Me Eugène Froville, huissier à Etampes (3 rue de l'Hôtl-de-Ville, ...1880-1913...)

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1) Tampon de Me Froville sur une de ses lettres en 1903

Tampon de Me Froville sur une de ses lettres en 1903

En vente sur un site d’enchères en ligne en 2015

	Renseignements	Sources
1875	Eugène Louis Froville, né le 17 avril 1852 à Villiers-le-Mahieu (aujourd’hui dans les Yvelines), fils de Louis Froville et de Marie Joséphine Potier, clerc de notaire à Thoiry (aujourd’hui dans les Yvelines), se marie le 5 octobre 1875 à Marcq (aujourd’hui dans les Yvelines) avec Rosalie Caroline Blondeau née en 1855.	Pages du site geneanet.org en 2015,résumée par B.G.
1903	Exemple de tampon et de lettre	En vente sur un site d’enchères en ligne en 2015.
1911	Le recensement d’Étampes trouve au n°3 de la rue de l’Hôtel-de-Ville deux foyers: d’une part Henri René Pillas né à Étampes en 1873, agent d’assurance, patron et son épouse Aline Marie née aussi à Étampes en 1875, modiste, patronne; et d’autre part: Eugène Louis Froville, néen 1852 à Villiers-le-Mahieu, huissier, patron; son fils Henri, né en 1880 à Étampes, clerc d’huissier employé par son père; Angèle Vassor née en 1879 à Paris, domestique, bonne employée par Eugène Froville.	AD91 6M 127 (résumé par B.G., 2015)
1913	«Huissier. — Étampes: M. Froville, impasse Sainte-Croix [c’est l’impasse Saulay]; M. Maire, 12, rue de l’Hôtel-de-Ville; M. Greux, 1, rue des Cordeliers. — La Ferté-Alais: M. Trudon. — Méréville: M. Barrué. — Milly: MM. MM. Genet et Privez. — Chambre des huissiers. — Syndic: M. Genet, à Milly. — Rapporteur: M. Privez, à Milly. — Trésorier: M. Froville, à Étampes. — Secrétaire: M. Greux, à Étampes. — Membre: M. Trudon, à la Ferté-Alais.»	Almanach d’Étampes pour 1913, p. 70 = BHASE 16 (mai 2015), p. 78.
1914	«3 U/2768 – Tribunal d’instance d’Etampes (...) mention d’Eugène-Louis [sic] Froville, huissier près le tribunal civil d’Etampes, mobilisé (15 décembre 1914).»	Dominique Bassières, Guide des sources sur la Première Guerre mondiale en Essonne (1914-1918), t. 2, pp. 419-420. Il doit s’agir d’une erreur, car c’est certainement le fils d’Eugène Froville, Henri, né en 1880, qui est alors mobilisé, et non pas son père né en 1852, alors âgé de 63 ans.

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