Bernard Gineste
Charles-Augustin Burtel, artiste-peintre
séjournant à Étampes en 1859
|
A. — Qui est Burtel?
Nous avons acheté en avril 2018, au hasard et pour quelques euros,
un pli posté à Étampes le 13 octobre 1859 à
l’intention d’un certain maître Champie, notaire à Nogent-le-Rotrou,
sans connaître son contenu ni son expéditeur.
Il s’avère
qu’il est signé d’un certain «Burtel, artiste-peintre à
Étampes». De cet artiste pourtant, le Musée intercommunal
(fondé il est vrai seulement en 1874) ne conserve aucune œuvre,
et il n’a laissé aucun souvenir à Étampes même,
ni dans aucun ouvrage ou dictionnaire de référence.
L’état
civil étampois de 1792 à 1902 n’a enregistré la naissance
ni le mariage ni le décès d’aucun Burtel. Plus étonnamment
encore ni le recensement de 1856 ni celui de 1861 ne mentionnent qui que
ce soit de ce nom à Étampes. Pourtant l’adresse qu’il donne
à son correspondant le 2 août 1859, «Burtel, artiste-peintre
à Étampes», sans plus de précision, indique
assez clairement que vers cette époque le facteur qui verra arriver
la réponse saura le trouver sans encombre, et par suite c’est un
séjour de quelques semaines sinon de quelques mois que notre artiste
fait alors dans cette ville.
On
est donc fondé à croire qu’il s’agit d’un artiste-peintre
itinérant à la manière de ce que seront à la
génération suivante les tout premiers photographes, partageant
leur activité entre plusieurs villes selon les saisons et les opportunités,
à la demande. De fait la lettre que nous venons d’acheter semble
faire allusion à des difficultés que Burtel a rencontrées
pour se faire payer d’une cliente de Nogent-le-Rotrou en Eure-et-Loir,
à savoir d’une certaine madame Bordet, sans parler d’une certaine mademoiselle Pauline
Dujardin avec laquelle il ne se rappelle pas avoir eu affaire.
À force de chercher, nous avons tout de même fini par
trouver de ci de là mention de plus d’une vingtaine d’œuvres de cet
artiste-peintre, entre 1824 et 1859. Le prénom de Burtel n’est jamais
mentionné, mais la rareté même de son patronyme nous
autorise à supposer qu’il s’agit bien à chaque fois du même
homme. La Gazette des Tribunaux nous donne ses prénoms: Charles-Augustin,
à l’occasion de la fondation, puis de de la dissolution d’une entreprise
grâce à laquelle il voulait créer et exploiter une manufacture
de papiers-peints.
Nous voyons qu’en 1813 il résidait à
Paris au n°14 de la rue du Cadran; en 1824 au n° 10 de la «rue du Petit Lion St.-Denis»,
c’est-à-dire sans doute de la rue du Petit-Lion-Saint-Sauveur qui
touche de fait à la rue Saint-Denis, et où décède
sa mère en 1827; vers 1835 au n°15 de la rue des Petites-Ecuries, et en 1837 au 20 de la rue de Reuilly,
20.
On remarquera, dans
ce tout premier catalogue, deux paysages acquis par le futur roi
Louis-Philippe dont ils ornèrent le Palais Royal jusqu’à son
saccage lors des événements de 1848. Ils constituent une
preuve disparue mais irréfutable de ce qu’au moins au début
de sa carrière, le talent de Burtel rencontra un certain succès.
Bernard Gineste, avril 2018.
B. — Ébauche de catalogue
(intégrant toutes les données
biographiques disponibles)
Nous
donnons donc ci-après le premier catalogue qui ait jamais été
proposé des œuvres signalées de Burtel, et nous les rangeons
par ordre chronologique, en deux parties. Tout d’abord viennent celles
de ses œuvres pour lesquelles nous avons une date ou un élément
de datation, de 1824 à 1861. Ensuite, celles qui ont été
signalées sans pour autant être datées par des catalogues
de vente au enchères, de 1980 à 2017.
|
L’ancienne rue parisienne du Petit Lion Saint-Sauveur
|
|
Œuvres avec éléments
de datation
|
|
|
1813 — Charles-Augustin BURTEL,
domicilié 14 rue du Cadran, fils mineur du défunt Jean-Ignace
et de Geneviève-Augustine Douine se marie le 5 juin 1813 en l’église
Saint-Roch avec Charlotte Dussard.
|
AD75 Mayet T37, p. 120.
|
01. et 02.
|
1824 — “BURTEL, rue du Petit-Lion-St.-Denis,
n. 10
“259 — Paysages, même numéro.
“260 — Paysage au fixé.”
|
Explication
des ouvrages de peinture et dessins, sculpture, architecture et gravure,
des artistes vivans exposés au Musée Royal des Arts le 25 août
1824.
(256 p.), Paris, C. Ballard, 1824, p. 33, n°259 et n°260 |
03.
|
1824 — BURTEL, Deux paysannes en conversation sur un chemin de sable
près d’un chalet (Two peasant women in conversation
on sandy path near a cottage), huile sur toile de 28,9 cm sur 28 (9
pouces sur 11), signé Burtel et daté de 1824.
|
Catalogue de la vente Nagel
du 11 juin 1986 à Stuttgart, lot n°1736.
|
04.
|
1824 — “N°162. BURTEL. Vue du château
d’Eu, 1824.”
“Évaluation des dévastations qui ont eu lieu
dans le domaine privé de Louis-Philipe, le 24 février 1848.
— Pendant trente années,
prince ou roi, Louis-Philippe s’était plu à embellir par
de grands travaux le Palais-Royal et le château de Neuilly. Quelques
heures ont suffi à la démagogie triomphante pour anéantir
l’œuvre bienfaisante de tant d’années. — Je me propose de faire connaître en chiffres la valeur
approximative de cette immense destruction. […]
“Tableaux
détruits. Palais royal […] 24. BURTEL. Vue de la ville d’Eu
(fixé sur verre) — 25. BURTEL. Vue du pont de Neuilly. [C’est notre numéro
10.] […]”
|
Jean Vatout, Notices historiques sur
les tableaux de la galerie de S.A.R. Mgr. le duc d’Orléans. Tome
quatrième, Paris, sans mention d’éditeur, 1826, p. 452,
n°169.
Marthe-Camille Bachasson
comte de Montalivet, Le Roi Louis-Philippe; liste civile. Nouvelle
édition entièrement revue et considérablement augmentée,
Paris, Michel-Lévy frères, 1851, pp. 332 et 347, n°24.
|
|
29 juillet
1827 — Décès de Geneviève Augustine Douine, le 29
juillet 1827 à Paris, 1er arrondissement ancien.
|
AD75 V3E/D 473 (état civil reconstitué)
|
|
29 juillet
1827 — Geneviève Augustine Douine, propriétaire, âgée
de 65 ans, résidant 10 rue du Petit Lion Saint-Sauveur, épouse
de Jean Ignace BURTEL, ayant un fils (ou des fils?) pour héritier de
102.154 francs de biens dont 101.000 de bien immobiliers et 1.154 de biens
mobiliers.
|
Jean-Louis Rosenthal [historien de l’économie
et de la Révolution] (fichier Excel Ineg.1827.indiv.xls élaboré
en 2002, en ligne en 2018, ici), s’appuyant sur les données du bureau 9,
cote 644, item 3641.
|
05.
|
Avant 1833 — “54. BURTEL. — Paysage italien boisé
et orné de jolis lointains; il est baigné par un ruisseau
que passent à gué un voyageur et une paysanne montée
sur un âne et précédée d’une vache et d’un
chien. Plus loin, sur l’autre rive, un jeune paysan demande sa route à
la maîtresse d’une petite habitation. — Tab. [tableau] — Pay. [paysage] — T. [toile] — 14 = 19 - 9 [??].”
|
Catalogue d’un joli choix
de tableaux anciens et modernes provenant du cabinet de MM. Alph.
Giroux, dont la vente aura lieu les lunid 16 et mardi 17 décembre
1833 matin et soir dans la salle de vente, passage Vivienne n° 7. Exposition
publique le dimanche 15 de midi à quatre heures. Le catalogue se distribue
chez Me Petit commissaire-priseur boulevart Poissonnière n. 141 et
chez M. Henry expert des musées royaux, rue de Cléry n. 21
(in-8° ; 35 p.), Paris, Henry, 1833, p. 16, n°54.
|
|
1835 — “Sociétés
commerciales. (Loi du 51 mars 1833.) — D’un acte passé devant Me Casimir Noël, notaire à Paris, soussigné, et son collègue aussi
notaire à Paris,1e 7 février 1835, portant ensuite cette mention:
Enregistré à Paris, bureau n° 2, le 12 février
1835, fol. 119, R° case 2; reçu 5 fr. 50 c., dixième compris,
signé Laforcade, — Contenant société de commerce pour la création
et l’exploitation d’une manufacture de papiers peints. — Entre M. Charles-Augustin BURTEL, propriétaire, demeurant
à Paris, rue des Petites-Ecuries, n. 15: — Et M. Nicolas-Adolphe LAPEYRE, dessinateur pour papiers peints,
demeurant aussi à Paris, rue de Popincourt, n. 12. — A été extrait ce qui suit: — Ladite société a été formée
en nom collectif; sa durée a été fixée à
dix ans, à partir du jour de la publication de l’acte dont est extrait.
— Il a été stipulé
par cet acte que le siège de la société serait établi
a Paris, Petite-Rue-de-Reuilly, n. 20. — Que la raison sociale serait A. LAPEYRE et BURTEL; — Et que l’administration de ladite société appartiendrait
aux deux associés indistinctement. — Il a encore été dit que M. BURTEL apporterait à
ladite société une somme de 35,000 francs; — Et que M. LAPEYRE n’apporterait à cette même société
que son industrie de dessinateur sur papiers peints et ses connaissances
pour leur fabrication, leur vente et l’exploitation en général
d’une manufacture de ce genre de commerce. — Pour extrait: — Signé Noël. (336).”
|
Gazette des Tribunaux 10/2963 (jeudi
19 février 1835), p. .926.
|
|
1837 — “Sociétés
commerciales. (Loi du 51 mars 1833.) — [...] Appert d’un acte sous signature privée fait double
à Paris le 12 juillet 1837, enregistré le même jour,
fol. 110, case 7, par Chambert qui a reçu 5 fr. 50 cent. — Entre M. Charles-Augustin BURTEL, artiste peintre demeurant à
Paris, rue des Petites-Ecuries, 15, ci-devant, et actuellement rue de Reuilly,
20, d’une part; — Et M. Nicolas-Adolphe
LAPEYRE, dessinateur pour papiers peints demeurans à Paris, rue de
Popincourt, 12, ci-devant et actuellement rue de Reuilly, 20, d’autre part;
— Que la société
de commerce établie en nom collectif entre les sieurs Burtel et Lapeyre
susnommés, suivant acte passé devant Me Casimir Noël
et son collègue, notaires à Paris, en date du 7 février
1835 enregistré, sous la raison sociale: A. LAPEYRE et BURTEL, est
dissoute à partir dudit jour 12 juillet 1837; Et que M. Burtel reste
liquidateur de ladite société.”
|
Gazette des Tribunaux 12/3700 (mercredi
19 juillet 1837), p. .926
|
06. et 07.
|
Avant 1840 — “166. M. BURTEL. Paysage avec rivière;
sur le devant, on voit des laveuses. — 167. DU MÊME. Paysage avec petite
fabrique, près de laquelle une femme étend du linge.”
|
Catalogue de tableaux,
aquarelles, dessins, lithographies, ustensiles d’atelier et quelques armes
qui seront vendu après le décès de M. Latteux peintre
de paysage, d’architecture et de fleurs, Hôtel des Ventes rue des
Jeûneurs 16 salle n°1er, les mercredi 29 et jeudi 30 avril,
à midi très précis, par le ministère de Me
Pierret commissaire-priseur rue Favart 8, assisté de M. Gérard
peintre-expert rue du Sentier 26. Exposition publique le dimanche 26 avril
de midi à 5 heures (in-8° ; pièce), Paris, Gérard,
1840, p. 15, nos 166-167.
|
08.
|
Avant 1847 — “BURTEL. — Paysage orné de figures.”
|
Catalogue d’une collection
de tableaux des différentes écoles, dont la vente aura lieu
Hôtel des Ventes, rue des Jeûneurs, n. 16, salle n. 1 les
vendredis 5 et samedi 6 mars 1847, par le ministère de Me Bonnefons
de Lavialle commissaire-priseur rue de Choiseul 11, assisté de
M. Gérard peintre-expert impasse Mazagran, 6. Exposition publique
le vendredi jour de la vente de 11 heures à 2 heures (21 cm
; 12 p.), Paris, Maulde et Renou, 1847, p. 11, n°127
|
09.
|
1847 — BURTEL. — Paysage romantique à
la rivière, huile sur panneau de 37 cm sur 48 cm, signée
Burtel et datée de 1847.
|
Catalogue d’une vente du 13 novembre
1990 (cité sans plus de précision par le site internet mercantile
Artnet).
|
10.
|
Avant 1848 — “Évaluation des dévastations
qui ont eu lieu dans le domaine privé de Louis-Philipe, le 24 février
1848. — Pendant trente années, prince ou
roi, Louis-Philippe s’était plu à embellir par de grands travaux
le Palais-Royal et le château de Neuilly. Quelques heures ont suffi
à la démagogie triomphante pour anéantir l’œuvre
bienfaisante de tant d’années. — Je me propose de faire connaître en chiffres la valeur
approximative de cette immense destruction. […]
“Tableaux
détruits. Palais royal […] 24. BURTEL. Vue de la ville d’Eu
(fixé sur verre) [C’est notre numéro
04. daté de 1824] — 25. BURTEL. Vue du pont de Neuilly.”
|
Marthe-Camille Bachasson comte
de Montalivet, Le Roi Louis-Philippe; liste civile. Nouvelle édition
entièrement revue et considérablement augmentée,
Paris, Michel-Lévy frères, 1851, pp. 332 et 347, n°25.
|
|
13 octobre 1859 — Lettre de Burtel.
Monsieur Champie
Notaire à Nogent le Rotrou
Eure et Loir
[Tampon
postal n° 1:] Étampes (72) — 13 oct. 59
[Tampon postal n° 2:] Paris à Brest — 13 oct.59
[Tampon postal n° 3:] Nogent le Rotrou — 14 oct. 59
Etampes ce 13 octobre 59
Monsieur
Je ne
comprends rien à la convocation en votre étude que m’adresse
une demoiselle Pauline Dujardin dont je nai jamais entendu parler de ma
vie. Je n’ai jamais eu de compte à régler avec personne de
ce nom et tout me porte à croire qu’un de vos clercs a fait erreur
de nom, en m’adressant cette circulaire. Vous comprenez Monsieur, que le
voyage d’Étampes à Nogent aller et retour est assez coûteux
pour qu’on ne l’entreprenne qu’à bon escient. Je n’ai pas envie
d’être promené par Melle Pauline Dujardin, comme je l’ai été
par Me Bordet dont vous me vantiez la haute solvabilité, et qui
contrairement aux clauses stipulées dans notre vente a retenu pendant
6, ou 8 mois les fonds qui m’appartenaient. Moi, Monsieur, je ne connais
de solvable que les gens qui soldent, et telle riche quelle puisse être,
Made Bordet ne sera jamais solvable pour moi. J’attends encore qu’elle puisse
se vanter de m’avoir soldé.
Je compte
assez, monsieur, sur votre loyauté et votre obligeance pour espérer
quelques mots d’explication de vous, qui me prouvent que la circulaire
en question m’était bien adressée, et que le sujet pour lequel
on me convoque chez vous est pour moi d’un intérêt assez
majeur pour que je puisse espérer d’être indemnisé
des frais que ce voyage me coûterait.
Recevez Monsieur l’assurance de mes sentiments
distingués.
Burtel
Artiste-peintre à Étampes (Seine et Oise)
|
Collection, scans ci-dessous et saisie
de Bernard Gineste, 2018.
|
11.
|
Avant 1861 — “23 — BURTEL. — Paysages ornés
de figures. (Deux pendants.)”
|
Catalogue de tableaux anciens,
aquarelles, pastels, gouaches et quelques tableaux modernes dont la vente
aura lieu Hôtel des Commissaires-priseurs, rue Drouot, n°5,
salle n°3 le samedi 5 janvier 1861 à midi par le ministère
de Me Vaunois commissaire-priseur 37 rue Lafitte, assisté de M.
Dhios expert, rue Le Peletier 33, chez lesquels se distribue le catalogue.
Exposition publique le vendredi 4 janvier 1861 de une heure à cinq
heures (22 cm; 8 p.), Paris, Renou et Maulde, 1861, p. 4, n°23.
|
|
Œuvres sans élément de datation
|
|
12.
|
(Vente de 1980) — BURTEL, Paysage animé de personnages. — Huile sur panneau de 12,7 cm sur 17,8 (5 pouces sur 7). |
Catalogue de la vente Martin
et Courtois du 10 décembre 1980 à Angers, lot n°345.
|
13.
|
(Vente de 1982) — BURTEL, Paysage avec paysans et animaux (Landscape with
countryfolk and animals), huile sur toile de 45,7 cm sur 63,5.
|
Catalogue de la vente Christie’s
du 26 novembre 1982 à Londres, lot n°463.
|
14.
|
(Vente de 1985) — BURTEL, Figures dans un paysage (Figures in a landscape),
huile sur toile de 20,3 cm sur 27,9.
|
Catalogue de la vente Bonhams
du 28 novembre 1985 à Londres, lot n°91.
|
15. et 16.
|
(Vente de 1996) — BURTEL, Vues présumées du château de Coussay
(Vienne), 12 cm sur 19.
|
Catalogue de la vente Beaussant
et Lefevre du 29 mai 1996 à Paris, Oil Paintings, Watercolours,
Drawings & Sculpture, lot n°29.
|
17.
|
(Vente
de 1998) — BURTEL,
Paysage de rivière avec ferme et figures (River
landscape with farm and figures), huile sur
toile de 48,3 cm sur 63,5. |
Catalogue de la vente Schuler du 15 septembre
1998 à Zurich, Oil Paintings, Watercolours & Works of Art,
lot n°4368.
|
18.
et 19.
|
(Vente
de 2013) — “113. BURTEL (Actif en Allemagne [sic] au XIXe siècle).
Paysages aux promeneurs. Paire de toiles marouflées
sur panneaux à vue ovale, 15 x 20 cm. L’un est signé en bas
à gauche, Burtel. [Estimé] 400/600 € la paire.”
|
Drouot. Olivier Couteau-Bégarie
commissaire-priseur. Mercredi 29 mai 2013 à 14h00. Hôtel
Drouot, salle 5 et 6, 9 rue Drout, 75009 Paris. Chasse – Mobilier. Objets
d’art, p. 64, n°113.
|
20.
|
(Vente de 2013) — “Lot 153 - École française
vers 1800, BURTEL***. Paysage en bord de rivière, toile,
coupée dans les angles inférieurs, 11 X 14 cm, signée
en bas à droite: Burtel. Manque.
|
Catalogue en ligne de la vente Tajan,
Paris,
Tableaux anciens et du XIXème siècle,
se finissant le 10 avril 2013, lot n°159.
|
21.
|
(Vente
de 2017) — “341 — Coffret à lettres en placage
de loupe orné de bronze doré en applique à décor
de fleurs et palmettes. Sur le dessus, une gouache figurant un paysage animé
d’une scène galante signé en bas BURTEL. L’intérieur
a deux pochettes en maroquin rouge portant la marque Chez
Alphonse Giroux, Rue du Coq Saint-Honoré à Paris. XIXème
siècle — 31 x 25 cm 4,5 cm — [Estimé] 400/600 €. — Résultat
1 100 €.”
|
Briscadieu Bordeaux. Maison de ventes
aux enchères, Hôtel des Ventes Bordeaux Sainte-Croix,
12-14, rue Peyronnet - 33800 Bordeaux — S.A.S. Briscadieu Bordeaux (agrément
2002 304) — Ventes aux enchères publiques — Provenance : Collections
particulières et successions de Bordeaux et du Sud-Ouest — 1ère
partie : Samedi 2 décembre 2017 à 14h30. — Hôtel
des ventes Bordeaux Sainte – Croix. Dessins anciens / tableaux anciens /
tableaux XIXème et modernes. Peintures bordelaises et régionalisme
/ arts d’Asie / Mobilier et objets d’arts. — 2ème partie : Lundi 4
décembre 2017 à 14h30. Hôtel des ventes bordeaux sainte
– Croix. — Arts d’Asie / Faiences / bijoux / argenterie, p. 60-61, n°341.
|
|