, graines, farines, vins en gros — Maison Jules Riquois — 25, Place St. Gille — Étampes — [Adresse portée sur l’enveloppe] Monsieur le Directeur de la Commission des indemnités du 4me arrondissement à Paris. — [Timbre et obliteration:] Timbre à 25 cent., Repub. franç., dentelé (Céres n°°60); oblitération, losange, gros chiffres 435; cachet de type 15 pour Paris et de type 17 pour Etampes (Étampes, 3 juillet 72). — [Entête :] Jules Riquois —  25, Place St Gille [sic], Étampes (Seine-et-Oise)  — Grains, graines, farines et issues. Vins en gros — Les magasins sont fermés les dimanches et fêtes — Étampes... [Texte manuscrit:] ...le 2 juillet 1872 —Monsieur le Directeur de la Commission cantonale des indemnités du 4ème arrondissement à Paris — Sous plis je vous remets un reçu de vingt sacs, grains de colza, qui étaient en magasin au Grenier d’Abondance et qui ont été incendiés. — Monsieur Godillot gérant du Grenier d’Abondance, m’annonce que je dois m’adresser à vous pour me faire rembourser la valeur de cette marchandise. — Je conserve le bultin d’entrée si le reçu que je vous adresse ne suffisait pas. Je vous enverrai l’autre sur votre demande. — Je compte sur vos soins obligeants, Monsieur, pour me faire payer de la valeur de ces colza dont plus bas je vous remets facture. — 20 sacs colza à 50 f. — 1.000 f. — 20 toiles neuves à 2 f. — 40 f. — 1.040 f. — Je viens à l’avance vous en remercier et vous prie d’agréer mes civilités empressées. — [Signé:] Jules Riquois.
Courrier en vente sur Internet en octobre 2016, dont les scans ci-dessus (saisie de Bernard Gineste, 2016)
Jules Riquois, marchand de grains à Etampes en 1872

Signature de Jules Riquois en 1872
1876
Le recensement de 1876 trouve au n°17 de la rue Saint-Martin: 1°Louis Germain Riquois, négociant, 62 ans; 2° son épouse Françoise Élisabeth Bergerat, 61 ans; 3° leur fille Louise Aline Riquois [sic], 38 ans; [Louis Germain et Édouard ne sont plus là]; 4° leur 3e fils Jules Riquois, 33 ans; 5° leur fille Olive Riquois, 29 ans; 6° Louise Nestour, 19 ans, domestique.
AD91 6M 123
1877
Enveloppe postale à entête adressée le 23 août 1877 à un négociant belge de Verviers: “[Entête:] Grains, graines et issues — Spécialités d’escourgeons — Jules Riquois — 25 , place Saint-Gilles, Étampes — [Destinataire:] Messieurs Mouget frères, négociant en grains à Verviers (Belgique). — [Cachet au recto:] Grains, graines, farines — Maison Jules Riquois, 25 place Saint-Gilles, Étampes.
Enveloppe postale en vente sur un site d'enchères en 2017 (dont des scans ci-dessus).
1880 (juin)
Décès de Louis Eugène Riquois, père de Jules (le 5 juin): “L’an mil huit cent quatre-vingt le sept juin à l’heure de midi, par devant nous Léonard Breuil, adjoint spécialement délégué par le maire de la ville d’Etampes, officier de l’Etat Civil de la dite ville, arrondissement d’Etampes, département de Seine-et-Oise, sont comparus Jules Riquois, marchand de grains, agé de trente sept ans, fils du décédé ci après nommé et qualifié  et Pierre Eugène Toicy, employé à cette mairie, âge de cinquante deux ans, tous deux domiciliés en cette ville, lesquels nous ont déclaré que Louis Germain Riquois, marchand de grains, agé de soixante six ans, né à Etampes, fils de feu Louis Germain Riquois et de feu Julie Catherine Barillié, son épouse, tous deux décédé à Etampes, époux de Françoise Elisabeth Bergerat, agée de cinquante huit ans, domicilié en cette ville rue Saint-Martin numéro dix sept, est décédé avant hier à trois heures du soir en cette ville au domicile dudit. Et après nous être assuré du décès, nous avons dressé le present acte que les déclarants ont signé avec nous adjoint susnommé après lecture faite. — [Signé:] E. Toicy. — Jules Riquois. — Breuil.”
AD91 4E 1420  (saisie Bernard Gineste, 2011)
1881 (janvier)
Mariage de Jules Riquois (à Sancheville, Eure-et-Loir) N°1 — Riquois Jules et Popot Marthe Henriette — L’an mil huit cent quatre-vingt-un, le dix janvier à quatre heures du soir, par devant nous, François Auguste Gouache, maire et officier de l’état civil de la commune de Sancheville sont publiquement comparus en la maison commune: Jules Riquois, âgé de trente-sept ans, négociant, domicilié à Étampes (Seine-et-Oise), rue Saint-Martin, numéro dix-sept, fils majeur de feu Louis Germain Riquois, et de Élisabeth Bergerat, sa veuve, propriétaire, domiciliée au même lieu avec son fil, consentant, d’une part; et Marthe Henriette Popot, âgée de vingt-trois ans, sans profession, domiciliée avec ses père et mère, fille majeure de Henry Narcisse Popot, et de Marie Julie Adèle Marcault son épouse, propriétaires, domiciliés ensemble à Sancheville, ses père et mère ici présents et consentants, d’autre part; lesquels nous ont requis de procéder à la célébration de leur mariage dont les publications ont été faites en cette commune les dimanches dix-neuf et vingt-six décembre dernier, et à Étampes les mêmes jours que dessus sans qu’il soit survenu aucune opposition. Faisant droit à cette réquisition, nous maire, vu: l’expédition de l’acte de naissance du futur, constatant qu’il est né à Étampes (Seine-et-Oise), le premier février mil huit cent quarante-trois; l’expédition de l’acte de décès du père du futur, constatant qu’il est décédé à Étampes le cinq juin mil huit cent quatre-vingt; l’acte de naissance de la future, constatant qu’elle est née à Sancheville le neuf novembre mil huit cent cinquante-sept; l’acte par lequel la mère du futur déclare consentir au présent mariage, passé devant Me Masson notaire à Étampes le quatre janvier dernier et enregistré le cinq du même mois; les actes des publications faites en cette commune et le certificat de publications et de non oppostion de la mairie d’Étampes, desquelles pièces il a été donné lecture ainsi que du chapitre VI, titre V, du code civil, intitulé «Du Mariage». Après avoir reçu des futurs époux et de leurs parents par nous interpellés la déclaration qu’il a été fait un contrat de mariage passsé devant Me Houry, notaire à Sancheville, le treize décembre mil huit cent quatre-vingt, ainsi que le constate le certificat qui nous a été remis, nous avons demandé aux requérants s’ils veulent de prendre pour époux; et d’après leurs réponses séparées et affirmatives, nous avons prononcé au nom de la loi que Jules Riquois et Marthe Henriette Popot sont unis par le mariage. De quoi nous avons dressé le présent acte en présence de Joseph Augustin Hureau, âgé de quarante-huit ans, tonnelier, domicilié à Paris, rue de Verneuil, numéro vingt-quatre, cousin de l’époux; Félix Auguste Ernest Dolléans, âgé de trente-trois ans, cultivateur au Grand Chavernoy, commune de Montainville, ami de l’époux; Jean-Pierre Marcault, âgé de quatre-vingt-cinq ans, propriétaire, domicilié à Sancheville, grand-père de l’épouse; Magloire Prosper Ovide Lancelin, âgé de quarante ans, notaire, demeurant à Ablis, cousin-germain de l’épousé; lesquels témoins majeurs ci-dessus dénommés, les époux, le père et la mère de l’épouse, ont signé avec nous le présent acte après lecture. —[Signé:] Marthe Popot — Jules Riquois — J. Marcault — Popot — Marcault — E. Dolléans — Hureau — Lanceleu — Gouache.
AD 28 (saisie de Bernard Gineste, 2016)

Signature des époux Riquois en 1881
1881
Le recensement de 1881 trouve d’une part au n°17 de la rue Saint-Martin: 1° Mme Bergerat veuve Riquois, 66 ans, propriétaire, chef de famille; 2° sa fille Céline Riquois, 43 ans; [Louis Germain, Édouard et  Jules ne sont plus là]; 3° sa fille Olive Riquois, 36 ans; 4° Joséphine Jamin, 19 ans, domestique. — Il trouve par ailleurs au n°122 de la rue Saint-Jacques: 1° Jules Riquois, 37 ans, marchand de grains, chef de famille; 2° Marthe Popot, 24 ans, sa femme; 3° Isménie Vassor, 39 ans, domestique.
AD91 6M 123 (saisie de B.G., 2016)
1881 (décembre)
Naissance de sa fille “N°197 — Riquois Élisabeth Marie — L’an mil huit cent quatre-vingt-un, le vingt-huit décembre à trois heures de relevée, par devant nous Léonard Breuil adjoint spécialement délégué par le maire de la ville d’Étampes, officier de l’état civil de la dite ville, arrondissement d’Étampes, département de Seine-et-Oise, a comparu le sieur Jules Riquois, grainier [sic] âgé de trentesept ans, domicilié en cette ville rue Saint Jacques numéro cent vingt-deux, lequel a présenté une enfant du sexe féminin qu’il nous a dit être née avant-hier à onze heures du matin en son domicile de lui et de Marthe Henriette Popot son épouse, âgée de vingt-quatre ans, avec laquelle il demeure à laquelle enfant il a donné les prénoms de Élisabeth Marie. Les dites déclaration et présentation faites en présence des sieurs Pierre Eugène Tacy employé à cette mairie âgé de cinquante-quatre ans, et Achille Louis Joseph Dujardin, propriétaire, âgé de quarante-sept ans, tous deux domiciliés en cette ville. Et ont le déclarant et les témoins signé le présent acte avec nous adjoint susnommé après lecture faite. — [Signé:] Dujardin — Jules Riquois — E. Tacy — L. Breuil..
AD91 4E 1241 (saisie de B.G., 2016)
1886 (mars)
Décès de Jules Riquois “N°50 — Riquois Jules — L’an mil huit cent quatre-vingt-six, le huit mars à deux heures de relevée, par devant nous Louis Laurent Chenu, maire de la ville d’Étampes, officier de l’état civil de la dite ville, département de Seine et Oise, sont comparus Achille Louis Joseph Dujardin, directeur du service des eaux de cette ville, âgé de cinquante un ans, et Paul Hertzel, employé à cette mairie, âgé de vingt-neuf ans, domiciliés à Étampes, lesquels nous ont déclaré que Jules Riquois, négociant en grains, âgé de quarante-trois ans, né à Étampes et y demeurant rue Saint-Jacques n°122, fils de Louis Germain Riquois et de Élisabeth Bergerat, son épouse, décédés tous deux à Étampes, époux de Marthe Henriette Popot, sans profession, âgée de vingt-huit ans, domiciliée en cette ville, rue et numéro susdits, est décédé hier à sept heures et demie du matin, en sa demeure. Et, après nous être assuré du décès nous avons dressé le présent acte que les comparants ont signé avec nous, maire susnommé, après lecture faite. — [Signé:] Hertzel — Dujardin — Chenu.
AD91 4E 3324 (saisie de B.G., 2016)
1886
Le recensement de 1881 trouve d’une part au n°17 de la rue Saint-Martin: 1° Céline Riquois, 48 ans, rentière, chef de famille; 2° sa soeur Olive, 42 ans; 3° Hélène Noret, 17 ans, domestique — et d’autre part, au n°121 bis de la rue Saint-Jacques: 1° Marie Popot, 28 ans, propriétaire, chef de famille; 2° sa fille Élisabeth Riquois, 4 ans; 3° Constance Bellanger, 18 ans, domestique.

B.G., depuis novembre 2016.

Toute critique, correction ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
BIBLIOGRAPHIE PROVISOIRE
 
Édition

     Bernard GINESTE et qui voudra [éd.], «Jules Riquois, marchand de grains à Étampes (25 place Saint-Gilles, ...1866-1886)», in Corpus Étampois, www.corpusetampois.com/cee-riquois-jules.html, depuis 2016.

Autres sources
       
     Nous faisons appel ici à tous les Étampois pour regrouper d’autres documents intéressant l’histoire de tous les établissements privés et publics du pays étampois à travers les âges. Nous donnons la liste de ce pot-pourri, qui veut garder la mémoire de toutes les entreprises étampoises, ne serait-ce que sous la forme de modestes documents, dans la page «Corpus des établissements étampois», in Corpus Étampois, www.corpusetampois.com/index-cee.html, depuis 2007.
 
 
Toute critique, correction ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
   
Explicit
 
SommaireNouveautésBeaux-Arts — HistoireLittératureTextes latinsMoyen Age NumismatiqueLiensRemerciementsAssociationNous écrire - Mail