Poète anonyme
Charles IX bienfaiteur du collège d’Étampes
Inscription sur marbre, 1564
COMMENTAIRE ET TRADUCTION
Nous ne connaissons
plus que par le témoignage de Dom Fleureau, qui écrivait
vers 1668, l’existence et la teneur d’une inscription datant de 1564, par
laquelle les Étampois avaient exprimé leur reconnaissance
au roi Charles IX pour sa bienfaisance en faveur de leur Collège.
Elle était gravée sur une plaque de marbre placée
sur la tourelle qui fait l’angle entre la rue Saint-Antoine et la rue Magne.
Depuis, le collège a traversé
la rue, et le bâtiment qui l’avait d’abord abrité a été
profondément remanié au XIXe siècle. On a alors
pieusement conservé une partie de l’ancienne tourelle; mais la
plaque de marbre en avait alors depuis longtemps déjà disparu,
peut-être sous la Révolution. Au moins, son aspect originel
nous a été conservé par un lavis de Narcisse Berchère
conservé au Musée d’Etampes, où l’on voit encore
l’emplacement de cette ancienne inscription.
Les auteurs qui se sont exprimés
jusqu’à présent sur cette inscription n’ont pas jugé
opportun d’en évoquer un trait important du point de vue littéraire,
probablement parce que cela leur a paru inutile, concernant ceux de leurs
lecteurs qui connaissaient le latin, et fastidieux pour les autres. En
l’occurrence il faut nettement distinguer, du point de vue du style et
du genre littéraire, les deux dernières lignes de l’inscription
des deux premières.
Le titre du poème
Les deux premières lignes
de l’inscription constituent une phrase nominale de style officiel à
visée purement informative: Bienfaisance de Charles IX. Roi
Très-Chrétien des Gaules envers les études étampoises.
C’est tout bonnement
le titre du poème qui suit. Il s’agit de commémorer un acte
d’évergétisme royal, avec une mention très brève
du bienfaiteur et de sa titulature officielle, réduite au strict
minumum, ainsi que des bénéficiaires.
Rappelons qu’il y avait trois
Gaules dans la géographie
antique, la Gaule Belgique, la Gaule Celtique et l'Aquitaine. Quant au
pluriel de scholas, il ne signifie évidemment pas qu’on distingue
ici plusieurs «écoles» ou établissements distincts,
mais doit s’entendre au même sens où nous disons encore «les
études».
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Lavis de Narcisse Berchère (1889)
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Le poème lui-même: un distique élégiaque
Les deux lignes suivantes constituent
un poème de facture classique, sous la forme qu’on appelle, depuis
l’Antiquité grecque, distique élégiaque.
Pour le commun des lecteurs, il
est nécessaire de dire ici quelque chose de la poésie gréco-latine.
Elle est fondée sur une nette distinction, disparue dans la plupart
des langues modernes, entre syllabes longues et syllabes brèves,
syllabes qu’elle fait alterner selon des rythmes complexes. Un vers latin
n’est pas donc constitué d’un nombre fixe de syllabes comme c’était
le cas de la poésie française classique, mais d’une succession
définie de mètres constitués eux-mêmes d’une
série définie de syllabes.
Il existe quantité de mètres
différents, mais un distique élégiaque n’en utilise
que quatre: 1) le dactyle, constitué d’une syllabe longue
suivie de deux syllabes brèves; 2) l’anapeste, constitué
de deux syllabes brèves suivies d’une longue; 3) le spondée,
constitué de deux syllabes longues; 4) le trochée,
enfin, constitué d’une longue suivie d’une brève.
Le distique élégiaque est formé comme son
nom l’indique d’un couple de vers qu’associent fréquemment les
maîtres de l’élégie, à savoir d’un hexamètre
dactylique, et d’un pentamètre.
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Le premier vers:
un hexamètre dactylique
L’hexamètre dactylique
est constitué, comme son nom l’indique, par une série de
six mètres, dont le cinquième est nécessairement
un dactyle. Les quatre mètres précédents sont,
indifféremment, des dactyles ou des spondées; le dernier,
soit un spondée, ou un trochée. On observe usuellement, dans
l’hexamètre dactylique, une césure penthémimère,
c’est-à-dire, comme son nom l’indique, située après
le cinquième demi-mètre, et donc après la première
syllabe, nécessairement longue, du troisième mètre.
Voyons notre hexamètre:
Munere (dactyle) structa tu- (dactyle) -o quod ha-
(dactyle, avec césure après la première syllabe)
-bent hæc (spondée) tecta Ca- (dactyle
cinquième) menæ (spondée).
L’œil du latiniste reconnaît
facilement le premier hémistiche: Munere structa tuo, «bâtis
par ton office», dont le noyau structa se rapporte, par une
prolepse usuelle en poésie au complément d’objet du verbe
de la subordonnée introduite par quod: quod habent hæc
tecta Camenæ, «puisque les Camènes possèdent
ces toits ».
L’ordre des mots, d’autant plus expressif en latin qu’il est beaucoup
moins contraint qu’en français, tout en se coulant avec aisance
dans la forme poétique obligée, exprime soigneusement la
hiérarchie des informations: 1) idée d’évergétisme,
de bienfait public (munere), 2) idée plus précise
d’un bâtiment (structa), 3) adresse au bienfaiteur (tuo),
4) lien de cause à effet, et donc implicitement de gratitude (quod,
«puisque»), 5) gratitude due à une jouissance (habent),
6) désignation précise du bâtiment, à savoir
celui qui porte l’inscription (hæc tecta) sous une forme doublement
poétique (puisque qu’elle associe le pluriel poétique à
la métonymie, «ces toits» pour «ce bâtiment»),
7) désignation savante et indirectes des bénéficiaires
sous la forme d’une abstraction personnifiée, Camenæ,
«les Camènes», désignation savante des «Muses»,
divinités qui incarnent traditionnellement les différents
aspects de ce que le français contemporain appelle un peu platement
«la Culture».
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Charles IX (camée des années
1630)
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Le deuxième
vers (pentamètre)
Passons au deuxième vers. Ce pentamètre est constitué
comme il se doit de deux dactyles, que suivent un spondée,
puis deux anapestes, avec une césure obligée au
milieu du spondée central. Examinons cela: Justiti- (dactyle), -a ut re- (dactyle,
avec un hiatus excusé par la longueur du -a qui marque l’ablatif
et ne s’élide donc pas), -gnes et (spondée, avec césure
centrale), pieta- (anapeste) -te rogant (anapeste).
L’œil du latiniste reconnaît facilement le premier hémistiche:
Justitia ut regnes, «avec justice que tu règnes»
du suivant: pietate rogant, «avec piété demandent».
Une erreur de traduction à corriger: grammaire, bon goût...
Il se présente ici du point de
vue de la grammaire une ambiguïté, qui n’a été
remarquée, semble-t-il par aucun de ceux qui se sont risqués
jusqu’ici à proposer une traduction de ces vers. Comme il arrive
souvent, on suit le premier traducteur dans ses interprétations sans
les reconsidérer fondamentalement et c’est ainsi que des phrases
même très célébres ont pu être comprises
et traduites de travers pendant plusieurs générations (l’exemple
le plus connu étant la fameuse phrase de saint Rémi lors
du baptême de Clovis, «Courbe la tête, fier Sicambre!»,
qu’il faut en fait traduire par «Enlève tes talismans, Sicambre!»).
En l’occurence on a dans ce vers deux ablatifs, justitia et pietate,
«par justice» et «par piété»,
qui peuvent se rapporter à ut regnes (comme on l’a compris
jusqu’ici), mais aussi bien à rogant (comme je le suppose
pour ma part).
Dans le premier cas, les Muses, pour prix de
leur reconnaissance, demandent que le roi règne avec justice et
piété; dans le deuxième cas, les mêmes Muses,
comme de juste et avec piété, demandent que le jeune Charles
IX commence de règner. Au lecteur d’examiner quelle interprétation
lui paraît la plus légitime. Est-il bien adroit, en guise
de remerciement, de souhaiter à son bienfaiteur des qualités
morales, qu’apparemment il ne posséderait pas encore?
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Charles IX âgé de 11 ans, par
François Clouet
(Kunsthistorisches Museum de Vienne)
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... et contexte historique
En revanche il est juste de souhaiter
à un bienfaiteur quelque nouvelle prospérité. De
fait Charles IX n’a que quatorze ans en 1564, et il ne règne pas
effectivement: c’est encore sa mère, Catherine de Médicis,
qui exerce la réalité du pouvoir, assisté du chancelier
Michel de Lhospital. En effet, si Charles IX a bien été
proclamé majeur le 17 août 1563, âgé seulement
de treize ans, ce n’est pour l’heure qu’une pieuse fiction. Sa mère
et lui entreprennent alors un long voyage initiatique à travers
le royaume, du 24 janvier 1564 au 1er mai 1566, sans passer d’ailleurs par Étampes.
Mais il faut se rappeler que le chancelier Michel de Lhospital possédait
un domaine dans le pays étampois, où il se retira en 1568,
après que sa politique de conciliation nationale eut échoué.
C’est fort probablement à ce dernier que les Étampois durent
en définitive le bienfait que célèbre cette inscription.
Quant à l’idée de
piété, il ne faut pas l’entendre dans le sens
restreint qu’a pris ce mot de nos jours, et qui le réserve à
la sphère religieuse, même si on est alors en plein dans les
guerres de religion; mais bien plutôt dans le sens extrêmement
large qu’il a en latin. La pietas, pour les Romains, n’est pas
un sentiment intime, mais une exactitude exemplaire à remplir ses
devoirs dans tous les domaines de la vie, tant familiale que sociale, voire
politique. C’est pratiquement, ici, un pur et simple synonyme de justitia.
La justitia est ici la rectitude, et la pietas est le
sens du devoir: en l’occurence
le dévouement que commandent la personne et la cause du roi, dévouement
que plus tard, en d’autres
temps, commandera l’intérêt de la patrie.
En d’autres termes, un roi qui montre si jeune un tel souci du bien
public mérite bien de régner avant l’âge, mais,
outre la reconnaissance, c'est le sentiment de qui est juste et le
sens du devoir qui inspirent aux Muses d’Étampoises
les souhaits qu’elles
forment en faveur de son avènement. C’est
d’ailleurs ce contexte
idéologique qui conduira Catherine de Médicis à proclamer
d’une façon
quelque peu factice la majorité de Charles IX en août 1563,
âgé de seulement treize ans, alors que le pays est en pleine
décomposition politique et menacé de toutes parts.
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Date réelle
du poème: entre le 30 décembre 1561 et le 17 août
1563
Selon Fleureau l’inscription se terminait par la date de 1564. Cependant
les lettres patentes de Charles IX que nous avons conservées, et
qui confirment et augmentent les avantages concédés le
20 avril 1560 par son frère
et prédécesseur François II, remontent quant à
elles au 30 novembre 1561.
Charles Forteau, en 1910, après avoir édité
la charte de Charles IX de 1561, rappelle le texte de la plaque de 1564,
et en conclut, un peu rapidement, que cette inscription célèbre
une deuxième libéralité de Charles IX, dont nous
n’aurions pas gardé d’autre trace.
C’est assez difficile à croire. Il faut plutôt penser
que cette charte, éditée pendant une période troublée,
à la fin de 1561, n’a eu d’effet que bien plus tard, car l’année
1562 a été particulièrement impropre aux travaux
de restauration d’une école. Léon Marquis par exemple nous
rappelle (Les Rues d’Étampes, p. 13), citant Fleureau (Antiquités...,
p. 237), que, «depuis le 8 mai au 13 novembre,
il y eut toujours huit corps de garde dans la ville, tant des habitants
que de la garnison. Étampes fut transformé en magasin de
vivres pour l’armée royale»; du 19 au 21 septembre le roi
lui-même aurait été présent au camp d’Étampes; malgré
cela, ou plutôt en plus de cela, la ville fut prise le 13 novembre par les protestants, qui
y restèrent jusqu’au 2 janvier 1563.
Les dégâts
liés à cette occupation furent importants, notamment dans
les églises «qu’ils avoient profanées
en les faisant servir d’étables à leurs chevaux» (Fleureau, p. 239); et il y eut sans doute tout
le long de l’année suivante des travaux plus
urgents à effectuer que la réfection des locaux du collège;
les caisses ne devaient pas être bien pleines. On est donc fondé
à penser que ces travaux n’aboutirent, et que notre plaque ne put
être gravée et apposée que dans le courant de l’année
1564.
Du reste, ainsi que nous l’avons
vu, le texte même de ce poème donne à penser qu’il a
été composé avant la proclamation de la majorité
de Charles IX, soit avant le 17 août 1563, alors
que le roi n’avait que douze ans, peu après que François
Clouet en ait fait le portrait que nous avons reproduit ci-dessus.
Composé probablement pendant les travaux eux-mêmes,
sinon même avant, dès la réception des lettres patentes
du 30 novembre 1561, il n’a donc
été gravé et apposé sur la tourelle du collège
qu’à leur
terme, dans le courant de 1564, alors que le vœu qu’il exprimait était déjà, théoriquement,
réalisé: la majorité du roi avait été
proclamée.
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Traduction, ou plutôt adaptation proposée
Comment maintenant traduire ce texte,
sans qu’il y perde trop de plumes? La meilleure des adaptations précédentes
est certainement la toute première, qui en ait été
proposée par Charles Forteau en 1910, car elle rend notre distique
élégiaque par un distique d’alexandrins:
Les Muses
que tu mets à l’abri dans ces lieux
Prieront
pour que tu sois un roi juste et pieux.
Mais elle est un peu loin du texte
et repose à notre sens sur l’erreur d’interprétation que
nous venons de dénoncer. En outre, comme il arrive presque toujours,
le latin est trop concentré pour être rendu avec toutes ses
nuances par deux vers français, seraient-ce des alexandrins.
Comment de plus faut-il rendre Camenæ? «Camènes»
serait trop obscur, et «Muses» trop plat; il nous faut un
terme plus savant que l’un, et moins obscur que l’autre, et c’est pourquoi
nous proposons une courte périphrase intelligible du plus grand nombre:
«les neuf sœurs».
Voici donc la traduction que nous proposons de cette
mémorable inscription:
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BIENFAISANCE DE CHARLES IX, ROI TRÈS
CHRÉTIEN DES GAULES
POUR LES ÉTUDES A ÉTAMPES
PUISQU’ELLES
VIVENT SOUS UN TOIT
QU’ON
LEUR A BÂTI GRÂCE A TOI,
LES NEUF
SŒURS, DÛMENT, JUSTEMENT,
RÉCLAMENT
TON AVÈNEMENT
1564
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Bernard Gineste, janvier 2006
Rappel pour mémoire des
traductions proposées avant la nôtre
Les Muses que tu mets à l’abri dans ces lieux
Prieront pour que tu sois un roi juste et pieux.
(rapportée par Charles
Forteau en 1910)
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Charles, Roi de France,
C’est ta bienfaisance
Ta générosité,
Qui voulut abriter
Les Muses en ces lieux
Sous ton règne glorieux.
(Léon Guibourgé, 1952)
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Le collège d’Étampes est
redevable de cette maison à la bienfaisance de Charles IX, roi
de France. Puisse la justice et la piété faire à
jamais le soutien de son trône. C’est le vœu que font les Muses pour
prix de l’asile que la générosité leur donne en ces
lieux.
(rapportée par Charles Forteau en 1910)
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Le collège d’Étampes est
redevable de cette maison à la générosité
de Charles IX, roi très chrétien de France. Les Muses qui
doivent cet abri à ta générosité prient pour
que ton règne soit juste et pieux.
(Nadia Authelin, rapporté par De Wever en 1991)
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Toute critique, correction ou contribution
sera la bienvenue. Any criticism or contribution welcome.
|
BIBLIOGRAPHIE
Éditions
Dom Basile FLEUREAU
[barnabite, ancien directeur du collège], Les Antiquitez
de la ville, et du Duché d’Etampes [in-4°; 622 p.; rédigé
entre 1662 et 1668; publication posthume par Dom Remy de Montmeslier,
également Barnabite et ancien directeur du collège], Paris,
J.-B. COIGNARD, 1683 [réimpression: Marseille, Lafittes reprints,
1977], p. 422.
Édition électronique par
le Corpus Étampois: http://www.corpusetampois.com/che-17-fleureau-c14.html.
Maxime de MONTROND, «Collège d’Étampes»,
in ID., Essais historiques sur la ville d’Étampes (Seine-et-Oise).
Tome II, Paris, Debécourt, 1837, p. 62, note 1 (l’auteur localise mal la plaque de marbre,
semblant ignorer l’emplacement originel du collège
lui-même).
Léon MARQUIS, Les rues d’Étampes
et ses monuments... pouvant servir de suppléments et d’éclaircissement
aux Antiquités... d’Etampes, de Dom Basile Fleureau [in-8°;
438 p.], Étampes, Brière, 1881 [réimpressions: Marseille,
Lafitte reprints, 1986; Éditions de la Tour Gile, 1996], p. 149.
Narcisse BERCHÈRE, Rue Magne
et Collège [aquarelle montrant l’emplacement de l’inscription],
1889: conservé au Musée d’Étampes.
Édition électronique
par le Corpus
Étampois: http://www.corpusetampois.com/cae-19-berchere001ruemagneetcollege.html.
Charles FORTEAU, Le Collège Geoffroy-Saint-Hilaire
à Étampes [in-16; 147 p.], Étampes, Lecesne-Allien,
1910, pp. 9-10.
Chanoine Léon GUIBOURGÉ,
Étampes, ville royale [in-16 (20 cm); 253 p.], Étampes,
chez l’auteur (imprimerie de la Semeuse), 1957 [réimpression: Péronnas,
Éditions de la Tour Gile, 1997], pp. 111-112,
Édition électronique par le Corpus Étampois: http://www.corpusetampois.com/che-20-guibourge1957etampes308college.html.
Patrick & Marie-José DE WEVER
& Jean-Louis DUCLOS [C.A.H.O.R.: CERCLE ARCHÉOLOGIQUE ET HISTORIQUE
D’ORMOY-LA-RIVIÈRE], Guettard , un savant du XVIIIe, un
jardin & un collège [27 p. non numérotées;
brochure de format A4; 44 illustrations], Étampes, Lions Club d’Étampes
[«Cahiers du Lyons Club d’Étampes» n°1], 1991 (non
paginé; pour l’inscription latine, les auteurs se sont appuyés
sur Nadia AUTHELIN, alors professeur de lettres-classiques au collège
Jean-Étienne Guettard).
Bernard GINESTE [éd.], «Poète anonyme:
Charles IX bienfaiteur du Collège d’Étampes
(inscription sur marbre, 1564)», in Corpus Étampois,
http://www.corpusetampois.com/cls-16-1564inscriptio.html,
2001-2006.
Sur la charte de Charles IX de 1561
Elle a été éditée en 1910 par Charles
FORTEAU, op. cit., pp. 7-9. Nous en redonnerons le texte ultérieurement
dans une page spécifique.
Bibliographie
sur Histoire de l’Éducation au Pays d’Étampes
CORPUS ÉTAMPOIS,
«Vers une Histoire de l’Éducation au Pays d’Étampes: base de données
(depuis 2007)», in Corpus Étampois, http://www.corpusetampois.com/cbe-histoiredeleducation.html,
depuis 2007.
Toute critique, correction
ou contribution sera la bienvenue. Any criticism or contribution
welcome.
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