|
|
BHASE n°14 (mars 2015)
Préface de Clément Wingler pp. 3-8 Inventaire de la série N pp. 10-110 1 N – Biens communaux pp. 10-43
N – Bois pp. 44-54
N – Eaux pp. 56-63
N – Propriétés. Bâtiments divers pp. 64-99 5 N – Biens nationaux pp. 100-105 6 N – Concessions au cimetière pp. 106-110
Table des 25 illustrations p. 111-113
Bulletinhistorique et arché.ologique duSud-Essonne
..
Publication du Corpus Étampois,
et, pour ce numéro, des Archives Municipales d’Étampes.
Directeur de publication : Bernard Gineste 12 rue des Glycines, 91150 Étampes redaction@corpusetampois.com
BHASE n°14
Bulletin historique et archéologique du Sud-Essonne
Numéro coédité par le Corpus Étampois et les Archives Municipales d’Étampes
mars 2015
Ce numéro du BHASE est une deuxième version numérique d’un ouvrage publié par les Archives Municipales d’Étampes, au format A4, et avec un tirage papier limité, sous le titre :
COLLECTION OUTILS ET DOSSIERS - VOLUME 1
Clément WINGLER
LES BIENS COMMUNAUX DANS LES ARCHIVES D’ÉTAMPES
Inventaire de la Série N (1789-1982)
Archives municipales d’Étampes Avril 2015
La présente édition dans le cadre du BHASE n’en diffère que par le format et la mise en page.
Préface
L’intérêt grandissant du public pour l’histoire d’Étampes aux XIXe et XXe siècles nous conduit à engager la refonte des anciens instruments de recherche élaborés par les Archives municipales avant l’an 2000. Plus complets, car tenant compte de la découverte ou de l’entrée dans les fonds communaux de documents dont l’existence était ignorée il y a vingt ans, les nouveaux inventaires se veulent aussi plus détaillés, plus
attractifs grâce aux techniques modernes d’impression, et aussi plus aisément accessibles puisque consultables en ligne sur le site internet de la Ville d’Étampes et celui du Corpus Étampois, où ils feront l’objet d’enrichissements réguliers.
Pour inaugurer cette nouvelle collection des « outils et dossiers », nous nous sommes intéressés aux documents de la série N du cadre de classement traditionnel des Archives communales, en l’occurrence à la série qui regroupe – pour la période de 1789 à 1982 – les pièces relatives aux « biens communaux, terres, bois et eaux », à l’exclusion de celles sur les « édifices communaux » que le même cadre de classement range dans la série M (à savoir les monuments et établissements
publics) et de celles sur le « régime des eaux » (dont les rivières) qui ressortissent de la série O.
Dans le cas d’Étampes, la série N est représentée par cent trente-six dossiers, ce qui en fait la plus petite (1,80 ml) après celle des cultes à l’époque concordataire (série P). Le plus notable de ses dossiers est peut-être celui des titres de propriété du bois et de la tour de Guinette (cote 1 N 10), lequel permet de retracer les péripéties de l’ancien donjon royal entre le moment où il est vendu au titre des biens nationaux (en 1796) et celui où il intègre le patrimoine de la Ville (en 1859-1860). Le lecteur intéressé par ce qui a pu subsister du système défensif d’Étampes au XIXe siècle pourra également consulter avec profit les dossiers 1 N 1 et 1 N 2 dont les pièces concernent notamment la tourelle du rempart donnant sur le Jeu de Paume (1800-1813).
D’une manière plus générale la série N illustre l’effort des municipalités successives pour donner de l’air à ce qui ne s’appelle pas encore le plan d’urbanisme. La plupart des acquisitions de terrains et d’immeubles faites par la collectivité s’expliquent en effet par le projet de tracer des promenades, des voies nouvelles, des places qui désengorgent et sont autant de traits d’union entre les habitants et les quartiers. Ainsi en est-il de l’aménagement d’une promenade publique à Coquerive entre 1801 et 1847 (1 N 7), du percement de la rue Paul-Hugo en 1826-1827 (4 N 1), de l’extension de la place Dauphine (place de la Nouvelle-Comédie) en 1845-1846 (4 N 2), de l’agrandissement de la place de l’Hôtel-de-Ville en 1898 (1 N 18 et 4 N 9 à 4 N 12), et plus récemment de l’urbanisation des pentes et du quartier de Guinette par des logements à loyer minimum (1 N 25 et 1 N 26), de l’aménagement du carrefour du Pont-de-Pierre en 1961-1963 (1 N 27), de la percée de la grande sente de la Juine en 1971-1974 (4 N 26), et de
l’agrandissement de la place de la Gare en 1974-1976 (1 N 35 et 1 N 36).
Nous savons que les moments de guerre ont souvent des conséquences dévastatrices pour les propriétés communales. Si le patrimoine d’Étampes sort indemne du premier conflit mondial, les édiles se doivent de trouver durant toute la période et au-delà des logements pour les soldats et les réfugiés, au besoin en louant des immeubles privés (4 N 16) ainsi que des moulins dont celui du Port (4 N 17) et le moulin Bascle (ou Badran inférieur), que la Ville finit par acheter en 1921 (4 N 18). Éloignée de la zone des combats entre 1914 et 1918, la localité subit en revanche des bombardements pendant la Deuxième Guerre mondiale, qui font d’elle une ville-martyr. Dix-sept dossiers versés par le service municipal en charge des finances rappellent l’étendue des sinistres pour les bâtiments communaux et le parcours du combattant qu’il a été nécessaire de suivre afin d’obtenir entre 1944 et 1963 des indemnités pour dommages de guerre (4 N 20). À titre d’exemple, le dossier 4 N
20.15 retrace les étapes de reconstruction (entre 1945 et 1962) de l’aile gauche de la salle des fêtes, ancienne sous-préfecture, de nos jours école de musique (4 N 20.15).
Parfois, les acquisitions de biens immobiliers justifiées par de grandes réalisations entraînent la disparition d’immeubles vénérables qui avaient façonné l’histoire locale. Le percement de la rue Paul-Hugo s’accompagne de la destruction des vestiges de l’ancienne boucherie, dont quelques titres de propriété ont fort heureusement survécu : ils sont annexés à l’acte d’achat de cette propriété par la Ville (4 N 1). C’est aussi le cas pour la salle de spectacles des époux Hoyau, rasée en 1845-1846 pour agrandir la place de l’Ancienne-Comédie (4 N 2). Enfin, certains projets initialement ambitieux ont vu leur cours dévié pour raisons diverses. Lorsque la Ville achète en
1971-1972 deux propriétés non bâties entre la caserne des pompiers et la rivière, elle pense pouvoir y construire un centre administratif regroupant mairie et sous-préfecture ; en définitive, ces terrains donneront naissance au square du 19- Mars-1962 (1 N 29). Et quand la commune décide d’acquérir la Villa des Lys en 1976, c’est avec l’idée non suivie dans les faits d’en tirer un logement pour le secrétaire général de la mairie et de convertir son jardin en parc pour les habitants du quartier Saint-Martin (4 N 29).
En revanche, d’autres projets sont couronnés de succès, comme l’achat successif de maisons rue du Perray (aujourd’hui, rue de la République) entre 1858 et 1868, de manière à disposer en propre d’une salle d’asile et d’une école des filles pour le quartier Saint-Pierre (4 N 4, 4 N 5 et 4 N 7). Bien que généralement soucieuse de conserver son patrimoine, la Ville sait aussi se séparer de terrains devenus inutiles ou les affermer. En 1870 elle aliène au profit d’Achille Blot la vieille ruelle de la Sonnette (dite aussi ruelle du Tour-du-Chat), située aux abords immédiats de la place Saint-Gilles (1 N 14) ; quatre ans plus tard, elle vend au fondeur Lory une partie de la ruelle Saint-Jean (1 N 16), et en 1976 elle se sépare d’un terrain boulevard Berchère, permettant ainsi à la Caisse d’épargne d’aménager un parking (1 N 33). En outre, ville à la campagne, Étampes confie volontiers l’exploitation de prés, de jardins marais, et d’autres biens fonciers communaux à des agriculteurs et à des artisans. Louis Richaud exploite en 1812 un pré au Petit Saint-Mars (1 N 6), la même année un cordier acquitte le droit d’entreposer son matériel dans la tourelle du rempart, tout en établissant ses filoirs le long du Jeu de Paume (1 N 2), et dans la première moitié du XIXe siècle des pièces de terre appartenant à la Ville sont cultivées par des agriculteurs locataires aux abords de la porte Saint-Jacques (1 N 8), mais aussi à la vallée Collin où se trouvent du reste la foire aux
chevaux (1 N 9) et en 1870 une scierie mécanique (1N 15). Des baux de location de jardins marais situés promenade des Prés sont encore conclus en 1890 (1 N 18). Une autre source de revenus appréciable pour la collectivité est la mise en adjudication de la coupe et de la vente de l’herbe des sentes et fossés, et surtout des arbres bordant les promenades communales ainsi que les rivières. Dans la série N, trente et un dossiers traitent de la question entre 1801 et 1907. Les essences rencontrées sont très majoritairement des peupliers et des ormes, parfois des frênes et des platanes. Un cas particulier est celui de l’abattage en 1834 des arbres plantés sur l’ancien cimetière Notre-Dame, attenant à la promenade du Port, où doit être établi un nouveau Jeu de Paume (2 N 15).
Quant aux pièces relatives aux « eaux » (puits publics, mares et abreuvoirs…), elles sont assez peu nombreuses. Il faut néanmoins retenir le dossier sur le puits de Sainte-Barbe entre 1809 et 1842, lequel est d’abord situé assez loin face au portail occidental de l’église Saint-Basile, puis déplacé et reconstruit en raison de la gêne qu’il représente pour les usagers toujours plus nombreux de la grand-route de Paris à Orléans (3 N 2), mais aussi les minces dossiers sur les puits de la rue Saint-Mars (3 N 2), du carrefour Aux-Chats (3 N 3), de la rue du Sablon (3 N 9) et de la rue Sans-Pain (3 N 4), sans oublier les puits des hameaux de Guignonville (3 N 8), de L’Humery (3 N 6) et du Chesnay (3 N 7). Il faut noter que les Archives conservent aussi le dossier d’acquisition par la Ville de la mare de Guignonville en 1863 (3 N 10) et les pièces administratives qui permettent de suivre les projets d’alimentation en eau des écarts ruraux entre 1930 et 1960 (3 N 17 à 3 N 20).
Pour conclure ce court aperçu, il nous reste à évoquer brièvement la sous-série 5 N, représentée par quatre dossiers sur les adjudications ou la restitution de biens nationaux entre 1792
et 1801, et la sous-série 6 N, qui rassemble treize registres et dossiers sur les concessions dans les cimetières d’Étampes entre 1819 et 1935.
Clément Wingler
Directeur des Archives Municipales d’Étampes
Sommaire
1 N – BIENS COMMUNAUX |
pages 10-43 |
2 N – BOIS |
44-54 |
3 N – EAUX |
56-63 |
4 N – PROPRIÉTÉS. BÂTIMENTS DIVERS |
64-99 |
5 N – BIENS NATIONAUX |
100-105 |
6 N – CONCESSIONS AU CIMETIÈRE |
106-110 |
Table des 25 illustrations |
111-113 |
Plan de situation du terrain Jacques Rabereau, du Jeu de Paume et de la tourelle du rempart en date de 1800 (1 N 1)
INVENTAIRE DE LA SÉRIE N
1 N – Biens communaux
destinée à recevoir les instruments du jeu de paume et louée par la Ville à un cordier dont les filoirs sont établis le long du Jeu de Paume faisant partie de la promenade – tourelle du rempart que la Ville souhaite être reconnue inaliénable (25 mai et 12 juin 1813) ; état des revenus possédés par la commune d’Étampes en biens ruraux et communaux (4 mai 1813) ; courrier du maire au sous-préfet, relatif au dit état (10 mai 1813) ; inventaire des titres, plans, baux, papiers et renseignements concernant les biens de la commune d’Étampes cédés à la Caisse d’amortissement par la loi du 20 mars 1813et qui ont été remis par le maire au receveur des Domaines à Étampes (16 avril 1813) ; état des biens de la commune d’Étampes qui se trouvent dans les exceptions prononcées par la loi du 20 mars 1813 (23 septembre 1813).
27 mars 1807 au 21 novembre 1810) contenant cinquante feuillets, 18 x 24 cm.
29 décembre 1810 au 1er août 1818) contenant cinquante feuillets, 18 x 24 cm.
prix des terrains dont l’échange est prévu : premièrement (appartenant au sieur Guettard) une portion de pré situé entre la nouvelle promenade du Port et sis entre les deux rivières, tenant au canal de décharge du moulin du sieur Gerosme et d’autre bout sur la Juine, deuxièmement (appartenant à la Ville) deux petites portions de terre au bout de ladite promenade et tenant d’un côté à la promenade et de l’autre au mur soutenant la berge de la Juine en face du moulin, et troisièmement (appartenant à la Ville) un petit terrain situé près de l’abreuvoir au bout de la ruelle de Vendôme et faisant partie de la promenade des anciens remparts de la ville (28 septembre 1813) ; deux plans du petit jardin appartenant à la Ville et sis près l’abreuvoir de la ruelle du Mouton (Latourte, arpenteur, plume et encre rouge, 22 x 28 cm, 29 juillet 1820) ; acte sous seing privé de transaction entre la Ville et Romain Pierre Guettard [marchand meunier demeurant à Étampes, au moulin des Fontaines], en son nom et représentant son père Romain Étienne Guettard : transaction stipulant que la plantation de la nouvelle promenade [du Port ou de Coquerive] restera en l’état, que les arbres plantés par le sieur Guettard seront déplantés et reportés, qu’il sera planté à frais communs des bornes sur les limites des propriétés respectives, et que la Ville cédera au sieur Guettard le terrain situé au bout de la ruelle de Vendôme, 22 messidor an IX [11 juillet 1801] ; extrait du registre des délibérations du Conseil municipal du 1er mai 1809 demandant au maire de faire ratifier ladite transaction par les autorités ; quatre pièces relatives à l’enquête de commodo et incommodo préalable au projet d’échange (27-29 novembre 1813) ; procès-verbal de l’enquête (1er décembre 1813) ; lettre au maire, non signée et non datée, mais postérieure à l’hiver an XIII (1805), dont l’auteur retrace les étapes de l’affaire Guettard, de l’établissement de la promenade de Coquerive (ou promenade du Port) par la commune, de ses plantations, et de l’arche servant de passage aux eaux de la propriété de M. Mahy, l’auteur de la lettre
demandant aussi l’autorisation d’enlever des pierres à l’ancienne église Saint-Pierre, pour continuer l’arche de la partie d’eau du sieur Mahy en face de sa propriété ; procès- verbal établi par Jean Sagot, notaire à Étampes, de dépôt en son étude, par Charles Bouraine, maire d’Étampes, de deux pièces écrites, l’une d’un acte passé le 25 floréal an XII [25 mai 1804] entre la commune et Pierre Gerosme, propriétaire du moulin du Port, acte contenant différents échanges de terrain pour l’établissement d’une promenade, et l’autre acte étant la copie de la loi du 29 ventôse an XII [20 mars 1804] autorisant lesdites conventions (10 prairial an XII/30 mai 1804) ; procès-verbal de dépôt (aux minutes du notaire Venard) de deux actes, l’un sous seing privé, de transaction entre la Ville et Romain Pierre Guettard, en son nom et représentant son père Romain Étienne Guettard, à propos de la promenade de Coquerive ou du Port, acte du 22 messidor an IX [11 juillet 1801] enregistré à Étampes le 28 septembre 1813, et l’autre acte étant l’ampliation de l’ordonnance du roi du 2 juillet 1823 contenant ratification du dit acte de transaction (24 novembre 1824) ; procès-verbal de l’huissier Houdin, à la requête de Mathurin Laurent Millochau et de Françoise Gérosme, son épouse, protestant contre la manière dont la Ville a réalisé ladite promenade et ses plantations au voisinage des prés dont les intéressés sont propriétaires (25 août 1847) ; lettre de Hêtre Dramard (avocat représentant Innocent Gérosme, frère de Pierre Gérosme) adressée au préfet et qui rappelle l’achat (le 6 mai 1791) par M. Gérosme père, à M. Petit de Laborde, de terrains faubourg Evezard, promenade du Port, sur lesquels ont été élevés l’ancien moulin du Port et le moulin neuf du Port, lettre par laquelle Innocent Gérosme proteste contre le non-respect par la Ville de l’exécution des clauses de l’acte d’échange du 29 ventôse an XII [20 mars 1804] (21 janvier 1819).
Procès-verbal d’arpentage, mesurage et bornage du terrain Guettard à Coquerive, dressé le 27 septembre 1813 (1 N 7)
Plan du petit jardin appartenant à la Ville et sis près l’abreuvoir de la ruelle du Mouton dressé le 29 juillet 1820 (1 N 7)
Plan de situation de terrains situés entre, d’une part la porte Saint- Jacques, le bureau de l’octroi, le haut de la place du Port et la pointe du Petit-Caporal, d’autre part le cimetière Notre-Dame et Saint-Basile, dressé le 3 février 1832 (1 N 8)
porte Saint-Jacques], terrain cadastré B 847 (étude Daveluy, 31 décembre 1857) ; vente du dit terrain par Floréal Robert, veuve de Josué Jacob Boulé, et par Georges Hutteau et Adélaïde Ermance Boulé, son épouse, à Charles Philippe Boulland (étude Godin, 1er avril 1856) ; acte de vente du dit terrain par Athanase Colas Desfrancs et Flore Marie Jarron, son épouse, à Josué Jacob Boulé (étude Godin, 15 avril 1841) ; acte de notoriété concernant la famille Jarron (étude Ronceray à Orléans, 15 mai 1840).
5e jour complémentaire an IV/21 septembre 1796) ; administration du département de Seine-et-Oise : vente [au titre des Domaines nationaux] à Pierre Étienne Delaville, serrurier, demeurant à Étampes, d’une maison qui dépend des ci-devant religieuses de la Congrégation, et sise au lieu-dit carrefour des Religieuses, ainsi que d’un terrain dit « la tour de Guinette », ledit terrain engagé à Louis-Philippe Joseph d’Orléans (9 fructidor an IV/26 août 1796 – copie certifiée conforme du 12 mai 1832) ; arrêté du préfet autorisant M. de Grandmaison à planter une haie vive sur son terrain le long de la route numéro 191 de Corbeil à Mantes (23 février 1831) ; acte sous seing privé entre Auguste Grandmaison et Louis Cantien Delepine, prévoyant que dès son entrée en jouissance du terrain de Guinette, le premier louera au second une pièce de terre sur ledit terrain, bordant le boulevard Henri-IV (17 octobre 1830) ; acte sous seing privé entre Auguste Grandmaison et Louis Cantien [De]lepine, le second se désistant de son bail (21 novembre 1831) ; note non signée et non datée rappelant, d’une part les conditions de l’adjudication à M. Delaville du terrain dit « la tour de Guinette », le 9 fructidor an IV/26 août 1796, d’autre part les conditions de la vente du même terrain par M. Pailhès à M. Boivin, le 5e jour complémentaire an IV/21 septembre 1796 ; note non signée et non datée commentant les titres de propriété successifs de la tour entre 1796 et 1830 ; certificat (établi par M. Bertrand [géomètre]) de mesurage du bois d’agrément de Guinette, appartenant à M. de Grandmaison (9 décembre 1854) ; six lettres à propos du terrain de Guinette, écrites par Léon de Laborde (15 janvier 1842), M. de Grandmaison (1er juillet 1845 et 13 décembre 1845), et le maire d’Étampes (21 juin 1851, 11 août 1855 et 26 janvier 1860) ; acte sous seing privé : promesse de vente par Félicie Tailleux à la Ville d’Étampes, du bois de Guinette où se trouvent la vieille tour et un joli pavillon (21 mars 1859) ; arrêté du préfet autorisant la Ville d’Étampes à acquérir ladite
propriété de Félicie Tailleux (27 septembre 1859) ; déclaration tenant lieu de quittance pour ladite acquisition (25 septembre 1860) ; quittance par Félicie Tailleux à la Ville d’Étampes (étude Daveluy, 1er février 1860) ; testament de Louis Prosper Pétigny, curé de Notre-Dame d’Étampes (étude Daveluy, 15 mars 1853) ; inventaire après le décès de Louis Prosper Pétigny, curé de Notre-Dame d’Étampes [et oncle de Félicie Tailleux] (étude Daveluy, 2 août 1856) ; acte de vente par Félicie Tailleux à la Ville d’Étampes du bois de Guinette où se trouvent la vieille tour et un joli pavillon (étude Daveluy, 11 octobre 1859 – dépôt de l’approbation, 21 novembre 1859) ; notoriété après le décès de Louis Prosper Pétigny, curé de Notre-Dame d’Étampes [et oncle de Félicie Tailleux] (étude Daveluy, 31 juillet 1856) ; acte de vente par Mme Floréal Robert, veuve de Josué Jacob Boulé, à Louis Prosper Pétigny, prêtre chanoine honoraire du diocèse de Versailles, curé doyen de Notre-Dame d’Étampes, du bois de Guinette où se trouve la vieille tour et un joli pavillon (étude Godin, 1er mai 1855).
« dans laquelle existe une mare commune presque toujours à sec » (3 avril 1864) [demande restée sans suite].
Acte de vente par J.-B. Pailhet à Pierre Boivin du terrain entourant et contenant la tour de Guinette, en date du 21 septembre 1796 (1 N 10)
Plan de situation de la rue de la Sonnette, dressé le 10 mai 1870 (1 N 14).
Plan de situation de la ruelle Saint-Jean vers 1870 (1 N 16)
établi par le géomètre Danger (plume et aquarelle sur toile, 1/200e, 27 x 19 cm, sans mention de date).
Jules Couteau, garde champêtre, à la Ville d’Étampes, de deux chambres froides dans l’immeuble sis 42 rue de la Boucherie, lesdites chambres étant destinées à servir d’asile de nuit pour les voyageurs indigents (14 novembre 1884) [voir aussi 1 N 19] ; bail à loyer par Xavier Fourgeau, propriétaire, à la Ville d’Étampes, pour trois, six ou neuf années, d’un immeuble situé 15bis rue des Belles-Croix, pour servir d’habitation au receveur de l’octroi municipal (1er juin 1882) ; contrat par lequel Xavier Fourgeau s’engage à construire deux bâtiments à l’entrée de l’avenue de Bonnevaux, sur la promenade des Prés, à l’extrémité nord-est du Marché franc, avec façade sur la promenade des Prés, la Ville se chargeant de faire les fondations, et bail de location à la Ville des dites constructions à partir du 1er janvier 1889, pour douze années (12 octobre 1888) ; bail à loyer par la Ville et pour une durée de neuf années, à Ernest Eugène Labbé, marchand bimbelotier, demeurant place de l’Hôtel-de-Ville, du droit exclusif d’apposer des affiches ou des cadres pour les recevoir, sur tous les murs contournant la propriété de M. Labbé du côté de la nouvelle place de l’Hôtel-de-Ville (20 juin 1898) ; étude Prat-Marca : dépôt d’acte sous signatures privées avec reconnaissance d’écriture par le maire de la Ville d’Étampes et François Pourrageaud, négociant, le 4 juin 1898 : bail à ferme fait et donné par la Ville à M. Pourrageaud, pour la perception des droits de place et de stationnement dans la ville, sur les dépendances de la grande voirie : routes nationales numéros 20 et 191, et pour la perception des droits de place les jours de marché sur les places Notre-Dame, de l’Hôtel-de-Ville et Saint- Gilles (20 février 1896).
Plan de situation des propriétés de l’Armée de l’Air sises Pente-de-Guinette, en 1952 (1 N 25)
Guinette (1/2500e, octobre 1951 et avril 1952) ; plan de situation des propriétés de l’Armée de l’Air sises Pente-de-
Guinette (1/5000e, [1952]) ; correspondance entre la Ville d’Étampes et le ministère de la Défense, secrétariat d’État aux
forces armées (Air) [général Maurice Challe] (1951-1952) ; arrêté préfectoral de déclaration d’utilité publique du changement d’affectation des terrains domaniaux nécessaires à la réalisation du projet susvisé (1955) ; historique de la propriété des terrains : pièces administratives et de correspondance relatives à l’acquisition des dits terrains par le ministère de l’Air (1935-1940) : expropriation de Marie Penot, veuve Mille (terrain cadastré B 1733 et B 1734 P), et vente à l’État par Pierre Louis Marcel Bouilloux-Lafont, et aliénation par la Ville d’Étampes à l’État de la parcelle B 1732 ; acquisition par la Ville d’Étampes des parcelles cadastrées B 1743 à 1746 P, Pentes-de-Guinette, appartenant à Louise d’Aleyrac, veuve de Raimond de Chambaudouin d’Erceville (1950-1954) ; plan parcellaire des terrains appartenant au comte
d’Erceville (1/2500e, octobre 1951) ; avis favorable des Domaines (octobre 1953).
Plan d’ensemble des terrains Couté et Kayatt de Chessé, aux lieux-dits La Vallée-Collin, Guinette, Pente-de-Guinette, Murger-de-la-Bataille et Gros- Moreux, vers 1963 (1 N 26)
la-Bataille et Gros-Moreux (1/5000e, sans mention de date) ; plan d’ensemble des terrains concernés sur le plateau de
Guinette (1/2000e ; Bonnamy, géomètre ; [1964]) ; arrêté préfectoral de déclaration d’utilité publique du 17 janvier 1963 ;
état parcellaire cadastral du 17 janvier 1963. – Terrain de madame Godeau, bordant le chemin rural numéro 44, parcelle ZB 88, Murger-de-la-Bataille : avant-projet de construction de 109 logements. – Comprend : état descriptif sommaire (Léon Moyne et Claude Charpentier, architectes ; 27 mai 1963) ; plan de masse (1/2000e, Léon Moyne et Claude Charpentier, architectes ; 27 mai et 4 novembre 1963) ; demande de permis de construire du 27 mai 1963 ; avant-projet de construction de 26 pavillons individuels : plan de masse (1/1000e, Léon Moyne et Claude Charpentier, architectes ; 27 mai 1963) et devis descriptif sommaire (27 mai 1963) ; demande de permis de construire du 27 mai 1963 ; propriété de M. Huret, plateau de Guinette, chemin vicinal numéro 3 de Saint-Martin à Brières- les-Scellés, parcelle ZB 109 : projet de construction de 9 immeubles soit 144 appartements : esquisse de plan de masse (1/1000e ; V. Elmayan, architecte ; 10 juillet 1963) ; esquisse de plan de situation (1/5000e, V. Elmayan, architecte ; 10 juillet 1963) ; S.C.I. « La Ville Haute » [route nationale numéro 191, La Vallée-Collin] : avant-projet de construction d’immeubles : plan de répartition, plan de masse, plan de situation et plan parcellaire (1/1000e et 1/10000e, B. Allain et F. Prieur,
architectes ; juillet 1963) ; demande de permis de construire (sans mention de date) ; délibération du Conseil municipal du
12 juillet 1961 ; projet de construction d’immeubles et de pavillons individuels [plateau de Guinette ; RN191 – La Vallée- Collin ; Pente-de-Guinette, Murger-de-la-Bataille] : acquisition de terrains : esquisse de plan de masse et de mode d’occupation du sol [1/2000e ; Jacques Starkier, architecte ; 2 mai 1962] ; plan de situation (1/10000e, [1961]) ; pièces de correspondance (1961) ; ministère de la Construction : colline de Guinette à Étampes : plan d’urbanisme de détail (J. Starkier, architecte urbaniste, 30 juin 1960).
Comprend : devis descriptif établi par J. Guguin (21 septembre 1961) ; délibération du Conseil municipal du 21 février 1963 décidant l’acquisition ; arrêté préfectoral de déclaration d’utilité publique (27 août 1963) ; plan de situation du dit terrain (tirage de bleu, 1/2500e, 21 x 27 cm, sans mention de date) ; plan de masse du dit terrain (tirage de bleu, 1/200e, 21 x 27 cm, sans mention de date) ; état actuel du chalet sis sur ledit terrain (tirage de bleu et crayons de couleur, 1/500e, 49 x 35 cm, sans mention de date) ; vue de l’actuelle et de la future façade, côté pont (tirage de bleu et crayon jaune, sans mention d’échelle, 57 x 24 cm, sans mention de date) ; vue de l’actuelle et de la future façade, côté nord (tirage de bleu et crayons de couleur, sans mention d’échelle, 57 x 24 cm, sans mention de date) ; extrait cadastral (1/2500e) et plan de situation (1/10000e) et plan de masse (1/200e) (Bonnamy, géomètre, 85 x 28 cm, 27 août 1963).
l’acquisition ; stade du Pont-de-Pierre : plan (1/200e ; Jean Bonnamy, géomètre ; [1967]) ; document d’arpentage (1/1000e ;
Jean Bonnamy, géomètre ; 1970) ; état parcellaire cadastral ; plan parcellaire, plan de situation (1967).
Latournerie, 1er juillet 1972) ; plan de masse (1/500e) et plan de
situation (1/5000e) et plan cadastral (1/1000e) (Jean Bonnamy, géomètre, 122 x 30 cm, juillet 1971) ; délibération du Conseil
municipal du 7 février 1972 acceptant la promesse de vente ; arrêté préfectoral de déclaration d’utilité publique (28 mars 1972) ; promesse de vente (14 décembre 1971) ; acquisition par la Ville du terrain de Lucienne Lecomte, Pascal Robert Lecomte, Louis Noël Lecomte et Michel Robert Lecomte, cadastré AV197, 76 boulevard Berchère (étude Caillault, 3 mars 1972) ; arrêté préfectoral de déclaration d’utilité publique (17 janvier 1972) ; délibération du Conseil municipal du 26 mai 1971 acceptant la promesse de vente ; promesse de vente (5 mai
1971) ; plan de masse (1/500e) et plan de situation (1/5000e) et plan cadastral (1/1000e) (Jean Bonnamy, géomètre, 122 x 30 cm, juillet 1971) ; plan du percement de l’avenue de la Libération, qui doit être achevé fin décembre 1971 (1/200e, 152 x 79 cm, juin 1967) ; avis d’estimation des Domaines (21 août 1970).
Plan du terrain Gerbet (auj. square du 19 mars 1962) en juillet 1971 (1 N 29)
janvier 1971 décidant l’acquisition ; avis d’estimation des Domaines (20 août 1970) ; plan de masse (1/500e) et plan de situation (1/5000e) et plan cadastral (1/1000e) (Jean Bonnamy, géomètre, 110 x 30 cm, décembre 1970).
1 N 31 [ancienne cote 511 W 28] – Cession par la SNCF à la Ville d’Étampes d’un terrain cadastré AW92, Pente-de- Guinette, pour la reconstruction du pont Saint-Jean (1970- 1971). – Comporte : arrêté préfectoral autorisant l’opération (4 mars 1971) ; délibération du Conseil municipal du 9 juillet 1970 acceptant l’opération ; ligne de chemin de fer de Paris à Orléans : extrait du plan parcellaire (S.N.C.F. : Service de la voirie, tirage de bleu colorisé, 1/1000e, 30 x 60 cm, 6 avril 1970) ; plan du terrain et du pont Saint-Jean (S.N.C.F. : Service de la voirie, tirage de bleu colorisé, 1/200e, 80 x 39 cm, sans mention de date) ; procès-verbal de remise du dit terrain à la Ville (19 mai 1971).
arrêté préfectoral de déclaration d’utilité publique (15 septembre 1970) ; plan de masse (1/200e) et plan de situation (1/10 000e) et plan cadastral (1/2000e) (Jean Bonnamy, géomètre, 100 x 30 cm, sans mention de date) ; avis d’estimation des Domaines (18 août 1970) ; devis descriptif pour la fourniture d’un équipement électromécanique des stations de reprise de l’Humery et du Chesnay (entreprise Genicia, Paris, mars 1958) ; délibération du Conseil municipal du 4 juin 1958 acceptant l’opération et l’acquisition du dit
terrain, appartenant à Pierre Jacheet, notaire à Romorantin ; extrait parcellaire [annulé] pour le programme d’alimentation en eau de Villesauvage : plan de masse (1/2500e, 48 x 29 cm, 11 mars 1958).
1 N 33 [ancienne cote 608 W 27] – Aliénation du terrain municipal AV312, au profit de la Caisse d’épargne, boulevard Berchère, en vue de la création d’un parking. – Comprend : avis d’estimation des Domaines (18 octobre 1976) ; plan de masse (1/200e) et plan de situation (1/5 000e) et plan cadastral (1/1000e) (Jean Bonnamy, géomètre, 88 x 30 cm, juin 1976).
1 N 34 [ancienne cote 670 W 13] – Projet d’acquisition par la Ville d’Étampes, pour construction d’ateliers et de garages municipaux, de la parcelle AH 79, sente des Capucins, appartenant à Palma Landré, 1971. – Comprend : avis d’estimation des Domaines ; extrait du plan cadastral et plan de situation (1/1000e et 1/5000e ; 15 juin 1971).
1 N 35 [ancienne cote 511 W20] – Cession par la Ville d’Étampes à Pierre Bonnet du terrain cadastré section AN627, boulevard Henri-IV, dans le cadre de l’opération d’extension de la place de la Gare [place du général Leclerc] (1974-1976). – Comporte : délibération du Conseil municipal du 24 septembre 1976 ; plan de masse (1/500e) et plan de situation (1/5 000e) et
plan parcellaire (1/1000e) (Pierre Bonnet, géomètre, 88 x 30 cm, 8 juillet 1976) ; avis d’estimation des Domaines (7 avril 1976).
Plan de masse du terrain Latournerie près la gare, en 1976 (1 N 36)
1 N 36 [ancienne cote 511W19] – Échange de terrains entre la Ville d’Étampes et Antoine Auguste Latournerie, cadastrés sections AN28, 29 et 30, et compris entre le boulevard Henri-IV et la rue Louis-Moreau, dans le cadre de l’opération d’extension de la place de la Gare [place du général Leclerc] (1971-1977). – Comporte : avis d’estimation des Domaines (5 avril 1971 et 7 avril 1976) ; délibération du Conseil municipal du 24 septembre 1976 ; plan de masse (1/500e) et plan de situation (1/5 000e) et plan parcellaire (1/1000e) (Pierre Bonnet, géomètre, 88 x 30 cm,
8 juillet 1976) ; arrêté préfectoral de déclaration d’utilité publique (22 octobre 1976) ; compromis d’échange (31 août 1976).
1 N 37 [ancienne cote 511 W 22] – Échange de terrains entre la Ville d’Étampes et Marie-Louise Geslin, veuve de Paul Dulu, cadastrés section AX22, lieu-dit Murger-de-la-Bataille, pour aménager l’intersection de l’allée du Docteur-Bourgois et la desserte piétonne des Glycines (1976-1978). – Comporte : délibération du Conseil municipal du 26 mai 1978 ; plan d’échange des propriétés : plan de masse (1/500e) et plan de situation (1/5 000e) et plan cadastral (1/1000e) (Jean Bonnamy, géomètre, 84 x 30 cm, mai 1978) ; promesse d’échange (22
avril 1978).
1 N 38 [ancienne cote 670 W 15] – Projet d’acquisition par la Ville d’Étampes, pour extension du domaine public, de la parcelle AN 609, 1 rue Mauconseil et 6 rue du Cloître-Notre- Dame, appartenant à Claude Durand (1975–1977). – Comprend : avis d’estimation des domaines ; pièces de correspondance ; délibérations du Conseil municipal des 27 novembre 1975, 29 octobre 1976 et 29 avril 1977 ; extrait du plan cadastral et plan de situation (1/1000e et 1/5000e ; [1976]).
topographique (Jean Bonnamy, géomètre ; 1/200e ; mai 1975) ; plan de situation (1/5000e, 17 février 1978) ; plan cadastral (1/1000e) et plan de masse (1/200e) (Jean Bonnamy, géomètre ; juin 1978) ; compte des déboursés, émoluments et honoraires
(étude Kneppert, 17 juillet 1980).
Cahier des charges du 9 octobre 1826 (2 N 11)
2 N – Bois
août 1812) ; acte sous seing privé entre le maire Charles Bouraine et le journalier Louis Langlois, demeurant rue Evezard, ce dernier acceptant la résiliation du bail qui lui a été fait en 1795 de la coupe de l’herbe des différentes sentes de la ville (4 brumaire an X/26 octobre 1801).
adjudication du 4 janvier 1819 (46 x 31 cm, imprimerie Dupré
fils, 23 décembre 1818).
et d’ormes plantés sur la rive droite de la Louette, entre le pont de Chauffour et le moulin à Tan (31 x 40 cm, 3 décembre 1881) ; cahier des charges et procès-verbal d’adjudication à M. Guitton des arbres précités (10 janvier 1882).
328 peupliers plantés sur la promenade dite Allée royale [anciennement nommée promenade de Coquerive], près les moulins du Port [moulins Gérosme, place du Port] ; estimation, par Louis Thomas Imbault, marchand de bois à Étampes, des dits arbres (10 août 1829) ; cahier des charges et procès-verbal
de l’adjudication des dits arbres à Louis Thomas Imbault (30 octobre 1829) ; refus préfectoral d’approuver l’adjudication, l’adjudicataire ayant procédé comme expert à l’estimation de la valeur des arbres (12 décembre 1829) ; nouvelle adjudication des dits arbres, cette fois à Louis Henry Jérôme Vallot, marchand de vin en gros à Étampes (31 décembre 1829) ; deux affiches annonçant la mise en vente des dits arbres (26 x 42 cm, 16 octobre 1829 et 22 décembre 1829).
verbal d’adjudication à Charles Genty, marchand de bois à Souzy-la-Briche, des peupliers italiens plantés sur la rive gauche de la rivière des Prés, entre la tourelle de Jean Gatineau [rue au Comte] et la ruelle du Prateau (17 mars 1846) ; affiche de ladite vente (42 x 31 cm, 7 mars 1846).
Affiche de vente des peupliers de la Promenade des Prés en 1846 (4 N 22)
verbal d’adjudication à MM. Nancy et Chauvet de peupliers italiens et d’un orme plantés sur le terrain communal de la tourelle des Dames religieuses, aux Portereaux [entre la rivière des Prés, le mur de clôture du jardin des Dames religieuses de la Congrégation, et la berge de la rivière] (26 mars 1852).
verbal d’adjudication à M. Berthelot de trois lots d’arbres : italiens sur le marché aux Vaches et peupliers avenue de Bonnevaux (vers le pont de Pierre) (15 mars 1894).
; vente à MM. Berthelot et Cailloux de 158 ormes situés boulevard Berchère et promenade des Prés (acte du 5 novembre 1898 et délibération du Conseil municipal du 7 novembre 1898).
imprimerie Lecesne-Allien, 6 février 1907).
Plan de situation de la mare de Guignonville en 1862 (3 N 10)
3 N – Eaux
1842).
1858).
de la mare (comporte un plan de situation, plume et aquarelle sur papier, 42 x 30 cm, 4 août 1863) ; procès-verbal de bornage par le géomètre Bertrand de la place et de la mare de Guignonville (comporte : plan des lieux du hameau de Guignonville, plume et aquarelle sur papier, 18 x 26 cm, 22 novembre 1866) ; lettre d’Antoine Bourdon au maire, proposant à ce dernier de lui céder la mare de Guignonville (avec le four et la tourelle) en échange d’un terrain pris sur l’ancienne décharge publique entre le cimetière Notre-Dame, la sente des Mâchefers (ou sente des Carrières), la route numéro 191 de Mantes à Corbeil, et la gare des marchandises (sans mention de date ; comporte un plan de situation du dit terrain – plume et encre rouge sur papier, 47 x 28 cm, et un plan de situation de la mare – plume et aquarelle sur papier, 47 x 30 cm, dressé par le géomètre Bertrand, 30 juillet 1862) ; arrêté du préfet autorisant la Ville d’Étampes à faire l’acquisition de ladite mare (4 août 1863).
de la Louette (plume et aquarelle sur calque, 28 x 37 cm, dressé par l’architecte A. Marquis).
3 N 17 [ancienne cote 510 W 5] – Alimentation en eau des écarts ruraux : Bois-Renaud, Villesauvage, Malmaison, Guignonville, Champdoux, Maison Lang, Chesnay (1929- 1958). – Comporte : avant-projet de distribution d’énergie électrique dans les écarts (société Cerflu, Bourg-la-Reine, 9 décembre 1935) ; projet proposé par la Société Sud-Lumière, de Bourg-la-Reine (1929 et 1935) ; pétition des habitants du hameau de Bretagne demandant l’électrification de leur écart (1932) ; plan de la distribution électrique à Étampes (Sud- Lumière, 1/5000e, 67 x 47 cm, février 1921) ; pétition des habitants de la rue Rose-Chéri demandant l’installation de
l’éclairage public au centre de la voie (1932) ; pétition des habitants du Petit Saint-Mars demandant l’installation de l’éclairage public au pont Martine (1932) ; dossier administratif et comptable de l’électrification des hameaux (1937-1942) ; contentieux entre la Ville d’Étampes et la Société Egera, à propos de la distribution d’énergie électrique dont ladite Société
est adjudicataire depuis 1936 (1936-1946) ; dossier administratif et comptable relatif à l’électrification de la ferme de Champdoux (1938-1942).
Acte du 28 mars 1739 (4 N 1 )
4 N – Propriétés : Bâtiments divers
démolition d’une grange avec dépendance acquises par la Ville de la veuve Lelièvre et de ses enfants (11 juin 1827) ; six pièces de correspondance entre la Ville et les bureaux de l’Enregistrement au ministère des Finances, à propos des droits de quittance relatifs à l’acquisition des dites propriétés par la Ville (juillet 1827-novembre 1827) ; purge légale des hypothèques (février 1827-avril 1827) ; acte de vente à la Ville d’Étampes, par Marie Françoise Berchère, veuve de Louis Nicolas Lelièvre, marchande boulangère place Notre-Dame, et François Félix Lelièvre, garçon boulanger, et Louis Hippolyte Lelièvre, garçon boulanger, d’une grange avec cave et dépendances, le tout situé rue du Puits-de-la-Chaîne (étude Venard, 18 janvier 1827) ; acte de vente à la Ville d’Étampes, par Anne Boivin, veuve de Louis Sédard, demeurant carrefour du Pont-Doré, d’une grange située rue du Puits-de-la-Chaîne, ouvrant à porte charretière sur ladite rue, avec dépendances (étude Venard, 18 janvier 1827) ; acte de vente à la Ville d’Étampes, par Blaise Louis Michel Pinson, jardinier, et son épouse Marie Cécile Chaudé, de deux maisons contiguës situées rue de la Tannerie (étude Venard, 18 janvier 1827). – Anciens titres de propriété : acte de partage entre, d’une part Antoine Joseph Diday, négociant, et son épouse Marie Madeleine Guettard, d’autre part Marie Françoise Berchère, veuve de Louis Nicolas Lelièvre, marchande boulangère, et d’autre part encore Louis Hippolyte Lelièvre et François Félix Lelièvre, garçons boulangers, de quatre biens : un bâtiment appelé « la Boucherie » et servant actuellement de grange (rue du Puits-de-la-Chaîne, en face de la rue des Oisons), une cave située sous ledit bâtiment, une petite cour en forme de venelle, un jardin avec hangar, le tout acquis par adjudication le 7 vendémiaire an V/28 septembre 1796 (étude Venard, 13 novembre 1818) ; déclaration de Louis Nicolas Lelièvre, boulanger place du marché Notre-Dame, selon laquelle l’acquisition faite par lui du bâtiment de « la Boucherie »
(attenant à la ruelle du Petit Mesnil-Girault), par contrat de l’administration centrale du département de Seine-et-Oise, le 7 vendémiaire an V/28 septembre 1796, l’a été à son profit, mais aussi à celui de Christophe Guettard-Rabier, négociant (étude Venard, 25 messidor an V/13 juillet 1797) ; acte de vente passé au profit de Jean-Jacques Fromentin, demeurant à Versailles, par l’administration centrale du département de Seine-et-Oise [biens des Domaines nationaux] : vente à Louis Nicolas Lelièvre, marchand boulanger, du bâtiment servant de boucherie et provenant de la Communauté des bouchers d’Étampes, sis rue des Oisons, à l’angle de la ruelle du Petit Mesnil-Girault (7 vendémiaire an V/28 septembre 1796) ; acte de vente par Jean Basile Bonneau, marchand épicier, demeurant place du marché Notre-Dame, et par son épouse Madeleine Rose Bonneau, à Anne Boivin, veuve de Louis Sedard, aubergiste carrefour du Pont-Doré, d’un bâtiment situé rue du Puits-de-la-Chaîne (étude François, 20 mars 1825) ; acte de vente par Antoine Joseph Diday et par son épouse Marie Madelaine (sic) Guettard, demeurant rue des Oisons, à Jean Basile Bonneau, marchand épicier, et son épouse Madelaine (sic) Rose Bonneau, de ladite propriété (étude François, 16 mai 1823) ; procès-verbal d’estimation par l’architecte Pierre Toussaint Michau des matériaux des maisons et granges des propriétés Pinson, Lelièvre et Boivin-Sédard (28 février 1826) ; procès-verbal d’estimation par l’architecte Pierre Toussaint Michau et le maçon Augustin Girard de la propriété Lelièvre (27 février 1826) ; procès-verbal d’estimation par l’architecte Pierre Toussaint Michau et le maçon Cadet Le Rable de la propriété Pinson (27 février 1826) ; procès-verbal d’estimation par l’architecte Pierre Toussaint Michau et le maçon Cadet Le Rable de la propriété Boivin-Sédard (27 février 1826) ; estimation par l’architecte Michau des matériaux des bâtiments de M. Pinson (rue de la Tannerie), de l’» ancienne boucherie M. Lelièvre et Boivin-Sédard », de la maison de la veuve
Bourganel, de la maison Dufossé occupée par Sinadot, et de la maison Fromentin (28 février 1826) ; état estimatif par le maçon Pierre Antoine Cadet Lerable des deux maisons d’Adrien Pinson, jardinier, sises rue de la Tannerie (22 février 1826) ; état estimatif par le maçon Pierre Antoine Cadet Lerable d’une grange appartenant à M. Boivin-Sédard, commissionnaire à Étampes, sise rue du Puits-de-la-Chaîne (22 février 1826) ; acte de vente à Adrien Pinson, jardinier, et à son épouse Marie Cécile Chaudé, par Louis François Lepage, boulanger, et par son épouse Anne Louise Hautefeuille, et aussi par Louis Étienne Hautefeuille, cultivateur, et par son épouse Rosalie Hautefeuille, et aussi par Philémon Hautefeuille, soldat, d’une maison sise 10 rue de la Tannerie (étude Venard, 2 juin 1810) ; partage entre les héritiers Denizeau (Françoise Élisabeth Denizeau, veuve de Barthélémy Jullemier, cultivateur à Fontenay-le-Vicomte ; Anne Louise Hautefeuille, épouse de Louis François Lepage, boulanger à Arpajon ; Rosalie Hautefeuille, épouse de Louis Étienne Hautefeuille, cultivateur à Arpajon ; Philémon Hautefeuille, soldat) : premier lot (une maison sise à Étampes, 10 rue de la Tannerie), deuxième lot (une maison sise à Bonvilliers, commune de Morigny), le premier lot revenant par tirage au sort conjointement à Anne Louise Hautefeuille, épouse de Louis François Lepage, à Rosalie Hautefeuille, épouse de Louis Étienne Hautefeuille, et à Philémon Hautefeuille, et le second lot à Françoise Élisabeth Denizeau, veuve de Barthélémy Jullemier (étude Venard, 2 juin 1810) ; acte de vente par Françoise Gilbon, veuve de Jean- Baptiste Barrault, cultivateur à Morigny, demeurant à Bonvilliers, à Adrien Pinson, jardinier, et son épouse Marie- Cécile Chaudé, d’une maison sise rue de la Tannerie, tenant à la Boucherie et à la ruelle de Mesnil-Girault (étude Venard, 26 frimaire an VI/16 décembre 1797) ; acte de vente par Jean Perrot, marchand demeurant rue de la Salle, et par son épouse Anne Madeleine Mesnage, à Jean-Baptiste Delisle, conseiller
du Roi, commissaire recenseur et contrôleur des saisies et recèles du bailliage et autres juridictions royales d’Étampes, y demeurant, de soixante-quinze livres de rente payables tous les ans, à prendre sur la maison des dits constituants, et sise rue de la Tannerie (présentement dite de la Salle), tenant à la petite rue de Mesnil-Girault (notaire Pineau, 28 mars 1732) ; acte de vente par Jean Perot [Perrot], marchand demeurant en la maison à l’enseigne de la Poullette [Poulette], rue de la Tannerie, et par son épouse Madelaine (sic) Mesnage, à Marie Anne Bejon, veuve de Pierre Tribouillet, officier du Roi, demeurant à Étampes, de cinquante livres de rente payables annuellement sur la maison des dits constituants (notaire Gudin, 7 mars 1739) ; assignation par l’huissier Guy François Pavye, à la requête de Louis Denizeau, laboureur, demeurant en la ferme de Bauvais [Beauvais], paroisse de Saint-Germain-lès-Étampes : assignation donnée à Étienne François Fontaine, maître perruquier, demeurant à Étampes, paroisse Saint-Basile, et à son épouse Anne Madeleine Perrot, à comparaître devant le prévôt de Morigny (20 avril 1773) ; acte de vente par Geneviève Leclerc, veuve de Claude Legrain, marchand hôtelier paroisse Saint-Gilles, à Jean Parot, maréchal, d’une maison rue de la Tannerie, à l’angle de la rue du petit Mesnil- Girault, et tenant à la rue du Puits-de-la-Chaîne, dite vulgairement rue des Oysons [Oisons] (notaire Gudin, 24 janvier 1738) ; acte sous seing privé : Charles Liévain, marchand hôtelier, demeurant à Étampes, délaisse à titre de loyer pour six ans, à Cantien Hage, marchand à Étampes, et à son épouse Michèle Brunet, une maison sise rue de la Salle, appelée « La Poulette » (13 décembre 1735) ; acte de reconnaissance par Pierre Paulmier, huissier en la maréchaussée d’Étampes, du versement à son profit – par Geneviève Lecle [Leclerc, veuve de Claude Legrain] – de 600 livres pour le principal rachat, extinction et amortissement de la rente foncière du bail d’héritage de ladite maison (étude Mautains, 19
juin 1718) ; acte de vente par Pierre Paulmier, archer, huissier en la maréchaussée d’Étampes, demeurant paroisse Notre- Dame, à Germaine Leclerc, veuve de Claude Legrain, marchand hôtelier, demeurant paroisse Saint-Basile, d’une maison rue de la Tannerie, anciennement rue de la Coutellerie, faisant le coin de la petite rue de Mesnil-Girault (étude Mautains, 12 octobre 1717).
Pierre Alexandre Hoyau, professeur de danse, et par son épouse Joséphine Gaillard, demeurant maison de l’Arquebuse, et par Louise Angélique Alexandrine Hoyau, et par Adèle Étienne Hoyau, propriétaire à Paris, et par son épouse Victoire Zélie Forteau, et par Louis Victor Hoyau, professeur de danse à Angerville, et par son épouse Lucrèce Cornélie Choiseau, à Alexandre et Adèle Hoyau, d’une part d’une maison située à Étampes, carrefour du Pont-Doré, où sont établies une salle de spectacles et une salle de bal, d’autre part d’une rotonde située dans le jardin de la maison de l’Arquebuse et servant d’orchestre (étude Venard, 23 avril 1825) ; inventaire après décès de Marie Louise Tessier, épouse d’Étienne Hoyau [inventaire relatif, notamment, à la salle de bal et à la salle de danse du carrefour du Pont-Doré] (étude Venard, 28 avril 1820) ; promesse de vente par Louis Étienne Hoyau, marchand épicier, et par Françoise Percheret, son épouse, à la Ville d’Étampes, de leur dite propriété (16 avril 1842) ; dossier de purge légale des hypothèques (1830-1831) ; acte de vente de ladite propriété Hoyau, carrefour du Pont-Doré, à la Ville d’Étampes (étude Godin, 29 octobre 1845) ; trois quittances par lesdits vendeurs à la Ville d’Étampes (étude Godin, 18 novembre 1846, 26 octobre 1847 et 22 juillet 1848) ; cahier des charges et procès-verbal d’adjudication à Simon Augustin Girard, entrepreneur de bâtiment à Étampes, rue Saint-Jacques, de la démolition des bâtiments de l’ancienne propriété Hoyau acquise par la Ville (16 février 1846) ; rapport d’estimation des matériaux qui proviendraient de la démolition du théâtre [sic – propriété Hoyau achetée par la Ville] (par Magne, architecte, 10 décembre 1845) ; huit pièces de correspondance entre la Ville et le sous-préfet, à propos de la démolition de l’ancienne propriété Hoyau et de la vente de ses matériaux (janvier à mars 1846) ; affiche d’avis de mise en adjudication de la démolition des bâtiments de l’ancienne salle de spectacles (imprimerie G. Durandet, 42 x 30 cm, 6 février 1846).
Plan de l’ancienne salle de spectacle du sieur Hoyau avant démolition, en date du 5 avril 1842 (4 N 2)
Plan de la rue de la ruelle Saint-Jean du 5 juin 1842 (4 N 3)
Jacques Emmanuel Simonneau (étude Lamare, 5 octobre 1837) ; acte sous seing privé : promesse de vente à Étienne Chanton, par Hélène Renée Peltereau, veuve de Jacques Emmanuel Simonneau, et par Charles Henry Auby, maçon en plâtre, demeurant rue du Paradis, de ladite propriété (4 février 1833) ; adjudication à la requête d’Étienne François Chevallier, cordonnier, et d’Adélaïde Augustine Hersant, son épouse, à Hélène Renée Peltereau, veuve de Jacques Emmanuel Simonneau, marchand tanneur, demeurant rue de la Vigne, de ladite propriété sise 54 grande rue du Faubourg Saint-Martin, faisant l’angle de la rue du Bas-Pavé et de la ruelle Saint-Jean, et consistant (notamment) en une boutique sur la rue (étude Lamare, 25 septembre 1831) ; obligation par Étienne François Chevallier, cordonnier, et par Adélaïde Augustine Hersant, son épouse, envers Hélène Renée Peltereau, veuve de Jacques Emmanuel Simonneau, avec notamment ladite propriété pour garantie hypothécaire (étude François, 7 mars 1826) ; vente par Jean Charles Dufossé fils, demeurant rue de la Savaterie, à Étienne François Chevallier, cordonnier, et à Adélaïde Augustine Hersant, son épouse, demeurant rue du Bas-Pavé, de ladite propriété (étude François, 2 novembre 1817) ; acte de bail par Jacques Joseph Gabaille, conseiller procureur du Roi, en conséquence du Conseil de la Ville et du Conseil du duc d’Orléans, à Jean-Baptiste Gallier, receveur des droits et barrage à la barrière de Saint-Martin d’Étampes, et y demeurant, d’un terrain vague situé au bas de la ruelle Saint- Jean, près l’Ecce Homo ou vis-à-vis la barrière, moyennant deux boisseaux d’avoine (mesure d’Étampes) de chef sens annuel et perpétuel (étude Venard, 21 mars 1770) ; approbation de ladite transaction par le duc d’Orléans (extrait des registres du Conseil du duc d’Orléans, 31 juillet 1770) ; acte de bail par Jacques Joseph Gabaille, conseiller procureur du Roi, en conséquence du Conseil de la Ville et du Conseil du duc d’Orléans, à Jean-Baptiste Gallier, receveur des droits et
barrage à la barrière de Saint-Martin d’Étampes, et y demeurant, de deux terrains vague situés au bas de la ruelle Saint-Jean, près l’Ecce Homo, dont l’un comprend une baraque construite par ledit Gallier, bail moyennant six deniers de chef sens et un boisseau de froment (étude Venard, 26 juillet 1774) ; approbation de la dite transaction par le duc d’Orléans (extrait des registres du Conseil du duc d’Orléans, 12 juillet 1774).
16 rue du Perray, laquelle maison est mitoyenne de l’école primaire et de la salle d’asile du quartier de Saint-Pierre, dont il est souhaité l’agrandissement. – Comporte : acte de vente de ladite propriété à la Ville (étude Daveluy, 2 et 4 mars 1861) ; autorisation donnée par le sous-préfet à la Ville, d’entreprendre les travaux de rattachement des propriétés mitoyennes (4 juillet 1861) ; autorisation donnée par l’administration des ponts et chaussées à la Ville, de percer des ouvertures en façade donnant sur la route impériale numéro 191 (15 mars 1862) ; purge des hypothèques relatives à l’acquisition (19 mars 1861) ; quittance des vendeurs à la Ville (étude Daveluy, 9 janvier 1864) ; estimation de la propriété avant acquisition, dressée par le géomètre Bertrand et l’architecte Pierre Magne (26 novembre
1860, comprenant un plan de situation de la propriété ainsi que de la salle d’asile et du lavoir et jardin de la ville sur le Juineteau – plume et aquarelle sur carton – 18 x 25 cm) ; titres de propriété antérieurs à l’acquisition par la Ville : inventaire après décès de Pierre Lamain (étude Bidault, 26 mai 1840), acte de vente de ladite propriété par Éloy Fromentin et Marie Madeleine Couty à Louis Lamain (maître cordier) et à sa femme Geneviève Baudet (propriété dite « en ce censive et mouvance du marquis de Valory, seigneur du Bourgneuf ») (étude Venard, 31 juillet 1782), bail à rente d’une partie de la propriété (par les époux Fromentin aux époux Lamain) (étude Venard, 30 juillet 1882) ; autorisation donnée par le préfet à la Ville, d’acheter ladite propriété en vue d’agrandir l’école des filles et la salle d’asile du quartier Saint-Pierre (8 février 1861) ; affiche annonçant l’enquête de commodo et incommodo (63 x 47 cm, imprimerie Auguste Allien, 7 décembre 1860).
Plan de situation du n°16 de la rue du Perray, 26 novembre 1860 (4 N 5)
Plan de la ferme de la Cour Meunier, 26 novembre 1860 (4 N 6)
décembre 1860).
Hautefeuille, agissant en son nom personnel et comme tutrice de Lucie Louise Gabrielle Hautefeuille, et par Émile Louis Hautefeuille, pour l’acquisition par la Ville de la propriété Hamouy, sise 22 rue Saint-Antoine, le 4 mai 1885 (étude Prat- Marca – 25, 26 et 30 mars 1887).
située à Étampes, 20 rue Sainte-Croix, maison dépendant de la communauté de biens qui a existé entre Étienne Paturance, décédé, et son épouse Honorine Victoire Lenoir, maison présentement mise en vente et louée à Jules Girard et Louise Rifougoulet, son épouse, débitants de vins (25 mai 1885) ; acte sous seing privé : bail à loyer de ladite maison par Honorine Lenoir, veuve Paturance, à Jules Girard (17 janvier 1883) ; acte sous seing privé : bail à loyer de ladite maison par Louis Eugène Lenoir, Louis Florimond Petit et Bathilde Florence Lenoir, à Désiré Chain (2 avril 1890) ; étude notariale Fougeu : vente de ladite maison par Louis Simon Haury et Reine Marguerite Cadet, son épouse, à Étienne Paturance et Victoire Honorine Lenoir, son épouse (12 novembre 1852) ; étude Lamare : vente par Jean-Charles Dufossé de ladite maison, nouvellement reconstruite et située rue Sainte-Croix ou de la Savaterie, à Louis Simon Haury et Reine Marguerite Cadet, son épouse (22 juillet 1827) ; quittance par Victor Boucheny, propriétaire rentier, et par son épouse Zéphirine-Louise Sauvé, domiciliés à Paris, à la Ville d’Étampes, pour la vente à cette dernière de leur maison située 18 rue Sainte-Croix, faisant l’angle de la rue du Pain (étude Prat-Marca, 24 juin 1905) ; acte de vente de ladite propriété à la Ville (étude Prat-Marca, 24 et 26 juin 1897) ; acte de vente à la Ville d’Étampes, par Paulin Firmin Saulet, employé du chemin de fer de Paris à Lyon, demeurant à Paris, et par Louise Chevallier, son épouse, d’une maison sise place de l’Hôtel-de-Ville et rue du Pain (étude Prat- Marca, 5 novembre 1893) ; quittance à la Ville d’Étampes, par Paulin Firmin Saulet et Louise Chevallier, pour ladite maison (étude Prat-Marca, 10 avril 1894) ; acte de vente de ladite maison par Anastasie Lodoïska Tacheron, veuve d’Alexandre Florimond Fortin, demeurant à Paris, et par ses enfants, à Paulin Firmin Saulet, employé de commerce, demeurant à Étampes (étude Daveluy, 19 et 20 novembre 1878) ; quittance par Louis Sébastien Perrot, propriétaire, demeurant ferme de Villeneuve-
sur-Auvers, à Anastasie Lodoïska Tacheron, veuve d’Alexandre Florimond Fortin, pour l’hypothèque sur ladite maison (étude Prat-Marca, 25 novembre 1882) ; acte de vente de ladite maison par Louis Narcisse Victor Fromentin, ancien marchand libraire, et par son épouse Catherine Geneviève Grangue, à Alexandre Florimond Fortin, marchand libraire, et à son épouse Anastasie Lodoïska Tacheron (1 place de l’Hôtel-de-Ville) (étude Godin, 31 décembre 1842) ; adjudication à Mme Sauvé d’une maison sise 18 rue Sainte-Croix, faisant l’angle de la rue du Pain, à la requête des héritiers d’Aimé Dominique Houdouin, propriétaire à Chalo-Saint-Mars (étude Méneray, 13 avril 1863) ; acte de vente par Jean Charles Dufossé, propriétaire, demeurant à Étampes, à Aimé Dominique Haudouin, huissier audiencier près le tribunal civil de l’arrondissement d’étampes, et à son épouse Marie Adélaïde Marceau, d’une petite maison sise 1 rue du Pain, et d’une autre petite maison, contiguë à la précédente et formant l’angle de la rue du Pain et de la rue de la Savaterie [rue Sainte-Croix] (étude François, 17 août 1826) ; acte de vente par Catherine Constance, veuve de Claude Rodolphe Leconte, propriétaire à Étampes, et par Catherine Leconte, veuve d’Étienne Delivré, demeurante à Étampes, et par Louis Michel Hypolite (sic) Lelièvre, marchand de laine, et par son épouse Catherine Leconte, à Jean Charles Dufossé, d’une maison sise rue Sainte-Croix (autrefois 9 rue de la Savaterie), faisant encoignure de la rue du Pain (étude François, 28 septembre 1825) ; acte de vente de ladite maison par François Alexandre Desfriches, menuisier à Angoulême, à Claude Rodolphe Leconte, négociant, et à son épouse Catherine Constance, demeurant rue de la Juiverie (étude Venard, 10 décembre 1807) ; acte de vente par Basile Moulin, veuve de Pierre Héret, juge au tribunal de première instance d’Étampes, et par Victoire Edmée Héret et Marie Flore Héret, demeurant place de l’Hôtel-de-Ville, à Jean Charles Dufossé, propriétaire, demeurant rue Sainte-Croix, de deux petites maisons sises 10
rue de la Savaterie et 1 rue du Pain (étude François, 29 septembre 1825) ; cahier des charges pour l’adjudication des matériaux des maisons appartenant à la Ville d’Étampes, sises 1 place de l’Hôtel-de-Ville, et 18 et 20 rue Sainte-Croix (dressé par l’architecte A. Marquis, 24 novembre 1897) ; cahier des charges pour l’adjudication de la démolition d’une maison appartenant à la Ville d’Étampes, sise 1 place de l’Hôtel-de- Ville et occupée par la librairie Couté (dressé par l’architecte A. Marquis, 28 mai 1897) ; acte sous seing privé : transaction entre la Ville d’Étampes d’une part, Jacques Adrien Couté et son épouse Ernestine Migeon d’autre part : les époux Couté s’engagent à quitter au 1er octobre 1895 les locaux dont ils sont locataires au 1 place de l’Hôtel-de-Ville, tandis que la Ville promet de leur vendre deux maisons sises 26 et 28 rue Sainte- Croix, ce qu’ils acceptent (3 février 1894) ; affiche annonçant l’adjudication le 12 janvier 1898 des matériaux des maisons appartenant à la Ville d’Étampes, sises 1 place de l’Hôtel-de- Ville, et 18 et 20 rue Sainte-Croix (imprimerie Lecesne-Allien,
30 x 45 cm, 11 décembre 1897) ; acte sous seing privé : promesse de vente à la Ville d’Étampes, par Louis Eugène Lenoir et par Bathilde Florence Lenoir, épouse de Louis Florimond Petit, de leur maison 20 rue Sainte-Croix, actuellement louée à M. Chain (30 et 31 mai 1897) ; acte sous seing privé : promesse de Désiré Chain faite à la Ville d’accepter moyennant indemnité la résiliation de son bail de location de ladite maison si la Ville en devient propriétaire (1er juin 1897) ; acte sous seing privé : promesse de vente à la Ville, par Victor Boucheny et son épouse Zéphirine-Louise Sauvé, de leur maison située 18 rue Sainte-Croix, faisant l’angle de la rue du Pain (28 mai 1897) ; délibérations du Conseil municipal des 15 mars 1897, 21 juin 1897 et 29 novembre 1897 décidant l’acquisition des maisons sises 18 et 20 rue Sainte-Croix, et leur démolition pour l’agrandissement de la place de l’Hôtel-de- Ville ; autorisation préfectorale donnée à la Ville d’acheter aux
époux Boucheny leur propriété 18 rue Sainte-Croix (4 décembre 1897) ; autorisation préfectorale donnée à la Ville d’acheter à M. Lenoir et Mme Petit leur propriété 20 rue Sainte- Croix (15 novembre 1897) ; procès-verbal d’estimation par l’architecte A. Marquis des maisons sises 18 et 20 rue Sainte- Croix (3 juillet 1897) ; plan de la maison sise 18 rue Sainte- Croix achetée par la Ville (49 x 30 cm, plume et aquarelle sur calque, 1/100e, dressé par A. Marquis, 29 juillet 1897).
Plan d’une maison, 18 rue Sainte-Croix, le 29 juillet 1897 (4 N 12)
16 place Saint-Gilles, pour y installer un mess d’officiers français (1er février 1916) ; location du magasin de Léonce Hutteau, rue du Ronneau, pour y loger des militaires (1er novembre 1915) ; location de la propriété Gilet, 29 rue des Cordeliers, pour y loger des militaires (1er février 1916) ; bail
entre la Ville d’Étampes et M. Legrand, pour le logement de réfugiés dans son logement sis 21 rue de la Juiverie (5 mai 1917) ; bail entre la Ville d’Étampes et Mme veuve Bonzani, pour le logement de réfugiés dans son logement sis 55 rue Saint-Jacques (23 avril 1917) ; bail entre la Ville d’Étampes et Paul Martin, pour la mise à disposition de son logement sis 7 rue Sainte-Croix (5 novembre 1918) ; bail entre la Ville d’Étampes et Félix Guitton, pour le logement de réfugiés dans son logement sis 13 rue du Perray (24 avril 1917) ; état des réparations locatives du dit logement Guitton (architecte Martin, 18 décembre 1919) ; contrat pour la location par la Ville d’un magasin situé dans les dépendances des immeubles de M. Véron, 122 rue Saint-Jacques, afin d’y loger un groupe de militaires (1er février 1916) ; bail entre la Ville d’Étampes et Louis Alfred Mille, pour la mise à disposition de deux logements sis 4 rue des Cordeliers et rue de la Plâtrerie (16 février 1915) ; contrat de location par la Ville de douze pièces dans l’immeuble de Michel Pavard, 158 rue Saint-Jacques, pour y loger un groupe de militaires (25 avril 1916).
proposition ; accusé de réception de ladite proposition par Jean de Castellane, président du Conseil municipal de Paris (7 avril 1931) ; avis d’enquête, procès-verbal d’enquête et avis du maire, relatifs au projet d’échange de divers terrains entre l’Hospice d’Étampes et M. Duclos, terrains sis à Morigny- Champigny (décembre 1926 – mars 1927) ; note du service des travaux (Paul Albert Jousset, architecte) relative au projet d’acquisition par la Ville du moulin Badran inférieur appartenant à Mme Bascle (15 novembre 1920), et procès- verbal du dit moulin appartenant à la Ville d’Étampes (19 août 1921) ; quatre pièces relatives à l’enquête publique préalable au projet de vente du dit moulin par la Ville (octobre 1921) ; affiche annonçant la mise en adjudication le 17 décembre 1921 du « moulin désaffecté dit moulin Badran inférieur, rue Badran et rue des Moulins, et de son jardin s’étendant jusqu’à la rue Reverseleux » (étude de Gandt, 40 x 59 cm).
boulevard Henri-IV, cimetière Saint-Pierre, square du Souvenir, place du Marché-Franc, bois de Guinette, jardin Guettard, donation Dallier, promenade de Guinette (1949) ; mémoire de travaux de serrurerie exécutés par Mme Poirier, place du Théâtre, pour le jardin du Théâtre (1949) ; expertise par Jean Potiron des peupliers bordant l’avenue de Bonnevaux (1948) ; correspondance entre la Ville et le ministère de la Reconstruction et de l’Urbanisme, comprenant état descriptif et procès-verbal d’expertise des propriétés de la Ville sinistrées et demande d’indemnité au titre des dommages de guerre agricoles (1947-1949) ; avant-projet d’un jardin d’enfants sur le terrain de la donation Dallier, promenade de Guinette (plan de l’horticulteur et paysagiste G. Hillebrand, octobre 1951 ; plan de l’architecte R. Borel, novembre 1952) ; mémoire des travaux d’élagage et d’abattage des arbres mutilés par les bombardements de juin 1944 (1947) ; pièces relatives à la démolition de l’abri en béton du jardin Guettard (1949) ; correspondance et pièces comptables relatives à la fourniture de végétaux, notamment pour le square du Souvenir (donation Dallier) (1950-1956).
80 rue Saint-Jacques : devis des travaux de réparation des dommages causés par le bombardement du 10 juin 1944 (C.E. Martin, architecte, mars 1946) ; mémoire des travaux de couverture effectués par Octave Thomas (décembre 1949) ; pièces comptables de l’indemnisation (1961).
30 avenue de Dourdan : dossier comptable des travaux
effectués sous la direction de C.E. Martin, architecte (1946- 1949) ; pièces comptables de l’indemnisation (1949).
Vue de la façade de la salle des fêtes (ancienne Sous-préfecture, actuellement École de Musique), juin 1956 (4 N 20.14)
vue des façades, coupe AB (1/100e, 40 x 48 cm, Raymond Borel, architecte, juin 1952) ; devis estimatif par Marcel
Pourlier de la valeur de la propriété donnée à la Ville par Lucie Lartillier, veuve de Cyrille Célestin Dallier, sise 46 promenade de Guinette (cadastrée B 1707p ; B 1708p ; B 1711p ; B 1716p) (20 octobre 1949) ; attestation de la propriété Dallier à la Ville d’Étampes (étude d’Antoine Latournerie, 12 novembre 1948) ; plans et coupes des bâtiments de l’ancienne propriété Dallier
(1/100e, 60 x 55 cm, Marcel Pourlier, architecte, sans mention de date).
Coupe du bureau d’octroi de Saint-Martin, vers 1948 (4 N 20.16)
4 N 21 [ancienne cote 652 W 1] – Casino de l’Ile-de-France, allées de la Victoire et rue Van Loo : projet d’acquisition par la Ville d’Étampes (1961-1967) ; aménagement de voirie faisant suite à sa conversion en supermarché. – Comporte : plan d’ensemble du Casino (1/200e, avril 1964) ; place du Port : plan des aménagements généraux et du parking (1/200e, février 1967) ; plan du parking des allées de la Victoire (1/500e, sans mention de date).
d’estimation ; cahier des charges et avis de l’adjudication ; plan de la propriété (1/2000e, 22 avril 1972) ; état parcellaire et plan de masse (1/25000e et 1/200e, Pierre Bonnet, géomètre ; 27 janvier 1971) ; pièces diverses de correspondance (1962).
principe de l’acquisition ; plan cadastral (1/1000e) et plan de
masse (1/200e) et plan de situation (1/5000e) (Jean Bonnamy, géomètre, 111 x 30 cm, sans mention de date) ; arrêté
préfectoral de déclaration d’utilité publique et d’autorisation d’acquisition par la Ville (25 juin 1974) ; promesse de vente (6 mai 1974) ; pièces de correspondance entre la Ville, la sous- préfecture et le Département de Seine-et-Oise (1966) ; carrefour du Petit-Saint-Mars : plan parcellaire (Pierre Bonnet, géomètre, 1/200e, 21 avril 1966) ; plan de division de la propriété Malon : plan de situation (1/5000e) et plan parcellaire (1/200e) (Pierre Bonnet, géomètre, juin 1959).
4 N 24 [ancienne cote 609 W 3] – Fourniture et construction d’un bâtiment préfabriqué au Marché Franc, pour le relogement des services municipaux de la main-d’oeuvre et des syndicats : dossier de marché de gré à gré avec la Société SOFACO (1967- 1969). – Comprend : délibération du Conseil municipal du 14 décembre 1967 ; devis estimatif et descriptif (2 janvier 1968) ; plan de masse (1/200e, 111 x 30 cm, novembre 1967) ; vue en plan, coupe AA et vue de la façade principale (80 x 26 cm, 8 décembre 1967) ; plan de situation (1/5000e, 20 x 30 cm, 5
janvier 1968) ; certificat de paiement (6 janvier 1968) ; procès- verbal de réception définitive des travaux (17 janvier 1969).
appartements : plan des intérieurs et de la cave (1/50e) et extrait cadastral (1/1000e) et plan de situation (1/5000e) (Jean
Bonnamy, géomètre, 145 x 30 cm, mai 1970) ; plan d’ensemble du terrain et des deux immeubles (ministère de la Reconstruction, 32 x 32 cm, janvier 1950) ; avis d’estimation des Domaines (13 décembre 1968).
(1/200e) et plan cadastral (1/1000e) (100 x 60 cm, sans mention de date) ; zone de loisirs : plan parcellaire (1/2000e, 140 x 50
cm, février 1973) ; esquisse d’aménagement (1er septembre 1972) ; avis d’estimation des Domaines (28 janvier 1971) ; projet de lotissement communal, sente de la Juine : plan de situation (1/5000e, 20 x 29 cm, [1971]) et plan des lots (1/200e, 60 x 40 cm, janvier 1971).
notice explicative et estimative sommaire) (1/5000e [1976]) ; plan de l’aménagement des intérieurs (1/50e [1976]) ; plan de situation (1/5000e) et plan cadastral (sans indication d’échelle, 1er septembre 1972) ; plan de masse (1/200e) et extrait du plan cadastral (1/1000e) et plan de situation (1/5000e) (Jean Bonnamy, géomètre ; [1972]) ; bulletin de liquidation de la recette de la vente de l’immeuble (1979).
Pinturier, marbrier à Étampes, époux de Madeleine Lucienne Blin (1973-1975). – Comprend : acte de vente à la Ville (étude Caillault, 28 décembre 1974) ; avis d’estimation des Domaines (17 octobre 1973) ; arrêté préfectoral de déclaration d’utilité publique (18 octobre 1974) ; délibération du Conseil municipal du 26 septembre 1974 ; plan de masse (1/200e) et extrait du plan cadastral (1/1000e) et plan de situation (1/2000e) (Jean Bonnamy, géomètre ; [1973]) ; diverses pièces de correspondance relatives au pas de porte appartenant à
Raymond Boismorand, pour son fonds de commerce « Bois Color », alors disparu (1974).
1976). – Comprend : avis d’estimation des Domaines (12 février 1976) ; délibération du Conseil municipal du 24 septembre 1976 ; arrêté préfectoral de déclaration d’utilité publique (8 novembre 1976) ; promesse de vente (3 juin 1976) ; plan parcellaire (1/2000e) et plan de situation (1/5000e) et plan d’intérieur (Pierre Bonnet, géomètre, 16 septembre 1976) ; plan de situation (1/2000e) ; rapport de Georges Nantois, directeur des Services techniques (15 septembre 1976).
Plan de situation de la Villa des Lys, route de Chauffour, 16 septembre 1976 (4 N 29)
5 N – Biens Nationaux
municipale d’Étampes, lui demandant d’enquêter sur l’adjudication des bois provenant de [l’émigré] Valory (3 nivôse an VIII/24 décembre 1799) ; lettre de la Compagnie Félice à l’administration municipale d’Étampes, relative à la même vente (17 frimaire an VIII/8 décembre 1799) ; extrait du registre des délibérations de l’administration centrale du département de Seine-et-Oise : arrêté pour l’adjudication des tilleuls et charmilles du jardin dépendant de l’ancienne maison curiale (presbytère) de Boissy-sous-Saint-Yon, servant de logement à l’instituteur (19 frimaire an VII/9 décembre 1798) ; Loi 140 relative à la perception des droits d’enregistrement (affiche, 41 x 52 cm, 9 pluviôse an IV/29 janvier 1796) ; Régie nationale de l’enregistrement et domaines : avis de mise en adjudication de la coupe et arrachage des arbres tilleuls et charmilles existants dans le jardin de l’ancien presbytère de Boissy-sous-Saint-Yon [2 nivôse an VII/22 décembre 1798] ; courrier du préfet au sous-préfet du 5e arrondissement [Étampes], lui demandant les procès-verbaux des ventes de bois faites en l’an VII et l’an VIII (29 vendémiaire an IX/21 octobre 1800] ; lettre des administrateurs forestiers de Paris à l’administration municipale d’Étampes, informant cette dernière de l’envoi à son intention des procès-verbaux de balisage et martelage des coupes de bois nationaux dans l’arrondissement du district d’Étampes (27 vendémiaire an VIII/19 octobre 1799) ; procès-verbaux joints à la pièce précédente : premièrement, bois de l’émigré Saint-Léon à Etréchy et Champigny, bois de l’émigrée Mellet à Guigneville, bois de l’émigré Eon de Cely à Soisy-sur-Ecole (15 vendémiaire an VIII/7 octobre 1799), deuxièmement, bois de l’émigré Talaru au hameau d’Orgemont à Etréchy et au lieu-dit Triage des Roches à Toury et au lieu-dit Grandes et Petites Remises à Villeneuve et au lieu-dit Communs de Boissy à Boissy-sous- Saint-Yon et aussi un bois à Chamarande et aussi un bois à la Remise de Malassis à Morigny et aussi six bois à Villeneuve
(15 vendémiaire an VIII/7 octobre 1799), troisièmement, bois provenant de l’ancien domaine de La-Ferté-Alais, bois de l’émigré Montulet à Favière, bois de l’émigré Valori [Valory] à Saint-Pierre d’Étampes, bois de l’émigré Saint-Léon à Champigny, bois de l’émigré Saint-Léon près la ferme de Malassis au bout du parc de la maison de Jeurre, bois de l’émigrée Laborde au lieux-dits La Remise Corset et La Remise des Quatorze-Mines et La Remise de la Poule et Bassonville et La Remise du Chêne et Près le Bois-Joly et au bois de La Selle et au petit Bois-Sallier et à La Plantation de la Butte de Jeudi et à La Remise en Charme et à La Remise du Clos des Roux et à La Remise des Galatres et à La Remise de l’Orme Jane et à La Remise des Chardonniers à Méréville, et bois de l’émigrée Mellet à Guineville [Guigneville], et bois de l’émigré Mauroi à D’Huison, et bois de l’émigré Eon de Cely à Soisy-sur-École et à Dannemois (15 vendémiaire an VIII/7 octobre 1799) ; lettre des administrateurs forestiers de Paris à l’administration municipale d’Étampes, à propos de la vente prévue du lot de bois provenant de l’émigrée veuve Laborde (15 brumaire an VIII/6 novembre 1799) ; arrêté du conseil général de la commune d’Étampes, relatif à la vente par adjudication des ormes bordant les remparts du couchant et des ormes bordant l’intérieur du rempart derrière l’ancienne propriété des Cordeliers [1792] ; lettre du sous-préfet au maire autorisant l’adjudication de la coupe du bois le 28 vendémiaire an XI (22 vendémiaire an XI/14 octobre 1802).
Arrêté préfectoral du 17 février 1801 (5 N 4)
Plan de la concession perpétuelle Porcher au cimetière Saint-Gilles, vers 1832 (6 N 2)
6 N – Concessions au Cimetière
; relevé et mesurage des monuments existant dans le cimetière Saint-Gilles au 24 juillet 1837.
5) dossier relatif au monument funéraire de M. Ingé, ancien notaire à Méréville (cimetière Notre-Dame et Saint-Basile) (1824-1825) ; 6) dossier relatif au monument funéraire de la famille Serreau (cimetière Notre-Dame et Saint-Basile) (1819) ;
7) dossier relatif à la sépulture de Marie Thérèse Schmidt (cimetière Notre-Dame et Saint-Basile), traité à la demande de
son père, Jean-Jacques Breidt, régisseur général des subsistances militaires, domicilié à Paris, et dossier de la donation faite par ce dernier au bureau de bienfaisance d’Étampes (1817-1818) ; 8) dossier de la concession de M. Venard, notaire honoraire et maire adjoint (cimetière Notre- Dame et Saint-Basile) (1833-1834) ; 9) état des concessions perpétuelles faites dans les cimetières d’Étampes en vertu de l’ordonnance royale du 10 novembre 1839 et suivant un arrêté du maire du 20 février 1840 (20 février 1840) ; 10) état des concessions de terrains dans les cimetières d’Étampes (1840), et état des concessions faites dans les cimetières de la ville d’Étampes antérieurement à l’ouverture du présent registre (1818-1844).
l’exposition des machines et instruments agricoles non gardés sur les places publiques (11 septembre 1900) ; inventaire après le décès d’Alfred Adolphe Billard, rentier (étude Claude, 17 janvier 1899) ; acte sous seing privé : abandon, par les héritiers d’Alfred Adolphe Billard, de la concession perpétuelle achetée en 1893 par ce dernier dans le cimetière de Saint-Martin d’Étampes, et reprise de ladite concession par les héritiers de Pauline Désirée Paris, épouse du dit Billard (12 février 1902) ; acte sous seing privé : abandon, par les héritiers de Pauline Désirée Paris, épouse du dit Billard, de la concession perpétuelle achetée en 1890 par cette dernière dans le cimetière de Saint-Martin d’Étampes, (5 février 1902).
Table des 25 illustrations
Tous les clichés de ce numéro sont des scans de documents des Archives municipales d’Étampes opérés par Clément Wingler, archiviste. Ils sont libres de droits et d’usage, et il n’y a que la courtoisie intellectuelle qui vous oblige à en citer la source.
B. G.
Plan de situation du terrain Jacques Rabereau, du Jeu de Paume et de la tourelle du rempart en date de 1800 (1 N 1), p. 10.
Procès-verbal d’arpentage, mesurage et bornage du terrain Guettard à Coquerive, dressé le 27 septembre 1813 (1 N 7), p. 16.
Plan du petit jardin appartenant à la Ville et sis près l’abreuvoir de la ruelle du Mouton dressé le 29 juillet 1820 (1 N 7), p. 17.
Plan de situation de terrains situés entre, d’une part la porte Saint-Jacques, le bureau de l’octroi, le haut de la place du Port et la pointe du Petit-Caporal, d’autre part le cimetière Notre-Dame et Saint-Basile, dressé le 3 février 1832 (1 N 8), p. 18.
Acte de vente par J.-B. Pailhet à Pierre Boivin du terrain entourant et contenant la tour de Guinette, en date du 21 septembre 1796 (1 N 10), p. 23.
Plan de situation de la rue de la Sonnette, dressé le 10 mai 1870 (1 N 14), p. 25.
Plan de situation de la ruelle Saint-Jean vers 1870 (1 N 16), p. 27.
Plan de situation des propriétés de l’Armée de l’Air sises Pente-de-Guinette, en 1952 (1 N 25), p. 32.
Plan d’ensemble des terrains Couté et Kayatt de Chessé, aux lieux-dits La Vallée-Collin, Guinette, Pente-de- Guinette, Murger-de-la-Bataille et Gros-Moreux, vers 1963 (1 N 26), p. 34.
Plan du terrain Gerbet (auj. square du 19 mars 1962) en juillet 1971 (1 N 29), p. 38.
Plan de masse du terrain Latournerie près la gare, en 1976 (1 N 36), p. 41.
Cahier des charges du 9 octobre 1826 (2 N 11), p. 44.
Affiche de vente des peupliers de la Promenade des Prés
en 1846 (4 N 22), p. 52.
Plan de situation de la mare de Guignonville en 1862 (3 N 10), p. 56.
Acte notarié du 28 mars 1739 (4 N 1), p. 64.
Plan de l’ancienne salle de spectacle du sieur Hoyau avant démolition, en date du 5 avril 1842 (4 N 2), p. 72.
Plan de la rue de la ruelle Saint-Jean du 5 juin 1842 (4 N 3), p. 73.
Plan de situation du n°16 de la rue du Perray, 26 novembre 1860 (4 N 5), p. 78.
Plan de la ferme de la Cour Meunier, 26 novembre 1860 (4 N 6), p. 79.
Plan d’une maison, 18 rue Sainte-Croix, le 29 juillet 1897 (4 N 12), p. 86.
Vue de la façade de la salle des fêtes (ancienne Sous- préfecture, actuellement École de Musique), juin 1956 (4 N 20.14), p. 93.
Coupe du bureau d’octroi de Saint-Martin, vers 1948 (4 N 20.16), p. 94.
Plan de situation de la Villa des Lys, route de Chauffour, 16 septembre 1976 (4 N 29), p. 100.
Arrêté préfectoral du 17 février 1801 (5 N 4), p. 104.
Plan de la concession perpétuelle Porcher au cimetière Saint-Gilles, vers 1832 (6 N 2), p. 106.
Table des matières
N – Biens communaux pp. 10-43
N – Bois pp. 44-54
N – Eaux pp. 56-63
N – Propriétés. Bâtiments divers pp. 64-99 5 N – Biens nationaux pp. 100-105
6 N – Concessions au cimetière pp. 106-110
Publication du Corpus Étampois,
et, pour ce numéro, des Archives Municipales d’Étampes.
Directeur de publication : Bernard Gineste 12 rue des Glycines, 91150 Étampes redaction@corpusetampois.com
BHASE n°14 (mars 2015)
Préface de Clément Wingler pp. 3-8 Inventaire de la série N pp. 10-110 1 N – Biens communaux pp. 10-43
N – Bois pp. 44-54
N – Eaux pp. 56-63
N – Propriétés. Bâtiments divers pp. 64-99 5 N – Biens nationaux pp. 100-105 6 N – Concessions au cimetière pp. 106-110
Table des 25 illustrations p. 111-113