Alfred Guffanti
Imprimeur-lithographe à Étampes
98 rue Saint-Jacques,
1835-1845
à l'attention de Monsieur Bernard Gineste
Monsieur,
Vous avez publié en ligne un article très intéressant
et fort documenté sur l'imprimeur-lithographe Albert Guffanti. Je
me permets de vous adresser une modeste contribution portant sur son activité
entre les périodes étampoise et quimperloise : il obtient le
27 janvier 1844 des brevets d'imprimeur et de lithographe pour la ville d'Issoudun
(Indre), "en échange de titres semblables dont il était pourvu
pour la ville d'Étampes" (Bibliographie de la France, 1844, p. 60
; voir également Bancelin-Dutertre, Annuaire de l'imprimerie et de
la librairie, 1845, p. 200)
Par ailleurs, un Jean-Jacques-Frédéric Guffanti est breveté
lithographe le 20 octobre 1821 à Paris ; il était également
graveur et imprimeur en taille-douce ; je ne sais s'il y a un lien de parenté
entre les deux. On trouve une belle lithographie due à ce Guffanti
parisien sur Gallica, sous le titre : Souscription de 200 Billets de 50 Francs...
La Bibliographie de la France pour 1844 n'est pas disponible sur Gallica,
mais elle a été numérisée par une célèbre
firme à lunettes d'après l'exemplaire de la BM de Lyon, et
est donc aisément consultable.
Je ne suis pas Étampois moi-même, mais je m'intéresse
aux imprimeurs, et vous remercie pour l'ensemble des informations dont j'ai
pris connaissance en visitant votre site.
Sincèrement vôtre,
Hervé Le Corre
1802-1835
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Avant son
arrivée à Étampes
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1802
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Naissance d’Albert Paul Emile
Guffanty “à Paris,
département de la Seine (dixième arrondissement), le neuf
pluviose an dix (vingt neuf janvier mil huit cent deux)”.
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Cf. infra.
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1813
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Le 11 juillet, décès
à Paris du père de Guffanty, “Pierre Joseph Guffanti, en son vivant employé”.
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Cf. infra.
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1821
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Un Jean-Jacques-Frédéric
Guffanti est breveté lithographe le 20 octobre 1821 à Paris;
il était graveur et imprimeur en taille-douce; on ne connaît
pas son lien de parenté exact avec Albert.
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Communication d'Hervé
Le Corre (courriel au Corpus Étampois du samedi 8 juin 2013)
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??
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On trouve une belle lithographie
due à ce Jean-Jacques-Frédéric Guffanti parisien sur Gallica, sous le titre: Souscription
de 200 Billets de 50 Francs.
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Communication d'Hervé
Le Corre (courriel au Corpus Étampois du samedi 8 juin
2013)
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Avant 1835
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Séjour de Guffanti
à Melun.
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Cf. infra.
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1835-1843
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Séjour
à Étampes
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1835
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Le 25 avril, mariage de Guffanti: “Du samedi vingt cinq avril mil huit
cent trente cinq, heure de midi. — Sont comparus devant nous Christophe Nicolas
Brichard, premier adjoint au maire d’Etampes, officier public de l’état
civil de la dite ville, — le sieur Albert Paul Emile Guffanti, imprimeur
lithographe, âgé de trente trois ans, domicilié de
cette ville, rue Saint Jacques n°98, né à Paris, département
de la Seine (dixième arrondissement), le neuf pluviose an dix (vingt
neuf janvier mil huit cent deux), fils majeur et en légitime mariage
de feu Pierre Joseph Guffanti, en son vivant employé, décédé
à Paris, le onze juillet mil huit cent treize, et de Elisabeth Gentilhomme,
son épouse, sa veuve, âgée de soixante douze ans, domiciliée
à Fontainebleau, département de Seine et Marne, rue Marrier
n°8. — et la demoiselle Anne Eliacinthe Breton, couturière, âgée
de vingt six ans, domiciliée de cette ville, rue Saint Jacques,
n°140, née au dit lieu, le dix avril mil huit cent neuf, fille
majeure et en légitime mariage de Etienne Gilles Breton, charron,
âgé de cinquante cinq ans, et de Anne Mottereau, son épouse,
âgée de cinquante sept ans, domiciliés à Etampes,
même rue Saint Jacques, n°109. — lesquels nous ont représenté
leurs actes de naissance, l’acte de décès du père
du futur, le consentement au présent mariage donné par la
mère du dit futur par acte passé à Fontainebleau le
seize avril présent mois devant maître Seauiller (?), notaire
en la dite ville, enregistré et légalisé le même
jour au dit lieu, et les actes de publication du dit mariage faits tant en
cette ville qu’en celle de Melun, département de Seine et Marne, lieu
du dernier domicile du futur, les dimanches cinq et douze du courant, sans
opposition. — et après avoir visé ces pièces pour être
annexées, nous en avons donné lecture aux parties comparantes
assistées des quatre témoins ci-après nommés
et qualifiés, ainsi que du chapitre six du titre du mariage sur les
droits et devoirs respectifs des époux. — Ensuite, nous avons reçu
la déclaration du sieur Albert Paul Emile Guffanti, qu’il prend
pour sa légitime épouse la demoiselle Anne Eliacinthe Breton,
et celle de la demoiselle Anne Eliacinthe Breton qu’elle prend pour son
légitime époux le sieur Albert Paul Emile Guffanti, lesquels,
conformément à l’avis du conseil d’Etat du trente mars mil
huit cent huit, ont déclaré et affirmé par serment
que c’est par erreur si dans l’acte de décès du père
du futur, son nom de famille est écrit Suffanty ; que ce nom
est et s’écrit Guffanti, que c’est aussi par erreur si dans l’acte
de naissance de la future le nom de famille de sa mère est écrit
Montereau; que ce nom est et s’écrit Mottereau, ce que les témoins
ont également déclaré et affirmé par serment.
— En conséquence nous avons déclaré au nom de la loi
que le sieur Albert Paul Emile Guffanti et la demoiselle Anne Eliacinte
Breton sont unis par le mariage. — Tout ce que dessus fait à Etampes
en l’ôtel de la mairie, les dits jour, mois et an, en présence
et du consentement des père et mère de l’épouse, et
aussi en présence des sieurs Jean Baptiste Veschueren, ébéniste,
âgé de trente six ans, Valentin Leclerc, entrepreneur de voitures
publiques, âgé de quarante un ans, cousin de l’époux,
Louis Nicolas Drot, épicier, âgé de quarante neuf ans,
oncle de la future à cause de Madeleine Catherine Françoise
Breton son épouse, et Louis Ninon Fagret, serrurier, âgé
de vingt huit ans, cousin germain de l’épouse, à cause de
Lidie Caroline Madeleine Drot son épouse, domciciliés de cette
ville, qui ont signé avec les époux, le père de l’épouse
et nous adjoint susnomé; la mère de l’épouse a déclaré
ne le savoir, après lecture faite. — [Signé:]
A. P. E. Guffanti — A. E.
Breton — E. G. Breton — J. D. Verschueren — V. Leclerc — Drot — Fagret —
Brichard [paraphe].”
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Registre d’état civil d’Étampes
(saisie de Bernard Gineste, 2011)
Signature de Guffanti en 1838
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1836
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Le 23 février,
naissance de la première fille de Guffanti: “Du mardi vingt trois
février mil huit cent trente six, deux heures de relevée. —
Acte de naissance de Ernestine Joséphine Buffanti (1), du sexe féminin, née ce jour à
une heure du matin chez ses père et mère, fille en légitime
mariage de Albert Paul Emile Guffanti, imprimeur en lithographie, âgé
de trente quatre ans, et de Anne Eliacinthe Breton, son épouse, âgée
de vingt sept ans, domiciliés de cette ville, rue Saint Jacques n°98. —
Les témoins ont été les sieurs Augustin Paviot, âgé
de quarante cinq ans, et Charles Paul Chauvet, âgé de trente
ans, tous deux employés à cette mairie, domiciliés de
cette ville. — Sur la représentation de l’enfant et sur la déclaration
du père d’icelui, qui a, ainsi que les témoins, signé
avec nous, premier adjoint au maire d’Etampes, après lecture faite. —
[Signé:] Guffanti — Paviot — Chauvet Simonneau —
Brichard [paraphe].”
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Registre d’état civil d’Étampes
(saisie de Bernard Gineste, 2011)
(1) Ernestine Buffanti,
veuve de Charles Victor Toussard décédé le 22 février
1878 à Elbeuf (Seine-Maritime), domiciliée 31 rue Charlot
à Paris, se remariera à la mairie du IIIe arrondissement,
le 8 janvier 1879, à Charles Audran, né à Quimperlé
le 18 mars 1834, inspecteur des contributions directes à Tout-Croix
(Finistère) et fils du maire de Quimperlé.
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1836
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Le recensement
de 1836 trouve au n°98 de la rue Saint-Jacques: “Albert Guffanti, lithographe, 33
ans — Hyacinthe Breton, sa femme, 27 ans — Ernestine Guffanti, leur fille, 4 mois — Honoré Bourdeau, propriétaire,
75 ans — Adélaïde
Bouché, domestique, 53 ans — Victoire Charpentier, veuve Bizard, sans profession, 56 ans”.
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Recensement de 1836, réédition
numérique en mode image mise en ligne par les Archives départementales
de l’Essonne (saisie de Bernard Gineste 2011).
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1838
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Le 27 août, naissance de la deuxième
fille de Guffanti: “Du mardi vingt huit août
mil huit cent trente huit, onze heures du matin. — Acte de naissance de Mathilde Eugénie Guffanti (1), du sexe féminin, née d’hier à
sept heures du soir chez ses père et mère, fille en légitime
mariage de Albert Paul Emile Guffanti, imprimeur, âgé
de trente six ans, et de Anne Eliacinthe Breton, son épouse, âgée
de vingt neuf ans, domiciliés de cette ville, rue Saint Jacques n°98. — Les témoins ont été les sieurs Etienne Breton,
tailleur d’habits, âgé de vingt cinq ans, oncle maternel de
l’enfant, et Pierre Laporte, commissaire de police de cette ville, âgé
de quarante un an, domiciliés de cette ville. — Sur la représentation de l’enfant et sur la déclaration
du père d’icelui, qui a, ainsi que les témoins, signé
avec nous Christophe Nicolas Brichard, premier adjoint spécialement
délégué par le maire d’Etampes, après lecture
faite. — [Signé:] Laporte — Guffanti — Etienne Breton — Brichard [paraphe].”
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Registre d’état civil d’Étampes
(saisie de Bernard Gineste, 2011).
(1) Mathilde Guffanti
épousera Louis Alexandre Guéroult, bijoutier à Paris.
Leur fils Georges Albert Guéroult mourra à Saulx-les-Chartreux
le 18 juin 1863, âgé de deux mois (d'après cette page
d'actes de Saulx-les-Chartreux mise en ligne par l'association
Epinay Généalogie).
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1839
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Le 5 septembre,
Guffanti reçoit son brevet d’imprimeur, à ce que signale cette
année-là la Bibliographie de la France: “Journal de l’imprimerie. — Administration. — Nominations d’imprimeurs et mutations
de brevets. [...] Guffanti (Albert-Paul-Emile), à Etampes,
5 sept. [...]”.
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Bibliographie de la France,
ou Journal général de l’imprimerie et de la librairie, et
des cartes géographiques, gravures, lithographies et oeuvres de musiques.
XXVIIIe année [624 p.], Paris, Pillet aîné, 1839,
p. 468.
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1840
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En janvier, impression
d’un faire-part de décès du vicomte de Viart, dont un exemplaire
était mis en vente en ligne en 2001 par la Librairie Sylvestrone, pour 45 euros: “Viart, Charles de — Faire-part de décès du vicomte Charles de Viart
— Etampes,
Guffanti, 1839. — manque la partie supérieure du faire-part. — décédé le 30
décembre 1839 en son château de Brunehaut près Etampes.
— Personnes citées:
vicomtesse de Viart, des Rotours, de la Boire, de Hansy, de Camas, de Colonia.”
|
Site Galaxidion, à cette adresse, en ligne en 2011.
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1842
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Guffanti est
signalé par le Bottin comme l’un des deux éditeurs actifs
à Étampes, avec Durandet: “Imprimeurs, Durandet. Guffanti, lithog. et autog.” |
Sébastien BOTTIN
(1764-1853), «Arrondissement d’Étampes», in ID., Statistique
annuelle de l’industrie. Almanach-Bottin du commerce de Paris, des départemens
de la France [1276 p.], Paris, Bureau de l’Almanach du commerce, 1842,
pp. 972-974, spéc. p. 974.
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1844-1845
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Séjour
à Issoudun |
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1844
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Albert Guffanti obtient le 27
janvier 1844 des brevets d'imprimeur et de lithographe pour la ville d'Issoudun
(Indre), “en échange de titres semblables
dont il était pourvu pour la ville d'Étampes”. Il s'y trouve encore en 1845.
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Bibliographie de la France,
1844 (numérisée par Google Books, p. 60 et BANCELIN-DUTERTRE,
Annuaire de l'imprimerie et de la librairie, 1845, p.
200, cités par Hervé Le Corre (courriel au Corpus Étampois du
samedi 8 juin 2013)
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1845-1860
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Séjour
à Quimperlé
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1845-1860
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Guffanti est
signalé comme imprimeur à Quimperlé par l’historien
local Fanch Postic: “Si elle ne peut
être comparée à celle d’autres villes bretonnes, Quimperlé
a toutefois connu au XIXe siècle une activité non négligeable
de presse et d’édition. Jean-Pierre Caën, dit Lion, y obtient
dès 1828 le premier brevet d’imprimeur, mais ses activités
ne s’intensifient qu’à partir de 1833. [...] Louis-Eléonore
Vallot lui succède en 1842, mais ne résiste pas très
longtemps. En 1845, Albert Guffanti-Breton s’installe plus durablement.
Créant aussitôt son propre journal, Le Publicateur du Finistère, il édite
également différents ouvrages en français et en breton,
des chansons sur feuilles volantes... On lui doit aussi, en 1847, l’édition
de la toute première Histoire de Quimperlé (1). Mais l’imprimeur se voit à son
tour contraint de renoncer et de céder, en 1860, son brevet au Lorientais
Théophile Clairet [...].
|
Fanch POSTIC, «Histoire
de la presse et de l’édition à Quimperlé (1re partie)»
[28 p.], in Bulletin de la Société archéologique
du Finistère 131 (2002), pp. 407-434. D’après un résumé
en ligne sur le site Refdoc, http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=15083139,
en ligne en 2011.
(1) Je n'ai trouvé
ni à la B.N.F. ni ailleurs de trace de cet ouvrage (B.G.)
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1845-1860
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D’après le site Topic-Topos,
“au milieu du XIXe siècle, l’imprimeur Guiffanti-Breton fait
reconstruire cette bâtisse [19 rue Savary à Quimperlé]
dont la façade est agrémentée de deux bandeaux sous
deux lucarnes. L’atelier se trouve au premier étage, tandis qu’une
partie du rez-de-chaussée est occupée par le commerce de sa
femme. L’homme crée en 1845 Le Publicateur du Finistère,
un journal conservateur qui disparaîtra en 1903. Il vend son local et
son entreprise en 1860 à Louis-Théophile Clairet (1832-1904)”.
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ANONYME, “Ancienne imprimerie
Clairet, Quimperlé” (avec une photographie récente de la maison
où habita à partir de 1845 Albert Guffanti), in Topic-Topos
(rubrique: Patrimoine industriel et artisanal), http://fr.topic-topos.com/ancienne-imprimerie-clairet-quimperle,
en ligne en 2011.
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1845
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Le 4 octobre 1845 paraît
le premier numéro d’un journal hebdomadaire lancé à
Quimperlé par Guffanti pour remplacer le défunt Annonciateur
de Quimperlé, et qui subsistera jusqu’en 1903: Le Publicateur
du Finistère, littérature, commerce, industrie, agriculture,
annonces diverses et judiciaires (36 cm, puis 50 cm). |
Site Opale-Plus de la BNF.
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1847
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Guffanti publie un tiré
à part signé de Théophile Blin, Réponse à
la lettre de M. l’adjoint au maire de la ville de Quimperlé, insérée
dans Le Publicateur, à la date du 29 mai [in-f° plano
(signé: Blin, membre de la commission d’approvisionnements de Quimperlé,
30 mai 1847)], Quimperlé, imprimerie de Guffanti-Breton, sans
date.
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Site Opale-Plus de la BNF.
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1848
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Guffanti publie un tiré
à part signé de Faugeyroux, Réponse
du citoyen maire de... Scaër au mémoire dénonciatif du
citoyen de Trédern et autres conseillers municipaux de la dite commune...
en date du 18 juillet 1848 [in-4°; 4 p.(signé: Faugeyroux)],
Quimperlé, imprimerie de Guffanti-Breton,1848.
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Site Opale-Plus de la BNF.
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1849
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Guffanti publie une traduction
en breton du livre biblique de la Genèse par Jean-Guillaume Henry (1803-1880), Skrituriou Sakr. Genes, pe levr ar c’ heneliez, lekeat e brezounek gand ann aotrou Iann-Willou
Herry [in-16; VIII+226 p.; en français: “Les Saintes Écritures, la Genèse”], E Kemperle (Quimperlé), moulet e ti Guffanti-Breton,
1849. |
Site Opale-Plus de la BNF.
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1851
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Guffanti publie un ouvrage en breton, Kanaouen ann durzunel [in-12; pièce;
en français: “La tourterelle”], Quimperlé, imprimerie de Guffanti-Breton, 1851.
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Site Opale-Plus de la BNF.
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1851
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Guffanti publie une notice historique signée de J. Lagillardaie,
Le Général Hervo, né à Quimperlé,
le 11 septembre 1766 [in-8°; 26 p.], Quimpoerlé, imprimerie
de Guffanti-Breton, 1851.
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Site Opale-Plus de la BNF.
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1855
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Guffanti publie un poème acrostiche en latin signé d’un prêtre
catholique, Tabourdet, In honorem Beatae Mariae, semper virginis, Deiparae,
summe immaculatae, sine labe conceptae, carmen acrostichis [in-f°
plan; en français: “Poème acrostiche
en l’honneur de la bienheureuse Marie toujours vierge mère de Dieu,
parfaitement immaculée, conçue sans péché”], Quimperlé, imprimerie de Guffanti-Breton, 1855.
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Site Opale-Plus de la BNF.
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1857
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Guffanti publie un essai de l’avocat Félix Briant du Lescoët, Du
Problème de la navigation aérienne [in-8°; 11 p.],
Quimperlé, imprimerie de Guffanti-Breton, 1857.
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Site Opale-Plus de la BNF.
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1858
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Sylvain Peyron (négociant),
Mémoire sur le défrichement des Landes de Bretagne,
par M. Peyron [in-8°; 14 p.], Quimperlé, imprimerie de
Guffanti-Breton, 1858.
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Site Opale-Plus de la BNF.
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1858
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Jean-Guillaume Henry (1803-1880),
Buez Hor Zalver Jezuz-Krist... kennighet d’ar vretouned gant
ann aotrou lann-Willou Herry [in-12; II+422 p.; en français:
“Vie de Notre Sauveur Jésus-Christ”], E Kemperle (Quimperlé), moulet e ti Guffanti-Breton,
1858.
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Site Opale-Plus de la BNF.
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1860-?
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Retraite
à Paris?
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sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
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